Coucou mes poupées. Voici un nouveau chapitre qui j’espère vous plaira. N’hésitez pas à laisser vos commentaires. Bises mes poupées !
Un défilé d’orifices, de bouches, d’anus, de chattes gluantes. Des coulures de spermes sur des visages d’anges, des cuisses humides de cyprines. Des femelles à genoux, dévouées, offertes, soumises. Le sentiment de puissance, de domination.
Les flashs s’enchainent, les sentiments se succèdent, envahissent mon esprit alors que je quitte lentement mon sommeil. Chaud, humide, gourmand. Cette sensation exquise qui enveloppe ma queue dressée. Du mouvement sous les draps. Je ne me lasserais plus de ce type de réveil.
La bouche s’active en profondeur autour de ma verge tendue. La bouche change, la technique aussi. Mère, fille, mon esprit est encore trop embrumé pour savoir laquelle s’occupe de moi. Et à dire vrai je m’en moque. L’issue est inévitable, je vais me déverser dans une de ces deux gorges.
Ma queue quitte l’antre humide, les deux bouches viennent se poser chacune sur ma tige turgescente, de part et d’autre, et d’un mouvement synchrone, de haut en bas, me masturbe. Mon gland est alors assaillit de deux langues. L’une à sa base, l’autre sur le frein, elles tournent autour, caressent, lèchent. A nouveau ma queue est engouffrée et vient butter au fond d’une gorge, sans étape, je me retrouve ou plus profond, massée aussi bien par la langue que par la gorge.
Une langue vient jouer avec me couilles, des doigts enserrent la base de ma queue et me la masse. L’inévitable arrive, mon jus chaud et pulpeux est éjecté au fond de cette bouche, qui m’aspire encore et encore, une véritable pompe aspire toute ma semence. Les têtes d’Isabelle et Julie apparaissent, et comme à leur habitude également, elles se partagent amoureusement mon sperme. Elle se le passe de bouche en bouche, y mêlant leur salive avant de l’avaler d’un mouvement volontairement exagéré.
Fières d’elles, elles exhibent leur bouche grandes ouvertes, et vides. Se plaçant à genoux sur le lit, chacune d’un côté de moi :
– Bonjour Maître, me lancent-elles en cœur
– Bonjour mes salopes, rassasiées ?
– Ho non, on ne l’est jamais assez ! Julie et moi on pourrait vous boire sans fin
– Maître, intervient Julie, me permettriez-vous d’aller chez vous afin de vous chercher des affaires ?
La leçon de la veille semble avoir fait son effet…
– Oui tu peux. Tu prendras également le colis que j’ai laissé sur la table.
Julie se lève du lit et dans le plus simple appareil, simplement couverte de sa cage rose, quitte la chambre. Isabelle vient pendant ce temps se lover contre moi, posant sa tête sur mon torse.
Promenant sa main du bout des doigts sur mon torse, d’un murmure Isabelle me dit
– Maître, je crois qu’il est temps que vous preniez pleinement possession de ce qui vous revient. Je veux dire, à présent vous pouvez prendre la place de Pierre. Vous l’avez fait dans ma vie sexuelle, amoureuse, il ne vous reste plus qu’à le remplacer dans sa vie, à la tête de l’entreprise entre autre mais aussi que vous soyez détenteur officiel de nos biens
– Tu te rends compte de ce que tu dis ?
– Ho que oui. Depuis toujours je ne trouvais aucun sens à ma vie. A part les enfants, je ne trouvais pas grand-chose d’épanouissant. Une vie assez morose, un époux infidèle, incapable de me satisfaire. Certes il est doué pour les affaires et il a su créer du confort matériel dans notre vie. Mais au-delà de ça, ma seule source d’épanouissement a été le travail. Mais depuis que vous êtes entré dans notre vie, je me découvre enfin, je me révèle ! Tous ces fantasmes, ces envies ancrées au plus profond de moi, que vous avez su réveiller ! Je pensais que soumettre mon mari, au titre de la vengeance était le summum de ce que je pouvais atteindre. Mais je me trompais tellement !
– Et donc ?
– Prenez la tête de l’entreprise, prenez pleinement possession de nos vies. Rendez-nous encore plus heureuses ! Mes enfants, tout comme moi, nous n’avons jamais été aussi bien que depuis que vous êtes entré dans nos vies, ne vous arrêtez pas, je vous en prie…
– Bien, et comment vois-tu les choses dans ce cas ?
– Je… j’ai pris la liberté de me renseigner, de faire quelques démarches préalables… En quelques documents à peine tout peut être réglé.
– Soit, dans ce cas, lance les démarches concrètement
– Vraiment ? Vous accepteriez ?
– Oui
– Il reste une chose à régler par contre
– Laquelle ?
– Pierre…
– Ce ne sera plus un problème, j’ai des projets pour cette lopette qui t’a servi de mari
– ah bon ? que prévoyez-vous?
– Ca ne te regarde pas, pas encore. Tu seras informée en temps et en heure
– Pardonnez mon indiscrétion. Si vous permettez je vais aller terminer la préparation de votre petit déjeuner
– Oui vas-y, je vais me doucher
Nous quittons le lit, et avant d’aller me doucher je vais soulager ma vessie au fond de l’estomac de Pierre qui ne cherche dorénavant plus à protester.
En sortant de la salle de bain, je fais un détour par la chambre de Julie, vérifier si elle a respecté mes instructions. La pièce est à présent bien différente. Plus grand chose de personnalisé, plus d’affiches au mur, de bibelots, rien. Elle a remplacé ses draps par un ensemble fuchsia, bien plus féminin. Son armoire, aux portes grandes ouvertes ne laisse apparaitre que 3 cintres suspendus et une minuscule pile de vêtement sur une étagère. J’y jette un œil, ce sont des t-shirt, très proche du corps semble-t-il. Il y a également un short en jean. Aux cintres ne sont pendus que des jeans, qui eux aussi semble plutôt slim. En me retournant je remarque Julie qui m’observe, inquiète. Je m’approche d’elle et lui pose une main sur la joue, contre laquelle elle colle son visage. Au creux de l’oreille je lui dit
– Tant que tu respecteras mes consignes de la sorte, tu n’as pas à être inquiète
Je ponctue ma phrase d’un baiser à la langue inquisitrice, auquel elle réponds pleine de passion. Je la quitte pour me doucher puis aller déjeuner. Tout se passe comme à l’habitude, avec mes deux chiennes genoux à terre à mes côtés.
– Isabelle, tu fais les démarches dont nous avons parlé tout à l’heure dans la journée. Continu de travailler ta secrétaire également, augmente la pression, quitte à user du chantage. Julie, tu as tes tâches habituelles, je pense qu’il faut aller faire des courses également. Prévoit le repas de ce soir. Tu dois également revoir la déco de ta chambre, démarre tes sélections. Allons voir vos tenues à présent. On commence par toi Julie
Julie nous mène à la chambre de Sophie, la sienne étant encore un peu en chantier. Sur le lit trônent 3 robes. Mon choix se porte sur une blanche, droite, proche du corps. Ce sera parfait avec l’ensemble de lingerie rose fluo qu’elle a préparé. je lui fais signe d’enfiler mon choix. Lingerie enfilée, soutiens gorge rembourré de sa petite prothèse, elle enfile la robe. La transparence du tissus laisse comme je l’espérais apparaitre le rose de sa lingerie. On y distingue très nettement son string et soutif.
– Va choisir tes chaussures
Je me dirige ensuite vers la chambre d’Isabelle. Là, une seule tenue est présentée. Elle prend un risque. Il s’agit d’un ensemble tailleur, jupe et veste. Le tout noir. J’interroge Isabelle du regard
– Enfile le
Nue, elle fait glisser la jupe le long de ses jambes. En place, elle lui arrive très haut sur les cuisses et est en plus légèrement fendue, laissant apparaitre un peu plus sa cuisse. Sur son haut de corps nu également, elle enfile la veste. Sa poitrine généreuse de quadra a l’avantage de se tenir fermement en place, aussi, simplement recouverte de la veste, fermée, laisse voir un généreux décolleté.
– Enfin tu t’assumes ! Comment tu te sens ainsi vêtue ?
