À 7 h 45, réveillée par la sonnerie, elle éprouva à la fois une sensation de plénitude et quelques courbatures qui lui rappelèrent les vigoureuses pénétrations d’Antoine.
Elle se souvint également de ce qu’il lui avait demandé et, au souvenir de sa queue, elle comprit qu’elle lui obéirait.
Elle se leva donc, passa sous la douche, massant son corps qui frémissait déjà à l’idée de ce qu’elle allait faire. Elle n’avait dormi que quelques heures, elle avait plus fait l’amour en une soirée que depuis plusieurs mois, mais elle n’était pas rassasiée, au contraire.
Résistant à la tentation de se caresser, elle sortit de la douche, se sécha, et choisit parmi les quelques vêtements qu’elle avait apportés ce qui lui semblait devoir correspondre aux exigences de son jeune amant : un ensemble de sous-vêtements en dentelle rouge, le soutien-gorge pigeonnant bien visible à travers le mince chemisier blanc, le string invisible sous une jupe en tissu beige droite et moulante, une paire de Dim-up couleur chair et des escarpins assortis à sa jupe.
Ce n’était pas spécialement sexy, mais très féminin mais, de toute façon, elle n’avait pas prévu de garde-robe adéquate. Elle décida de se ratt****r sur son maquillage, insistant sur les contours de ses yeux, et surtout de ses lèvres. Elle allait devoir utiliser sa bouche, aussi elle lui appliqua une épaisse couche de gloss qui la faisait encore plus ressortir.
À 8 h 30, elle était prête.
En vérifiant sa tenue dans le miroir, elle se trouva pas si mal, pour une femme de 44 ans : mince, élégante malgré un maquillage un peu trop prononcé pour une honnête femme.
Elle correspondait à l’archétype de la couguar salope sur laquelle fantasment les jeunes mecs.
Elle quitta sa chambre sur la pointe des pieds, évitant ainsi le claquement de ses talons aiguilles sur le parquet, autant pour ne pas réveiller Antoine que pour éviter que les autres occupants de la maison, en l’occurrence les parents du jeune homme, ne l’entendent.
Elle ouvrit discrètement la porte de la chambre d’Antoine. Dans la pénombre, elle distingua le corps de son amant endormi. Elle s’approcha, retenant son souffle.
Passant devant le miroir de la cheminée, elle distingua sa silhouette.
Elle se rassura, elle était satisfaite de la cambrure de ses fesses moulées par sa jupe serrée, de ses petits seins qui pointaient. Son port altier et son chignon lui donnait un air d’apparence sérieux et rangé qui contrastait avec ce qu’elle s’apprêtait à faire : réveiller son neveu en lui taillant une pipe.
Arrivée prés du lit, elle s’agenouilla, glissa une main sous les draps qu’elle releva au niveau du bassin du jeune homme.
Il était étendu sur le dos, nu, son sexe au repos pendait vers elle.
Elle approcha ses lèvres, l’odeur qui lui sauta au nez lui rappela leurs ébats de la nuit passée, et cette évocation acheva de l’exciter.
Elle commença par lécher lentement la verge, plusieurs fois, du sommet à la base, puis l’inverse. Très vite elle senti la colonne de chair durcir, se dresser.
Délicatement avec deux doigts, elle redressa le membre et l’engloutit lentement, le serrant bien avec ses lèvres. Elle essaya de l’avaler entièrement, forçant le passage de sa gorge, avant de remonter la tête tout en aspirant le plus possible le sexe en un effet de ventouse très efficace.
Après quelques allers-retours, elle sentit la main d’Antoine se poser sur sa tête.
Son sexe était à présent raide comme une trique et Marie s’activait dessus en alternant les gorges profondes, les léchages, les bisous, tout en malaxant les couilles du garçon qui accompagnait cette fellation de légers coups de bassin et de grognement tout en guidant la tête de sa tante quand elle replongeait sur sa bite.
Ce sexe dur et brûlant était un vrai régal, elle était heureuse de donner du plaisir à son jeune étalon. Elle s’appliquait à lui prodiguer la pipe de sa vie, cherchant du bout de la langue les zones érogènes les plus réactives, ou bien aspirant le gland fortement pour faire monter la sève. Elle en bavait de plaisir et des bruits de succions obscènes accompagnaient sa fellation i****tueuse.
Très vite elle sentit les frémissements annonciateurs du plaisir d’Antoine.
