Moi qui pensais en me préparant ce matin pour une autre journée de travail de merde que j’allais m’ennuyer au possible, et bien… j’avais raison. Mais au moins il faisait soleil et chaud pour la première fois depuis deux semaines, depuis que j’avais commencé ce boulot. J’avais donc enfilé quelque chose de léger : des dessous noirs, une camisole noire a l’effigie de Marylin Manson, des bas filets déchirés et une jupe d’écolière verte et blanche avant d’essayer de coiffer ma tignasse de sorcière blonde sans grand succès comme d’hab et de me maquiller à la gothique. Piercing, bijoux en argent et tatouage complétaient le tableau. Je m’étais regarder dans le grand miroir de ma chambre pour voir une grande blonde de 5′ et 6’’ hyper sexy de 21 ans, aux beaux yeux gris-bleu, au visage ovale parfait avec une taille de mannequin qui aurait pu faire bander le plus endurcit des Papes.
Malheureusement, tout ce que j’avais trouvé cet été comme boulot pour faire un peu d’argent en entendant mieux, c’était de distribuer des publicités dans les boîtes aux lettres. Marché toute la journée, sous la pluie le plus souvent depuis mon premier jour, en essayant d’éviter de se faire dévorer par des pitbulls, c’était abrutissant au possible même si cela me faisait des jambes d’enfer. Mais ce matin, la dizaine de gars débiles avec qui je travaillais avait salivé en me voyant sortir du métro en jupe d’écolière pour la première fois et en camisole, pouvant enfin admirer mes belles jambes fuselées et mon grand corps de blonde, sans gros manteau sur le dos. Même le patron qui venait nous prendre au métro en camionnette m’avait regardé avec envie quand j’avais embarqué à l’arrière. Mais ça, ce n’était pas vraiment nouveau, depuis le premier jour il ne pensait qu’a une chose celui-là, me baiser. Bref, je n’avais eu qu’une seule chose à me rappeler aujourd’hui, ne pas trop me pencher devant ces crétins en remplissant mon sac de publicité a l’arrière du camion, car s’ils avaient vue que sous ma jupe se cachait un pénis et des couilles ils auraient probablement déchanté les pauvres et j’aurais eu droit a toute sorte de commentaires débiles. Mais se balader en jupe courte c’est trop flippant, on a l’impression de se promener les fesses à l’air.
J’ai toujours été très efféminé et mal dans ma peau en garçon, alors, le changement, un an plus tôt, avait été tout naturel. Le traitement aux hormones avait fait pousser mes jolis petits seins parfaitement ronds et un peu plats et m’avaient donné de très belles courbes. Ma voix aussi avait changé, elle avait monté d’un cran et comme j’avais toujours chanté dans des groupes rock dans ma région natale, le Saguenay Lac St-Jean, en gars, là, je le faisais toujours ici a Montréal, mais en fille et j’allais chercher des notes beaucoup plus hautes. À présent, j’étais si bien dans mon corps, si heureuse, pour la première fois de ma vie que je riais beaucoup plus et que j’étais bien plus extravertie. J’étais devenue une vraie bombe qui tournait les têtes, ce dont j’avais toujours rêvé. Bref, la journée comme je le disais fut longue et ennuyeuse, mais pas la soirée… oh que non!
Laissez-moi vous raconter à quel point la vie de quelqu’un peut changer très rapidement. Il suffit parfois de deux coups de téléphone…
Le premier
De retour chez moi a la fin de l’après-midi, dans mon loft au 4 e étage d’une ancienne usine situer dans le quartier pauvre de st Henry a Montréal, la première chose que je fis fut de me débarrasser de mes runnings, de mes bas filets, de mon slip, de ma camisole et de mon soutif a motif de crâne pour les jeter dans le panier a linge et de gardé juste ma jupe d’écolière. Je reste presque toujours nue chez moi, j’aime trop mon nouveau corps de fille. J’aime me voir, je m’excite moi même, c’est un peu comme ce symbole du serpent qui se mord la queue, l’Orobos; voir des filles nues m’excite donc, me voir nue m’excite, surtout mes nouveaux seins très naturels. Trop cool! Eh oui, je ne suis pas homosexuel, mais bi.
