Rencontre avec la vieille voisine
J’avais finalement épousé Janet, la femme de mes rêves. Janet est jeune, belle et sexy, la parfaite compagne pour moi qui était le plus jeune et le plus dynamique directeur de l’entreprise, sous ses ordres je précise, mais question physique loin d’être un dieu grec malgré ma belle gueule.
Nous sommes sortis pendant quatre ans avant de nous marier et nous revenons juste de notre lune de miel aux Caraïbes. Prêt à vivre une vie parfaite dans un quartier huppée de la ville. Malheureusement comme tout le monde j’ai un coin sombre et les miens s’appelle lingerie féminine. J’adore porter des vêtements de femme mais plus encore la lingerie qu’elle soit de satin ou de nylon pourvu qu’elle est beaucoup de dentelle et de ruban. Je suis incapable de résister.
Mon éducation stricte et chaste que m’avait donné mes parents m’avait retenu jusqu’à l’arrivée de Janet dans ma vie. La confession de ce travers serait vraiment trop dure et surtout je ne voulais pas qu’elle me prenne pour un pervers et préfère divorcée. Au lieu de cela j’ai réussi à me trouver des créneaux entre notre vie de couple et le travail que nous faisions tous les deux.
Je pus assouvir de temps en temps mes besoins discrètement dans notre appartement. En effet, en travaillant le week end parfoi, je pouvais récupérer mes heures en semaines donc librement car Janet, elle en temps que patronne, devait respecter les horaires de bureau. Aujourd’hui justement c’était le cas.
Comme toujours cela commence comme une journée ordinaire. Je ne prends ma douche qu’après avoir préparé le petit déjeuner de ma femme, discutait avec elle de chose et d’autres et l’avoir longuement embrassé sur le pas de la porte.
Enfin seul tout commence par une douche et je me rase soigneusement. Je ne suis pas poilu ce qui est une chance mais je regrette ne pas pouvoir raser mes jambes car le contact des vêtements féminins sur une peau rasée est décuplée. Mais comment aurai je pu explique cela à Janet ? Le jour où je trouverai une excuse, je n’hésiterai pas une minute. Peut être en me lançant dans la natation? D’après ce qu’on m’a dit les nageurs se rasent les jambes car l’eau glisse mieux ainsi. Moi c’est plutôt les nuisettes que je voudrais faire glisser sur mes jambes.
Par contre si j’ai quelques poils j’ai la chance d’avoir un corps fin donc je peux porter les vêtements et sous vêtements de ma femme. Prudemment en général je me cantonne aux affaires qui se trouvent dans la corbeille de linge sale car sous l’excitation il m’arrive régulièrement de tacher de mon sperme la culotte. Je fais très attention car c’est elle qui lave à la main ses sous vêtements.
Aujourd’hui je suis une futur femme chanceuse car dans le panier à linge il y a un magnifique corsage de satin rose pale et, assorti, un soutien gorge et un porte jarretelle doublé de dentelle noire. Une pure merveille. S’il y a porte jarretelle il doit y avoir des bas donc je me mets à leur recherche. Janet ne porte pas souvent ce genre de lingerie et je le regrette beaucoup, ce qui fait que je me suis constitué une petite réserve dans l’appartement et justement j’ai plusieurs paires de bas.
Apres avoir mis le soutien gorge que je remplis classiquement par des chaussettes, je songe à m’acheter des seins aux silicones mais il faut que je me trouve une cachette plus conséquente d’abord, vint le tour du corsage. Je passe voluptueusement ma tête dans cette matière soyeuse qu’est le satin et la laisse retomber toute légère sur mon corps. Cette douce caresse éveille la bête qui dormait entre mes jambes. Pour plus de sensation le corsage étant cintré il me serrait divinement à la taille. Vint ensuite la pose des bas que j’enroulais tout doucement puis déroulait le long de mes jambes tout en admirant mes nouvelles jambes de noir vêtues. Les yeux fermés pour plus de volupté je glissais mes mains le long de ses jambes pour savourer le toucher de temps de douceur. J’adorais être ainsi emprisonné par le nylon. Vint le tour du joli porte jarretelle avec ses coquins petits nœuds roses foncés, je m’attardais voluptueusement au passage de mon pénis avant de le fixer à ma taille. Plus qu’à attacher les bas aux jarretelles que je tendis bien serré. J’adorais en marchant ou en m’asseyant avoir cette sensation d’emprisonnement lorsque les jarretelles tiraient sur les bas. Vint ensuite la culotte de satin avec sa dentelle blanche pour entourer les jambes. Culotte que je regardais et tripotais avant de me décider à l’enfiler mais bien sur elle ne pouvait contenir ma queue toute droite. Maintenant je marche dans la pièce en essayant de me déhancher le plus sexy que possible, mettant un pied devant l’autre comme les mannequins starlettes pour faire crisser l’un contre l’autre la paire de bas. Ma queue est droite mais j’évite d’y penser, il me faut me calmer pour éviter que la conclusion inévitable arrive trop vite. Au début maintes fois il ne me fut pas possible de résister et j’éjaculais, dorénavant j’essayais de résister plus longtemps car le plaisir était décuplé par la suite. Cela ne m’empêchait pas ensuite de récupérer et de reprendre mon petit jeu tout le reste de la journée.
Mais pour l’instant la combinaison du satin frôlant le nylon me mettait dans tous mes états, je caressais mon torse, mes jambes et frôlait ma queue sans oser insistait si je voulais tenir. Je poussai un gémissement lorsque j’entendis
Toc Toc Toc! Cela venait de la porte. Qui cela pouvait il être? Personne ne savait que j’étais ici !. Mon cœur battait la chamade comme un écolier pris en fraude. Les rideaux sont tirés, personne ne peut me voir. Le mieux c’est de ne pas bouger, l’impertinent partira. Impatient mes doigts tapotent la hampe de mon pénis à travers le satin de ma culotte.
Toc Toc Toc! Encore! Ma main tire sur ma culotte pour cacher le bout de mon pénis. J’ai trop envie de me caresser, de jouir pour éviter de penser à cet intrus qui insiste si lourdement. Je suis chez moi. Je ne fais de mal à personne alors qu’il s’en aille que diable !
Toc Toc Toc ! Cette fois ci le ton est plus impérieux. Quelqu’un sait que je suis ici. La curiosité fut la plus forte et je déplaçais légèrement les rideaux pour voir qui pouvait insister ainsi. C’est ma voisine Mme Jones, une forte dame d’une cinquantaine d’année. Elle me voit, me fit signe en souriant. Je ne pus que lui rendre son sourire. J’étais bien embêté car je devais aller lui ouvrir pour pouvoir me débarrasser d’elle. Pas le temps de me déshabiller, il fallait simplement cacher mes vêtements. Je retirais rapidement mes chaussettes du soutien gorge et passais un pull à grosse maille par-dessus le corsage. Cela devrait aller. Un jeans et une paire de basket complétera le déguisement. Un dernier coup d’œil sur le miroir pour contrôler que rien n’était visible et j’allais à la porte. Je me rendais bien compte du risque que je prenais mais me retrouver ainsi habillé devant une personne étrangère me montait à la tête, c’était une excitation érotique intense. Vivement que je me retrouve de nouveau seul, ce sera grandiose je le présentais.
-« Bonjour Paul, je savais bien que vous étiez ici » m’annonça tout de suite ma grosse voisine aux cheveux gris.
-« Que puis faire pour vous Madame Jones ? » demandai je le plus aimablement possible.
-« J’ai un problème de chauffage Paul et il semble qu’il va faire très froid cette nuit, pourriez vous venir m’aider et voir la chaudière »
-« Je suis désolé Mrs Jones mais je n’y connais rien » répondis je en voulant fermer la porte.
-« Venez au moins jeter un coup d’œil s’il vous plait, il va faire froid et je serai toute seule ce soir » plaida t’elle.
-« Allons-y » dis je en soupirant et de la main lui demandant de me précéder.
Je suivis donc la grosse dame dans sa robe fleuri. Ses grosses fesses roulaient sous le tissu et bizarrement cela m’excitait. Surement du à mon propre corsage qui frottait doucement sur ma peau.