– Je me sens… vôtre… Et c’est tout ce qui m’importe
– Bien, suis moi, j’ai quelque chose pour toi
Nous allons vers la cuisine où j’ai vu le colis demandé à Julie. J’en sors une culotte en latex, garnie d’un double god, que je tends à Isabelle
Les yeux grands ouverts, elle retrousse sa jupe et passe les pieds dans les passages de la culotte. Arrivé à hauteur de ses orifices, elle présente le premier god à sa chatte et l’insère légèrement. Puis celui pour son anus. Doucement, haletante, elle remonte l’ensemble, plongeant les 2 god au fond d’elle. Elle est obligée de se tenir à la table un moment, le souffle court. Entre deux soupire et d’une petite voix
– La journée va être longue…
– Tu ne l’enlèveras que pour aller aux toilettes et ce uniquement après m’en avoir demandé l’autorisation.
Tout en tentant de retrouver de la contenance, elle remet sa jupe en place et elle me suis à la rencontre de Julie dans le couloir face à l’armoire à chaussures. Julie y a sélectionner une paire d’espadrilles à semelles compensées et avec une lanière remontant ses chevilles. Je valide son choix. Isabelle pendant ce temps a choisi une paire d’escarpins, noirs, classique à haut talons aiguilles. Mère et filles se regardent et se mettent face au mur, croupes tendues. Elles savent à présent que j’apprécie de me soulager une dernière fois en elles avant de partir pour la journée. Isabelle étant pleine, je choisis Julie. Remontant sa robe et écartant son string, ma queue trouve rapidement le chemin de son anus chaud et accueillant que j’investit d’une traite. Je règle mon affaire rapidement, et me soulage dans ses entrailles. Isabelle me présente alors le rosebud de Julie que je lui fais signe de mettre en place. Elle s’occupe ensuite de me nettoyer la bite à coup de langue gourmande puis de la ranger.
Direction le boulot pour une journée qui s’annonce ennuyante. Au bout de même pas une heure je reçois un message d’Isabelle me demandant la permission d’aller aux toilettes. Je la laisses patienter près de trente minutes, avant de l’appeler. Elle me réponds d’une petite voix
– Oui ?
– Oui qui ?
– Pardon, je suis en réunion
– Et ?
D’une voix encore plus étouffée
– Oui maître ?
– Tu as de la chance que je ne veuille pas te faire perdre ton emploi. Tu as été aux toilettes ?
– Non
– Vas y
– Mais heu… je… maintenant ?
– Avant j’avais pas le temps pour toi, c’est maintenant ou que cette après-midi. Tu en as envie ou pas ?
– Oui
– Oui QUI !?
– Oui Maître
Au loin, je l’entends s’excuser en raison d’un appel de la plus haute importance. Quelques bruits de pas plus tard, elle me reprend en ligne
– Maître, c’était… extrêmement gênant… je suis avec mon patron et un client
– Et alors ? de toute évidence tu as su t’extirper de là ! Tu prétextera que c’est en rapport avec la santé de ton mari. Vas au toilettes et bascule sur appel vidéo.
A nouveau, j’entends ses talons claquer au rythme de ses pas, une porte se fermer puis l’appel bascule en vidéo. Le téléphone semble poser, je vois Isabelle à l’écran, debout à côté d’une cuvette de toilette.
– Bien. Alors que penses-tu de mon cadeau ?
– Maître, c’est très dur… J’ai une furieuse envie de baiser en continu. Je suis pleine et pourtant ça ne me suffit pas. Je suis trempée, j’ai énormément de mal à me concentrer. J’ai eu plusieurs petits orgasmes juste en marchant.
– Parfait, c’est l’objectif. De plus, d’ici ce soir, tu seras tellement élargie que je pourrais te prendre sans forcer, encore plus facilement que d’habitude. Et quelque chose me dit que ton envie sera à un tel niveau que tu vas en plus en redemander
– Pour ça pas besoin d’accessoires, si je vous avais sous la main, je vous dévorerais
– Bon, tu ne devais pas te soulager ?
– Si, me répond-elle tout en retroussant sa jupe. Lentement, elle fait descendre la culotte. Je la vois la laisser remonter un peu l’air de rien, elle se baise sur les god.
– Qui t’as dit de te branler salope ?
– Pardonnez-moi, c’est que j’ai tellement envie…
Sans plus de mots, elle baisse totalement la culotte et s’assieds sur les WC.
– Stop ! Ecartes pleinement tes cuisses et ne pose pas tes fesses
Perchées sur ses talons, retenant sa jupe, la position semble inconfortable pour elle. Néanmoins, un jet d’urine finit par s’échapper, éclaboussant au passage la lunette. Son visage s’illumine de soulagement. Son affaire terminée, elle tends la main vers le papier WC
– Stop ! Tu as des mains et une bouche, sers toi en ! Et je crois que la cuvette a aussi besoin de sa petite toilette !
Sans discuter elle passe sa main sur sa chatte et se lèche les doigts, à plusieurs reprise jusqu’à juger être propre. Ensuite, s’agenouillant, elle regarde la lunette des WC, se tourne vers l’appareil avec un regard suppliant. Ne voyant ni n’entendant aucune réactions de ma part, elle se résigne à nettoyer la lunette de sa langue. Passant sur toute sa surface.
Quand elle a terminé, toujours à genoux elle se tourne vers l’écran attendant mon accord pour se revêtir.
– C’est bon, remet tout en place. Et ne t’avise pas de tenter de te donner du plaisir.
Prestement, elle se redresse, remonte la culotte tout en positionnant les gods à leurs places. Son visage exprime le plaisir qu’elle ressent à être pleine à nouveau.
– Tu peux y retourner.
Je raccroche aussi tôt. La journée reprend son court jusque dans l’après-midi où je reçois un message de Sophie.
– Bonjour mon Maître. Je prendrais mon train pour rentrer tout à l’heure et devrais arriver en gare vers 19h00. Habituellement, maman ou papa, enfin, la lopette, viennent me récupérer. M’autorisez-vous à les contacter pour qu’ils me cherchent ? votre dévouée Sophie
Ma réponse est simple :
– Non
A quoi elle ne me répond plus.
Dans la foulée j’envoie un message à Isabelle :
– Soit chez toi pour 18h00 précise
– Oui Maître
L’après-midi touche à sa fin, je rentre. Arrivé un peu après 18h, je retrouve Julie et Isabelle à genoux, toujours vêtue, dans le couloir à m’attendre et qui en cœur me lance pleine de gaieté
– Bonsoir Maître
– Bonsoir mes petites chiennes. Changement de tenues, dans vos chambres.
Prestement, elles se lèvent et rejoignent chacune leurs chambres. Je vais à la suite de Julie, ouvre son placard et n’y trouve évidemment pas mon bonheur. Je vais dans celle de Sophie y choisis un mini short, plus fait pour le sport ou le relax ainsi qu’un mini débardeur. De retour dans la chambre de Julie je lui tends. Elle m’y attendais déjà nue.
– Remets ta lingerie
Le Short blanc enfilé laisse apparaitre la naissance de ses fesses. Blanc, peu opaque, on voit parfaitement au travers son string rose. le débardeur, noir, arrivant à mi ventre met sa silhouette en valeur. Le contraste du noir et du rose de la bretelle du soutiens gorge attire le regard. Je la saisis par le menton et inspecte son maquillage
– Oui, potable
Au tour d’Isabelle. A ma surprise, sur le lit est posée une robe, style été, mais constitué de peu de tissus
– tu ne sais pas ce que je prévois, mais c’est ce que tu proposes de porter ?
– Oui Maître, je souhaites vous plaire avant tout, le reste m’est égale. Sauf si vous en décidez autrement.
– Soit, mets là. Tu gardes ta culotte par contre
Son tailleur quitte rapidement son corps, et la robe prend place. La robe, maintenue à l’arrière de son cou par un jeux de fine ficelles est à dos nu. Le décolleté plongeant offert par les deux bandes de tissus qui couvre sa poitrine est extrêmement aguicheur. Le ton rose pastel met son grain de peau halé en valeur. Evidemment, comme à l’habitude, sa longueur ne lui couvre que le haut des cuisses.
– Tu cherches à m’allumer ?
– Maître, si par allumer vous entendez vous plaire, vous séduire, me montre comme vôtre, alors oui. je souhaites susciter votre désir pour moi si je le peux.
– bien, tu y arrives. Choisis tes chaussures. Pour Julie indique lui des tennis
– des tennis ?
