Belle promenade
Voici enfin les beaux jours revenus et le temps des promenades aussi. J’aime aller marcher dans les petits sentiers au milieu des bois et des champs en prenant le temps de regarder le paysage et tout ce qui est à voir aux alentours. Je savais aussi que parfois il y avait des hommes qui venaient se masturber et j’aimais bien les regarder faire discrètement pour faire pareil après.
Ce jour-là, donc, je prends le sentier qui monte dans la forêt habillé en polo, short et string ficelle dessous comme j’en porte souvent. En avançant je regarde le ciel bleu sans un nuage et une petite brise rafraichie le fond de l’air. L’horizon est proche car j’arrive vers la forêt et je commence à entendre le bruit des voitures qui passent sur la route plus haut.
Enfin le voici à l’ombre de ces grands arbres là où il fait plus frais. J’avance toujours tranquillement et il me faut peu de temps pour entendre un léger bruit tout proche. Je me dirige alors vers l’endroit d’où vient le bruit pour apercevoir à travers les branches un homme la quarantaine la queue à l’air en train de se branler.
Je ne bouge plus et le regarde, admirant son sexe épais et long. Je l »imagine en moi ce qui me provoque aussitôt une érection. Je baisse alors mon short et je sors ma bite sur le côté du string pour me branler moi aussi. Tout à coup j’entends un nouveau bruit mais derrière moi. Je n’avais pas vu un autre voyeur qui profitais du spectacle et qui se dirigeais maintenant vers moi bite à l’air. Sa bite était moins grosse même si il bandait bien. Il vient contre moi pour empoigner ma queue sans rien dire en la branlant immédiatement. Je durcis encore plus en prenant moi aussi sa bite en main pour le branler. En même temps nous admirions celui qui se branlait seul les yeux fermés mais mon partenaire étant en manque il commença à gémir ce qui attira l’attention.
L’homme arrêta de se branler et s’approcha de nous la queue raide. Je regardais cet engin avec envie tout comme la bite que je tenais. Mon premier partenaire me fit me pencher pour le sucer ce que je fis aussitôt sans remarquer que le deuxième venait derrière moi. Ce n’est que lorsque je sentis son gland à la porte de mon cul que je compris qu’il allait m’enculer à sec, mais j’étais tenu par les épaules obligé de sucer, tout en sentant cette queue qui s’infiltrait en moi. Je ressentis une douleur irradier mon fion tout comme du plaisir à me faire enfiler. Mon cul se dilatait facilement et rapidement il enfonça sa bite jusqu’à la garde en moi. Je gémissais de plaisir en suçant toujours celle qui était dans ma bouche et après une bonne claque sur mes fesses le limage de mon petit trou commença. D’abord doucement puis de plus en plus vite m’arrachant des cris de plaisir. Plus je criais plus il me défonçait et plus je suçais jusqu’au moment où je sentis des jets de foutre buter dans ma bouche. Des jets longs, chauds, gluants et un peu amer comme j’aime en recevoir et sans me faire prier j’avalais tout.
Peu de temps après je sens la bite qui me ramone se contracter et vibrer au plus profond de mes entrailles suivit de jets de foutre projetés dans mes intestins. Mon enculeur n’avait pas mis de capote et il m’engrosse comme une chienne en râlant. J’éprouve de la peur en le sentant inonder mon fion espérant qu’il est bien sain, mais aussi un grand bonheur de me faire remplir et je jouis à mon tour par petites giclées.
Tout le monde se calme un moment pour reprendre des forces et mes amis échangent leur place pour recommencer. Je ne sens plus trop mon cul qui est bien dilaté et qui dégouline de foutre et de ma jouissance anale comme chaque fois que je me fais prendre. Cette deuxième bite qui s’enfonce en moi me fait un bien fou. Je la sens aller plus loin que la première et en quelques aller-retour mon partenaire me fais jouir très fort du fion. Mon deuxième partenaire s’allonge au sol et m’ordonne de m’empaler sur sa bite, ce que je fais sans rechigner. Une fois sa bite bien calée en moi il demande à l’autre de venir le rejoindrez pour une double anale. C’est pour moi une première mais je veux bien essayer.il pose son gland contre la bite qui me perfore déjà et force pour s’enfoncer. Je sens mon cul qui a bien du mal à s’ouvrir d’avantage et je gémis, mais cette fois c’est bien de douleur.
D’un seul coup il réussit à rentrer dans mon cul et je pousse un hurlement de douleur. L’homme en dessous de moi lui ordonne de me défoncer ce qu’il fait. A chaque coup de bite je sens mon cul souffrir mais au bout de 5 minutes de ce traitement je finis par m’habituer et je mouille du fion comme une chienne. Ils se rendent compte de mon état et me branle en même temps pour me déclencher un orgasme violent. J’arrose mon ventre de foutre et mon cul dégouline de mouille malgré les deux bites qui le bouchent. Mon partenaire du dessus ramasse mon jus de couilles avec ses doigts et me les fais lécher alors que celui sur lequel je suis empalé jouis à nouveau dans mes entrailles son jus chaud inonde mon fion et provoque la jouissance du deuxième dont la semence vient se mélanger à celle déjà dans mon cul.
Plus personne ne bouge pendant un moment épuisés que nous sommes de ces coïts. Enfin mes partenaires se retirent de moi laissant mon trou du cul béant mais ils récupèrent tous les jus mélangés qui sortent et me font tout lécher. Je déguste le délicieux nectar sans en perdre une goutte.
Mes deux amis me proposent alors de se revoir ce que j’accepte aussitôt. Le plus âgé me demande juste, à la place d’être en short, de venir en minijupe ras du cul et surtout sans rien dessous pour laisser ma bite dépasser. J’accepte volontiers cette idée de faire la pute et nous nous séparons en attendant de nous retrouver.
Ajouter un commentaire