-« Merci beaucoup de vouloir m’aider Paul » dit elle en pénétrant dans le couloir et m’indiquant des escaliers qui devaient monter dans les chambres.
-« Votre chaudière est là haut ? »
-« Oui il faut monter » répondit elle avec un drôle de sourire. J’allais monter lorsque la voix de Mrs Jones me figeât sur place
-« Les chaussures s’il vous plait »
-« Pardon ?» J’avais très bien compris mais cela me posait un problème.
-« Retirer vos chaussures s’il vous plait, vous ne voudriez pas salir ma moquette n’est ce pas ? »
J’hésitais à répondre car je n’avais que deux solution soit partir en claquant la porte et me fâcher avec la voisine, soit essayer de biaiser. Mon éducation m’empêchait de me fâcher abruptement sans raison précise donc j’ai tenté de dire
-« Je suis désolé mais je n’ai pas de chaussette ». Ce qui était vrai puisque c’était des bas.
-« Il vaut mieux des pied nus que des chaussures sales » fut sa réponse catégorique et je du donc m’exécuter en souhaitant être le plus discret possible et profiter de l’ombre du couloir. Sans succès car ce que je craignais arriva
-« Vous portez des collants ? » s’étonna-t-elle. Je la regardais rapidement, elle n’était pas choqué mais amusé, ce qui me rassura un peu.
-« Je vais vous expliquer » commençai je maladroitement mais Mrs Jones avait avancé sa main pour m’effleurait le côté de ma cuisse
-« Ah non vous avez un porte jarretelle, ce sont des bas » en me désignant mes pieds.
-« S’il vous plait Mrs Jones laissez moi vous expliquer » essayant ainsi de reprendre un peu le contrôle de la situation. Elle m’interrompit
-« Et Janet votre charmante épouse est au courant ? »
-« Non et elle ne doit pas le savoir » en essayant de prendre un ton intimidant mais cela ne prenait pas, son sourire s’était considérablement élargi.
-« Montrez-moi ce que vous portez d’autres sur vous Paul »
-« Pardon vous voulez que… » J’étais incrédule
-« Faites moi un streap-tease ici ou sinon Janet apprendra qu’elle est marié avec un pervers » insista lourdement Mrs Jones. Comme j’hésitais elle s’approcha d’un guéridon ou trônait le téléphone et s’en empara.
-« D’accord, d’accord » lui dis je affolé en commençant à défaire mon pantalon. Heureusement la seule fenêtre donnant sur l’extérieur était en verre dépoli..
La voisine me découvre travesti et en profite
Je me tenais devant elle, honteux, les mains bêtement devant mes parties lorsqu’elle me fit un geste impérieux du doigt qui sans équivoque me demander de retirer aussi le haut. Ainsi j’étais devant elle, les joues rouge, en corsage, porte jarretelle, bas fumés et panty. La totale, il y aurait plus manqué que la jupette et les talons aiguille pour me rendre encore plus ridicule.
-« Les mains le long du corps ». C’était un ordre sec, autoritaire. J’obéis immédiatement.
Je me sentais comme une mouche pris au piège de la toile de l’araignée, comme un esclave vendu en place publique, comme un objet sur un socle à vendre dans une boutique, les comparaisons qui me sautaient à l’esprit m’empêchait de réfléchir tandis que Mrs Jones son sourire narquois sur les lèvres tournait lentement autour de moi.
-« Vous aimez bien vous habiller en fille n’est ce pas Paul ? » C’était une évidence. Je répondis sur la défensive
-« Juste les affaires de ma femme et de temps en temps seulement, je ne fais de mal à personne »
-« Vous ne faites de mal à personne ? Mais si mon petit Paul à votre femme que vous trompez en cachant vos travers. Si cela se trouve vous en avez d’autres »
-« Mais non je vous assure « commençai je de nouveau à plaider plaintivement, tout orgueil partit.
-« Que pensez vous pouvoir faire pour empêcher Janet de découvrir le pervers que vous êtes ? »
Ainsi donc c’était tout simplement du chantage
-« Vous pensez à combien d’argent Mrs Jones ? »
-« Je ne veux pas de votre argent, je veux ce que vous voulez si vous l’admettez «
-« Mais qu’est ce que je dois admettre ? » je présentai ce qu’elle voulait me faire admettre mais cela me faisait peur
-« Je veux vous habiller en fille Paul et c’est ce que vous voulez au fond de vous». Bien sur que j’en rêvais mais Mrs Jones était une grosse personne boudiné dans sa robe fleurie, aux chaussures sans talon qui faisait au moins deux fois mon âge et je me voyais mal lui faisant l’amour.
-« Non non je ne veux pas être habillé en fille » répondis je tout en réfléchissant comment sortir de cette situation.
-« Vous êtes vraiment sure que vous ne voulez pas être habillé en fille ? » insista t’elle en me caressant mes fesses à travers le satin et d’une voix si sensuelle et si rauque que j’en étais troublé. Bien sur que j’aurais aimé cela mais pas par cette voisine trop grosse et trop vieille pour moi. Mrs Jones continua à me caresser les fesses et imperceptiblement je bougeais pour que sa main s’enfonce un peu plus entre mes deux globes. Elle était légèrement contre moi et je m’aperçus que sa robe que je pensais en coton était en vérité en soie de grande qualité, extrêmement lisse et brillante. Je me sentais pris dans un filet mais un doux et féminin filet que j’appréciais. Lorsque sa main frôla le devant de ma culotte j’étais dans un état de confusion totale, cette grosse femme arrivait à éveiller des sensations que même Janet ma femme parfaite n’avait pas su éveiller.
Tandis que sa main droite glissait en douceur le long de mon pénis qui bandait comme un fou et que sa main gauche me caressait entre les fesses elle me demanda de sa voix sensuelle
-« Vous aimez la douceur du satin, n’est ce pas Paul ? »
-« Oh oui ! Oh oui ! »
-« Vous aimez lorsque je joue avec vous à travers le satin de votre culotte et vous caresse vos jolie petites fesses n’est ce pas Paul ? »
Je ne pouvais que gémir pour toute réponse, ma queue toute droite qui dépassait de la culotte ne faisait que confirmer ses dires.
-«Cela vous rend si féminine, si sexy si sissy, vous devenez une sissy boy n’est ce pas ? ».
Sa main glissait toujours de haut en bas sur mon sexe, je n’avais jamais eu une érection aussi grande, aussi dure de toute ma vie et elle continuait à enflammer d’autre sens en me caressant mes jolies fesses comme elle disait.
-« Vous aimez sentir votre sperme monter dans votre queue » continua t’elle de sa voix rauque qui me poussait au bout de mes désirs. J’étais près d’exploser et ma bite se balançait au rythme des caresses de la main de Mrs Jones qui me masturbait toujours délicatement.
-« Vous voulez que je vous fasse jouir sissy boy ? Il faudra me supplier »
-« Quoi ? Supplier pour quoi ?»
-« Vous allez me supplier de faire de vous une fille, ma fille » Sa main s’est avancé dans les plis de mes fesses à travers le satin. J’étais tendu comme jamais attendant sans oser respirer que la caresse se précise. Je savais ou elle voulait aller et je n’osais espérer lorsque son doigt se posa à l’entrée de mon trou intime. Je me sentais pris dans des filets de plus en plus serrés tandis que son doigt jouait avec mon trou.
-« Vous devez me supplier en m’appelant Mumm et vous, vous devenez Paula. Suppliez-moi !”
-“S’il vous plait Mrs Jones faites moi jouir”
-“Vous pouvez faire beaucoup mieux que ça sissy Paula et je suis Mumm pas Mrs Jones” me répondit elle avec dans sa voix rauque et sensuelle une note dangereuse qui me fit comprendre que j’étais bien une mouche pris dans une toile.
-« S’il vous plait Mumm, s’il vous plait faites jouir votre sissy boy, votre Paula, s’il vous plait Mumm »
Je perdais toute notion devant les furtives caresses sur ma queue et mon trou sans aller au bout. Elle était diabolique et s’arrêtait toujours au moment ou j’aurais du éclater. Elle serrait à ce moment mes boules et l’envie disparaissait pour reprendre encore plus fort ensuite. Elle était diaboliquement perverse. Je la suppliais comme si ma vie en dépendait.