– Oui, elle est une ado en devenir, ça en fait partit.
Tournant les talons, je fais un passage chez moi récupérer quelque chose. A mon retour, les filles m’attendent, à nouveau à genoux face à la porte. Je constate qu’encore une fois, Isabelle dispose de la paire de chaussure parfaitement assortie à sa robe, même couleur, au talons fin et hauts.
– On y va, venez
Je les laisses passer devant moi dans le cadre de la porte. Chacune, à leur passage, en profites pour palper ma queue de la main et du bassin, un sourire et regard malicieux affiché. Je dois reconnaitre que ça ne me déplais pas !
Nous montons en voiture, Isabelle à l’avant avec moi. Sur la route, ma main se pose entre ses cuisses et joue allègrement avec les gods enfoncés en elle sans lui permettre l’orgasme qu’elle espère de tout son corps. Nous arrivons à destination, à la gare. Sortie de la voiture, chacune se place d’un côté, j’enserre leurs tailles, posant mes mains sur le haut de leur fesses. Forcément quelques regards, autant envieux des uns, qu’offusqués des autres se posent sur nous. Les filles n’en tiennent pas compte et laisse exprimer leur plaisir à ainsi se promener.
Nous repérons le quai d’arrivée du train de Sophie. Arrivé à sa hauteur, le train entre juste en gare. Une masse de voyageur en sort et au milieu Sophie, le regard perdu à la recherche de quelqu’un. Son regard se porte sur nous et immédiatement son visage s’illumine. Aussitôt elle se met à courir, faisant voler la courte jupe volante qu’elle porte. A quelques pas de nous, sans ralentir elle lâche ses sacs et jette totalement à mon cou. M’enserrant de ses jambes elle vient coller sa bouche à la mienne tout en se frottant l’entrecuisse à moi.
– Ho mon Maître quelle merveilleuse surprise ! merci merci merci !
Je la fais retomber au sol, déséquilibrée légèrement sur ses hauts talons.
– Salue ta mère et ta sœur également vilaine insolente malpolie.
Elle se rapproche alors d’Isabelle et lui fait la bise
– Ce n’est pas une salutations entre salopes ça !
Aussitôt, elle se corrige et prend possession de la bouche de sa mère. Une valse de langues se fait alors voir. A nouveau des regards réprobateurs se posent sur nous. Leur baiser terminé, Sophie en fait de même avec Julie, pleine de fougue. A la fin de leur échange de langue elle lui dit
– Merci petite sœur, tout ceci est arrivé grâce à toi ! Si t’avais pas été la dernière des salopes on serait encore dans notre vie morose.
Ces échanges de baisers lesbiens ne manquent évidement d’attirer les regards, d’autant que les tenues de chacune forcent l’attrait des regards. C’est avec Julie et Sophie pendues chacune à un de mes bras et Isabelle à côté que nous nous redirigeons vers la voiture. En marchant, de ma main posée sur le bas des hanches de Sophie je fais remonter sa jupe, dévoilant ainsi son petit cul de rêve. C’est toute souriante, le regard levé vers moi qu’elle se colle un peu plus à moi. Isabelle, ayant remarqué le manège a ralenti le pas pour observer, puis remonte vers nous. A voix haute
– Ma fille, tu es tout aussi salope que ta sœur à te promener avec ton plug dans le cul
– Maman !! sois discrète voyons hahaha. En même temps, ça fait une semaine que ma chatte n’a pas été visitée, il faut bien que je sois pleine de quelque part pour mon Maître adoré ! et puis, à en juger à ta démarche ta chatte ou ton cul ne sont pas vides non plus !
– Figure toi qu’elle est pleine des deux côté, je lui réponds
– Quoi ! Hannn, et après c’est nous les salopes ? Faut pas chercher d’où on tient ça !
– Ca c’est sûr, renchérit Julie. Entre la lopette qu’on a comme père et la salope comme mère, on pouvait qu’être nous aussi des bouffeuses de bites !
C’est sur ces mots que nous arrivons à la voiture. Je fais signe à Sophie de monter à l’avant, Isabelle et Julie à l’arrière. A peine en route, Sophie me met la main sur la bite qui entretien une semi érection depuis un moment. Elle ne tarde pas à la faire monter complètement. Cherchant dans mon regard mon approbation, que je lui donne, elle ouvre mon pantalon et en fait jaillir ma queue quasiment totalement dressée. De son poignet habile elle m’en masse toute la longueur, puis se penchant vient me sucer. Sophie ne semble pas tenir compte que nous circulons en ville, et qu’à chaque feu rouge à double file nous sommes clairement observés. Entre regards ébahis, outré, intéressé, autant par Sophie en train de me sucer que par le fait que ça se passe avec deux passagères à l’arrière.
Loin d’être gênée, au contraire, s’étant détachée elle en vient même à se mettre à genoux sur le siège, exhibant fièrement son cul plugué par la fenêtre. C’est ma queue au fond de sa bouche que nous arrivons en bas de la résidence. Sophie me replace délicatement la queue au chaud avant que nous descendions.
Arrivés dans l’appartement, je leur lance :
– Nues, toutes les trois, mais chacune va se faire dévêtir par une autre.
Isabelle, en bonne mère de famille s’avance la première, en direction de Sophie. Son haut disparait rapidement, dévoilant sa poitrine nue dessous comme je le lui impose depuis notre rencontre. Se collant à sa fille, elle passe ses mains dans son dos pour ouvrir sa jupe, qu’elle fait glisser le long de ses jambes tout en s’accroupissant. Le visage face à ceinture de chasteté
– Ma pauvre chérie, une semaine qu’aucune bite n’a pu venir investir ta petite chatte. Une semaine que ton clito est enfermé, sans être stimulé, une semaine que tes lèvres n’ont pas eu le plaisir de s’écarter au passage d’une bite chaude, une semaine que ta chatte n’a pas reçu une bonne dose de sperme chaud.
Elle termine sa phrase en passant sa langue au niveau de la chatte de sa fille, par-dessus la cage
– Maman, t’es cruelle
– Cessez de jouer un peu !
Se ressaisissant, Isabelle tend les mains vers les pieds de Sophie pour la déchausser
– Non, elle les garde
Isabelle se redresse et s’écarte, laissant Sophie se placer face à Julie. Elle commence également par le top, puis par le soutiens gorge. Une fois retiré elle se permet de lui pincer les tétons, assez fermement
– Aïee ! espèce de salope va ! ça fait mal ! déjà qu’ils sont sensibles en ce moment !
Regards et sourires malicieux hautement affichés sur son visage, Sophie s’accroupie et lentement fait descendre le short de Julie.
– t’aime mes habits j’espère ? en tout cas ils te vont à merveille. Et le rose est parfait sur toi.
Le string de Julie suis le même chemin, faisant remonter dans un petit balancier la mini queue encagée de Julie. Sophie fait passer les vêtements de Julie sous ses pieds puis, après une petite hésitation, att**** de sa bouche la queue de Julie et démarre une fellation
– Sophie !!! Maître !! Vous l’avez pas autorisé !!
– non en effet, mais alors ? t’aime pas te faire sucer le clito ma petite pute ?
– Mais ? je… c’est que c’est pas ça qui me donne du plaisir, si je pouvais ca disparaitrait.
Malgré tout, la situation doit l’exciter car malgré elle, elle commence à se tendre dans sa cage. Les picots au fond se rappellent à elle, la faisant grimacer. Du bout des doigts, Sophie saisit la base de la queue de Julie et la masturbe. Elle a peu de liberté de mouvements malgré tout Julie ne semble pas insensible à la caresse buccale de sa sœur. Sophie pousse le vice jusqu’à lui lécher ses mini couilles
– Rolala ma petite sœur, en tant qu’homme tu n’aurais jamais pu satisfaire une femme avec ça. Notre Maître lui a une vraie queue, pas un vermicel comme toi hahaha
Et aussitôt replonge le clito tendu de Julie dans sa bouche. Les jambes de Julie semblent faiblir, elle att**** soudainement la tête de sa sœur des deux mains et dans un long râle part dans un orgasme. Sophie aspire le bout de la cage comme une paille tandis que Julie, le souffle court fait de son mieux pour tenir debout
– Bon, vous avez terminé toute les deux ? Sophie, tu n’avale pas, partage avec ta mère et ta sœur.