Harasser par ma journée de marche abrutissante sous un soleil de plomb, j’avais mal au mollet et ne rêvait que d’un bon bain parfumé, j’empestais la sueur. J’ouvris la grande fenêtre qui donnait sur le canal Lachine pour laisser entré un peu d’air frais ce qui me chatouilla délicieusement les mamelons et les fit durcir. Je me les caresser en regardant au loin, quatre étages plus bas, la piste cyclable qui longeait le canal, une véritable autoroute a vélo, bondé par cette belle première journée d’été. Puis, j’ouvris ma mini-chaîne stéréo pour écouter du bon vieux Tangerin dream très relaxant. Ensuite j’allai a mon coin-cuisine et me prit une bonne bière glacée dans mon vieux frigo des années 60 peintes en verre lime avec des tas de photo de moi et de mon band heavy-métal et de selfies coller dessus avant de me laisser tomber, épuiser, dans mon gros fauteuil préférer en cuir vert élimer. Une antiquité que j’avais trouvée à côté du conteneur à déchet en bas dans le stationnement, comme presque tous mes meubles. Heureusement, il y avait un solide monte-charge ici. Le reste de mon mobilier provenait de marché à la puce ou de vente de bric-à-brac. Je rêvais de m’ouvrir un petit commerce de meuble usagé dans le coin, je mettais tout mon argent de coté pour ça, quoi que l’idée de me faire grossir les seins me trottait dans la tête aussi depuis un moment. J’aime bien être chanteuse, mais, ce n’est pas payant, en tout cas pour le moment, même si on a un gros fan-club qui remplit les bars où l’on se produit. J’ai un tas de fans qui me croit vraiment une fille et qui rêve de me baiser. C’est plutôt cool, non? Moi je trouve…
J’adore mon loft industriel, je loue pour une bouchée de pain, car il n’y a pas beaucoup d’aménagement ici, le strict minimum. Rien à voir avec les lofts de luxe en face, de l’autre côté du canal. Dans cette ancienne usine il y en a douze et presque tous louer. Le mien est isoler tout en haut du vaste bâtiment, une ancienne salle de séchage de babioles en plastique séparer en cinq pièces sans aucune porte, sauf la toilette. Je n’ai pas de voisin à part en dessous et le plancher est en ciment, donc on ne me dérange pas et je ne dérange personne, même en dansant comme une folle à 4 h du mat, avec la sono à fond la caisse. Des tagueurs c’était bien amusé ici avant que l’usine soit rachetée et transformé, et la décoratrice des proprios avait décidé de garder plusieurs de ces chefs d’œuvres urbains. Mes murs étaient couverts de graffitis, certains carrément obscènes. Comme j’ai dû talent en dessins j’en avais même rajouté. Trop cool!
Mais la, j’étais épuisé et j’avais mal au mollet et je fixais en salivant tout en me pressant distraitement les couilles molles, lourdes, et sans aucun poil sous ma jupe, ma vieille baignoire sur patte situer en plein milieu de mon salon. Je l’ai repeinte en rouge sang à l’extérieur avec des crânes noirs de pirate dessus fait au pochoir. Elle est vraiment cool avec sa tuyauterie qui monte jusqu’au plafond. Mais le soleil m’a taper si dur sur la tête cette après-midi que je décidai de finir ma bière avant de me laver.
