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les cours de gym de ma femme (partie3-fin)

les cours de gym de ma femme (partie3-fin)



Mes cours de gym
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Mûrs et vieux

Dans cette salle de gym, à certains horaires plutôt calmes comme en milieu d’après-midi, je me retrouvais souvent seule femelle au milieu d’un petit effectif d’hommes mûrs, voire très mûrs… qui, eux, passaient carrément la séance entière à me reluquer.
Coquine comme je suis, je ne faisais rien pour les décourager… au contraire.
Je sus bien plus tard que les vieux se donnaient le mot du genre « viens à la gym le mardi après-midi vers 15 heures, il y a une femme super-sexy et crois-moi elle est bonne ». L’affluence ne désemplissait pas et j’avais toujours mon cortège de vieux admirateurs, auxquels je me régalais de proposer des tenues sexy, des angles de vue superbes, des images souvenirs éro-triques pour leurs branlaisons nocturnes et leurs fantasmes, des occasions de se masturber en direct et même des séances de fellations et baises sur place.

Quand je m’allongeais à plat ventre et que je tendais mes jambes gainées de collants fins pour faire des exercices, je sentais le poids lourd de plusieurs paires d’yeux de ces vieux gourmands qui guettaient l’ouverture de mon entrejambes, m’apparition de quelques poils de ma chatte au ras de mon slip moulant ou les mouvements des muscles de mes fesses. Je jouais avec eux, je faisais durer mes mouvements dans des poses langoureuses interminables. Je savais qu’ils bavaient comme des malades et je me complaisais à cette idée.
Parfois, impertinente, je me retournais brusquement et je les fixais droit dans les yeux… alors là, ils ne savaient plus où se mettre ni quoi regarder… alors que moi, coquine en diable, je lorgnais ostensiblement leur bandaison dans leur pantalon de survet ajusté.
Pire, dès fois, leur faisant face alors, je continuais mes mouvements de jambes tendues, muscles des cuisses bandés sous mon collant ou nues et oblongues sortant d’un short moulant, ma chatte bombée moulée sous mon justaucorps allant et venant au rythme des exercices, mes lèvres qui se devinaient par transparence épousant les tissus. Là c’était un délice car ils ne savaient plus comment agir : feindre de ne pas vouloir voir en détournant leur regard, mater quand même, sourire mais zyeuter…
Alors, de temps en temps, j’y allais de bon cœur : chatte écartée moulée par une petite culotte qui laissait deviner un peu de ma toison qui s’échappait par côté sous mon collant fin et dessinait bien la forme de mes lèvres et de ma chatte, agitant mes ballerines pointées vers eux [ou bien mes petons tout juste habillés par les renforts de mon collant], je portais mes doigts à mon entrejambes et je commençais à me caresser lentement devant leurs yeux béats et stupéfaits, tout en les toisant d’un regard provocateur.

Les réactions étaient variables dans cette situation.

J’aimais bien quand les vieux faisaient mine de continuer leurs propres exercices tout en me regardant intensément, guettant l’escalade que je pouvais donner à mes caresses et à mon exhibe, et se massaient consciencieusement la queue à travers leurs shorts -qu’ils choisissaient amples pour pouvoir se masturber dedans- ou leurs pantalons de survet. C’est vrai qu’ils choisissaient tous des shorts qui leur permettaient de sortir leur bite en trois secondes ou des pantalons de survet souples et fins qui rendaient leur propre paluchage très efficace [ou en d’autres occasions de se frotter à moi]. Plus mes gestes devenaient précis ou explicites sur ma chatte, plus ils se branlaient fort et plus ils se montraient à moi entrain de se masturber comme pour m’encourager à continuer… ce que je faisais alors volontiers. Je dégageais mon mini slip et je leur exhibais ma chatte au travers du nylon fin de mon collant beige clair… mes lèvres leur apparaissaient, j’enfouissais mes doigts avec un peu de nylon dans ma fente, j’écartais grand et large mes cuisses… Alors, certains déchargeaient là sur place, dans leur main qui se remplissait de foutre, à même le sol de la salle ou dans une bordée d’arrosage général car ils s’étaient redressés ou mis à genoux.
Parfois certains s’enhardissaient et aller plus loin dans cette situation : ils rampaient jusqu’à moi, caressaient mes pieds et mes ballerines et mes mollets tout en finissant de se faire jouir, d’autres se quillaient à genoux, baissaient la ceinture de leur short, agitaient leur mandrin qui fixait droit ma chattounette exhibée et ils m’arrosaient de foutre mon collant ; les plus gonflés se mettaient debout, m’entouraient (là ils étaient plusieurs pour se donner du courage) et venaient se masturber au-dessus de moi et m’arrosaient copieusement de sperme.
Parfois même, encore plus hardis, ils venaient tout près de moi et me tendaient leurs queues que je branlais ou que je suçais à tour de rôle. Là, alors cela devenait souvent très hard. Dès que j’avais empoigné une ou deux bites ou prise l’une d’elles en bouche pour gober un gland, ils me bazardaient leurs pognes partout, dégageaient mes seins de mon body, doigtaient ma chatte à travers mon collant [qu’ils déchiraient même en enfonçant plusieurs doigts], les bites qui attendaient se frottaient dans mes cheveux ou contre mes tétons et mes globes.
Au final, je faisais cracher leur sperme à tous ces vieux surexcités et ça me plaisait bien.