Elle l’engloutit le plus possible alors qu’il explosait, maintenant fermement la tête de Marie collée sur son bas-ventre, ses doigts crochés dans son chignon.
Elle avala consciencieusement les salves de sperm qui se ruaient dans sa gorge.
Échevelée, haletante, elle releva les yeux pour constater que son jeune amant était assommé de plaisir.
Elle était satisfaite de lui avoir donné tant de jouissance, et compte tenu de la moiteur qu’elle sentait entre ses cuisses, elle y avait également pris un plaisir certain…
– Putain, tu es une pipeuse de première!
Décidément le langage cru du garçon la surprenait, lui qui était si poli jusqu’à présent…Mais c’est vrai elle l’avait bien pipé et elle appréciait le compliment.
– A ton service, mon grand lui dit-elle avec un grand sourire.
Elle se releva, immédiatement Antoine glissa une main derrière son genou et remonta le long de sa cuisse. Sentant la main baladeuse, elle s’immobilisa pour lui permettre son exploration.
-Humm, j’adore ta tenue, tu fais très secrétaire salope. Je suis sûr que ton boss a envie de te sauter dés qu’il te voit, en tout cas moi je m’en priverai pas…Putain t’es trempée!
Il avait en effet atteint son string après qu’elle eut écarté les cuisses pour faciliter la remontée de la main d’Antoine. Sentant les doigts presser son clitoris et frotter ses lèvres à travers la dentelle, elle se cambra en poussant un gémissement. Ce petit salaud la faisait partir au quart de tour!
-Whouah, t’es chaude comme la braise, une vrai pouliche en chaleur…Tu sais quoi? Tout à l’heure avant le déjeuner, je veux que tu m’attendes dans les écuries. Tu verras, il y a un box de libre, tu relèves ta jupe, et tu te pencheras en avant en te tenant à la mangeoire. Je t’interdis de te retourner. Je viendrai te saillir comme une bonne jument.
Après ce réveil « tonique » Marie retourna dans sa chambre se changer, et enfiler une tenue plus adéquate à la situation et à son programme, à savoir son bikini et une tunique légère.
Dans la cuisine, Dominique s’affairait déjà.
Marie lui tint compagnie, buvant un café lorsqu’Antoine arriva à son tour, saluant sa mère puis sa tante de tendres baisers. Elle tenta de ne pas repenser aux derniers événements, mais rien que de voir ce beau jeune homme tout le plaisir qu’il lui a donné resurgit et la troubla. Discrètement, alors que sa mère leur tournait le dos, il caressa le cul de sa tante qui surprise sursauta, puis, excitée par la situation, ne peut s’empêcher de se cambrer pour offrir sa croupe à la caresse appuyée, comme pour signifier sa soumission.
Antoine, l’air de rien, informa sa mère que Chloé viendrait déjeuner et passer l’après midi. Dominique était ravie de pouvoir présenter la petite amie de son fils à Marie :
– Tu verras, elle est délicieuse…
Marie savait déjà qu’elle était issue du même milieu qu’eux et que sont père était également adepte de chasse à courre, mais une petite pointe de jalousie lui disait qu’elle risquait de l’agacer.
Comme si il avait deviné ses pensées, et pour la rassurer sur son sex-appeal, Antoine lui flatta une dernière fois les fesses descendant même jusqu’à l’entrecuisse, puis sortit de la pièce la laissant quasiment au bord de la jouissance.
Le reste de la matinée se passa au bord de la piscine, avec une étude approfondie des derniers potins du gotha et de la jet-set relatés dans la presse spécialisée.
Vers 11h30, Antoine en passant prés d’elle lui glisse à l’oreille :
– Il est temps d’aller à l’écurie, ma belle.
Dire qu’elle n’attendait que ça serait exagéré, mais elle n’avait pas oublié la promesse faite ce matin.
Suivant donc les instructions de son neveu, elle s’arrêta aux écuries qui se trouvaient à mi-chemin entre la piscine et la maison, et se rendit dans un box vide. Il y régnait une douce pénombre, et la quiétude était juste troublée le grignotage et les piaffement des deux chevaux. Elle s’avança contre la mangeoire, baissa le bas de son bikini, releva sa tunique au dessus de ses fesses et se pencha en avant.
Elle avait l’impression d’attendre son étalon, un peu anxieuse tout de même de se faire surprendre dans cette posture sans équivoque, le cul nu et offert au premier venu.