WAIS! J’aimais mon nouveau corps de fille et ma nouvelle vie. Enfin seul en appartement depuis plus d’un an, c’était trop hot. Restait à avertir ma mère qui vivait à l’autre bout de la province qu’elle n’avait plus un garçon, mais une fille maintenant. Seigneur! Je manquais de courage pour lui avouer à cause de la crise de larmes qui allait suivre inévitablement. Même ma sœur ne le savait pas encore ma demie-sœur en fait, adopter par ma mère quand elle était jeune. Elle, elle était vachement cool, j’étais certaine qu’elle me trouverait trop hot. Quant à mon band, et bien, j’avais du leur annoncé la nouvelle un soir à trois heures du mat dans un motel en région. Saouls, ils avaient voulu me prendre en gangbang, alors… pas eu le choix. Déçut les gars vous pensé? Oh oui, pas le genre a aimé les bites, même les filles avec une bite, de vais machos. Gros caucus le lendemain pour décider s’il me gardait ou pas. Ce fut oui, car je chante vraiment bien et que je suis vraiment bandante. Ouf! Et puis, ils ne sont pas allergiques à une bonne pipe, même par moi. Parfois la route est longue pour revenir à Montréal en camionnette, alors…
Perdu dans mes pensées, je sursautai quand mon téléphone rose vibra sur le vieux coffre en bois qui me servait de table de salon. Je le ramasser et lut; inconnu. Intriguer, je répondis.
-Oui.
-Christine Tremblay?
Une voie d’homme et très sexy. Je ne pus m’empêcher de sentir mon sexe me chatouiller tout comme mes mamelons. Je pris ma bite pour me la caresser en souriant, décalottant mon gland en forme de cloche.
-Oui.
-Salut! Je m’appelle Paul Marchand et je suis photographe professionnel. C’est le guitariste de ton band qui m’a donné ton numéro.
-Jean-Guy?
-Oui, je t’ai vue sur YouTube, je te trouve magnifique, vraiment cool. J’ai communiqué avec lui, car j’aimerais te poser et…
Mon petit cœur s’emballe. Cet idiot de Jean-Guy aurait du m’en parler avant de lui donner mon numéro. C’est lui qui gère notre compte YouTube. Le gars devait me prendre pour une vraie fille et devait faire du nu sinon, il passerait par une agence pour avoir un modèle, enfin, j’imagine. C’était quand même flatteur, mais impossible. Shit! Jean-Guy, t’es un foutu débile.
Note à moi-même; mordre la bite de Jean-Guy la prochaine fois que je l’aurai dans la bouche.
-…Et je donne 500 $ la session aux débutantes. C’est du nu (évidemment), mais je ne suis pas un amateur, je fais ça depuis 10 ans. Ça dure en moyenne 5 heures avec l’habillement et le maquillage.
Mes petits yeux gris-bleus devinrent tout rond. Moi qui avais désespérément besoin d’argent. Et puis cela aurait été vraiment cool de poser même nu. On me disait souvent que je devrais essayer de devenir mannequin, mais avec une bite… pas sur. Faut vraiment le savoir que j’ai un pénis sous ma jupe, avec mon nez refait, mes seins qui ont poussé naturellement à cause du traitement aux hormones, etc. Bref, je suis vraiment une très sexy, mais tout de même, en bikini, ça se voit. Et je m’entendis dire très déçu :
-Non, désoler, je ne suis pas intéressé.
-Écoute, c’est du nu c’est vrai, mais tu peux venir avec qui tu veux, on est des vrais pros. Ton copain, un parent, un ami. On s’arrange pour que nos shemale…
Boum, boum, boum… en entendant le mot shemale, mon cœur accélère et je me lâche la bite. Comment savait-il ça lui? Jean-Guy probablement. Dire que le band voulait que je garde ça secret. Bravo, Jean-Guy.
-… Soit a l’aise, détendu et tu poserais seul pour commencer avec moi et Sophie la maquilleuse, personne d’autre sauf la personne qui t’accompagnerait. On fait de la belle photo, qu’on vend ensuite à de grandes compagnies sur le web et à différent magazine. Va voir notre site; wwwsheetranscanada.com. On a posé la belle Bailey Jay il y a un mois lors de son passage à Montréal, alors….
-Bailey Jay… cria-je presque en me penchant en avant pour poser ma bière sur le coffre en fixant mes ongles d’orteil peint en noir. Sérieux?
Mon cœur a sauté une coche cette fois. La plus belle des shemales, pour moi, mon idole. Je ne pus m’empêcher de me prendre la bite a nouveau sous ma jupe et de me la caresser tellement la belle BJ me faisait bander.
-Je vois que tu la connais.
-Oh oui, enfin non, j’ai juste vu les vidéos et des photos, elle est si mignonne.