-« Vous serez une petite fille sage qui acceptera que je l’habille ? Vous serez sissy Paula une fille, ma fille ? » Insista ma nouvelle mère.
-« Oh oui Oh oui tout ce que vous voudrez Mumm mais faites moi jouir Mumm, je serai votre Paula Mumm »
-« Bonne fille » me dit Mumm et elle prit d’une main ferme ma queue et de l’autre passa sous le satin de la culotte et m’enfonça lentement son doigt dans mon trou qui n’en pouvait plus d’attendre. Elle se mit à le remuer et je me pâmais comme jamais de ma vie. Je jouissais de l’intérieur comme de l’extérieur, j’étais devenu un esclave sexuel de ma propre volonté, un esclave du satin et des douces et sensuelles caresses de Mumm.
Chaque mouvement lent et tendre de son doigt dans mon anus me faisait gémir et donnait des spasmes à ma bite. Tout mon corps n’était que sexe. Ce corps qui se collait contre le doux contact de la robe de satin de Mumm, ce corps qui poussait la main de Mumm à s’enfoncer encore plus loin dans mon trou. Ce corps qui déplaçait ma bite pour me masturber dans la main qui l’encerclait.
-« Je veux beaucoup de crème dans votre panty Paula, beaucoup pour montrer à Mumm que vous êtes une sissy boy obéissante ». Ce que je vis par vagues successives qui me faisaient chanceler et trembler de la tête aux pieds tandis qu’elle gardait sa main autour de ma queue pour continuer de la branler et son doigt s’activant dans mon trou bien plus large maintenant.
Je finis par m’écrouler comme un tas dans le couloir. Mumm me sourit triomphalement.
-« Maintenant Paula vous avez besoin d’une bonne douche, suivez moi à l’étage » me dit fermement Mumm tout en prenant mes anciens vêtements d’homme et commençant à monter sans attendre de réponse..
-« Oui Mumm » répondis-je d’une voix épuisé. Je commençais aussi à monter sur mes jambes flageolantes et en essayant de sortir délicatement satin de ma culotte enfoncé dans mon anus.
Je la suivis dans une grande chambre ou trônait un immense lit avec curieusement un immense miroir au dessus de la tête. Le long des murs des placards et des gardes robe de style qui rendait la pièce très féminine et de bon gout.
Je dus me déshabiller entièrement, mettant ma lingerie souillée dans un coin avec mes vêtements d’homme et elle me dirigea vers la douche. J’obéissais un peu comme un pantin encore dans les brumes de la jouissance qu’elle m’avait faite. L’eau qu’elle mit était un peu trop chaude pour mon gout mais je n’osais pas discuter. Elle me montra aussi les savons et produits de toilette que je devais utiliser, tous dégageait un fort parfum féminin. J’allais sentir bon mais cela m’affolait un peu car je me demandais comment ensuite pourrais-je cacher cette odeur enivrante à ma femme ce soir.
-« Vos jambes sont trop poilues vous allez devoir les raser » cria Mumm depuis la chambre
-« Mais comment vais-je expliquer cela à Janet ? » d’une voix inquiète
-« Je suis sur qu’une fille intelligente comme vous trouvera une solution, de toute façon c’est sans appel »
Enfin propre, lisse, douce et rasé je rejoins Mumm qui attend avec impatiente dans la chambre.
-« Vous avez pris votre temps ! » me dit elle en se dirigeant vers une commode et sortant un ensemble blanc assorti de sous vêtement en satin. Bien sur un soutien gorge, un panty mais aussi un corset semble t’il. J’en voyais un en vrai pour la première fois, c’était m’expliqua Mumm un serre taille et non un corset. Il était très beau avec le haut et le bas en dentelle et des petits nœuds devant. Derrière les lacets et six jarretelles décorées pour accrocher les bas.
-« Cela vous donnera une taille de guêpe, vous serez très femme avec » me dit elle en me le passant autour de la taille puis elle commença à serrer les lacets par derrière.
-« Au début cela vous semblera pas très confortable mais vous vous y habituerez facilement et ne pourrait plus vous en passer tellement votre silhouette vous plaira ».
Effectivement, petit à petit elle serrait de plus en plus et ma respiration devenait difficile. De mon tour de taille de 28 pouces je passais rapidement à 24 avec Mumm qui insistait en mettant son genou dans mes reins pour tirer encore plus. Je pouvais à peine respirer. Elle allait finir par me casser la colonne vertébrale mais enfin elle fut satisfaite à 24 pouces.
Elle me laissa pas de répit et me donna le soutien gorge à mettre, il était anormalement lourd et je m’aperçu qu’à l’intérieur il y avait une sorte de gélatine, c’était des seins en silicone. J’eu un certain plaisir à le mettre car je rêvais souvent d’en acheter pour mes séances, malheureusement je n’avais pas encore de cache suffisamment sure pour l’abriter des regards.
Je mis le panty avant les bas pour le plaisir de sentir cette magnifique culotte de satin avec dentelle et nœud glissait le long de mes jambes imberbes. La sensation était décuplée et j’avais beaucoup de mal à respirer par petits coups que mon corset m’obligeait à faire. J’aurais tant aimé prendre une grande inspiration. Ma queue sous l’effet du glissement du satin se réveilla ce qui fit sourire Mumm en voyant l’effet que cela me faisait.
-« Je vois que vous vous amusez bien Paula ! » constata t’elle.
Je dus mettre ensuite une paire de bas couleur chair. Je ne pus m’empêcher de les caresser lorsque je l’ai roulé le long de mes jambes si douces, si féminines maintenant. Je ne pouvais m’empêcher de faire glisser mes mains de haut en bas sur ce nylon si soyeux, les yeux clos et me demandant ce que Mumm avait encore inventé pour atteindre la limite de mon expérience de travesti. Mes pensées furent interrompu par la voix de Mumm qui me demandait d’enfiler les chaussures, en ouvrant les yeux je vis une paire de botte noire à lacet et des talons aiguille d’au moins 10 cm!
Même dans mes rêves je n’aurais jamais pensé porter des bottes aussi magnifiques. Avec de la crainte et de l’espoir je m’exclamais
-« Elles sont pour moi ? Sont-elles à ma taille ? »
En retour Mumm sourit car elle s’apercevait qu’elle avait trouvé la perle rare, un travesti dans l’âme avec qui elle pourrait aller jusqu’au bout de ses envies de dominatrice
-“Oui ma chérie elles sont pour vous, j’insiste toujours pour que mes sissy boys portent des talons aiguille, c’est si sexy ! »
-« Vous avez eu d’autres sissy boy avant moi ? » la questionnai je surpris tout en m’apercevant que je m’étais moi même identifié comme travesti !
Mumm ignora ma question et m’ordonna de me dépêcher de les enfiler. Je m’exécuter trop content d’essayer ces merveilles. J’enfilais mon pied droit sans trop de problème, j’étais un peu serré mais la botte arrivait juste en dessous du genou, on les aurait dites faite pour moi. Je finissais de les lacer et Mumm m’aida à me mettre debout. Quelques pas suffirent pour savoir qu’il me fallait positionner mon corps autrement avec mon dos bien cambré. Mes chaussures et mes nouveaux seins m’excitaient terriblement et ma queue recommença à durcir. Autant de plaisir en même temps me firent comprendre le nombre d’années que j’avais perdu par la faute de mon éducation rigide.
Mumm m’emmena devant une armoire d’où elle sortit une robe très courte qu’elle me tendit sans un mot. C’était une robe de soubrette en satin noire avec des rubans et de la dentelle blanche et surtout trois couches de jupons rigides qui la faisait gonfler presque à l’horizontale. Dès que je me baisserai on verra mon panty surchargé lui aussi de dentelle.
-« Ne serez vous pas très jolie là dedans sissy Paula ?
