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Par la fenêtre

Par la fenêtre



Je ne sais pas pourquoi je me suis réveillée au milieu de la nuit. Il faisait chaud, j’étais blottie contre mon mec. Je m’extirpais doucement en tâchant de ne pas le réveiller. Le chat qui sommeillait sur le lit me suivit en miaulant doucement.

J’enfilais me nuisette plutôt transparente qui avait bien du mal à dissimuler deux seins lourds. Je marchais pieds nus jusqu’à la cuisine, allumais une applique et entrepris de boire directement au goulot. La fenêtre du voisin en contrebas était éclairée. J’ai toujours adoré vivre en ville avec la multitude de fenêtres offertes à ma vue. On pouvait y découvrir des tranches de vie, le plus souvent sans grand intérêt, mais j’aimais ce théâtre muet du quotidien. Parfois on tombait sur une dispute ou un baiser langoureux, le jackpot. J’avoue une certaine tendance au voyeurisme.
Le voisin en question était plutôt beau gosse, assez grand, musclé, mais pas trop, le cheveux toujours décoiffés à la surfeur et d’une classe folle. N’allez pas croire que je voulais tromper mon mec, je l’adore, mais on a bien le droit de regarder pour le plaisir, non ? Sa fenêtre, je savais pertinemment où elle était car c’était toujours la première que je zieutais en passant, mais la plupart du temps, on ne pouvait y voir que des épais rideaux masquant la vue. Pas cette fois. Il était presque minuit et je l’aperçus se retourner avec deux verres à la main. Il était vêtu tout de noir.

– Tiens, me dis-je, il a de la visite…

En effet, sur le canapé en cuir marron, façon Chesterfield, une jolie brune et bouclée était langoureusement affalée. Si mon mec était là, il dirait : « ça sent le cul ». Moi, je décidais de m’installer sur le rebord de la fenêtre avec ma nuisette remontant sur mes cuisses et mon sein gauche qui cherchait à s’évader de sa prison de polyester noir.
Pour une fois qu’il y avait du spectacle… Et puis, le sommeil avait pris la poudre d’escampette. Le chat sauta lestement sur moi et s’affala sur mon ventre. Je le caressais distraitement.

L’homme était retourné s’asseoir vers sa conquête en lui tendant un verre plein d’une substance tirant sur l’ambre. Un whisky, sans doute. La poupée attrapa le présent en lui souriant. Une bretelle glissa le long de son épaule, manquant de dévoiler son sein droit qu’elle avait fort menu. Manifestement, elle ne portait pas de soutif. Je l’enviais car mes obus rendait la chose plus compliquée, mais bon, cela avait aussi des avantages, pensais-je en pensant aux moments où mon mec s’en emparait goulûment. Il les adorait et savait s’en servir.

Cette pensée provoqua en moi une excitation qui réchauffa mon entrejambe. Avec mon doigt, je vérifiai qu’il ne s’agissait pas d’une impression. Il était tour luisant de ma douce cyprine. Je n’avais jamais été du genre à me caresser. Quand j’avais besoin de sexe, je sortais et trouvais un sex-toy vivant. Maintenant, je vivais avec, ce qui est tout de même plus pratique.

Mon voisin s’était assis à côté de son invitée, presque collé. La brune se mit à rire. J’imaginais une blague vaguement salace en étouffant un rire. Le mien est du genre bruyant et je ne voulais ni réveiller mon homme ni déranger la scène se déroulant sous mes yeux.

La bretelle de la brunette glissa encore et libéra un téton d’un rouge carmin, presque brun. Le sein était petit, avec une petite courbe agréable pointant son extrémité vers le haut. Il se précipita pour remettre lui-même la bretelle, mais en profita pour embrasser la petite poire de chair. Quand il mordilla le téton, elle bascula la tête en arrière en appuyant une main sur sa tête. Je n’entendais rien, mais je devinais les râles de plaisir et les propos sensuels d’encouragement. La chaleur en moi montait et cela n’avait rien à voir avec le chat sur mon ventre. Je trouvais ça agréable.

La brune profita que son hôte s’occupe de son mamelon pour lui dégrafer le pantalon. Il tomba à ses pieds tandis qu’elle s’attaquait déjà à son boxer. Il ne résista pas longtemps avant qu’elle ne s’empare de son sexe pas encore en érection. Ses lèvres rouge vifs coulissèrent doucement sur un mandrin qui se révéla de bonne taille. Une main lui caressait les testicules. Mon voisin avait baissé l’autre bretelle et s’occupait alternativement de ses seins. Elle devait être très sensible car elle était secouée par des spasmes de plaisir.

Ma main gauche revint imperceptiblement vers ma moiteur sexuelle. Mon index découvrit que je mouillais abondamment. Je le savais, mais inconsciemment, j’avais utilisé ce subterfuge pour me toucher. Mon doigt commença à titiller mon clitoris. C’était bon, la chaleur montait en moi. Pourquoi n’avais-je pas pratiqué ça avant ?

