Ce texte a été écrit pour Natalix selon ses goûts
L. et Natalix étaient deux célibataires d’une trentaine d’années ayant sympathisé sur un réseau social internet. Après quelques mois d’échanges virtuels, ils avaient fini par nouer une relation amicale de plus en plus confiante, les amenant à parler plus souvent de leur vie personnelle. C’est ainsi qu’ils découvrirent que chaque soir ils côtoyaient le quartier Montmartre en rentrant de leur travail. Le hasard, sans être extraordinaire, les amusa. C’est ainsi que sans s’être jamais vus, ils trouvèrent amusant d’essayer de se deviner parmi la foule. Natalix resta volontairement vague en lui donnant l’indice qu’elle porterait une jupe, tandis que L lui indiquait également de quelle façon il serait habillé.
Le lendemain, L. s’apprêtait à gravir la volée d’escaliers bordée d’arbres rue de la Chappe. Après quelques marches, il remarqua plus en haut, une femme vêtue d’une mini-jupe. S’agissait-il de Natalix ? L. pressa le pas, gravissant les marches deux par deux pour se rapprocher de la belle inconnue. Placée en contre-plongée, il admirait le déhanchement qu’elle faisait en montant les marches, ses fesses roulant sous sa jupe serrée, entraînées par ses cuisses nues qui avalaient les hauteurs de la colline de Montmartre avec une aisance élégante à la pointe de ses bottes. Arrivé en haut des escaliers, la timidité et l’incertitude interdirent L. d’aller s’adresser à elle. Il laissa son regard sur cette silhouette qui disparut à l’angle de la rue. Le soir venu, il s’empressa de se connecter pour retrouver Natalix et de lui faire part de son histoire. Elle s’en amusa car il s’agissait bien d’elle, mais regretta de ne pas l’avoir vu. Il se garda bien de lui révéler le fantasme qui était né en lui et préféra sobrement lui dire qu’il l’avait trouvé joli. Mais au fil de la conversation, elle le devina instinctivement à sa façon de parler qui avait changé. Avant de se quitter, elle lui fit promettre de venir se présenter s’il la revoyait.
Le jour suivant, L. se dirigea vers la rue de la Chappe avec un enthousiasme à peine contenu. Mais arrivé aux pieds des escaliers, nulle trace de Natalix. Arrivé en haut, il tourna à droite pour se diriger vers la basilique du Sacré Cœur qui avait emprunté au soleil couchant, sa teinte orangée. Les derniers oiseaux quittaient le ciel aux nuages violets pour retrouver leur refuge nocturne, tandis que les riverains faisaient de même dans les rues. Mais une personne ne bougeait pas. C’était elle, accoudée au balcon du belvédère de Montmartre regardant la nuit tomber sur les toits de Paris. Elle était habillée d’une robe rouge légèrement satinée serrée à la taille par une large ceinture, s’arrêtant au dessus des genoux et joliment décolletée. Ses jambes étaient élégamment mis en valeur par des bas noir et elle portait des chaussures ouvertes à talon. Il s’approcha d’elle pour tenir sa promesse et se présenta. Elle fut heureuse de le voir à son tour et ils commencèrent à dialoguer avec passion de tout et de rien, après tant de mois d’échanges sur internet. L. était comme hypnotisée par la bouche de Natalix aux lèvres d’un rouge intense animées par le flot de ses paroles. Ses yeux parfois, se jetaient furtivement sur sa gorge pour admirer le creux de ses seins. Natalix savourait ce petit jeu de regards, mais ne fit rien marquer, se laissant volontairement dévorer des yeux. Finalement leurs échanges en ligne les aidèrent à se rapprocher plus rapidement, à se taquiner, à rire et même à flirter jusqu’à s’embrasser. Ce baiser furtif les surprit tous les deux, leur coupant la parole, mais d’un échange de regard, ils comprirent l’un et l’autre qu’ils en voulaient encore. Natalix saisit alors la main de L. pour l’entraîner à sa suite d’un pas passionné vers une ruelle menant à une cour intérieure. La ruelle était plongée dans la pénombre et à l’abri des regards de la rue, bien qu’il était possible clairement d’en entendre son activité.
D’une main sur le torse de L., Natalix le poussa contre un mur et se rapprocha de lui jusqu’à poser sa poitrine contre son torse et son bassin contre sa cuisse. Elle approchait ses lèvres des siennes, sentait son souffle le regardait droit dans les yeux, lui frôla les lèvres avec douceur avant de l’embrasser. Elle allait chercher sa langue timide qui se relâcha au contact de la sienne avant de s’enrouler autour avec beaucoup de douceur. Le corps de L. se décontracta et ses mains se posèrent sur le corps de natalix, glissant dans le creux de son dos pour terminer leur course sur ses fesses. Elle continuait à l’embrasser tout en lui caressant le torse, les flancs, avant de passer sa main sur son entre-jambe pour caresser son sexe à travers le pantalon.