Redressée, Sophie vient déverser un peu de son propre sperme dans la bouche de Julie et celle de sa mère. Toute les trois, fières, déglutissent en me regardant. Les sœurs se font un petit signe et se tourne vers leur mère. Chacune att**** un galon de l’attache de la robe d’isabelle dans son cou et tirant dessus la détache. Elle la laisse filer et glisser aux pieds d’Isabelle. Puis d’un mouvement synchrone, elles viennent poser leur bouche sur les tétons érigés de leur mère et commencent à les téter. Isabelle pose une main sur la tête de ses deux filles
– ho mes chéries, c’est si bon de ressentir vos bouches me téter. Comme quand vous étiez enfant, hummm… mais je n’ai plus de lait à vous donner. Votre lait vous devez aller le téter chez notre Maître maintenant
Tout en gardant leurs langues sur le corps maternel, elle descendent jusqu’à la lisière de la culotte en latex. Elle me regarde et à mon approbation, se saisissent chacune de la culotte et la fond descendre très lentement. Petit à petit les gods quittent les entrailles d’Isabelle qui y trouve sa dose de plaisir. Luisant de sa mouille vaginale pour celui de l’avant et sa mouille anale pour l’autre, les god finissent par quitter totalement les orifices d’Isabelle. J’interrompt les filles lorsque la culotte est à hauteur des genoux
– Nettoyez donc les deux gods
Sans laisser le temps à Sophie de réagir, Julie se précipite sur celui qui logeait dans l’anus maternel, laissant Sophie s’occuper de celui baignant de mouille. Deux fellation se lancent sur chacun jusqu’à ce qu’ils soient propres tous les deux. Elles finissent alors de lui retirer.
– Bien, vous êtes parfaites. Julie, mets donc des chaussures plus sympa.
Déchaussant ses tennis elle se dirige au placard et, ayant sûrement déjà choisis à l’annonce de mon ordre, sélectionne une paire d’escarpins rose flashy qu’elle s’empresse d’enfiler. Revenu aux côté de sa sœur et sa mère, les trois se positionnent à genoux face à moi.
– Bien, à présent, déshabillez-moi.
Elles se lève, et de front s’approchent de moi. Isabelle au centre, face à moi, les filles sur les côtés. Isabelle commence à déboutonner ma chemise, à l’avant, tandis que les filles m’ouvre les boutons de manches. Libérée, ma chemise m’est retirée délicatement. Les 6 mains se pose sur mon corps, suivies des trois bouches qui m’embrassent, me lèchent, tout en accompagnant le mouvement vers le bas des filles. Accroupie toutes les trois, cuisses largement ouvertes, elles s’attaquent à ma ceinture qui ne reste pas longtemps fermée. Mon pantalon de même est très vite ouvert et rejoint mes chevilles. Elles me le font passer sous les pieds. Une valse de mains vient se poser sur ma queue qui évidement est totalement tendue sous mon caleçon. Caleçon qui suit le même chemin que mon pantalon. ma queue fièrement dressée est alors embrassée des trois bouches en même temps.
– Stop, je vous ai pas autorisées à avoir votre friandise. Sortez la lopette de sa pièce et amenez là au salon.
Tandis que les filles vont chercher Pierre aux WC, je vais au salon installer sur la table basse la fuck machine. Trainant Pierre au sol, les filles arrivent et se réjouissent de comprendre mon projet. Elles le guide sur la table, lui affiche un regard inquiet mais résigné. Sans que je le leur ordonne, elle se saisissent des liens qui étaient posés pas loin et l’attache fermement à la table, positionne le god dans son anus et me tende la télécommande de la machine que j’active.
– Bien ma petite sous merde, tu vas jouir de ta machine pendant que tu me regardera jouir de ta femme et tes enfants.
Je m’installe sur le canapé et tends mes pieds encore chaussés aux filles. elle me retire chaussures et chaussettes et alors qu’elles s’apprêtaient à laisser mes pieds
– Julie, montre à maman comment s’occuper de mes pieds. Quant à toi Sophie, tu as mérité de t’occuper de ma queue un peu plus, viens donc me la sucer, mais soit douce et fait durer.
Isabelle et Julie commence alors à me lécher les pieds tandis que Sophie gobe ma queue d’une traite, telle une affamée, puis tout en délicatesse démarre une lente et douce fellation. Elle déguste ma tige raide tout à la recherche de mon plaisir. Je la laisse câliner ma verge de sa langue un moment, profitant pleinement de cette situation au combien jouissante mais inégalable.
– Bien, il est temps de libérer ta petite chatte ma chérie, va chercher mon pantalon.
A quatre pattes, fière de son initiative de rester au sol, Sophie me ramène mon pantalon, dans lequel je récupère la clef de sa ceinture. Je la fait se lever entre mes jambes tout en restant assis. Je déverrouille sa cage et la retire délicatement. J’hume son abricot délivré
– Une petite toilette s’impose je crois. Maman va s’en occuper
Je me lève et fais prendre ma place à Sophie, lui écartant les cuisses. Je monte sur le canapé et lui plante ma queue au fond de la gorge, assez brutalement
– Alors, ma queue te manquait tu disais ? la voilà ! Allez Isa, nettoie sa chatte
Isabelle s’approche alors, à genoux de la chatte de sa fille.
– Ho mais ma fille, tu sens la pisse et la mouille séchée !
Et passe sa langue à plat sur toute sa fente déclenchant un profond râle à Sophie, étouffée par ma queue tapant sa glotte. De mon côté, tout en lui pinçant le nez je me met à lui baiser la bouche sans retenue. Plaisir, souffrance, étouffement, toutes les émotions passent sur son visage, ses larmes coules entrainant son maquillage sur ses joues, sa bave s’étale sur sa poitrine. Julie qui attends sagement à genoux
– Maître, je peux aussi gouter sa chatte sale s’il vous plait ?
– mais bien sûr, Isabelle laisse donc la place à Julie
Les langues changent mais le plaisir de chacune pas. Isabelle regarde amoureusement ses filles, l’une bouffant la chatte de l’autre qui se fait baiser la gorge en profondeur.
Je finis par me retirer de la gorge de Sophie et écarter Julie
– Toi, lève toi
Je prends la place de Sophie sur le canapé. Je saisis Sophie par la taille et la tournant dos à moi, la guide vers ma queue. Ayant compris mon intention, Julie att**** ma bite et vient la présenter à l’entrée de la chatte de sa sœur. Je tire brutalement Sophie vers le bas, introduisant ton mon vif d’une traite au fond de sa grotte détrempée.
– Ahhnnn oui… enfin… cette queue au fond de moi… ouiii
– tu auras le droit de jouir mais pas avant que je te le dise, c’est compris ?
– Je vais essayer, mais Maître, je suis tellement en manque ça va être dur
Je commence alors à donner le rythme à Sophie, la tenant par son petit cul merveilleux jusqu’à ce que d’elle-même elle s’occupe de tout. Adossé au canapé, les bras croisés derrière la tête Sophie me branle la queue de sa chatte juteuse.
– Isabelle, joue avec son petit bouton. Et toi Julie, ses tétons n’attendent que ta bouche
La chevauchée de Sophie ne ralentit pas, mais je sens sa chatte se resserrer lorsque la langue d’Isabelle se pose sur son bouton de plaisir. Isabelle en profites régulièrement pour me lécher la bite lorsqu’elle quitte la chatte de sa filles, ainsi que les couilles. L’excitation produite par tout ça m’approche de l’orgasme
– Sophie, tu vas avoir le droit de jouir, à la seule condition que tu le fasse exactement en même temps que moi. Sinon, retour dans ta ceinture.
J’att**** alors Sophie par la taille et prend la direction de la baise. Ma queue vient limer son conduit chaud. A plusieurs reprise je la sent proche de l’orgasme qu’elle refoule. C’est après un de ces refoulement que je décide de me terminer pour voir à quel point elle se maitrise. J’accélère le rythme et au moment où je plante ma queue contre son utérus pour me déverser en elle, quasiment pile au moment où ma première giclée part, Sophie elle aussi part dans un puissant orgasme. criant, râlant, très fort, son plaisir, tout son corps est pris de spasmes. Sa chatte se contracte totalement autour de ma queue qui crache de puissants jets de sperme en elle, augmentant ainsi ma propre jouissance. Sophie s’écroule totalement sur moi, tremblante, pleurant de plaisir, me remerciant semi comateuse.