Enfin un bruit de pas se fit entendre, et lorsque la porte du box s’ouvrit, l’anxiété s’était transformée en excitation.
Elle ne bougeait plus, et sentant la présence derrière elle se cambra un peu plus.
Elle frémit lorsque les mains du jeune homme la prirent au hanche, et c’est tout juste si elle ne hennit pas lorsqu’il l’embrocha d’un coup. Heureusement qu’elle était prête car il la besogna rudement sans se soucier d’elle. Agrippée à la mangeoire, elle se mordait les lèvres pour retenir les gémissements qui lui venait à la gorge.
Il explosa très vite, se fichant en elle brutalement, elle sentit son sexe vibrer et la semence chaude envahir son vagin, cette sensation la fit jouir, mais tout juste, elle aurait aimé que cela dure un peu plus longtemps…
C’était visiblement le cadet des soucis du jeune homme. Il se retira d’ailleurs tout de suite laissant dans le ventre de Marie une sensation de vide, et alors qu’elle n’avait pas retrouvé une respiration normale, il avait déjà quitté le box.
Les jambes flageolante elle se rhabilla rapidement, remis un peu d’ordre dans sa chevelure, et sortie de l’écurie. Heureusement elle ne croisa personne jusqu’à sa chambre car elle sentait ses joues en feu et avait l’air un peu hagard…
Elle redescendit pour déjeuner, retrouva toute la famille à table, en présence de Chloé assise aux cotés d’Antoine.
Elle était effectivement charmante, une véritable petite poupée, jolie blonde aux yeux bleues, fraîche et innocente dans sa petite robe vichy bleue, elle avait un faux air d’Anna Kournikova. L’image même de la petite fille modèle. Elle était un peu timide et répondait presque rougissante aux questions sur l’avancée de ses études, elle passait en terminale S dans une établissement catholique réputée de la région. Marie avait appris par Dominique que les deux tourtereaux s’étaient rencontrés quelques semaines auparavant lors d’une soirée Rallye, et elle décela tout de suite que la jeune fille, si elle couvait des yeux son Antoine, était certainement encore vierge, et n’avait pas beaucoup d’expérience en matière de sexe. Connaissant à présent la fouge de son neveu, elle se demandait comment il se comportait avec elle.
Après le café, Marie repartit faire un petit somme et terminer ses lectures au bord de la piscine accompagnée de sa belle-soeur.
– Alors qu’est-ce que tu en penses?
– Oui, elle est charmante, mais elle est jeune non?
– 15 ans, mais elle passe en première S avec de très bonnes notes au bac de français. Ses parents ont de quoi être fière d’elle. Je ne sais si cela va durer avec Antoine, mais pour moi elle est parfaite, non?
– Oui, oui…Ils ont le temps…
Justement les deux amoureux arrivaient, Chloé enleva sa robe révélant un corps gracile et un bikini bleu ciel bien sage assorti à ses yeux. Marie, le regard caché derrière ses lunettes de soleil surveillait le garçon et vit l’éclair concupiscent qui passa dans ses yeux lorsque son regard s’attarda sur les petites fesses de la jeune fille avant que celle-ci ne plonge dans l’eau un mouvement gracieux.
Antoine ne semblait pas décidé à la suivre et reprit le chemin de la maison, et à mi-chemin, au niveau des écuries, entra dans celles-ci. Sans même réfléchir Marie se leva annonça à la cantonade qu’elle avait besoin de satisfaire un petit besoin et se dirigea également vers la maison. Discrètement, elle entra également dans les écuries où le garçon fumait une cigarette adossé au mur.
– Elle est mimi ta copine…Mais elle semble un peu coincée non?
– Oui, une vrai vierge effarouchée. Mais je dois dire que ça me frustre et ça m’excite en même temps.
Marie se rapprocha de lui attirée comme un aimant. Il posa sa main sur son épaule et appuya un peu. Elle comprit le message et se laissa glisser à ses pieds et s’attaqua immédiatement à la braguette d’Antoine.
– Faut que tu me soulages, elle m’excite trop…d’ailleurs l’idéal ce serait que tu l’éduques à être une bonne salope…comme toi.
Décidément Antoine pouvait passer du jeune homme charmant au goujat le plus total en l’espace d’un instant se dit Marie, mais alors qu’elle avalait le sexe déjà raide de son amant elle se fit la réflexion que cela faisait également parti de son charme.
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