– Je te fais envie n’est-ce pas ? Lui fit-elle. J’ai bien senti hier soir à la façon dont tu me parlais que je t’avais fait de l’effet. J’espère que tu t’es bien rincée l’œil. Peut-être as-tu remarqué que je ne portais pas de culotte. Je vois bien que tu me désires, je le sens également. Moi aussi je te veux.
Elle quitta sa bouche pour mieux aller lécher son cou alors qu’elle empoignait fermement la bosse qui gonflait dans la paume de sa main. Elle commençait à ouvrir sa chemise et à lui embrassait le torse, et ses baisers étaient confortés par L. qui la serrait plus fort contre lui en lui agrippant ses fesses, faisant remonter peu à peu sa robe. Elle remontait sa langue jusqu’au cou et se délectait de son odeur, de son goût, alors qu’elle appuyait son entre-jambe contre la suisse de L, tout en frottant avec plus d’ardeur le sexe qu’elle sentait en turgescence sous le tissus. Embrassant son corps elle se laissa lentement glisser sur lui pour se mettre à genoux, et d’une main pleine d’assurance et d’envie, elle défit la boucle de sa ceinture, déboutonna sa braguette, et accueillit avec sa main, un pénis en érection qui s’échappa de son confinement. Avec un sourire satisfait sur les lèvres, elle l’approcha de sa bouche pour l’embrasser du bout des lèvres et sentir les palpitations de ce gland gonflé qui se recouvrait peu à peu des marques d’amour laissées par son rouge-à-lèvres. Elle approcha la pointe de sa langue jusqu’à toucher son méat et la fit dévier dans le sillon de son frein. L. se laissait prendre par sa bouche tétanisé par le plaisir qui lui était communiqué à travers son vit tendu et docile. Ses yeux étaient entre-clos et ses mains étaient revenues par automatisme sur la tête de Natalix emmêlant ses doigts dans ses cheveux. Elle l’engloutissait avec délectation en faisant aller et venir ses lèvres contre son gland, et quand elle le libérait de sa bouche, c’était pour faire glisser sa langue le long de ses flancs jusqu’à lui caresser le derrière des testicules tout en lui susurrant quelques mots coquins.
– J’aime te voir si dur pour moi, par ma langue, lui disait-elle en le regardant droit dans les yeux. Ta bite est prisonnière de son plaisir, ça me plaît de te voir dans cet état, et je vais avoir plaisir à te prendre.
L. était dans un monde de plaisirs dicté par les facéties de Natalix. Emporté par l’envie, il lui retroussa sa jupe par dessus les fesses pour les agripper à travers une culotte en satin. Très vite ses phalanges se laissèrent tomber dans le sillon de son entre-cuisse et s’agitèrent sur le tissus pour caresser l’intimité de Natalix qui sentait forcir les palpitations en bas de son ventre. D’un dernier coup de langue qu’elle laissa ripper sur son gland, elle remonta le long de son corps pour aller lui susurrer ses envies à l’oreille.
– Viens goûter à la pulpe de mon fruit, ouvrir mes lèvres avec ta langue, chuchotait-elle dans des soupirs d’envie. Embête mon bouton, mets ta tête entre mes cuisses et aspire mon envie.
L. se laissa tomber à genoux caressa les jambes de Natalix tout en lui embrassant les cuisses avant de lui dévoiler son sexe en faisant glisser la culotte de satin à ses chevilles. Les yeux fermés, il approcha son nez contre cette fleur épanouie pour en respirer avec quelques grandes inspirations, le parfum qui s’en dégageait. Natalix s’appuya d’une main contre le mur, tandis que de l’autre elle remontait sa robe par dessus la tête de L. et appréciait de voir par dessus, cette trique en érection qui lui sortait du pantalon. Son excitation était à son comble lorsqu’elle sentit sa raie s’ouvrir par la langue de L. Se faire ainsi lécher par un homme à ses genoux, dans une ruelle tout juste à l’abri de la circulation urbaine, et peut être sous les regards de quelques voyeurs coquins, lui plaisait et la faisait mouiller énormément. L. lui lapait les lèvres, embrassait sa vulve, aspirait son clitoris, se délectait d’un jus abondant avant d’introduire un doigt malicieux dans un con de plus en plus chaud.
– Qu’est ce que je sens là ? Ne serais-ce pas ton doigt qui vient de glisser en moi ? Lui disait-elle avec un sourire aux lèvres. Ne voudrais-tu pas remplir mon vagin avec quelque chose de plus imposant ?
