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L’Esthéticienne (vécu)

L’Esthéticienne (vécu)



Elle est ma collaboratrice. Dans cet institut de remise en forme, je m’occupe des massages, en cabine puis en hydrothérapie, du sauna, des bronzages. Une autre collaboratrice de la gym et la musculation. Pour la première, j’ai prévu une cabine séparée pour les soins d’esthétique. Elle maquille, épile…etc. Blonde, super commerçante, agréable et compétente, elle a une bonne clientèle des deux sexes. Jolie, souriante, une belle poitrine, visible lorsqu’elle se penche, pour faire vite, elle est bien roulée. Les hommes de sa Clientèle fantasment, quelques femmes aussi, elle le sait, en joue un peu mais joue aussi  » mère la pudeur ». Le double jeu. Personnellement, je suis très ami avec ses parents et n’ai même pas eu l’idée de m’en occuper.
J’ai l’habitude d’accepter des clients assez tard et finis souvent vers 21 heure. C’est moi qui ferme l’institut, chacune rentrant par ses propres moyens.
Ce jour là, vers 18 heure, l’esthéticienne me demande entre deux portes, si je peux la ramener chez elle après la fermeture. J’en suis d’accord et précise que ce sera tard.
Ma dernière cliente partie, je me présente à son institut. Elle a posé sa blouse, assise dans un fauteuil dans le salon d’attente et feuillette une revue. Je me pose dans le fauteuil voisin au moment où le téléphone sonne.
– ce doit être ma mère qui s’inquiète. Elle décroche, puis fait signe, une main contre sa joue – la barbe- mais dialogue cependant. A un moment donné, elle se penche et cherche je ne sais quoi sur la table de salon, ce faisant, le chemisier baille et j’ai une vue sur un sein. Sans réfléchir je tends le bras et d’une main délicate cueille ce fruit généreux. Que croyez vous qu’elle fit ? Elle continue à discuter, reste penchée et apprécie, d’un côté, la drague, de l’autre une caresse. Je la trouve au moins aussi gonflée que moi !
Mais voilà pas qu’elle coince le téléphone entre son oreille et son épaule, elle ouvre ma braguette de ses deux mains libres. Je l’aide un peu sans lâcher ma prise, et, reprenant le Bigot normalement me caresse tout en devisant. Je trouve la situation d’un cocasse extraordinaire. Un mec lui raconte des choses dans l’oreille, elle me cajole le sexe, je me fends la gueule intérieurement et apprécie.
Mais voilà pas qu’elle improvise de me sucer ! Pendant que l’autre parle, elle suce, puis répond tranquillement, puis re-suce, puis répond, puis re-suce.  Quel self-contrôle ! J’adore ! Seulement le temps passe, je montre ma montre et la goulue abrège la communication. Je n’en peux plus. Alors qu’elle ne semble pas vouloir cesser la fellation, j’ai très envie de la baiser  je l’entraîne vers sa table de soins et sans ménagements, retrousse la jupe, vire la culotte et sans mal pénétre cette foufoune déjà bien humide, au milieu d’une toison noire. Ah, les fausses blondes !
Curieusement à chaque coup de butoir elle dit  » non, noon, nooon,…. »  Je ne comprends rien mais ne rompt pas le rythme, et ce coup-ci elle en pleure. Rien ne m’arrête après ces préliminaires étonnants et ma jouissance est fulgurante.
Nous remettons un peu d’ordre dans nos habits, rejoignons ma bagnole en parlant de tout et de rien. Le moteur à peine en route elle recommence à défaire ma braguette, et reprend une nouvelle fellation. Je dois me garer quelques instants pour éviter l’accident.
Le lendemain elle me raconte que son père s’est étonné de l’heure tardive mais aussi de sa bonne mine et de son excellente forme. Je lui ai dit de prévenir sa famille qu’elle rentrerait tard au moins deux ou trois fois par semaine désormais. C’est vraiment un bon coup cette gonzesse !

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