La nouvelle poitrine de 7250:
Voilà déjà deux mois que je suis arrivée au Domaine.
Jugeant que l’objectif était atteint, mon Maître a arrêté mon traitement mammaire.
Par contre, pour 7256, il s’est ravisé et a décidé de viser plus gros et a demandé 15 jours de traitement supplémentaire.
Il me trouve très désirable, ainsi que de nombreux clients qui me réclament souvent dans leur chambre.
Personnellement, je les trouve trop gros …
Regardez, me voici en photo pour illustrer le catalogue publicitaire de la Clinique du Domaine:
( La Direction a décidé de développer cette activité et commence à accueillir des soumises de divers pays envoyées par leurs Maîtres désireux de développer leur poitrine )
Vous qui me lisez, que pensez-vous du résultat en ce qui me concerne ?
7256 commet une faute grave.
Cet après midi , notre Maître a décidé de nous confier à Master K.
Nous sommes pleines d’appréhension, car il a la réputation d’être brutal, et en plus il est doté d’un des plus gros pénis du staff du Domaine (28 cm). Une fois, lors d’une soirée, il m’a sodomisé et j’en ai gardé un souvenir cuisant…
On nous conduit à la piscine. Master K nous y attend. Il ne porte qu’un tishirt et son sexe, bien qu’au repos est impressionnant.
Il nous ordonne de nous déshabiller et de nous mettre à genoux devant lui.
Allongés sur leurs chaises longues, sirotant un coktail, avec chacun une esclave à leur disposition en position d’attente , des clients de l’hôtel nous regardent. Visiblement, il est prévu que nous assurions le spectacle.
Il enfonce son sexe, encore mou dans la bouche de 7256.
Celui-ci grossit rapidement et empignant mon amie par les cheveux il pousse sa verge au fond de sa gorge. Elle a un haut le coeur, mais il n’en n’a cure et lui enfonce à nouveau sa verge.
D’un mouvement brusque 7256 se redresse et lui flanque un violent coup de genoux dans les parties.
Hurlant de douleur Master K, lui assène une gifle magistrale, elle tombe à la renverse.
Il relève son bras pour la frapper à nouveau. Mon sang ne fait qu’un tour, je me jette sur lui de tout mon poids. Il perd l’équilibre et tombe dans la piscine, déclenchant l’hilarité des clients.
Paniquées, nous tentons de fuir et de quitter la piscine. Mais deux assistantes nous barrent la sortie.
Derrière nous, Master K sort de l’eau furax et fonce sur nous, appelant deux esclaves à la rescousse.
Quelques instants plus tard, nous sommes enchaînées et conduites dans le bureau du Directeur.
Master K déclare que nous nou sommes jetés sur lui et l’avons roué de coups sans raison, simplement parcequ’il nous avait demandé une fellation dans les règles de l’art.
Nous protestons contre cette version des faits. Mais une des assistantes corrobore la version de Master K.
On proteste mais le Président hurle.
Taisez vous n’aggravez pas votre cas.
Puis déclare.
En vertu des pouvoirs qui me sont conférés je vous condamne à 15 jours de prison dans notre centre de rééducation, avec prise d’effet immédiate et appelle par l’interphone deux gardiens.
Lorsque ceux ci arrivent il leur dit:
Conduisez immédiatement ces deux insoumises au C.R. et remettez les au directeur , je lui téléphone pour lui signifier le motif de leur inculpation.
Peu de temps après on nous place un lourd carcan en bois qui ensère notre cou et nos poignets et on nous enchaîne en convoi.
Sous le fouet des gardiens, nous empruntons le chemin côtier…
Je comprends aussitôt qu’on nous enmène au Fortin …
Aussitôt arrivées on nous conduit dans le bureau du Directeur du Centre de Rééducation.
Avec cynisme, il nous souhaite la bienvenue dans sa maison.
Ici, on va vous dresser ! Et croyez moi nous sommes réputés pour cela. Comme vous le verrez on nous confie des insoumises du monde entier.
Il appelle alors deux gardiens.
Ceux-ci sont vêtus d’une combinaison de cuir dont le pantalon est ouvert au niveau de leur sexe.
On nous enlève nos carcans.
Le Directeur nous explique qu’on va nous ferrer.
La régle ici est simple:
Vous devez obéir sans faille aux gardiens et à leurs assistantes. Il vous est interdit de les regarder dans les yeux. C’est tout ..
On nous fixe alors de lourds colliers de fer au cou et des fers aux poignets et aux chevilles, reliés par des chaînes.
Au collier du cou on fixe une chaîne terminée par un anneau.
Les gardiens se saississent de cette chaîne et nous entraînent dans une salle voisine.
On lève nos bras et on les attache à une chaîne descendant d’une poulie fixée au plafond.
Les gardiens actionnent une manivelle et nous sommes tirées vers le haut jusqu’à ce que nos pieds ne touchent plus le sol.
Puis on commence à nous fouetter, devant, derrière, des coups atteignent nos seins.
Les gardiens entrent en érection.
Après une trentaine de coups, ils nous détachent pour nous attacher à un piquet, penchée en avant et nous sodomisent longuement…
Ainsi commence notre “rééducation” ….
( à suivre )
Ajouter un commentaire