L. se releva en faisant glisser ses mains le long du corps de Natalix qui lui agrippa son membre en érection dès qu’il fut à portée de main pour le branler avec désir. Ils sortirent tous deux leur langues pour s’échanger des baisers. L. glissa les bretelles de la robe de Natalix de ses épaules, mettant à nu deux beaux seins généreux et avides de caresses. Il mit la paume de ses deux mains autour de cette poitrine avant de refermer ses doigts sur ses tétons excités. La main experte de Natalix qui tirait sa pine gonflée par l’émotion et roulait sur le gland rougi de L. le mis dans un tel état d’excitation qu’il lui fallait prendre son con au plus vite. Il la contourna en frôlant son corps pour se placer derrière elle. Il agrippa un de ses seins pour la maintenir contre son torse et passa l’autre sous sa robe pour lui saisir les grandes lèvres et les serrer contre son clitoris avant de tirer son bassin contre sa trique de belle taille. Il se mit à laper le cou de Natalix qui l’encouragea en remuant ses fesses autour de sa bite. Elle passa une main entre ses jambes pour aller chercher l’objet de son excitation qu’elle fit glisser à l’intérieur de sa raie jusqu’à l’amener à sa vulve, ou elle frotta ce gland si dur avant de l’aider à entrer en elle. Natalix se pencha en avant pour s’appuyer contre le mur à mesure où la bite de L s’enfonçait dans son vagin, le remplissant, l’ouvrant à son diamètre, le malmenant.
– Ta chatte est douce, lui murmurait-il. J’ai eu envie de toi dès que je t’ai vu dans les escaliers. Tu m’as tellement excité ! Tes jambes, tes fesses, ton dos, j’en bandais fort d’y penser. Et me voilà à baiser avec toi, à te caresser le fond de la chatte avec ma pine, tu es un délice.
– J’aime te sentir en moi, si gonflé, si excité rien que par moi. Dis moi ce que tu ressens quand tu es en moi.
– J’adore la chaleur de ton con, ta chatte me sert la bite avec délice, et ta mouille me glisse le long de la bite. J’ai envie de te te prendre très fort encore et encore.
– Et mes fesses, tu les aimes ?
– Oui. J’adore les sentir s’écraser contre mon pubis lorsque je t’enfonce mon dard au fond de toi.
– Laisse moi chevaucher ta belle queue mon chéri, j’ai tellement envie de te sentir sous moi.
L. se retira pour se dévêtir de son pantalon avant de s’allonger à même le sol de la ruelle. Il tenait sa bite altière à la base pour l’offrir généreusement à Natalix qui se mit en travers de lui avant de s’accroupir en direction de son sexe. Elle attrapa la pine gonflée qu’elle colla contre son sexe en écartant bien ses jambes. Elle tira bien le prépuce en arrière pour dégager le gland avec lequel elle s’amusait à caresser son clitoris.
– Je te plais avec mes cuisses grandes ouvertes ? Demanda-t-elle. Accroupie devant toi, prête à me laisse tomber sur ton beau manche bien dur. Tu aimes me voir bien ouverte avec mes bas juchée sur mes talons ?
– Oui ma belle. Joue avec mon pénis, noie le dans ta mouille. Tu es si excitante.
Natalix fit glisser à son loisir la verge dans sa raie bien ouverte, et le gland s’écrasait, poussait les lèvres et répandait sa cyprine abondante. Finalement, elle se l’introduisit lentement, se laissant glisser petit à petit jusqu’à faire rencontrer sa vulve avec le pubis de L. Posant ses mains sur son torse, elle commença à remuer son bassin doucement accélérant progressivement ses mouvements pour frotter son clitoris contre lui. L. se redressa sur ses mains et Natalix le saisit derrière le cou pour commencer à le chevaucher. L en profita pour att****r son sein et lui caresser le téton du bout du pouce.
– Vas-y ! Démets toi bien sur ma trique. Je veux sentir tes lèvres me branler le manche, entendre ta chatte gémir de sa mouille. Donne toi bien !
Natalix accélérait ses mouvements de plus en plus fort, faisant claquer ses fesses contre les cuisses de L. Ses vas-et-viens s’étaient fait réguliers dans un angle où le pénis de L. la stimulait intensément. Elle se sentait venir, et ses mouvements de bassin se désorganisèrent lorsque l’orgasme lui saisit le bas du ventre. Les yeux fermés, la bouche entrouverte laissant échapper ses soupirs saccadés, elle se laissa tomber sur L couchant ses seins sur son visage. Il la caressa, l’embrassa doucement la poitrine le temps pour elle de reprendre ses esprits. Elle l’embrassa langoureusement avant de se retirer de son pénis toujours aussi rigide, qu’elle s’empressa de lécher du bout de sa langue pour goutter aux saveurs laissés par son orgasme. Elle caressa ensuite la bite bien mouillée de L. bien déterminée à le voir jouir également. Elle lui massait les testicules, le serrait fort en dessous du gland devenu violacée, faisant de légères contractions entre son index et son pouce ce qui faisait frémir cette pine. Lui tirant bien sur le prépuce entraînant le frein, elle faisait sortir du méat une mouille masculine qu’elle venait lécher par quelques petits coups de langues rapides. Elle vint ensuite le serrer à sa base, gonflant ainsi le pénis au maximum, et de son autre main elle massa entre ton pouce et l’index le gland, tant et si bien, que dans des contractions sèches et puissantes, le sperme jaillit à profusion.
Natalix regarda L. dans les yeux, ils se sourirent et s’embrassèrent longuement.
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