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Une vie aventureuse

Une vie aventureuse



Je sentais que ma vie allait tourner à la catastrophe. Je louais un studio à un retraité et pour le payer, je travaillais dans un bar jusqu’à minuit la plupart du temps puis le bistro avait fermé à la suite d’une bagarre entre clients et pas question de toucher le chômage parce que j’étais payée au black.
Alors, forcément, quand est venu le moment de payer mon loyer, je n’avais pas assez d’argent mais mon propriétaire m’a laissé un mois pour le régler et le mois suivant, comme je n’avais pas trouvé d’autre boulot, j’en étais au même point. Je ne faisais plus qu’un repas par jour et certains jours, je me contentais d’un morceau de pain. Un copain de fac m’avait demandé si je fais un régim mais il n’était pas question que je lui avoue mon infortune.
J’avais été boulotte mais si je maigrissais, mes seins ne bougeaient pas et ils me semblait de plus en plus incongru qu’ils soient aussi gros sur un torse aussi menu mais ils avaient fini par pendre.
Une copine m’avait dit qu’elle travaillait dans une agence et je lui avais demandé si elle peut me faire embaucher mais en apprenant ce qu’elle y faisait, j’avais été si effrayée que j’avais renoncé. Il n’était pas question que je fasse la pute, me mettre à poil devant des types qui vous demande de faire des trucs dégueulasse mais elle, ça ne la génait pas.
Un peu plus tard, une femme m’avait abordée pour me demander si je ne voudrais pas passer une soirée avec elle. J’avais très faim et j’avais accepté et nous avions couché ensemble puis elle avait insisté pour qu’on recommence et elle m’avait offert de l’argent et j’avais recommencé.
Je crois bien qu’elle était amoureuse de moi mais elle me faisait penser à ma mère et… Les gens sont bizarres et cette femme n’arrêtait pas de me téter les seins et elle ne pensait presque jamais à autre chose.
Son argent me m’avait pas servi longtemps. Il fallait que je paie mon loyer. Quand mon propriétaire est venu, je lui ai avoué ma situation et je lui ai balancé tout le tralala de mon roman. Il m’a répondu que ça passera pour cette fois-ci puis il m’a dit qu’il y a forcément quelque chose en échange. Je m’en doutais un peu, encore que, vu son âge, je me suis demandé s’il était encore capable de quelque chose.
J’étais chez lui. Je lui ai demandé s’il faut que je me déshabille. Il m’a laissé le choix et comme je voulais l’influencé, j’ai retiré mes vêtements et je suis resté en soutien-gorge et petite culotte mais il m’a demandé de les retirer.
Je lui ai demandé s’il veut que je le suce. Vous auriez vu sa tête. Il m’a fait asseoir sur le bord de la table puis il m’a fait ouvrir les cuisses et il m’a tripotée avant de m’enfoncer un doigt dans la chatte. Ça a duré un bon moment et j’ai eu l’impression qu’il cherchait à me faire avoir un orgasme mais il s’y prenait mal et je lui ai dit que je vais le faire moi-même et je me suis masturbé devant lui et j’ai joui. Je me suis rhabillé et je suis parti et ce mois-là, je n’ai pas payé de loyer.
Je n’en ai pas payé non plus le mois suivant parce qu’il a recommencé la même chose et le mois d’après, j’ai expérimenté une nouvelle chose.
Je n’avais jamais utilisé de godemiché et là, mon propriétaire en avait un et ça me semblait énorme. Je me suis demandé comment un aussi gros machin pourrait entrer dans mon vagin. Mon propriétaire m’a rassuré et il m’a enfoncé le godemiché bien profondément. C’était extraordinaire mais j’ai dissimulé ma satisfaction. J’ai joui mais j’ai dit que j’ai mal.
Le mois suivant, c’était Pâques et je suis retourné chez mes parents. Bien sûr, je nai rien dit de mes malheurs. Après tout, c’était ma vie. En rentrant de vacances, mon propriétaire m’a dit que mon appartement était loué et qu’il avait mis mes affaires chez lui, dans une grande chambre. Même si nous avions une certaine intimité, j’ignorais tout de sa vie. J’ai trouvé que c’était bien plus spacieux. Bien sûr, il y avait la proximité mais je lui avais déjà permis beaucoup de choses.
Il y avait encore une chambre à côté de la mienne. J’ai demandé qui couchait là et mon propriétaire ne m’a pas caché que c’est sa fille, qu’elle vient de temps en temps le voir.