-« Oh oui Mumm » répondis je en essayant de cacher mon excitation et pour me calmer je demandai bêtement
-« C’est vraiment pour moi ? »
-« Bien sur Paula puisque vous allez devenir ma femme de chambre il faut vous habiller en conséquence »
Elle m’aida à l’enfiler le long de mes jambes si féminine et aux mollets tendus par le port des hauts talons puis en passant ma taille devenu si fine grâce au corset qui ne me dérangeait plus et enfin elle recouvrit légèrement ma nouvelle poitrine. La dentelle de la robe arrivait à mi cuisse ce qui découvrait un peu mon porte jarretelle. Le tout fut complété par un tablier blanc bordé de dentelle aussi et de longs gants en latex rose qui m’arrivait aux coudes. Pour le tablier elle le noua très serré dans mon dos afin encore de relever ma taille fine.
Plus ma transformation avançait plus je sentais confusément un changement chez Mumm. Au fur et à mesure elle se montrait plus excité, pensait-elle au sexe ? Je me voyais mal dans cette tenue lui faire l’amour et pourrai-je le lui faire car elle était loin d’être appétissante avec toute sa graisse.
La séance suivante fut devant la coiffeuse. Poudre et crème pour me faire un visage plus pale, une couche de fard à paupière bleu et une épaisse couche de mascara pour mes yeux, rien pour mes sourcils heureusement car j’aurai eu du mal à l’expliquer à ma femme mais par contre trois belles couches larges de rouge à lèvre couleur corail qui me firent une bouche sensuelle et boudeuse. Pour finir une perruque brune fut posée, fixé et coiffé par Mumm qui ajouta une jolie fleur blanche et rose sur le côté. Ceci fait elle m’aida à me lever mais me laissa marcher jusqu’au grand miroir afin de m’habituer.
-« Que pensez-vous de ma nouvelle femme de chambre sissy Paula ? ». Je fus stupéfait de voir la belle jeune fille sexy qui me regardait dans le miroir.
-« Elle est vraiment très belle Mumm » reconnu je en toute honnêteté
Elle me demanda ensuite de m’habituer à marcher avec mes talons hauts. Je fis plusieurs fois le tour de la pièce tout heureux d’avoir les jupons qui me caressaient les cuisses et de clopinait sur mes talons aiguilles, tout en savourant le contact du latex de mes gants et le gout du rouge à lèvre. Je me sentais si femme ! Elle m’apprit à faire des petits pas en mettant un pied devant l’autre comme les mannequins tout en balançant sensuellement des hanches. Elle me demanda aussi de faire des petites révérences que je faisais en tenant ma robe au bout de mes doigts. J’étais plutôt maladroit mais elle m’avertit que j’avais intérêt à améliorer ma révérence, chez moi si nécessaire. Bientôt sur les conseils et les ordres de Mumm je me déplaçais avec confiance sur mes hauts talons. J’appris aussi à modifier ma voix pour qu’elle devienne sensuelle et féminine. Maintes et maintes fois je dus répéter « Je vous aime » tout en faisant des révérences et marchant dans la pièce. Enfin elle fut satisfaite de ma démarche sensuelle et de ma voix, pour la révérence il faudra que je m’exerce encore pour la prochaine journée. Je me suis aperçu que j’étais heureux d’apprendre qu’il y aura d’autres journées. J’étais bien devenu une sissy boy.
-« Je suis contente d’avoir une femme de chambre comme vous Paula » me dit elle tout en passant sa main sous mes jupes pour me faire une caresse sur ma bite très raide et puis toujours à travers le satin me serrer brièvement les couilles. Puis elle s’éloigna.
Avec un regard fiévreux Mumm retira sa robe. Elle portait un soutien gorge et un caleçon blanc satiné et sa peau laiteuse flétrie débordait des sous vêtements d’une façon obscène. Elle retira sa culotte, s’assit sur le bord du lit et d’un doigt autoritaire me fit signe d’approcher.
-« Je vous ai pas dressé en sissy juste pour votre plaisir Paula, venez ici et mettez vous à genoux » en me désignant le tapis à ses pieds.
Son regard fiévreux me faisait peur et je savais qu’elle serait plus forte que moi, je me suis donc mis à genoux
-« Vous allez pouvoir me montrer comment vous utilisez votre bouche et votre langue avec votre charmante épouse » me dit elle en écartant ses cuisses charnues. Et d’une main ferme elle agrippa ma nuque et me força à me retrouver devant sa chatte, guère visible sous la masse de chair flasque. Doucement de mes mains gantées j’écartais la graisse pour atteindre sa chatte, elle en profita pour écarter ses cuisses en plus grand. De mon doigt je commençais à caresser son sexe ce qui la fit immédiatement frémir. Elle avait vraiment faim de sexe et je me doutais que je devrais aller jusqu’au bout. Sa chatte était trempé et sentait très fort, j’étais m’écœuré et me reculait instinctivement mais de sa main ferme elle me ramena entre ses cuisses et me ramena à toucher son sexe poilue. J’avançais ma langue pour commencer à la lécher te j’ai pu constater que le gout de Mumm correspondait bien à l’odeur : très fort et acide. Doucement j’enfonçais mes doigts gantés, résigné à mon sort.
Elle appuyait toujours et tout le bas de mon visage se trouvait en contact avec sa chair. J’étais submergé par son jus et par son parfum. J’avais hâte de terminer cette épreuve et me mit tout de suite à lécher, embrasser, mordiller afin qu’elle puisse jouir le plus tôt possible. J’y mettais toute ma science et ma volonté. Je fus bientôt récompensé par les tremblements de jouissance assorti de rugissement de Mumm. Collé à son sexe je du tout subir et eu beaucoup de mal à boire tout son jus abondant.
Enfin le corps de Mumm cessa de trembler et elle relâcha son étreinte sur ma nuque. Content d’avoir fait mon devoir et surtout d’en avoir fini j’ai tenté de me relever mais sa main se referma de nouveau et je dus la faire jouir encore deux fois avant qu’elle ne me relâche définitivement. Plus d’une heure à genoux et à la lécher, j’avais mal partout. Elle m’aida à me relever et je pus aller faire un brin de toilette avant de revenir à la coiffeuse pour rectifier mon maquillage.
Le reste de la journée je dû travailler comme une traditionnelle soubrette, à nettoyer sa maison de fond en comble. Elle était très exigeante et toujours dans mon dos à vérifier. Cela faisait partie de mon apprentissage d’après elle. Voudrait-elle me revendre comme soubrette, moi le directeur le plus jeune de ma société ? Pensai je, amusé à cette idée.
Mes jambes et mon dos me faisaient mal. Mes jambes pas encore habitué à marcher longtemps en talon aiguille et mon dos car pour mes taches je ne devais pas plier les genoux mais plier le dos, c’était beaucoup plus féminin et cela mettait mon joli panty en valeur d’après elle. D’ailleurs elle ne manquait pas de me caresser les fesses lorsque j’étais dans cette position. Ce qui réveillait à chaque fois ma bite qui me faisait souffrir en permanence, coincé comme elle était par Mumm. Elle devait s’en douter et cela l’amuser. Pour ma part travailler dans cette tenue si féminine et si sexy ne me lassait pas. Je ne voulais pas que cela s’arrête.
Juste avant midi Mumm me demanda de lui préparer un repas léger. Elle s’assit à la table de la salle à manger comme une dame de la noblesse se faisant servir par les laquais. Apres avoir servi je devais attendre dans le coin de la pièce, les mains jointe et les yeux fixes au sol comme elle me l’avait demandé, prêt à obéir à son moindre désir.
Mumm me demanda de débarrasser la table après avoir fini de manger et me dit en souriant, quittant la salle
-« Ce fut très bon Paula, n’oublier pas de faire la vaisselle et ensuite revenez me voir au salon avec un verre de cet excellent vin que j’ai débouché hier »
Je fis une révérence rapide avant de m’exécuter.
-« je pense qu’on pourra faire de vous une parfaite dame de compagnie » rajouta t’elle.