Je la laisse se remettre un court instant, mais aussi se détendre afin de libérer ma bite totalement prisonnière se sa chatte resserrée. je finis par pouvoir me retirer
– A la soupe les filles, buvez moi en elle
Les deux affamées se précipitent sur la chatte de Sophie, se bousculant pour être la première, alternant chacune son coup de langue. J’entends les bruits d’aspiration, de clapotis. Tout ça déclenche brutalement un second orgasme à Sophie qui s’évanouit juste après. Ma queue se retrouve dans une bouche, est chamaillée par une autre. Mon nettoyage terminé, je fais glisser Sophie à côté de moi. En me redressant je remarque une énorme flaque au sol
– c’est Sophie Maître me dit Isabelle.
– Sophie, petite souillon, regarde un peu tes dégâts
Toujours entre deux états
– Hum mais mon Maître, c’est votre bâton magique qui a fait couler ma fontaine de jouissance hihihi
– Et c’est ta langue qui va nettoyer ça, et tout de suite
J’att**** alors Sophie par les cheveux et lui plaque le visage dans sa flaque qu’elle ne tarde pas à lécher.
– Alors ma petite lopette de merde, ça te plait de me voir baiser les femmes de ta vie ? de les voir baiser ensemble avec moi ? pendant que toi tu te fais défoncer le cul ?
Des larmes coulent sur ses joues mais il ne peut mentir, le jus qui coule de sa queue encagée parle pour lui.
– Oui tu aimes ça, et je suis certain que tu les baiserais volontiers. Mais cesse de rêver ça n’arrivera plus jamais. Ta queue ne les touchera plus une seule fois de ta vie. Les filles, il est temps que vous prépariez le repas, j’ai faim. Mais avant, petite préparation pour vous.
Je me lève et vais récupérer le colis resté sur la table. J’en sors plusieurs petites pinces à clochettes.
– face à moi toute les trois
Les trois se mettent debout face à moi comme demandé. Me plaçant face à Isabelle, je lui place une pince à chaque tétons. La clochette est surmontée d’un petit poids ce qui accentue bien la tension créée par la pince sur son mamelon et lui déclenche un gémissement qu’elle s’efforce de retenir. M’accroupissant, je lui fais écarter les jambes et place sur ses grandes lèvres deux nouvelles pinces. Je pioche à nouveau dans le colis et en ressort un lot d’œufs vibrants. C’est un kit spécial qui permet depuis une seule commande de gérer plusieurs œufs. Je lui en insère un dans son vagin chaud et humide.
Je me redresse et équipe de la même manière Sophie, qui, peut-être plus sensible que sa mère à plus de mal à retenir ses gémissements au moment de la pose des pinces. Je la rappel à l’ordre d’une gifle modérée. L’insertion de l’œuf la fait là aussi gémir mais plus de contentement. Passage à Julie, pinces aux tétons et, à défaut d’avoir des lèvres vaginales, reçois une paire de pinces sur ses mini testicules. Et c’est son anus détendu qui reçoit son œuf. Piochant toujours dans mes achats récents je prends un jeu de collier de posture tête haute. Ceux réduisant grandement la mobilité. J’en pare chacune des trois petites choses à mon service. Décidé à pousser mon jeu d’entraves un peu plus loin, je leur place à chacune un jeu de crochets nasaux fixé lui au collier, à l’arrière. S’en suit pour chacune un bâillon écarteur, forçant leurs bouches à rester grandes ouvertes. Une fois les trois équipées, je les fais se placer à genoux et ajuste l’écartement pour que ma queue puisse passer puis les fais se relever.
A leurs chevilles, je dispose des menottes en cuir reliées par une chaine d’à peine 30cm. Plus leur harnachée se complète, plus elles me regarde avec de grands yeux, mais à aucun moment elle ne bronchent ou résistent. je passe ensuite à leurs tailles une ceinture de cuir à laquelle sont reliées deux menottes de poignets par une chaine également d’une trentaine de centimètre. celle-ci leur empêche tout accès à leur tête. La dernière touche vient par la pose d’un crochet anal, lui aussi relié à leur collier.
– Et oui ma puce, comme tu n’as pas de chatte, ta chatte anale va devoir accueillir l’œuf et le crochet.
Ainsi équipées, elles se voient extrêmement réduite en liberté de mouvements.
– Bien, voilà qui est parfait ! Vous êtes délicieuses ainsi parées. Allez faites-moi un petit défilé, déplacez-vous. Et surtout rendez-moi fier !
Le démarrage est chaotique. La longueur de la chaine de cheville ne leur permet de faire que de très court pas, ce qui ne facilite pas la tâche alors qu’elles sont toutes les trois juchées sur de hauts talons. Ces petits pas on l’avantage, de mon point de vue bien sûr, d’accentuer les mouvements des poids qui pendent. C’est la gêne suivante qui surgit une fois qu’elles ont trouvé le truc pour marcher. Je les vois grimacer, serrer le haut des cuisses. Le tout n’est bien sûr pas facilité par les autres entraves leur imposant une posture droite, car si elle se penchent trop en avant les crochets, anaux et nazaux se rappellent immédiatement à elles. A peine leur rythme de croisière trouvé, je relève la complexité et active les œufs vibrant à distance par le biais de la télécommande. Sous l’impulsion des vibrations, Sophie, encore sous le coup du manque de jouissance vaginale sûrement s’écroule par terre. Bien sûr sa chute, un peu brutale a tiré sur ses crochets et n’a pas dû être agréable. couchée au sol, sur le dos, elle se laisse porter par le plaisir des vibrations.
– Stop ! qui t’a dit que t’avais le droit de t’envoyer en l’air comme ça salope !? Vous deux, relevez-la !
Julie et Isa se bloquent et me regardent, ne sachant pas comment s’y prendre entravées comme elles sont
– dépêchez-vous !! Sinon vos culs vont rougir !
Tant bien que mal, elle s’agenouillent au côté de Sophie et l’aide à elle aussi se mettre à genoux. S’aidant l’unes l’autres elles finissent par se relever, essoufflées. Je m’approche de Sophie et d’une main saisie un poids de sein et de l’autre un pendue à sa chatte, en tirant légèrement dessus
– Alors quoi ? tu regrettes peut-être ta ceinture de chasteté ? C’est pas toi qui me suppliait presque pour que ta chatte soit libre ? Maintenant elle l’est et stimulée qui plus est ! et c’est comme ça que tu me remercie ?
Je pousse Sophie en arrière la faisant buter contre la table de la salle à manger. Je lui fais poser le bord de ses fesses et lui écarte les genoux. En pointant ma bite contre sa chatte, que j’ouvre par la traction des poids
– Alors ? Tu voulais ma bite non ? Là tu l’as, lui dis-je en me plantant en elle d’un coup tout en tirant sur les poids. tu voulais être baisée non ? Réponds !
– youii hannn, hihouhai ha hai hall
– je comprends pas quand tu parles salope. Tu dis quoi ? t’en veux plus ? Je redonne un bon coup de queue venant buter contre l’œuf toujours en elle et activé et sans relâcher la tension sur les poids bien sûr.
– Ha, tu veux que j’arrête ?
Secouant la tête comme elle peut, elle confirme. Son visage est à nouveau inondé de larmes
– Ha oui ? mais tu oublies un chose, dorénavant tu ne veux plus rien, tes désirs n’existent plus sauf s’ils viennent de moi. Mais je vais te faire une fleur, tu es en plein apprentissage encore.
Je me retire alors d’elle et laisse tomber les poids brutalement
– Bien, tu feras plus attention à présent, aussi bien à ce que tu penses désirer qu’à tes gestes. Quand je te dis de me rendre fier, ça veut pas dire de vautrer comme une pauvre merde ! Tu te rends compte que si nous avions été en public tu m’aurais couvert de honte ? Bon, à présent en cuisine toutes les trois et préparez le repas ! et ne trainez pas ! Julie, tu vas me servir un verre de vin, j’ai envie d’un apéro. Je leur tourne le dos et vais me laisser tomber dans le fauteuil.