J’ai repris les cours. Un soir, je suis rentré. Sa fille était là. Elle m’a posé plein de questions pendant le dîner puis une fois seule avec elle, elle m’a demandé si j’avais jamais baisé avec une femme. C’était délicat pour moi de lui répondre. Pouvais-je lui avouer que j’avais fait l’amour avec une de mes tantes, la plus jeune sœur de mon père. Ça s’était fait tout seul. Elle s’était assise à l’écart et j’étais allée, en toute innocence, la retrouver et j’avais vu qu’elle était en train de se masturber. Elle m’avait demandé pardon avant de me demander de l’aider. Je pratiquais beaucoup à l’époque et je n’ai pas hésité. C’était la première fois que je masturbais autre chose que mon clitoris. J’ai commencé. Elle a posé sa main sur ma main. Avec un regard implorant, elle m’avait demandé si elle peut et elle m’avait masturbée. J’étais gauche et même brutale avec moi et elle était toute de douceur et j’ai un magnifique orgasme. Elle aussi. Cette nuit-là, elle est venue me retrouver dans ma chambre et nous avons fait l’amour. Je pouvais téter mes mamelons mais avec elle c’était autre chose. Elle n’est partie qu’avec le lever du jour. J’étais épuisée et j’ai dormi jusqu’à midi.
La fille du propriétaire est venue me rejoindre dans ma chambre. J’ai compris pourquoi il n’y avait pas de serrure et nous avons fait l’amour. Elle est venue toutes les nuits suivantes. Elle m’a apporté des cadeaux comme des godemichets ou des plugs. Elle voulait absolument que je les porte et que je sorte avec un plug anal. J’ai fini par le faire et j’ai déambulé sur le boulevard qui mène à la fac. C’était vraiment bon. A chaque pas que je faisais, j’ai manqué de défaillir mais quand je suis arrivée, une fille m’a demandé ce que j’ai dans le cul. Je n’ai pas pu lui mentir. C’était aussi une lesbienne et j’ai dû composer avec elle.
Elle avait des copines comme elle et je suis passée de fille en fille. Je vivais dans un tourbillon de lubricité. Un jour, j’ai compris que mon propriétaire m’avait regardée faire l’amour avec sa fille et même qu’il nous avait photographiées ou filmées.
Pendant les vacances d’été, j’ai accompagné mes parents à la mer. On avait encore la maison de ma grand-mère. Un jour que je me promenais avec eux sur la plage, je suis tombé nez à nez avec une fille avec qui j’avais fait l’amour. Elle m’a fait un sourire. Ma mère m’a demandé si je la connais. Un peu plus tard, ma mère m’en a reparlé pour me dire qu’elle connaît ses parents puis elle a ajouté que cette fille est une gouine. « Et alors, lui ai-je demandé ? » Ma mère m’a avoué qu’elle s’était toujours demandée comment ça serait si elle avait vécu avec une femme. Je lui ai répondu que le principal c’est d’être heureux. Un peu plus tard, elle m’a encore dit que ça ne la gênerait pas si j’étais gouine, ajoutant qu’elle m’imagine très bien faisant des galipettes avec cette fille.
Ses réflexions m’ont échauffée et je me suis laissée tenter un soir que j’ai rencontré la fille sur le mail. Je l’ai suivie chez elle et nous avons fait l’amour. Elle avait un gode ceinture et nous l’avons utilisé toutes les deux. Elle en a profité pour m’enculer et je lui ai fait la même chose et elle m’a avoué que c’est vraiment bon. J’étais du même avis. Ses parents nous ont rejointes et je leur ai donné du plaisir. J’étais trop heureuse pour refuser. Je n’avais jamais vécu d’aussi bonnes vacances mais ma mère a fini par apprendre ce que j’avais fait. Elle m’a passé un savon et même fessée mais sa main a dérapé et ses doigts se sont perdus sur ma vulve et elle m’a fait avoir un orgasme. J’ai eu un peu honte mais le feu de la bagarre, j’ai continué et j’ai donné satisfaction à ma maman puis mon père est arrivé. Maman lui a dit qu’il ne peut pas devant, pas ce soir et il m’a prise dans l’anus et comme quand j’étais toute petite, j’ai fini la nuit entre mes deux parents. Le lendemain matin, c’est eux qui avaient honte de ce que nous avions fait.
Je me promenais à poil dans la maison. Ma mère me criait après et mon père me pelotait fesses et seins et moi j’attendais qu’il ait une érection et quand il a bandé, je lui ai dit de me la mettre et j’ai commencé par lui faire une pipe puis il m’a baisée et encore enculée.
Pendant la dernièore semaine de nos vacances, ça n’a pas arrêté. Quand ce n’était pas papa, c’était maman. J’avais aussi tout le temps de me masturber et j’y passais la plupart de mon temps libre si bien qu’au lieu de me reposer, je suis rentrée complètement épuisée.
La fille de mon propriétaire venait de partir. Il était seul. Il avait envie et je l’ai aidé à bander et il a pu me prendre et ce sont un des plus beaux moments de ma vie d’étudiante. Quelques années après, pour ne pas rester seule, j’ai épousé un interne qui m’avait demandé en mariage. Il était tout feu tout flammes au début et il ne savait rien de mes goûts mais quand il s’est établi, il a embauché une assistante et j’ai pu faire l’amour avec elle et ça dure toujours.

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