-Et très gentille. Nos photos d’elle sont sur notre site. Alors, tu vas y réfléchir? T’as mon numéro.
-Mais, qui vous a dit que j’étais une shemale? Jean-Guy?
Il rit et dit :
-Non, j’ai mon studio en bas de chez toi, je suis ton voisin d’en dessous, et l’autre jour en marchant le long du canal je t’ai aperçu nu devant ta fenêtre. On s’est croisé quelques fois avant ça, je te trouvais déjà jolie, mais quand j’ai vu ton pénis, là, je me suis dit; wow! Je veux qu’elle pose pour moi. Je suis venu frapper chez toi quelquefois, mais tu n’es pas la souvent ou tu ne répond pas alors j’ai fait des recherches sur internet pour voir si tu posais déjà pour quelqu’un d’autre, mais j’ai rien trouver. Puis, Sophie, mon assistante, qui aime le métal cover est tombée sur vos vidéos sur YouTube, Voila. T’es pas seulement très belle, tu chantes vraiment bien Christine et tes bds sont fantastiques. J’ai suivi le lien qui mienne a ton site. Tu pourrais même poser devant des décors que tu auras dessinés ce serait vraiment hot.
Wow! Je me sentais étourdit, je planais me voyait déjà le faire, poser nu et la je réaliser que…
-Tu as dit que tu avais ton studio ici?
-Oui, juste sous ton loft, viens faire un tour si tu veux. Je suis ici pour encore pour une heure.
-La, j’ai pas le temps, mais ça veut dire que Bailey Jay…
-Et oui, elle est venue ici, tu aurais pu la rencontrer.
-Merde… OK, ça m’intéresse, mais je vais visiter ton site avant, ensuite on se parlera.
-Parfait, demain matin tu es libre?
-Oui. Répondis-je sans réfléchir tellement ça m’excitait déjà. Denis, mon patron, pourrait se foutre ces circulaires dans le cul à défaut de ma bite.
-Parfait, loft 3, à 10 h ça te convient ma belle?
-Oui.
-Super a demain et, honnêtement, je t’ai bien regardé sur YouTube et des comme toi, y en as pas beaucoup. On en parlera demain, mais je pourrais devenir ton agent. Mais juste pour de la photo, les films pornos je touche pas à ça, pas encore. Mais, même la, juste avec de la photo y as beaucoup d’argent a faire Christine pour une belle shemale. Bon, faut que je te laisse. Bye!
-Bye….
Je rester figer téléphone en main, la bite toute molle dans l’autre, les yeux dans le vide a joué avec mon piercing de langue un bon deux minutes en retournant dans ma tête tous cette conversation. Puis, je réaliser vraiment que Bailey Jay était apparemment venu dans mon immeuble et même dans le loft juste en dessous pour poser nue. Wow! J’en avais la chair de poule malgré la chaleur humide.
Me v’là debout à sauter comme une folle et danser en aspergeant mon plancher en ciment de bière. Yaouuuuu! Je me voyais déjà prendre des poses devant un photographe bander dur, exposant mes couilles a la planète tandis que mon compte en banque gonflait et gonflait et gonflait. Fini les circulaires de chiot… et.. Outch. Je venais de me cogner le tibia sur le coffre, maudit! Je me laisser tomber dans mon fauteuil en me le frottant comme un blooper de Jacki Chan. Merde! Ça fait mal…
Un peut calmer par la douleur, j’ouvris Google sur mon ordi portable qui trainait aussi sur le coffre et visiter le site en question. Je l’avais déjà visité et j’y avais même downloadé toutes les photos de Bj. Dire que je ne savais pas à l’époque que certaines d’entre elles avaient été prises juste sous mes pieds. J’hallucinais, surtout en imaginant des photos de moi dans la même section et qui sait, peut-être avec elle un jour. Le monde est vraiment petit parfois. Mais, est-ce que j’avais vraiment envie de poser nue, moi la grande timide. Oh oui et ça payait en plus. Wow! wow! Et… re-Wow!
-WAIS, j’adore ma nouvelle vie, trop cool! Criai-j’ai mon loft.