Quelques minutes plus tard, Julie reviens avec un grand ballon de blanc. Piétinant à petits pas tout en tachant de ne pas renverser le verre posé sur un plateau et en gardant un air aussi fier que possible elle vient déposer le verre sur la table à côté du fauteuil. Pour pouvoir se baisser, elle n’a d’autre choix que de s’accroupir, tête droite, genoux écartés, faisant toucher le sol aux poids.
– Bien, tu apprends plus vite que ta sœur on dirait
A ces mots son visage s’illumine.
– Peut-être es-tu plus motivée ?
Elle me réponds d’un mouvement de la tête par l’affirmative.
– A quel point l’es-tu ? A quel point es-tu prête à faire passer mon plaisir avant le tiens ? Avant ta souffrance ?
Pour toute réponse, elle se penche en avant entre mes jambes, mettant sous tension ses crochets et lui décrochant une grimace de douleur. Sans y prêter garde, elle ne s’arrête pas jusqu’à être à quelque centimètre de ma queue m’interrogeant d’un regard bas.
– Oui, tu la mérite
Finissant son mouvement, elle fait rentrer ma queue molle dans sa bouche écartelée et me la caresse de sa langue. Je ne mets pas longtemps à grossir dans sa bouche. faute de pouvoir me sucer pleinement avec ses lèvres, c’est avec le fond de sa gorge qu’elle s’efforce de masser mon gland. Sa langue, agile comme jamais jusqu’alors me caresse la tige en même temps. Julie m’épate plus chaque jour. D’elle-même elle secoue son torse et son bassin faisant tinter les clochette et forcément secouer les poids toujours en me tétant la queue qui à présent dégouline de bave.
– c’est bien, arrête maintenant, retourne bosser en cuisine
Avant de se relever elle passe sa langue sur toute la longueur de ma queue afin d’y récolter sa bave abondante, puis tant bien que mal elle se remet sur pieds et retourne en cuisine. Pour ma part je sirote mon verre tout en regarde Pierre se faire marteler l’anus par la machine. Pas de doute sur le fait qu’il commence à avoir du mal à encaisser, néanmoins je sens aussi que certaines de ses barrières sont tombées. Il n’oppose plus la moindre résistance, cache bien moins le fait qu’il y tire malgré tout un certain plaisir. Au vue des projets que j’ai pour lui c’est préférable. Après un moment je vais jeter un œil en cuisine. A l’approche de la porte j’entends le titillement des clochettes accompagnés du bruit des talons fait de leur petit pas. En observant mes trois poupées appuyé sur le chambranle de la porte je me régale du spectacle.
Limitées dans leurs mouvements elles galèrent un peu tout de même, mais ont compris qu’ensemble elles peuvent réaliser plus que seules. L’une aide l’autre lorsque ses entraves l’empêche. Un air de bien être est affiché sur leur visage. Malgré les entraves, les poids qui doivent commencer à être douloureux de même que les crochets, elles semblent épanouies ainsi affairées à leur tâche. Les bonnes odeurs envahissent la pièce, les petits plats s’alignent sur le gaz. Détail amusant, lorsque, du fait du bâillon, Isabelle bave un peu trop elle se présente face à sa fille, Sophie, qui d’un coup de langue ramasse le surplus. A voir cet automatisme j’en déduis qu’elles ont déjà fait la même chose plus tôt, d’autant qu’aucune d’elles n’a de coulure massive.
La télécommande à la main je décide de m’amuser un peu avec les œufs plongés en elles. Je commence par celui de Julie, choisissant un mode »A-coup ». Aussitôt activé je la vois se redresser, manquant de renverser ce qu’elle avait en main. Cela attire son attention vers moi, aucunes d’elles ne m’ayant remarqué avant. Elle se ressaisit tant bien que mal et retourne à ses affaires. Vient le tour d’Isabelle, à qui je passe en puissance de vibration continue maximale. Là aussi, elle se cabre et plonge ses yeux dans les miens. Regard de feu, plein d’envie, de désirs, de gourmandise
– Approches, lui dis-je
Elle pose la casserole qu’elle avait en main et vient se placer face à moi. Son ventre se contracte activement, sa respiration s’est accélérée. Son regard toujours plongé dans le mien, avec un soupçon de défi, elle garde la tête haute, fière de subir pour moi son traitement. Je me place plus proche d’elle, faisant passer la queue qui commence à redurcir contre sa chatte qui, par la magie de la hauteur de ses talons est presque à la bonne hauteur. Ma queue se plaque entre les deux poids, au contact de sa vulve trempée, écartée par les poids. Lentement je me frotte contre elle, ressentant au passage une légère partie des vibration émanant de son joujou. Tout à son plaisir, Isabelle ferme les yeux et s’abandonne. En peu de temps ma queue est détrempée de sa mouille.
– Tu aimes ça on dirait ma belle ?
D’un petit clignement des yeux elle confirme. Sa chatte dégouline à présent, sa respiration est encore plus rapide. Je la sens proche de l’orgasme et peu avant l’issue finale que je sens très proche, je coupe son joujou, coupant par la même son plaisir. Ses yeux se rouvrent grand, pleins de déception, de frustration. Mon objectif est atteint
– On ne jouit pas sans ma permission ma belle. Aller, retournes travailler.
Les jambes molles elle reprend sa tâche. Je vois Sophie me lancer des petits regards, elle s’attends à être la suivante. Pour elle je test le mode »Montées puissantes ». A sa réaction je déduis que le l’œuf monte en puissance assez rapidement puis se recoupe, répétant le même cycle. A plusieurs reprises elle est obligée de s’agripper au plan de travail pour ne pas vaciller.
Je pénètre dans la cuisine et vient me placer dans le dos de ma petite poupée préférée, Julie. Elle est occupée à découper des légumes et autres tâches. J’empoigne ses fesses pour les écarter. J’en dégage le crochet pour me libérer le chemin et vient y glisser ma queue durcie. Je pousse jusqu’à butter contre l’œuf que je sens vibrer toujours en mode à-coup. De fait, son anus se resserre à chaque fois sur ma queue, me la massant avec délices. Je sens aussi qu’elle joue de son bassin et de ses muscles fessiers pour me masser, sans pour autant cesser ce qu’elle fait. Je reste ainsi un moment, ma queue dorlotée par son cul de rêves puis me retire sans la remplir de mon jus, je préfères le conserver pour plus tard. Retour en place du crochet, accompagné d’une petite tape sur les fesses.
Je m’en retourne au salon siroter mon verre tranquillement face à Pierre toujours en train d’être ramoné mécaniquement. Je m’assoupi légèrement et c’est le bruit des clochettes et de talons qui me sortent de ma torpeur. Les filles sont en train de dresser mon couvert à table.
– Les filles, vous êtes autorisées à diner avec moi ce soir.
Toutes souriantes elles retournent en cuisine tandis que je me lève. Puisant toujours dans ma nouvelle collection en partie et dans certains jouets trainant encore par-là issues de celle d’Isabelle, je positionne sur chacune des chaises un god ventousé. Je termine juste au moment où les filles reviennent avec les couverts supplémentaires. Evidement leurs regards se posent sur les gods, de petits sourires en coin apparaissent alors qu’elles mettent les couverts.
Alors qu’elles retournent en cuisine je vais vers Pierre et désactive la fuck machine et lui retire le god. Son anus que j’ai connu très récemment très étroit est à présent béant, grand ouvert. Ses contractions n’y changent rien et au mieux il reste ouvert sur presque 2 cm. Les filles reviennent alors à ce moment et viennent se positionner tant bien que mal à genoux à côté de moi. Elles semblent avoir à parler, je leur retire donc les bâillons.
– Maître, dit Julie, le repas est prêt. Souhaitez-vous que nous servions ?
– Avant ça, retirez-vous les œufs mutuellement.
Isabelle se précipite sur Julie, on dirait qu’elle raffole de sa nouvelle fille, et avec quelques contorsions dues aux contraintes, plonge ses doigts dans le fondement de Julie à la pèche de l’œuf. Je regarde alors Julie et lui désigne sa sœur, vers laquelle elle se penche pour lui retirer l’œuf au fond de sa chatte. Il en ressort poisseux et visqueux. Sophie se dirige alors vers sa mère et en fait autant et en ressort un œuf dans le même état que le sien.
– Bien, regardez, papa a le cul vide. faudrait pas qu’il att**** froid vous pensez pas ? Mettez les lui dans l’ordre où vous les avez retirés.