Pendant ce temps, le couple avait changé de position. Ils s’étaient installés tête-bêche sur le sofa et se léchaient mutuellement l’entre-jambe. Lui avait le visage dans son minou entièrement rasé tandis qu’elle continuait sa fellation. Sa main gauche branlait le phallus tandis que la droite s’était introduite dans son anus et l’explorait doucement. Il avait l’air d’apprécier cette intrusion.

J’accélérais mes caresses ce qui dérangea mon chat. Il glapit un miaulement de protestation avant de déguerpir. Cela eut comme résultat de faire glisser une bretelle de ma nuisette, libérant mon sein gauche. Le plus gros des deux. J’utilisais mon autre main pour m’en saisir et le léchait. Mais que m’arrivait-il ?

Je regardais à nouveau la fenêtre. Ils s’étaient relevés et l’homme regardait vers mon appartement. M’avait-il vu ? Je serais morte de honte si c’était le cas. Il me fit un clin d’oeil explicite et un sourire entendu. « Merde ! Il m’a vu ! ». J’éteignis la lumière immédiatement et commençai à me diriger vers la chambre rejoindre mon compagnon. En plus, je me caressais à moitié nue. Je ne pourrais jamais le croiser dans l’escalier… Mais la curiosité me poussa à jeter un dernier regard à la scène du dessous.

Mon voisin s’était déshabillé complètement. Il n’était pas très bronzé, mais son corps était agréable à regarder. Sa partenaire avait remonté sa petite jupe en cuir sur son dos dévoilant à la fois sa chatte et sa petite étoile offertes. Un sexe gorgé de plaisir s’approchait de ses orifices et je me demandais où il allait s’enfoncer. Il le frotta contre l’un et l’autre alternativement, puis elle s’en empara et l’enfonça dans son vagin. Déjà, elle remuait son popotin pour satisfaire son besoin de sexe. Il n’était pas très gros et avait une forme de goutte d’huile qui me surpris. Il lui avait saisi les cheveux et bougeait en rythme. Il lui administrait des tapes sur son petit cul, puis enfonça à nouveau un doigt dans son fondement, puis deux. Il continua son exploration anale tout en la pilonnant de plus en plus fort. On pouvait presque entendre ses petits cris.

Sans même que je m’en aperçoive, j’avais repris sa place et sa main aussi. Ma nuisette était tombée au sol et je m’offrais involontairement à la vue d’un éventuel voyeur sur le rebord de ma fenêtre, mais le désir était le plus fort. Je me malaxais les seins, mordillant un téton frénétiquement. Je n’avais jamais mouillé comme ça.

Je la vis secouée par un spasme violent. La salope avait eu un orgasme ! Je l’enviais tandis que mes doigts s’affairaient sur mon corps. J’étais moins jeune qu’elle, mais j’avais plus de formes à offrir à un homme. Manifestement, il n’avait pas encore joui. Il s’assit sur le canapé et la prit par les hanches. La jupe glissa au sol et elle entreprit d’enlever son carraco qui ne dissimulait plus rien de son ventre plat. On lui devinait presque les côtes. Vraiment, j’avais plus de matière à offrir à un partenaire. Elle allait s’empaler à nouveau sur son sexe toujours aussi raide. Je m’amusais de voir qu’il était parfaitement droit. Celui de mon mec était légèrement recourbé. Si ça se trouve, toutes les bites sont différentes comme les empreintes digitales. Je rigolais en imaginant une enquête criminelle à base de comparaison de phallus. Si c’est le cas, j’entre dans la police !

Pourtant, je me trompais, son engin se dirigea vers la petite forte. Je devinais à son expression qu’elle était également surprise. Pourtant, elle ne se déroba pas. Elle appuya doucement le gland sur sa rondelle pour qu’elle pénètre sans douleur. Pendant ce temps, elle se caressait le clitoris. Je vis le piston entrer doucement par la porte arrière qui s’écartait sans coup férir. Mon excitation était à son comble car cette pratique me fascinait et m’effrayait tout à le fois. Une fois le gland passé, la manœuvre devint plus aisé et il entama un mouvement de piston de plus en plus rapide. L’anus dilaté enserrait son sexe avec fermeté. Elle se caressait avec frénésie et semblait vraiment aimer ça !

Mes halètements se firent plus intenses et j’éclatais dans un orgasme bruyant. Les deux protagonistes levèrent les yeux jusqu’à mon appartement. Mon voisin me fit un autre clin d’oeil complice. Je me levais précipitamment, nue comme un ver pour retourner auprès de mon mec.

– C’était quoi ce cri ? Me demanda-t-il d’une vois pâteuse.
– Rien du tout, mentis-je effrontément.

Je sautais dans le lit et l’enlaçais très fort. Nous avons fait l’amour comme jamais.

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