J’appelai mon guitariste toute exciter, mais je tomber sur sa boîte vocale. Comme je déteste laisser des messages, je lui envoyer un texto pour savoir si les gars seraient d’accord pour que je pose nu. J’imagine que oui, vu qu’il avait donné mon téléphone au gars, un gars que j’avais croisé, mais il y en avait plusieurs ici. Je fini ma bière survolter en réalisant aussi que l’on pouvait me voir du canal me balader nue et voir ma bite. Oups! Je finis ma bière et aller m’en prendre une autre avant de me débarrasser de ma jupe et de faire couler mon bain.
Enfin assise dans de l’eau jusqu’au sein, je regardais mes pieds appuyer sur le rebord du bain en me sentant fébrile, toute électrique, perdue dans mes pensées, rêveuse, me voyant déjà une grande vedette comme BJ. Et oui, la tête m’enflait déjà, je me sentais vraiment, mais vraiment survolté. Du calme ma vieille! Mais, ça, ce serait vraiment trop cool. Même se toucher ou faire un film ensemble. Ça aussi ce serait bandant à mort. Mais là, j’allais un peu vite en affaire, car je me connaissais bien. Si je n’aimais pas le photographe, il aurait beau m’offrir la lune je l’enverrais baladé. Mais, si cela me donnait une petite chance de rencontrer BJ et même de coucher avec devant les caméras alors… Merde. La tête me tournait et je riais comme une folle entre deux gorgées de bière, une vraie malade. Mais peut-être qu’elle, elle ne voudrait pas. Oups!
-Woh, me dis-je, revient sur terre ma grande.
Je m’imaginais parfois faire ce genre de chose, du porno, j’en consomme beaucoup depuis longtemps. Mais entre l’imaginer et le faire, il y a un monde et j’étais pas certaine que ce milieu-là me plairait. Ce téléphone risquait de changer ma vie… mais en mieux, ou en pire? En mieux, pas de doute. Rien ne pouvait être pire que de distribuer des publicités.
Note à moi-même; faire la pipe du siècle a Jean-Guy la prochaine fois qu’il en voudra une et jusqu’a que les yeux lui sorte de la tête ou soit aspirer par en dedans tellement j’allais y mettre du cœur.
Je me laver la tête, ça me calma un peut. Puis je repenser à Denis, mon patron qui devait venir me prendre vers 7 h pour m’amener aux danseuses nu. L’aquarium du sexe, pas croyable. J’ai pas mis les pieds dans un club de danseuses nues depuis l’adolescence et ça ne m’avait pas vraiment plu, voir c’est filles qui se trémoussait autour d’un poteau ou étendu sur une couverte m’avait à peine fait bander, même si elles étaient mignonnes. Mais j’avais accepté, même s’il était marié et avait deux enfants, par curiosité, voir des sirènes évoluer sous l’eau avec des boules en silicone ça devait être drôle à mort. Mais comme mon patron pensait amener une belle fille blonde dans la vingtaine là-bas pour la sauter ensuite dans un motel probablement(ça, c’était sur et certain,) je lui avais donc avoué ce que j’étais vraiment en lui faisant promettre de ne pas en parler aux autres. Je le trouvais trop craquant avec sa moustache et son corps de catcheur dans la trentaine et ses beaux yeux bleus envoûtant. Mais valait mieux lui dire avant que j’avais une bite, que pendant, au risque de me faire planter la, au royaume des sirènes ou dans un motel minable. Il avait été très surpris évidemment, mais avait fini par sourire en disant que ça ne le dérangeait pas que je sois une shemale, au contraire. Yes!
Note à moi-même : ne pas oublier le lubrifiant anal.
M’imaginer le sucer et surtout penser à Bailey Jay me fit bander sous l’eau et me donna le goût de baiser Mimi (ma copine secrète) après avoir mangé quelque chose. Je m’appliquer du Keetex a séchage rapide, du noir, sur tous les ongles et sortit du bain, me sentant beaucoup mieux. Je me sécher puis je me contenter de peigner mes longs cheveux blonds du mieux que je pouvais, car mon épaisse tignasse était toute emmêlée et je rester nu comme d’habitude pour souper.
