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La petite joaillière

La petite joaillière



En tant que joaillière, j’étais très souvent invitée à des soirées données par des clients. Je venais d’avoir vingt-six ans, j’étais célibataire depuis peu de temps et ce genre d’occasion me changeait les idées. Je gagnais bien ma vie et je ne côtoyais que des gens riches.

Ce soir-là, la soirée eut lieu chez Julie et Marc, un couple qui avait la cinquantaine et que je connaissais peu. Deux semaines auparavant, j’avais créé une bague à la demande de Marc et à l’intention de Julie. Un superbe anneau en argent sur lequel était gravé une phrase tirée d’une chanson d’Alain Bashung :
La nuit je mens.
Nous étions une vingtaine autour de la table. Je connaissais la moitié des convives et il y avait beaucoup d’alcool. Et Marc ne m’a presque pas quittée des yeux au cours du repas. Il a aussi très souvent fait des allusions à moi, à mes talents de joaillière, mais aussi à l’élégance de la robe que je portais ce soir-là. Elle était noire, assez longue, fendue à mi-cuisses et très légèrement décolletée.
Les pluies de compliments font toujours rougir, mais Marc me plaisait bien, d’autant que j’appréciais la compagnie des hommes mûrs. Seulement voilà, il était marié et son épouse était présente autour de cette table. Alors j’ai très peu réagi aux compliments. Je me suis faite discrète.

Et ce n’est qu’à la fin du repas que Marc s’est décidé à venir s’asseoir près de moi. Très près. La moitié des invités étaient partis, et ceux qui étaient encore là s’étaient retrouvés sur la terrasse au bord du jardin, à profiter de l’air tiède de l’été.
Il m’a dit :
« Vous avez beaucoup bu, il me semble, vous feriez mieux de rester dormir ici et de repartir demain matin, non ? »
J’ai remué la tête en disant :
« Ça devrait aller, je n’ai que trois kilomètres à faire. »
« Trois kilomètres, c’est suffisant pour avoir un accident ou pour vous faire contrôler. Nous avons des chambres d’amis. Restez donc dormir ici. Cela me ferait plaisir. »
Son haleine empestait le vin, mais je pense que c’était le cas de la mienne également. Je l’ai regardé dans les yeux et lui ai répondu :
« Je ne voudrais pas déranger. »
Il a posé une main sur mon épaule nue en disant :
« Vous ne dérangerez personne. Restez donc. »

Depuis ici, j’entendais des femmes discuter et rire sur la terrasse. Nous étions seuls dans la pièce, Marc et moi. Sa main n’avait pas quitté mon épaule et il m’avait regardée tout le long de la soirée.
Je lui ai dit :
« D’accord. »
Il m’a fait un grand sourire et il a dit :
« Dans ce cas, suivez-moi, je vais vous montrer votre chambre. »
Il s’est levé et je l’ai suivi.
Je titubais très légèrement, mais lui aussi.
Il m’a invitée à le précéder dans un escalier, puis, à l’étage, il m’a dit que c’était la deuxième porte à droite. C’était une chambre dans les tons miel et gris clair. Chaleureuse. Un grand lit. Une petite odeur d’encens.
Au milieu de la pièce, je me suis retrouvée face à Marc qui m’a regardée des pieds à la tête en disant :
« Tu me plais beaucoup. »
J’ai bien aimé le passage du vouvoiement au tutoiement. J’avais les bras le long du corps, je ne savais pas quoi en faire. Marc se tenait à moins d’un mètre de moi et nous distinguions vaguement les rires qui se répétaient au rez-de-chaussée, sur la terrasse.
J’ai fini par lui répondre :
« Je vous aime bien aussi, mais votre femme est là et je ne voudrais pas qu’il y ait des problèmes. Il vaudrait mieux qu’on se retrouve ailleurs, un autre jour et dans un autre endroit, vous ne croyez pas ? »
Il a remué la tête en s’approchant de moi :
« Il n’y aura pas de problèmes. »
Puis il a posé ses mains sur mes hanches, délicatement.
J’ai dit :
« Elle peut monter ici à tout moment. »
Il a répondu :
« Tais-toi. Montre-moi plutôt tes seins. »