J’apportais avec précaution les assiettes sales dans la cuisine. Je ne voulais en aucun cas faire une bourde car inconsciemment j’avais très peur de Mumm. Pendant que je faisais couler l’eau chaude dans l’évier mon esprit s’évada car je me rendais compte que je ne connaissais Mumm ou Mrs Jones que depuis quelques heures et j’étais déjà solidement dans sa toile sans espoir d’en sortir. J’ai commencé à réfléchir sur le rapide bouleversement de ma vie d’une simple envie de me travestir dans mon coin, à être surpris par ma voisine, qui me branle, qui me met son doigt dans le cul ce qui pour moi fut une nouvelle révélation et qui ensuite me dorlote, m’habille et me féminise à outrance pour faire de moi sa soubrette et aussi son esclave sexuel. Et le problème est que j’ai tout adoré, chaque minute passé à obéir à cette femme diabolique.
Il me faut penser au futur pendant que je range la dernière assiette. Il me faudra rentrer retrouver ma femme Janet mais est ce que j’aurais d’autres journées ainsi en femme de ménage. Bien sur Mumm me l’a laissé entendre mais du désir à la réalité il y a des obstacles. J’aimerai tant recommencer ! Aujourd’hui fut un des plus beaux jours de ma vie et même ma séance à lécher la chatte puante de ma maîtresse ne fut qu’un petit prix à payer et je dirais même que j’ai été assez fier de l’avoir fait jouir trois fois de suite.
Je versais le vin dans un verre de cristal sur un plateau d’argent et me dirigeait vers le salon, trottinant sur mes talons aiguille. Pendant que je posais le verre prés de sa mains sur la petite table et que je repartais à reculons après une révérence, Mumm comme si elle avait lu dans mon esprit me dit :
-« Avez-vous apprécié votre première journée à mon service servante Paula ? » me demanda t’elle tout en sirotant sa première gorgée de vin.
-« Oh oui Mumm » ai-je répondis sans hésitation. J’ai baissé la tête de honte d’admette ainsi mon nouveau statut mais je ne pus m’empêcher de répéter tout bas de ma douce voix féminine « Oh oui Mumm énormément ». Mumm souriait largement
-« Très bien Paula je peux donc compter sur vous pour la semaine prochaine ? En effet votre formation de femme de chambre ne fait que commencer, vous avez beaucoup à apprendre et j’aurai besoin de vous voir régulièrement si je ne veux pas perdre mon temps »
-« Mais je ne suis pas sur d’avoir un jour de congé en semaine ! »
-« Ne racontez pas de bêtise Paula, les travestis comme vous des qu’ils ont goutés au jolies tenues et à l’obéissance ne peuvent plus s’en passer. C’est déjà vrai maintenant alors que ce n’est que le début alors imaginez plus tard ce que vous serez prêt à faire pour vivre en sissy esclave ! » Puis d’ajouter « aujourd’hui avant de retourner dans les bras de votre chère femme il vous reste encore une leçon à apprendre »
-« oui Mumm ? »
-« A genoux ! » Je m’exécutai alors que Mumm se levait de son fauteuil. Je remarquai alors sous la robe un renflement qui n’existait pas avant. J’étais plutôt naïve pour ce qui concernait les gadgets sexuels et sur le coup je n’avais aucune explication. Avec un sourire féroce elle commença doucement à lever sa robe tout en se rapprochant de moi.
Avant de pouvoir approfondir et deviner ce qu’était cet objet caché et obscène elle découvrit un long gode ceinture en caoutchouc noir. La taille du monstre au moins 20 cm de long ne faisait que me faire prendre conscience de ma petite bite.
-« Oh non Mumm » suis-je arrivé à dire en gémissant
-« Ne t’inquiet pas ma chère ce n’est qu’une petite bite n’est ce pas ? » ricana t’elle avec son sourire narquois tout en avançant encore jusqu’à toucher avec l’instrument mes lèvres peintes. J’aurai voulu m’enfuir mais je restais figé, la bouche grande ouverte. Tout en me caressant les lèvres avec le gode elle m’annonça :
-« Il y a deux façons d’y arriver, soit vous la prenez en bouche tout de suite et ensuite doucement grâce à votre salive je vous sodomise, soit je force à sec votre joli petit cul? »
J’étais dans une confusion totale, d’accord pour m’habiller en fille, d’accord pour lécher une chatte mais sucer une queue et me faire sodomiser c’était me faire passer dans un autre monde. Malheureusement toute ma journée passée à être une femelle obéissante eu le dessus par rapport à ma légère résistance et j’étais déjà à genoux, sur mes talons aiguille pas question de pouvoir m’échapper, j’ouvris ma bouche plus largement afin d’accueillir cette bite.
-« Vous inquiétez pas Paula, au début c’est un peu humiliant je vous l’accorde mais après vous allez bien en profitez. Je peux même vous avouer que vous me supplierez plus tard de vous sodomiser avec ce gode que vous avez là sous les yeux »
Je restais là, la bouche ouverte, le gode entre mes lèvres pulpeuses de salope et mes yeux implorant levés sur mon bourreau qui se mit à donner de léger coup de rein.
-« Suce salope » commanda t’elle. Elle avait raison il n’y avait qu’une salope pour accepter tout ça. Je ne bougeais toujours pas tandis qu’avec ses reins elle faisait entrer et sortir son gode
-« Suce salope ou gare ! » Le ton était donné et lorsqu’elle prenait cette voix il valait mieux obéir. Je me mis immédiatement à sucer et je fus surpris, ce n’était pas désagréable du tout au toucher de la langue ni l’odeur du caoutchouc. Elle s’est enfoncé de plus en plus loin dans ma gorge jusqu’à presque m’étouffer. Je ne savais pas que penser mais ma queue s’est brusquement réveillé et a manifesté son contentement. Encore une fois Mumm m’avait piégée et avait renforcé la toile sur moi et ma volonté. Encore une fois elle avait raison j’ai pris plaisir à être ainsi à genoux et sucer une bite même en caoutchouc. Je n’osais pas imaginer mon plaisir si c’était une vraie bite bien chaude et vibrante !
Tout à mon plaisir de sucer et lécher je me mis à gémir ce qui fit sourire Mumm. Elle me prit fermement la tête, non pour m’empêcher de partir mais bien pour pouvoir approfondir ses coups de queue, elle me baisait littéralement et m’apprenait les gorges profondes, malgré la taille du pénis j’arrivais à faire toucher mon nez à son ventre replet.
Soudain Mumm retira le gode de ma bouche qui aurait pourtant bien voulu continuer. Une coulée de salive rejoignait celle-ci au gode tout luisant.
-« Avez-vous aimez Paula » me demanda t’elle d’une voix joyeuse
-« Oh oui beaucoup » répondis je en essayant de reprendre mon souffle
-« Vous savez ce que font les filles lors qu’elles ont une queue, a part la sucer ? »
-« Oui Mumm je sais »
-« Et c’est quoi dis le moi »
-« Elles se font baiser »
-« Et vous aimeriez que Mumm baise votre chatte de garçon maintenant? »
-« Ma chatte »-« Bien sur votre chatte et je vais vous sodomisez tout de suite »
Sans attendre mon accord elle m’aida à me relever et m’installa la tête dans le fauteuil, appuyé sur mes coudes. Elle me descendit le panty tout de suite.
-« Oh Mumm » ce n’était pas de la peur mais du désir. J’avais hâte de retrouver le plaisir que j’avais eu avec son doigt. Avec ses conseils j’écartai mes deux globes de mes mains toujours ganté de rose pour lui faciliter le passage.
-« Oh oui Mumm » murmurai je encore de ma voix féminine.