Puis, je me pris une autre bière, me remplit la pense et sortit ma copine d’un des casiers industriels que j’avais récupérés au sou-sol pour les installé dans mon salon et que je gardais soigneusement cadenassé. J’en avais 12 de ces casiers le long d’un mur, deux rangées de 6, bosseler et taguer, qui me servait a ranger toute sorte de choses dont Mimi, ma poupe gonflable BBW a gros seins et gros cul. J’avais peu de visite à part les gars du band, mais Mimi était mon petit secret honteux, alors je la gardais en prison, pour être sûr qu’un des gars ne tomberait pas dessus en fouillant mes casiers.
Je l’avais appelé Mimi, car elle ressemblait pour ce qui est des rondeurs à Mireille, ma sœur par adoption, que tout le monde appelait Mimi. Mignonne comme toute ma petite sœur qui me faisait fantasmer depuis des années, comme tous les autres gars du cartier et de l’école où nous allions. Ma Mimi a moi par contre, était laide a faire peur avec sa bouche arrondit, alors je lui enfilais soit une cagoule quand je la prenais pas la bouche, soit un masque a gaz, quand je l’enculait ou la prenait par le vagin.
Quoi? On a tous nos petits besoins, non? Pas évident pour une fille comme moi de baiser une fille. Vous me suivez?
Ma demie-soeur habitait toujours avec notre mère à Chicoutimi et je ne les avais pas vues depuis un an. On ne se voit qu’a Noël, 8 h d’autobus pour descendre là-bas ça m’ennuyait au possible et ma mère détestait Montréal, elle ne voulait jamais venir et tant mieux, pour l’instant. De toute façon, je ne pouvais pas l’imaginer sur mon sofa figer devant les bites et les vagins taguer sur mes murs. Seigneur, elle en perdrait connaissance. Ma mère avait adopté Mireille alors qu’elle n’avait que 5 ans, nous avions donc grandi ensemble. Elles allaient avoir toutes les deux une méchante surprise à Noël prochain quand j’allais débarquer, en fille. Seigneur, ma mère allait sans doute crier au meurtre et Mimi elle, qui avait maintenant 18 ans, sûrement me trouver très cool… enfin, je ne sais pas trop. Même sur Twitter où Facebook je n’osait pas leur dire tellement j’avais peur de leurs réactions. Je leur avais même menti en disant que ma web Cam était cassé. Je ne répondais même pas au téléphone depuis quelques mois quand elle ou ma mère appelait depuis que ma voix avait changé. Je répondais en texto ou sur Facebook m’inventant des excuses, et de toute façon, on s’appelait rarement, même avant mon traitement aux hormones. Moi et Mireille nous étions tout de même les meilleurs amis du monde, mais j’étais son idole, son grand frère adoré, un artiste. J’ai toujours eu beaucoup de talent pour dessiner, je fait même de la bédé et je suis publié a l’occasion et elle m’enviait ce talent. J’avais donc une peur bleue de la décevoir. Quand a mon père, lui… envolé dans la nature avant même ma naissance.
Je placer ma poupée gonflable avec son masque a gaz à genoux, pencher sur mon fauteuil pour ensuite lui lubrifier l’anus bien étroit avec mon index tremper de crème, puis me lubrifier la bite et me masturber un moment en caressant mes petits seins d’ados bien ronds et un peut plat, pour m’amener en érection. J’ai une belle bite de presque 8 pouce et bien droite avec un gros gland. J’enculé Mimi en me languissant déjà de plaisir, bon, c’est pas aussi bien qu’une vraie fille, mais ça soulage. Je ne m’attendais pas à grand-chose quand j’avais acheté cet objet laid à faire peur par internet, mais par contre, j’avais été agréablement surpris en l’essayant la première fois. Ça comblait mes petits besoins de Shemale de 21 ans, encore mieux que je l’imaginais. Même mieux que mon vagin en plastique transparent en forme de lampe de poche. Me v’là a enculer Mimi en m’imaginant star du porno. Seigneur!
Et v’là mon iPhone qui vivre a nouveau…
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