Ce n’était pas la première fois que je me retrouvais avec un homme mûr dans une chambre, au terme d’une soirée. Des hommes qui avaient l’âge de mon père, mais parfois aussi des plus âgés. Je les aimais comme ça. Chacun son truc. Je ne me suis jamais permise de juger les goûts des autres.
Marc avait cinquante-six ans et ça me convenait.
Sauf que sa femme était dans la maison.
Il m’a embrassée sur la bouche, puis il a répété :
« Montre-moi tes seins. »
Les femmes parlaient fort et rigolaient toujours au rez-de chaussée.
J’ai ouvert ma robe, et Marc s’est aussitôt mis à me sucer un téton, tout en tripotant l’autre avec une main. Je l’ai laissé faire, l’oreille tendue, au cas où il y aurait eu des bruits de pas dans l’escalier.
Puis il a relevé la tête en disant :
« Qu’est-ce que tu portes en bas ? »
Il n’y avait aucun bruit autour de nous. Seulement ces voix sur la terrasse du jardin.
J’ai répondu :
« Une culotte taille basse. »
Il m’a dit :
« Enlève-la et ouvre tes cuisses sur le lit. »
J’ai obéi.
J’en crevais d’envie.
J’ai jeté ma culotte sur le sol et j’ai ouvert mes cuisses au bord du lit en regardant Marc qui baissait son pantalon et son caleçon dans un même geste à ses chevilles. Puis il s’est approché et m’a bouffé la chatte.
Au rez-de-chaussée, je ne parvenais pas à deviner ce que se disaient les femmes. Elles riaient par moment, et moi je me faisais dévorer la moule par un homme qui avait l’âge de mon père.
Ensuite, il s’est redressé et j’ai regardé son gland s’approcher de mon entre-cuisses. Il m’a pénétrée sans v******e, puis il s’est mis à faire des va-et-vient dans ma chatte qui était trempée.
Je me souviens qu’il m’a dit :
« Salope. »
Je n’ai pas contesté.
Il m’a dit aussi :
« J’ai le goût de ta moule sur ma langue, embrasse-moi. »
Je l’ai embrassé.
Il avait une assez grosse bite et je prenais mon pied. Je me caressais le clito de temps en temps, ou alors les seins. J’ai toujours aimé me les pincer en me faisant baiser de cette façon.

A un moment donné, il s’est retiré de ma chatte et a ôté sa chemise. Il est ensuite revenu glisser son gland en moi.
Il m’a dit :
« J’ai envie que tu te mettes complètement à poil. »
J’ai remué la tête en disant :
« Non, votre femme va finir par se demander où on est. Et si jamais elle monte, on n’aura pas le temps de se rhabiller. »
Il n’a rien répondu.
Il a seulement souri, sans cesser d’aller et venir dans ma chatte.

Dans la minute suivante, sa femme est apparue dans l’encadrement de la porte. Elle était toute nue. Elle n’avait gardé que ses bas noirs.
Elle a refermé discrètement la porte derrière elle, puis s’est approchée du lit en soupesant ses gros nichons.
Son mari s’est tourné vers elle et lui a dit :
« Viens prendre ma place, mon amour. »
Il s’est retiré et sa femme a plongé son visage entre mes cuisses.
Puis j’ai sucé son mari.

J’aimais aussi les femmes mûres.
Ma toute première avait été une prof d’anglais qui me donnait des cours particuliers chez elle. J’avais quatorze ans. On faisait l’amour toute nues dans son lit.
Ma dernière en date était une cliente âgée d’une cinquantaine d’années. Elle m’avait léché le cul au fond de la boutique, un soir juste après l’heure de la fermeture.
Et ce n’était pas le premier couple que je m’envoyais.
Loin de là.
Ni le dernier.
Vous n’imaginez pas.

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