La suite ne se fit pas attendre longtemps. Yannick ressorti les menottes et autres attaches dont il s’était servi la veille. Il me rattacha les poignets à la tête du lit et les jambes grandes ouvertes aux pieds du lit. Pendant que Yannick me ligotait, Nicolas prit son smartphone et commença à me photographier et malgré mes réticences, posa son téléphone sur un meuble et se mit à filmer nos ébats.
Je fus ainsi transformée en objet sexuel pour mes deux complices qui ne se privèrent pas pour profiter de moi. Comme un peu plus tôt dans l’après-midi, j’eus droit de sucer les deux bites en même temps, ou bien pendant que l’un me faisait subir une gorge profonde, l’autre me pénétrait sans ménagement et tout cela filmée et reconnaissable par tout le monde.
Mais ils décidèrent de pousser plus loin les limites. Yannick me demanda si j’avais envie d’aller plus loin ce soir dans nos jeux sexuels.
« Je ne sais pas, qu’est ce que tu entends par aller plus loin? » lui répondis-je
« Avec un troisième homme, est que cela te dirait »
Je fus surprise par cette question, car je n’avais pas envisagé cette possibilité. Ceci dit, dans ma position actuelle, menottée au lit, il m’était difficile d’empêcher quoi que ce soit.
« Est ce que tu as déjà fait ça avec un black » me demanda t il.
« Euh … non … jamais!!! »
« Cela te dirait d’essayer avec un super beau black? »
« Euh ….. Pourquoi pas » finis-je par répondre après une certaine hésitation.
Yannick prit son téléphone et devant moi appela quelqu’un.
« Allo, Musa, c’est Yannick …. dis moi est ce que tu es occupé en ce moment …….. , est ce que ça te dirait une petite partouze …… oh c’est une belle femme plutôt bien foutue qu’on est en train de se taper avec Nico ……. si tu ne me crois pas, je t’envoie une photo …… bon attend …… »
Yannick me prit en photo totalement à poil sur le lit, les jambes grandes écartées, ma chatte offerte à la vue de n’importe qui. Je le voyais faire quelques manipulations et reprendre la conversation :
« alors ça y est, tu as reçu? …… Alors qu’est ce que t’en penses ….. ah je te l’avais dit qu’elle était bandante …. bon tu nous rejoins chez moi … oui maintenant …… »
Yannick raccrocha alors que Nico qui n’avait pas cesser de me baiser pendant la conversation, approcha sa bite de ma bouche pour éjaculer.
Moins d’un quart d’heure après, on sonna à la porte. Yannick alla ouvrir et réapparu suivi par un black à la carrure impressionnante. Il était encore plus grand et plus baraqué que Nico. En me découvrant ainsi exposée, il siffla d’admiration, et entreprit aussitôt de se déshabiller. C’était une montagne de muscles sans un poil de graisse. Lorsqu’il enleva son boxer, je découvris un sexe comme je n’en avais encore jamais vu sauf en photo. Sauf que là, il n’y avait pas de tricherie possible. Il devait bien mesurer 25cm et quand à la grosseur, même Yannick et Nico paraissaient petit à côté de lui. Il s’approcha de moi, et sans attendre, me saisi par les cheveux et m’enfonça son manche dans la bouche. Il était si gros que j’arrivais difficilement à en prendre plus d’un tiers sans avoir l’impression d’étouffer. Mais Musa sembler s’en moquait totalement et de manière conjuguée, donnait des coups de bassin tout en tenant fermement la tête pour s’enfoncer au plus profond dans ma gorge. Pendant ce temps Yannick avait prit place entre mes cuisses et me besognait la chatte et Nico avait saisi son smartphone et filmait la scène.
C’est alors que Musa décida d’abandonner ma bouche pour venir en moi. Bien que très bien préparée, je ressentis une douleur incroyable lorsqu’il me pénétra. Son sexe hors norme me laboura la vulve et le vagin. J’eus l’impression d’être déchirée comme lors d’un accouchement. Sous les coups de boutoirs de ce « monstre » je sentis monter un orgasme qui explosa en moi alors que je suçais la queue de Yannick qui ainsi ressenti ma jouissance.
Musa demanda si je devais rester attachée ou s’il était possible de changer de position. Yannick me détacha, et Musa me fit mettre à quatre pattes sur le lit. Il me prit en levrette, et de nouveau je poussais un cri de douleur Lorsque son sexe me re-pénétra. Nico avait prit place dans ma bouche et Yannick me pétrissait les seins pendant que je le branlais. Musa se retira et s’allongea sur le dos. Je compris qu’il était temps pour moi de m’empaler sur sa grosse tige. J’eu beau régler moi même la pénétration, j’étais toujours autant écartelée. Mais en plus Yannik qui avait repris de la vigueur, passa derrière moi et entreprit de me sodomiser, tandis que Nico approchait son sexe de ma bouche pour une fellation.
Pour la première fois de ma vie, j’étais baisée par tous les trous en même temps, et en plus, je l’étais par les trois plus énormes bites qu’il m’avait été donné de connaitre.
Yannick ne tarda pas à venir en moi le premier et se retira pour venir se nettoyer dans ma bouche et Nico prit sa place dans mon cul. Les va et vient reprirent de plus belle, et Nico crachat à son tour sa semence en moi. Seul Musa ne m’avais pas encore rempli. Il me demanda d’arrêter, et de repasser à quatre pattes. Il se mit derrière moi. Je fus prise de peur en sentant son gros chiffre s’approcher de mon anus. Même si celui ci avait été préparé par les deux autres, il n’en demeurait pas moins que la taille du pénis de Musa était encore plus grosse. Il réussit à entrer le gland dans mon petit trou, m’arrachant un long cri et sans se préoccuper de ma douleur qui pour lui n’était que secondaire, s’enfonça dans mes entrailles jusqu’aux couilles. Il me besogna ainsi pendant de longues minutes et fini par jouir à son tour dans mon cul.
Je m’effondrais sur le lit, incapable du moindre mouvement, la vulve et le cul endolori. Ils me saisirent par les bras et les jambes, me retournèrent sur le dos. Je les vis tous les trois se rapprocher de mon visage, et à tour de rôle s’enfoncer dans ma bouche pendant que les deux autres se masturbaient. Au bout de quelques minutes, ils éjaculèrent chacun leur tour sur mon visage et mes seins. J’étais recouverte de sperme, sur la bouche bien sûr, mais aussi dans les yeux, les cheveux et le cou.
Une fois qu’ils se furent bien vider les couilles sur moi, mes trois amants m’abandonnèrent pour aller boire un coup. Je n’avais même plus la force de m’essuyer, et je ne tardais pas à m’endormir épuisée.
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