-« Vous devez me supplier de baiser votre chatte, vous devez me supplier de vous sodomiser comme la salope sissy que vous êtes »
Je n’avais plus aucun orgueil, je n’étais plus que sexe et je sentais mon anus palpitait dans l’attente, je ne pouvais plus attendre et je l’ai supplié sans pouvoir m’arrêter
-« Oh oui Mumm baisez moi, baisez votre femme de chambre, cette salope de sissy qui ne mérite que ça, baiser moi avec votre grosse bite si dure » et je continuai à murmurer des insanités alors qu’elle commença à me mettre un doigt dans mon cul frémissant. Je sentis un liquide froid être étalé puis elle présenta le gode et rentra pour la première fois dans un endroit vierge. Elle s’enfonça doucement puis s’arrêta pour m’habituer. Je me sentais déjà plein et je ne souffrais pas comme je le craignais. Bien au contraire je gémissais et c’est moi-même qui avançait mes fesses pour que le gode me pénètre encore plus. Mais au contraire elle le retira ne laissant que la tête. Moi qui avait adoré être plein j’avais un sentiment de vide immense. Je tournais la tête vers Mumm pour la supplier du regard lorsqu’elle donna un grand coup de rein et le gode d’un coup me pénétra à fond. De surprise et sous la douleur je poussais un hurlement puis épinglé comme un papillon je ne bougeais plus laissant la douleur disparaître et me laissant une plénitude inexplicable.
Elle se retira doucement et à plusieurs reprises recommença jusqu’à ce que je prenne sa bite dans toute sa longueur sans difficulté. Ensuite elle me fit l’amour, en tournant le gode, en s’arrêtant et repartant puis elle me mit sur le dos pour que je puisse bien voir celle qui me baisait. Elle aimait m’injurier et me disait que je n’étais plus qu’un trou disponible, une salope assoiffée, un vulgaire travesti se faisant baiser dans un bordel. Son gode ceinture était un double gode et elle accéléra le rythme pour se faire plaisir aussi. Mes gémissements sous ses coups de butoir rejoignaient les siens, nous étions en totale communion et qu’importe que Mumm n’était pas belle et grosse je ne pourrai plus me passer d’elle. Brusquement elle se mit à crier comme en fin de matinée lorsque je la léchais et elle se mit à jouir tandis que moi mon sperme sans le panty alla s’étaler sur le fauteuil en cuir.
J’avais jouis sans me toucher.
Enfin Mumm retire sa bite de mon cul si douloureux mais apercevant mon sperme sur le fauteuil elle m’ordonne de le lécher. J’aurai voulu me rebeller mais à quoi bon j’étais une salope sissy, c’était salé et fade à la fois mais pas désagréable.
La journée se finissait j’étais libre de retourner dans les bras de ma chère épouse.
Les suites de mes séances porno
Cette première nuit après cette expérience fut agité pour moi alors que Janet ma femme dormait paisiblement à mes cotés. Je revoyais toute ma journée d’homme féminisé totalement, devenu servante de ma voisine que je devais appeler Mumm. Mes fesses douloureuses me faisaient constamment penser à ma première sodomie et le plaisir que j’en ai ressenti. Tout cela faisait que ma queue n’arrêtait pas de bander, j’avais un terrible mal au ventre mais je continuais doucement à me branler tellement mon obsession était forte. Par contre ce que je craignais n’arriva pas. Elle ne me fit aucune réflexion sur le reste d’odeur de parfum qui persistait malgré ma douche, tout juste un « Hum tu sens très bon aujourd’hui » que j’expliquais par une petite phrase du type « Oui c’était à la piscine ». Plus tard dans le lit elle reprit sur l’odeur de ma peau et me dit souriante
-« Tu demanderas mercredi prochain à la charmante « Oui c’était à la piscine » le nom de son parfum. Il te convient très bien »
Bien sur je pensais que c’était pour elle et j’aurais pu dès le lendemain en connaître le nom en allant voir Mumm mais il me fallait jouer le jeu.
Par contre, le jour d’après, alors que je me déshabillais dans la chambre, avant d’enfiler mon pyjama, j’étais en contre jour et elle s’aperçu que je n’avais plus de poil aux jambes. Elle se mit à rire en pointant mes jambes du doigt. Je tentais de lui expliquer mon désir de faire de la natation mon sport prioritaire mais elle n’écouta guère. Elle se releva pour mieux m’examiner et m’aida à finir de me déshabiller. Je me retrouvais rapidement nu comme un ver devant elle. Un peu gêné tout de même.
-« Au point ou tu en est tu pourrais te raser entièrement, il ne reste plus grand-chose à enlever » et d’ajouter dubitative « autour du sexe peut être ? »
-« Ah non pas mon sexe tout de même ! »
-« Bien sur que si. Je n’ai jamais trop aimé les poilus. Va dans la salle de bain et attend moi ». Elle me suivit peu après, un flacon en main et commença à me badigeonner d’une crème peu odorante et cela jusque sous les aisselles puis en insistant, dans la raie des fesses et autour de la queue qu’elle prenait délicatement entre deux doigts. Je devais attendre 10mn avant de me rincer puis une fois rincer de me savonner partout avec le savon qu’elle me tendait. Je ne savais pas trop à quoi je m’exposais. J’avais obéi à ma voisine toute la journée d’avant alors quoi de plus naturel que de faire plaisir à ma femme ! Quelque minute plus tard je me rinçai et poussais un cri. Ma queue se dressait toute nue, sans un poil, pareil sous les aisselles et le torse. Entendant le cri Janet eu le temps de revenir pour voir mon regard ahuri, ce qui l’a mis en joie.
-« Tu es tout mignon comme cela alors tu veilleras chaque semaine pour ne pas laisser un poil réapparaitre. Je compte sur toi »
Je dû lui promettre, j’étais suffisamment rongé de remord de devoir tromper ma femme même si ce n’était qu’avec la vieille Mrs Jones pour me rebeller et je ne pouvais pas abandonner ma vie secrète, devenu si extraordinaire. J’avais rendez vous mercredi prochain et je savais déjà que je ferais tout pour respecter cette date et approfondir ma connaissance du métier de femme de chambre
-« Maintenant que tu es toute belle tu laissera tes cheveux pousser. C’est la contre partie. Allez dépêches toi de te savonner, j’ai hâte de te retrouver au lit». Le savon était à la lavande et je sentais fortement la cocotte en retournant au lit. Mais j’acceptais le compromis sans hésiter. Dans ma naïveté je me considérais comme un homme hyper chanceux d’avoir une femme à l’esprit si ouvert.
M’enlaçant au lit elle me dit, câline
-« Ma petite Paula cela doit te rappeler ton parfum de la piscine non ? ». Je ne pouvais que hocher la tête. Trop effrayé car elle venait de m’appeler Paula comme la voisine.
-« Mercredi prochain demande donc à ta copine quelle est son parfum et si tu l’aime je veux bien que tu en mettes. J’aime les hommes soigneux d’eux même et un parfum féminin ne choquera pas avec ton physique plutôt androgyne ».
Je tentais de protester, rassuré qu’elle n’ait pas deviné ma relation du mercredi
-« Mais pourquoi me dit tu ça ? » commençai-je à protester « Je ne suis pas assez viril ? »
-« Bien sur que si gros béta, je t’aime comme tu es et je n’ai pas peur je sais que tu m’aimes aussi », et, pour me le prouver elle se glissa dans mes bras. Je découvrais pour la première la sensation merveilleuse du satin de sa nuisette sur ma peau lisse comme un bébé. J’en frissonnais. Ce jour là je dormis tout nu ne voulant pas sentir le coton du pyjama sur ma peau si douce.
Me travestir pour Mumm, une obsession
J’ai repris ma vie avec sa routine quotidienne mais la semaine trainé en longueur, je ne pensais qu’à me travestir, obsédé par mon envie de redevenir esclave féminisé de Mumm. Mon travail s’en ressentait, ma vie familiale aussi, j’étais d’une humeur massacrante, personne ne m’avait connu ainsi mais je ne pensais qu’au mercredi suivant
Enfin ce jour arriva mais j’ai du cacher mon impatience jusqu’au départ de Janet au travail. Pendant que je lui préparé le petit déjeuner a plusieurs reprises elle me demanda si tout allait bien, comme si elle pressentait mon impatience. Je la rassurais en lui affirmant qu’aujourd’hui vu le temps j’irais me recoucher et recharger mes batteries car j’en avais bien besoin et peut être ensuite j’irai à la piscine. Janet en partant me félicita de ma décision car elle avait hâte de retrouver le « gentil Paul qu’elle avait toujours connu » et « si tu vas à la piscine n’oublie pas de demander le nom du parfum». Son insistance me parut suspect un bref instant mais je n’avais pas les moyens de passer outre. D’autant plus qu’elle m’obligeait maintenant chaque soir à prendre un bain et surtout avec mon savon à la lavande. Ma peau devenait tellement parfumée que rien que de porter ma fourchette à ma bouche m’envoyait des effluves odorantes aux narines !s. Autant dire qu’au travail je faisais attention à l’ampleur de mes gestes afin de ne pas diffuser mon parfum corporel dans la pièce. Cette contrainte constante me pesait mais aussi me plaisait, me rappelant mon autre vie après le travail. Plus tard ce fut pire
Ma journée ce jour là sera la même que les trois ou quatre prochain mercredi. Je prends une douche, me rase et m’habille comme la dernière semaine avec le serre taille, le panty les faux seins avec le soutien gorge, la robe ultra courte rose sans oublier les gants qui remontent aux coudes et je mets toujours les magnifiques bottes à talon aiguille.