Pierre affiche un regard un peu apeuré mais ça ne freine personne. Un, puis deux œufs trouvent leurs places facilement. Le dernier montre un peu plus de résistance, cherchant à s’évader. Je me place alors face à Pierre.
– Ecoute moi bien ma lopette. On va te glisser le troisième et il n’a pas intérêt à quitter ton cul avant qu’on ait terminé de manger, c’est compris ?
Sans attendre sa réponse Julie pousse le dernier œuf dans son cul qui se contracte autour. Je les remets alors en marche sur 3 rythmes différents mais assez lents.
– A table
Je m’installe bien entendu en bout de table, Isabelle face à moi, Julie sur ma droite, Sophie à gauche. Chacune place le god face à son orifice et s’assoie en se pénétrant.
– Vous n’oubliez rien ? Le service va pas se faire tout seul ! Vous pensez vraiment qu’à la baise bandes de petites salopes. Je vous vous préviens aussi, la première qui jouit à table le regrettera amèrement. Aller, debout !
Rapidement sur leur pieds à nouveaux et toujours limitées dans leurs mouvements elles s’affairent à me servir en premier puis elles-mêmes et se réinstallent dans un petit gémissement familiale. Nous entamons le repas dans l’ensemble aux tournures assez standard puisque je lance des sujets de discussions tout ce qu’il a de plus normal. Néanmoins, à plusieurs reprises je trouve des prétextes pour faire se redresser les filles les forçant à se bouger autour des verges en plastiques qui les fouillent. Les discussions ne s’interrompent pas pour autant jusqu’à ce que je me rende compte qu’on n’entends plus Julie. Elle est adossée à sa chaise et a des mouvements spasmodiques
– Arrêtes ca tout de suite ! tu m’entends ?!
– …
– Tu auras été prévenue petite pute
Et soudain dans un gémissement profond Julie part dans un orgasme puissant, jusqu’à s’effondrer sur son god toute tremblante. Sans y prêter plus garde je reprends les discussions
– Demain vous avez quartiers libres, enfin presque. Isabelle, ta fille a grand besoin de se constituer sa propre garde-robe. D’autant que lundi est un grand jour pour elle avec sa rentrée des classes. Vous irez toutes les trois. Sophie, tu es la plus proche en âge d’elle, j’attends de toi que tu orientes les achats afin de coller avec son âge. Je veux une garde-robe complète pour une fille de son âge, jean y compris. Je souhaites qu’elle soit stylisée ado un peu fashion victime. tenues près du corps, à la limite du convenable mais sans être vulgaire. A côté de ça il faudra des tenues en lien avec son rang de petite salope, des tenues de vraies putes, mais aussi de pute de luxe, classe et sexy. Je veux également une partie de garde-robe qui serait celle qu’elle aurait si elle avait été fille tout le temps, donc des restes plus juvéniles si on veut. Soyez créatives et imaginatives, créez lui une vraie vie passée. Constituez lui un tout très bien garnit, des sous-vêtements aux vêtement, tenues de sport aussi, tenues de bain etc. Elle doit pouvoir se mêler à la foule. Et faites-vous plaisir toutes les deux aussi. Je veux également que vous ayez toutes les trois de réelles tenues de soirée, chics et classes. Isabelle tu sais que le budget n’est pas un problème. Soyez juste prêtes à ce qu’on reparte à 15h30. C’est à dire que tout devra être rangé.
Sur ce nous terminons le repas et je fais signe aux filles de débarrasser. C’est à ce moment que j’entends Pierre grogner de plaisir et vois un des œufs s’échapper
– décidément, les fausses femelles de cette familles ne pensent qu’à jouir ! Bien, ici toutes les trois. Isabelle, détache ta merde de mari.
Pendant ce temps je fais un rapide aller-retour.
– Bien, les merdes désobéissantes, culs tendus, face sur la table !
Les deux affichent un regards effrayés d’autant plus en voyant ce que je tiens en main, à savoir des ceintures en cuir.
– Vous semblez oublier quelques choses. Quand je vous interdit de jouir ce n’est pas juste pour rigoler comme ça. Votre plaisir m’appartient, c’est à moi dorénavant qu’il appartient de décider quand et si vous pouvez jouir. Le corps a des mécanismes surprenant d’apprentissage parfois. En fait, il s’avère que parfois pour mieux retenir il a besoin de souffrir. Isabelle, Sophie, vous aller vous joindre à moi pour leur punition, prenez ces ceintures. Chacun d’entre nous va infliger vingt frappes à chacune de ces deux petites chiennes. Dix par fesses. Et vous petites putes, à chaque coups, vous aller les compter et remercier la personne qui vous éduque. On commence
Sophie arme son bras et d’un mouvement assez modéré assène le premier coup à Julie
– UN, merci Sophie
Isabelle se prépare de son côté pour dresser Pierre, mais avec beaucoup moins de retenue
– UN, merci Isabelle
– DEUX, merci Sophie
– DEUX, merci Isabelle
Ainsi de suite jusqu’à vingt. Ensuite elles échangent de souffre-douleur et c’est repartit pour vingt.
– Bien, à mon tour, mais avant, Isabelle, va t’assoir sur la table devant Pierre, et glisse toi son clito encagé dans la moule. Ce sera pour lui la dernière fois qu’il voit et pénètre ta chatte bouillante et je veux qu’il se souvienne bien des circonstances de cette dernière fois.
Je démarre alors mon propre balai de coup de ceinture, commençant par Julie
– UN, merci mon Maître
Pour Pierre, je ne vise pas ses fesses, mais, de bas en haut, entre ses cuisses pour chauffer ses couilles
– Haaaaaaaa, un, merci Maître
Au moment d’encaisser le coup il s’est fortement redressé et de fait planté en Isabelle qui semble y trouver son plaisir
– Allons Isabelle, il serait ironique qu’après toutes ces années il soit capable de faire jouir. Retiens toi !
et je démarre ma valse de deux fois vingt frappes.
– Bien, voilà des culs bien rougis et donc certainement plus aptes à obéir. Pierre, à genoux.
Quand il se retire, la chatte d’Isabelle luit de mouille et un filet s’en écoule.
– Julie, vient là. Isabelle et Sophie, prenez leur place
Les deux sont bouches bées et ne comprennent pas.
– Mais, murmure Sophie, nous avons obéis nous….
– Oui et non. Oui vous n’avez pas jouis en effet, par contre vos frappes sur le cul de Julie étaient bien trop retenues. Vous vous êtes défoulées sur Pierre et avez été tendre avec Julie alors que je crois pas vous avoir demandé d’appliquer un traitement différent. De plus, à compter d’aujourd’hui, à chaque fois que l’une d’entre vous sera punie, les autres subirons cinquante pour cent de la même punition. Je veux que vous appreniez à être solidaire, tant dans le plaisir que dans la souffrance. Votre éducation sera commune, donc vos fautes aussi. Vous aimez baiser ensemble, vous serez punies ensemble. Ainsi vous vous motiverez mutuellement à vous surpasser. A présent en place. Et pour avoir protester, vous aurez 5 frappes de plus que les dix que je vous prévoyais. Ha et pour que le partage soit équitable, vous aurez une série de moi, mais aussi de Julie. Julie, commence.
Sophie encaisse le premier coup
– UN, merci Julie
Puis elle décide d’enchainer avec sa mère
– UN, merci Julie
Je prends la suite sur Sophie
– UN, merci mon Maître
– UN, merci mon Maître pour Isabelle
les deux fois 15 s’enchainent rapidement.
– Bien, j’espère que vous aurez compris l’ampleur de cette sanction. La douleur n’est que le vecteur de l’apprentissage, ce n’est pas un fait principal en soit. Passons à la suite du programme. La soirée d’adieu à votre lopette préférée ! Oui, demain il quittera le domicile pour un très très long moment.
Pierre paniqué alors me regarde me suppliant du regard pour en savoir plus.
– Je n’en dirais pas plus aujourd’hui. Mais ça ne change rien au programme. Pierre à quatre pattes. Les filles, cherchez les ceintures.
Claudiquant sur leurs talons et faisant sonner leurs clochettes les filles font l’aller-retour.