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Seule avec un vieux bedonnant

Une fois, je me retrouvais seule avec un vieux vicelard bedonnant et je lui donnais ce jour-là un plaisir fou, en lui jouant le grand jeu avec mes cuisses nues et ma poitrine à peine couverte par un tee-shirt fin galbant mes seins qui s’agitaient sous ses yeux au fil de mes exercices.

Je sentais son regard « lourd » de vieux vicieux qui matait ostensiblement mes formes, alors que je faisais mes exercices sur un vélo en suant un peu. Il lorgnait bien mes cuisses oblongues qui travaillaient sous mon short, il se régalait de voir les mouvements de ma poitrine sous mon tee-shirt moulant. Je ne disais rien, je le laissais mater à loisir et je sentais bien que son excitation montait, j’eus soudain envie de le rendre barje.

« C’est ça oui, c’est bien ces exercices, allez! Défoncez-vous oui »

Et il me lorgnait, me lorgnait sous toutes les coutures… nous n’étions que nous deux.

Alors ce gros vieux ventripotent se jeta sur moi, avec son short remonté il s’installa face à moi qui le toisais fièrement, bien décidée à l’affoler. Il baissa sans peine mon fin tee-shirt et mit ma poitrine à l’air en me saisissant par les deux seins qu’il palucha avidement à pleines mains.
Je sentais son gros ventre au contact de mes cuisses, j’offrais mes seins à ses caresses et je le laissais disjoncter en me prêtant à ses caresses de vieux baveux.

« ohhhhhhhhhh! Les jolis seins! Hmmm! Quelle belle poitrine vous avez! Ils sont magnifiques ces jolis petits seins »

Je lui fis face fièrement et je lui tendis ma poitrine pour qu’il puisse se repaître de palucher et d’embrasser mes seins, suçant mes tétons et frottant son gros ventre contre mes cuisses nues. Il n’arrêtait pas, heureux comme un gosse, et je ne me dérobais pas en lui offrant ma poitrine en pâture, à ses pognes et à sa bouche gourmande de mes seins. J’aimais bien voir ce gros vieux vicelard à ma merci et lui offrir du plaisir.

« hmm! Que tu es belle! Ahhhhhh! Ces seins! Que c’est beau! »

Je lui rendis la politesse et je me penchais sur sa bite qu’il avait extirpée sans peine de son short et qu’il me tendait fièrement bien bandée : j’embrassais son gland et je commençais à le sucer doucement : « Suce ma queue, oui , vas-y suce moi à fond oui, qu’elle est douce ta bouche ! hmm et tes lèvres qui embrassent mon gland… branle-moi aussi, tu me fais bander »

Alors, surexcité ma longue fellation appliquée, il me fit me relever et d’un seul coup il me prit par derrière, m’ayant bien agrippée par la taille, il me vissait les fesses contre son bas ventre et me pénètrait debout, appuyée sur le guidon du vélo d’intérieur.

« Ahhhhhhhh! Oui, oh que c’est bon d’entrer dans ta chatte! Putain le pied de te prendre comme ça par derrière! Tends bien ton cul oui que je te la mette à fond »

Il me prenait avec sa bite que je sentais bien, avec son gros ventre posé sur le haut de mon cul, je me tendais vers lui, j’offrais mes fesses en me hissant sur mes mollets et je sentais sa queue me pilonner avec passion. Il était aux anges ce gros salaud.

Et ce gros bedonnant vicieux s’en donnait à cœur joie, il m’avait bien chopée par les deux seins et il me prenait debout, je me vissais à lui, tendant mon cul et empoignant le haut de sa cuisse pour mieux l’aider dans sa pénétration.