Par contre mon maquillage devient au fur et à mesure plus tendance salope et apprenant vite je me chargeais moi-même de cette tache que j’adore. Ombre sur les paupières, mascara, poudre sur le visage pour un teint pale, rouge à lèvre outrancier pour une bouche de pute et pour finir la perruque avec sa fleur dans les cheveux. Je suis devenue une pro du maquillage. J’avais hâte d’avoir les cheveux suffisamment longs pour ne plus porter de perruque. .
Ma voix de même sans réfléchir devenait servile et féminine et en rentrant le soir j’étais tellement imprégné de mon rôle de soubrette que j’avais toutes les peines du monde à essayer de parler de nouveau d’une voix mâle.
Mon premier « travail » de la journée était de faire jouir trois ou quatre fois Mumm en lui léchant et suçant la chatte. Une tache que j’avais toujours hâte de finir car je n’arrivais pas à m’habituer à son odeur forte, d’où mon efficacité et ma volonté de la faire jouir rapidement. Puis je devais faire le ménage comme la soubrette que j’étais, toujours surveillé et contrôlé par Mumm qui s’arrangeait toujours pour me caresser la queue que j’avais droite en permanence et, lorsqu’elle sentait que j’allais partir, elle me serrait violemment les couilles à travers le satin ce qui relâchait la pression mais pousser petit à petit mon excitation à son paroxysme. Bien sur moi-même je n’avais absolument pas le droit de me toucher.
En fin de journée immanquablement je passais prés d’une heure à genoux à sucer son gode noir et à l’enfoncer au fond de ma gorge. Petit à petit j’arrivais à le tenir ainsi plus longtemps à chaque séance. Elle faisait de moi une suceuse de bite, elle me le disait et j’aimais être injurié par elle. Ensuite bien sur je devais la supplier longuement, elle me retournait et me sodomisait. La aussi cela rentrait de plus en plus facilement d’autant plus que dans la journée souvent je devais faire le ménage avec un petit gode vibrant dans le cul, ce qui me donnait une drôle de démarche. Elle adorait me prendre violemment et ne s’en privait pas en retardant au maximum ma jouissance et je gémissais comme la salope que j’étais devenue. Apres avoir léché mon propre sperme je pouvais ensuite prendre une douche et repartir chez moi dans le monde normal des adultes.
Un fait notable s’est passé lors du deuxième mercredi en revenant à la maison avec mon parfum. Il faut savoir que depuis que j’étais glabre je ne supportais plus mes pyjamas, préférant dormir nu afin de pouvoir passer ma main sur mes jambes ou mon torse et aussi surtout pour me blottir contre ma femme pour savourer le contact du nylon ou du satin de ses chemises de nuit. Cela l’amusait beaucoup de me voir prendre un pan de son vêtement et le poser sur moi. Bien sur je faisais cela discrètement mais j’ai su bien vite qu’elle avait compris mon besoin car ce soir là elle a tenu à me parfumer elle-même tout le corps en riant et en m’appelant de nouveau Paula puis elle m’entraina vers le lit. J’y trouvais une nuisette rose sombre avec de la dentelle noire en haut et en bas. C’était magnifique et son contact me fit frissonner. Cette nuisette étant épaule nue je l’ai félicité pour son choix croyant que c’était pour elle. Elle riait bien de mon étonnement et surtout de ma confusion lorsqu’elle me dévoila la vérité. Cela faisait plusieurs jours qu’elle me voyait accrocher à sa chemise de nuit alors tant qu’à faire si j’aimais tant la lingerie elle m’offrait cette nuisette, le déshabillé assorti et le panty.
-« Avec tes cheveux longs tu feras une jeune fille très attirante tu sais » ajouta t’elle. Je du devant elle enfilé le panty qui me fit bander immédiatement ce qui la fit beaucoup rire. J’étais très gêné et me dépêchais d’enfiler la nuisette pour cacher un peu le désastre. Au fond de moi je m’estimais un homme complet par une femme compréhensive. Cette nuit là je la remerciais avec vigueur.
Autre avantage à cette évolution de nos relations conjugales fut que chaque jour avant que je ne parte au travail Janet vérifiais que j’avais bien mis mon parfum. Ainsi le mercredi soir lorsque je rentrais je n’avais plus de précaution à prendre. Bien sur mes collègues furent un peu surpris au départ mais ayant expliqué que c’était une lubie de ma femme j’eu droit plutôt à de la commisération, elle était connu pour n’être pas tendre au travail et personne ne connaissait la douce Janet que je revoyais le soir à la maison. Lorsque j’ai raconté cette histoire de parfum et la nuisette à Mumm, celle ci s’est contenté de sourire, de contentement semble t’il ce qui me surpris mais mon rôle de soubrette m’interdisait de m’attarder à réfléchir, le travail m’attendait.
Il y avait pourtant une compensation à la compréhension de Janet au sujet de mes vêtements de nuit : il fallait que j’assure l’entretien de toute la lingerie de la maison. La lingerie féminine ne se lave pas en machine et, elle, n’avait jamais aimé lavé à l’eau ses slips, soutien gorge et autre porte jarretelle. Je devais donc m’en charger. Dès le samedi suivant, après lui avoir fait son petit déjeuner dans mon joli déshabillé, je me suis attaqué à cette tache avec bonheur car cela me rappelait beaucoup tout ce que je faisais le mercredi. Ravie, Janet se mettait de nouveau à porter des guêpières de toute beauté et des fanfreluches pour mon plus grand plaisir et c’est les mains tremblantes qu’ensuite je les lavais délicatement.
Tout s’enchainait bizarrement sans réaction de ma part acceptant sans rechigner toute nouvelle situation. Un soir je n’avais pas retrouvé mes pantoufles favorites mais au pied du lit j’avais des mules roses avec un joli pompon et au moins 6 cm de talon. Je n’ai pas fais beaucoup de difficulté car en vérité cela s’avéra très confortable. J’avais à plusieurs reprises acheté des chaussures à talon car c’est excellent pour la cambrure du pied. Bizarrement mon caractère s’assouplissait, je devenais plus sensible, j’acceptais les nouvelles situations sans trop me rebeller. C’est ainsi qu’un vendredi, en fin d’après midi, Janet m’aborda sur un thème que je pensais tabou
-« Lorsque tu avais un pyjama tu le mettais tôt dans la soirée. Pourquoi tu ne fais pas pareille avec ta lingerie ? Tu es pourtant mignonne dans ton déshabillé.
-« … »
-« La peur que quelqu’un vienne te surprendre ? ». Je répondis un peu gêné par l’affirmative en hochant la tête. J’avais effectivement des déshabillés plutôt froufroutant rose avec des rubans, c’était son choix et le mien secrètement. J’avais l’impression qu’elle aimait me féminiser mais ce qui suivit me conforta dans cette idée.
Je cru avoir eu un éclair de génie pour me sortir du pétrin
-« Oui bien sur, ma chérie…j’ai peur mais aussi j’ai un peu froid aux jambes lorsqu’il y a de l’air ». Ouf j’avais trouvé une parade pour m’en sortir. En effet j’adorais m’habiller en femme mais pour les yeux de Janet il fallait que cela reste un petit caprice sinon elle aurait la main mise sur moi. Elle était mon patron au travail et je ne voulais pas qu’elle puisse se faire appeler « maitresse » chez elle. Je commençais à la connaître et parfois son caractère dominateur savait refaire surface.