– Petite particularité exceptionnelle du jour. Julie, viens là que je te retire ta cage. Pour la première fois, ton clito va pénétrer un orifice et ce sera le cul de papa. Ho je me fais pas d’illusion il ne va pas sentir grand-chose et toi je suis persuadé que tu ne tiendras pas longtemps, mais je veux que tu lui arrose le conduit de ton jus de petite fille. Commence par lui retirer les boules.
Les mains tremblantes elle obtempère. Je viens me placer derrière elle, plaquant ma queue raide entre ses fesses mais sans intention de la pénétrer. Du bout des doigts je saisis son clito flasque.
– Maitre, s’il vous plait, je ne veux pas… ce…machin ne fait pas vraiment partit de moi… Je ne veux plus que ça me serve. Mon plaisir je veux le prendre avec votre queue profonde en moi.
– Je sais ma poupée, mais… je m’en fou. Ne me force pas à te punir une seconde fois. Je veux que tu baise ton père, que tu tapisse son cul de ton foutre. Soit la petite pute docile que tu sais être un point c’est tout.
Tout en lui parlant j’avais démarré une lente masturbation de son asticot et sans qu’elle s’en rende vraiment compte elle bande à présent. En la poussant de mon bassin, et donc de ma queue dans ses reins je la rapproche de l’anus paternel. Le gland vient en contact des muqueuse et sans forcer vient se loger dans le rectum. Immédiatement, Pierre se met à gémir, mais plus de douleur.
– Allons, c’est pas ce petit asticot qui te fait mal, pas après ce que tu viens de prendre !
regardant entre ses cuisses, Pierre regarde sa queue encagée
– Non, mais ça t’excite on dirait ! mais regardez-moi ça comme il bande le salaud ! Ça te fais bander de te faire baiser par ta gosse ?
Il affirme d’un mouvement de tête.
– t’es à l’étroit dans ta cage ? tant mieux ! Aller Julie, baise papa gicle lui dedans
Julie agrippe les hanches de son père et commence alors, très maladroitement, à aller et venir dans le cul de son père. Elle grimace et ne semble y prendre aucun plaisir. Je guide son rythme mais rapidement, Julie se cabre et gémis en se plaquant contre ses fesses. Son orgasme est suivi de chaudes larmes
– Allons ma poupée, pourquoi tu pleures ?
– je, snif, je n’aime pas. Je suis une fille, je suis votre poupée, votre pute, pas un mec.
– Oui en effet, mais des fois ton clito peut avoir son utilité. Aller, retire toi.
A peine découlé, sa queue a déjà rétrécie mais un filet de son petit sperme s’étire entre l’anus et le gland.
– Voilà, maintenant maman va te nettoyer.
Isabelle s’approche tout en se léchant les lèvres et vient téter avec gourmandise le clito de Julie. Elle aspire ce mini gland autant que possible pour absorber tout le jus qu’elle peut.
– vous êtes de vraies dépravées dans cette familles ! bien, passons aux choses sérieuses ! Julie, ma poupée vient là que je te remette en cage.
Elle se précipite vers moi et se laisse encagée sans difficultés, bien au contraire. J’en profites pour l’équiper du god ceinture.
– Bien, maintenant tu vas pouvoir le baiser comme la femme que tu es, c’est à dire avec accessoires ! Et toi sous-merde, les trois vont te passer dessus et je veux que tu jouisse de chacune. Pour m’assurer que tu ne simule pas, elles vont garder ta queue en bouche. Celle qui te baise ne s’arrêtera que quand tu auras giclé. Je te laisse à chaque fois cinq minute pour venir, c’est déjà énorme pour le précoce impuissant que tu es. Si au bout de cinq minutes tu n’as pas jouit je fais cingler la ceinture de nouveau. Sophie, glisse toi dessous. Tu nous fais signe quand tu as la bouche pleine.
Julie ressaisie les hanches de son père et d’un coup sec vient lui planter le god dans le cul !
– Alors ça t’excite que ton gosse te baise ? les petites bites de gamins t’excitent ? Et là hein ? une grosse queue en plastique ça te plait autant ?!
Julie se déchaine, telle une furie dans le cul de son père. Elle assure bien plus à le baiser à coup de god qu’avec son ersatz de bite. A ce rythme, Papa lopette ne tarde pas à couiner de jouissance. Sophie se dégage légèrement et bouche ouverte me montre sa récolte.
– Bien, très bien ! Avale tout et vient prendre la place de Julie.
Grimaçant, Sophie avale le jus de son père.
– Laisse lui cinq minutes pour se remettre. Isabelle, en dessous.
Le temps s’écoule et Sophie démarre sa sodomie. Tout comme Julie elle se défoule dans le cul de son époux. Néanmoins, au bout des cinq minutes fatidiques toujours rien. Je commence alors à lui fouetter le cul à coup de ceinture. Au bout d’une dizaine de coup, pas plus, Sophie lui choppe alors les couilles et les écrasent
– Mais tu vas jouir sale merde !!!
Aussitôt, Pierre se déverse dans la bouche d’Isabelle qui m’exhibe sa récolte.
– Très bien ! Et de deux ! Avale
ce qu’elle fait d’une franche grimace.
– Ben quoi ? t’aime plus le sperme ?
– Si, mais pas le sien, ça me donne envie de vomir. J’ai l’impression de lui faire une fleur en lui accordant ça aujourd’hui alors que je lui ai toujours refusé.
– Et bien… tant mieux ! maintenant libre à toi de te venger dans son cul. Vient le lui défoncer, Julie, va au biberon.
– ho oui, je vais bien m’amuser avec ton cul ! depuis des années t’es incapable de me baiser, t’es juste bon à baiser ta secrétaire ! et depuis, je te ramone ton derch se sous merde ! mais jusque-là t’avais rien vu ! quand j’en aurais finit avec toi, tu pourras plus t’assoir ! La machine là, à côté c’est du divertissement !
Et sans attendre qu’il se soit remis elle lui plante le god en profondeur, et bien plus virilement que ses filles elle lui lime l’anus avec rage ! La valse est intense, puissante, profonde. Malgré tout, Pierre prend son pied, il gémit de plaisir, et alors qu’il est sur le point de jouir Isabelle s’arrête net, lui ruinant son orgasme. Elle le laisse bien passer et redémarre. Donc forcément, au bout des cinq minutes il n’a pas jouit et, d’un regard plein de rage, mais suppliant elle m’invite à lui fouetter le cul. Ce que je ne manque pas de faire pour son plus grand plaisir. Mes coups pleuvent, mais bien moins rapidement que les coups de reins d’Isabelle qui à plusieurs reprise lui refuse de jouir, allant jusqu’à lui bloquer à la base du périnée.
– Alors, ça te fait quoi de rester sur ta faim hein ? ça te fait quoi de penser prendre ton pied et finalement rien ? Pendant des années où je te laissais me sauter, je jouissais à peine, la plupart du temps tu tirais ton coup, te vidait en moi et hop finit.
La valse dure plus de trente minute quand soudain elle lui att**** les couilles, une dans chaque main, et tire dessus pour le faire venir s’empaler sur le god
– Aller jouit maintenant grosse merde ! Jouit !!
Docile ou à bout, Pierre finit par se lâcher dans la bouche de Julie dans un long râle mêlant douleur et plaisir. De toute évidence, il a pris un pied de taille car malgré tout ce qu’il a enduré, la bouche de Julie est tapissée d’une épaisse couche de sperme.
– Bien, bien, bien. Maintenant on va arroser tout ça ! Tout le monde à la douche.
Les filles trainent Pierre avec empressement au bout de la laisse et ce malgré les entraves qu’elles portent. Elles jettent Pierre dans la douche. Je décide de leur retirer tout leur équipement avant de les faire rejoindre Pierre dans la douche.
– Alors, un départ ça se fête au champagne non ? Pierre, tu as soif ? Laquelle veut commencer ? il va vous boire à la source.
Hésitantes, elles se regardent, peu décidées
– Ben quoi ? c’est quoi le problème ?!
– Maitre, nous ne souhaitons pas trop qu’il nous touche en fait…
– Ha mais ça suffit aujourd’hui bon sang ! c’est quoi ces histoires à contester mes instructions !? Bon, je passe le premier, quand j’ai terminé il y a intérêt à ce qu’une de vous soit prête.
Je présente ma queue à Pierre qui la prend en bouche, résigné, et je me lâche. Mon urine se déverse dans sa bouche, dans sa gorge. Mon flux
Ajouter un commentaire