« Oh que c’est bon de te prendre comme ça! Ah! Oui! Il répond bien ton cul là! Continue à bouger oui! Tu m’affoles ! c’est génial de te choper comme ça »
« C’est pas souvent que tu peux baiser une jolie femme comme moi » lui dis-je, sûre de mon pouvoir et ayant envie de l’entendre me dire son plaisir.
« Oh ! non ! j’avais jamais baisé une aussi belle femme que toi ! putain que t’es belle ! que c’est bon ! tu me régales ma chérie ! Ah! Je te prends bien là oui »

Je lui donnais un maximum de plaisir. Il m’avait chopée par les cuisses et me prenais de face maintenant, mes jambes sur ses épaules. Je m’offrais à lui, j’étais totalement ouverte et il me baisait avec un plaisir fou.

« oh que c’est bon! Que tu es belle comme ça! Ahhh! T’es géniale »

Le vieux n’en croyait pas son plaisir et ne se lassait pas de me contempler et de se voir entrain de me baiser, d’un visage béat avec un sourire crispé (comme s’il craignait que cela s’arrête) il contemplait ma chatte avec sa bite qui entrait et sortait, alors qu’il me tenait par la taille.
« Je suis en toi oui! Oh! Que t’es belle »
Je le contemplais en souriant comme pour l’encourager et je me lâchais, belle salope :
« Vas-y prends-moi, oui, baise-moi bien, je suis à toi… elle est dure ta queue »

Il me fit venir m’empaler sur lui et là je sentais bien au fond sa queue bien vigoureuse pour son âge et il me faisait jouir ce vieux salaud. Il m’avait saisie aux hanches et me faisait monter et descendre sur sa bite, que je maintenais bien au fond avec mes mains…

« Tu jouis hein là, vas-y petite salope, jouis… elle te fait jouir ma vieille queue… elle est dure ? elle est bonne non? T’aimes ça ?»

Et je me mis à jouir intensément à califourchon sur la bite de ce vieux vicelard, bouche ouverte en lâchant de petits cris de jouissance qui décuplèrent son ardeur.

Rassasiée de jouissance, voulant rendre la monnaie, je m’accroupis devant la bite du gros vieux et j’empoignais sa queue bien dure par la base, en flattant ses couilles gonflées et, mon front appuyé contre sa bedaine, je le suçais jusqu’à faire venir sa jouissance et le faire éjaculer dans ma bouche.

Ventre tendu, jambes arc-boutées, le gros « aux anges » sous la caresse de mes doigts sur sa tige et la goulue buccale dont je le gratifiais, déchargea dans ma bouche avec des petits grognements d’extase:

« arccch!hmm! Rgnghhh! Ouf! Oui, là, oui, tu me fais jouiiiiiiiiiiiiir, je te décharge dans la bouche salope! Archhhhhhh! Ah! Ah! Oui! Hmm!… Oh que c’est bon, que tu es salope ! »

Et j’avalais son foutre en totalité, comme pour lui montrer à quel point j’étais à ce moment là sa petite salope disponible. J’étais heureuse de lui avoir donné autant de plaisir à ce gros vieux moche bedonnant… je savais qu’il allait probablement s’en vanter auprès des autres vieux et cette idée me plaisait bien… on verra bien !

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Et même avec des bas noirs, des escarpins etc…

Au fil des séances, j’étais devenue l’égérie de tous ces mâles, qui ne venaient plus que pour moi aux heures où il n’y avait aucune femme à part moi dans cette salle de gym.

Parfois ma tenue n’était faite que de mon slip (mini et sexy) et de mon soutien-gorge de lingerie de ville… mais avec des escarpins aux pieds plutôt que des baskets !

J’osais même venir avec des bas noirs dim-up sexy et des escarpins vernis, mieux j’ai même fait de la gym avec un porte-jarretelles ; je faisais même la gym ainsi habillée… alors là cela prenait vraiment une sacrée belle tournure, surtout lorsqu’un jeune « costaud » me prenait en main et que nous nous retrouvions tous les deux seuls ou avec un petit cercle de spectateurs (qui attendaient leur tour… pour la prochaine séance).

Je me fis prendre sur divers appareils, à même le sol, dans de multiples positions… mais croyez-moi les queues de ces mecs me pilonnaient bien ! A chaque séance ou presque, j’avais droit au moins à une belle bite pour moi seule… parfois c’étaient deux, trois, quatre ou plus j’aimais bien la gym comme ça ! … et les mecs aussi !

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Dans les vestiaires aussi, je me fis de sacrées séances de pipes et de baise avec des mecs de tous âges, avec des queues de toutes tailles. Un vrai régal !

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