-« Bien sur j’aurais du y penser. Il faudra qu’on aille ensemble te constituer une garde robe digne de ce nom. On prendra des déshabillés plus longs et il y a des panties de plusieurs longueurs. Tu pourrais aussi mettre des bas ? Qu’en penses-tu ? Cela te plairait ? »
Que répondre alors que tout mon corps le désirait
-« Des bas pas des collants bien sur. Tu penses comme moi n’est ce pas mon chéri? »
A la question franche je fus obligé de répondre
-« Bien sur ». Sans m’attarder plus.
-« Bien, suis-moi dans la chambre ». Là, elle me demanda de me déshabiller. J’hésitais et c’est très lentement que je déboutonnais ma chemise.
-« Dépêches toi je suis sur que cela va te plaire ». Elle fouillait dans ses tiroirs lorsqu’elle se retourna et ouvrit la bouche pour ne plus la refermer
-« Mais…c’est une de mes culottes… ». En effet chaque jour discrètement je mettais une petite culotte pour partir au travail. Je me sentais tellement mieux ainsi, beaucoup plus sur de moi bien que très inquiet d’être découvert. Un peu comme si ma personnalité, la vraie, ressortait par ce simple bout de tissus satiné.
-« Laisse-moi réfléchir ». Je n’aimais pas l’air qu’elle avait prise en tournant autour de moi qui n’avait donc plus que cette petite culotte pour tous vêtement.
-« Je comptais te donner des bas auto fixant en attendant d’aller te constituer une garde robe mais maintenant cela devient plus sérieux. Je dois avoir un joli porte jarretelle à t’offrir. Elle ne me laissa pas le temps de réfléchir et je me retrouvais ceint d’un magnifique porte jarretelle de dentelle noire qui attachait des bas satin. Elle me fit même un cours sur la tension qui devait y avoir. Pour elle à chaque pas on devait ressentir les jarretelles tirant sur les bas. C’était bien mon avis ! Mais je me suis bien gardé de le lui dire.
Par contre ensuite après avoir remis ma nuisette, mon déshabillé et mes mules je dus marcher dans la pièce jusqu’à ce qu’elle fut satisfaite de ma prestation féminine. Elle voulait que tous mes gestes soient féminins « jusqu’au bout des ongles » et je dus m’asseoir, me coucher, plier les jambes, les croiser. Au début je faisais semblant d’être maladroit mais cela s’éternisait et je fus rapidement parfaite. Pris au piège avec ma petite culotte je ne pouvais guère élever la voix.
-« Maintenant que tu es une brave fille, vas faire le diner ».
Je partis à la cuisine sans demander mon reste.
Le soir fut plus surprenant car elle semblait apprécier les bas et dans le lit se fit chatte en chaleur. Apres bien des murmures, des questions, des caresses osées, elle arriva à me faire jurer de repartir demain matin avec mon porte jarretelle et mes bas.
Le lendemain pour la première fois je partis avec un porte jarretelle et un joli panty sous mon pantalon. Cela me faisait des fesses un peu rembourrés et mon inquiétude ce matin là fut grande d’autant plus qu’elle avait insisté pour me rajouter du parfum !
Je suis rapidement devenu accroc au porte jarretelle et aux bas dans la journée au grand plaisir de Janet qui ensuite gentiment le soir s’amusait à me maquiller légèrement. Un peu de poudre sur ma peau, du mascara pour mes cils et du rouge à lèvre, rose au début puis rouge vif plus tard. C’était un jeu et cela la rendait heureuse, moi cela me décontracté et je redevenais le gentil garçon que j’avais toujours été. Bientôt en rentrant cela devint machinal dès que je retirais mes « habits d’homme » de m’asseoir devant la coiffeuse et me maquiller.
Arrivée d’une autre soubrette travesti Susan
Le jour de ma sixième transformation en soubrette j’ai tout de suite compris que ce ne serait pas la routine. Alors que je finissais mon maquillage, je devenais experte dans cet art, Mumm s’était déjà équipé de son gode alors que ce n’est qu’en fin d’après midi d’habitude. Apres avoir léché le gode, elle me sodomisa mais je n’eu pas le droit d’éjaculer. Lorsque j’allais jouir systématiquement elle me serrait fortement les couilles me laissant ainsi sur ma faim. Apres avoir réajusté mon maquillage et les bourses pleines je dus la suivre dans la salle à manger ou m’attendait une surprise qui me laissa bouche bée. Dans le coin ou d’habitude je me tenais il y avait une jeune fille dans une tenue identique de soubrette et qui se tenait main jointe et tète baissée comme je l’avais apprise de Mumm. La seule différence était dans la couleur, j’étais en rose et la jeune fille en bleu et ses cheveux étaient blonds alors que ma perruque était brune. Je fus pris d’un doute ce devait être une autre sissy boy, celle dont parfois me parlait Mumm.
D’un geste de la main elle nous présenta
-« Paula voici Sissy Susan, Susan voici Sissy Paula »
Susan se rapprocha et je fus éblouis par sa beauté. Moi qui pensais être une jolie soubrette, elle c’était la reine. Incrédule j’avais du mal face à cette beauté de penser que cela pouviez être un garçon !
-« Bonjour sissy Paula, je suis très heureuse de vous rencontrer » me dit Susan avec une révérence parfaite et une voix incroyablement douce. Toujours sous le charme je mis du temps à répondre et je me fis gronder par Mumm
-« Alors Paula on ne répond pas au bonjour de Susan ? ». Je sursautai et avec une révérence aussi je m’exclamais
-« Hello sissy Susan je suis moi aussi très heureuse »
-« C’est bien les filles mais il faudra que vous soyez plus intime si vous devez travailler ensemble pour moi. Commencez donc par vous embrassez » commanda Mumm
Un baiser ? Ai-je bien entendu? Je dois embrasser un autre garçon? Même si Susan est magnifique ce ne sera pas possible. Alors que celle-ci se rapprochait de moi pour obéir c’était la tourmente dans ma tête. Mon éducation d’homme prude élevé dans les convenances m’interdisait d’embrasser un autre homme mais mes habits de soubrette, l’éducation sexuelle que je recevais depuis les six mercredi firent que je ne bougeais pas mais ne reculait pas lorsque ses lèvres en forme de cœur vinrent se coller contre les miennes. Son parfum me grisait et je finis par répondre brièvement à la pression qu’elle exerçait sur ma bouche avant de me reculer.
-« Ce n’est pas un baiser Paula, je veux un vrai baiser passionné entre tous les deux, avec la langue. Allez recommencez ! »
Les yeux fixés sur le tapis, les mains jointes, comme une petite fille pris en faute je m’excusais d’une voix douce
-« Mais Mumm je n’ai jamais embrassé un garçon ? »
-« Ou voyez vous un garçon ? Susan est une ravissante sissy boy comme vous. Vous allez l’embrassez comme une amoureuse passionnée embrasserait son amant me suis-je bien fait comprendre ? » Se mit à hurler Mumm les poings sur ses hanches et sa tête à quelques centimètres de la mienne.
J’ai hoché la tête avec soumission tout en gardant les yeux sur le tapis j’ai soufflé
-« Oui Mumm j’ai compris ». Je ne pouvais pas échapper a mon destin, je devais embrasser Susan. Mumm avait compris que j’allais m’exécuter et alla s’asseoir dans le fauteuil pour admirer le spectacle.
Susan me sourit rassurante en prenant mes mains gantées dans les siennes et elle me souffla :
-«Cela ne sert à rien de discuter Paula, Mumm est notre maitresse, laissez vous aller et vous verrez cela vous fera plaisir je vous le promets »
Je fermais les yeux et m’abandonnait tandis que nos lèvres se rejoignirent. Cette fois ci Susan augmenta la pression et je m’aperçu que j’aimais sentir le gras de son rouge à lèvre sur le mien,
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