Je m’appelle Christine, j’ai 40 ans et j’habite une petite ville de l’aube. Je suis marié à un mari imaginatif avec qui je mène une vie sexuelle plutôt active.
Voici ce qu’il m’a fait vivre il y a moins de dix jours alors que nous visitions Rabat, dernière ville de notre séjour de quinze jours au Maroc.
Nous avions une journée complètement libre dans le planning (un peu trop chargé à mon goût) organisé depuis Paris par mon mari. Nous résidions dans un hôtel de luxe du centre ville. Rabat est une très jolie petite ville où les différents quartiers s’assemblent grâce à de larges zones de verdure.
Nous avions décidé d’aller dans la Médina, la vieille ville où les petites rues succèdent aux artères plus larges aux échoppes abondantes. Toutes les senteurs, toutes les visions du Maroc traditionnels sont là à portée de pas de notre hôtel si moderne.
Mon mari et moi flânions, d’échoppe en échoppe, découvrant au hasard des rues les cavernes d’ali baba des vendeurs de tapis.
Nous nous sommes attardés un peu plus sur un magnifique tapis de laine orange aux motifs géométriques qui était pendu dans l’entrée d’une de ses vieilles battisses.
Aussitôt bien sur, le marchand, un homme d’une cinquantaine d’année à l’air affable, nous proposa immédiatement de décrocher le tapis pour que nous puissions l’observer à notre guise. Il joint immédiatement le geste à la parole et nous nous retrouvâmes, malgré nous ou presque, à l’intérieur de la maison. La maison était construite de telle sorte qu’un grand puits de lumière inondait les trois étages qui regorgeaient de tapis. Nous étions étonnés de trouver de si grand volumes intérieurs cachés derrière cette si petite entrée.
Déroulé devant nous, le tapis, sous l’unique rai de lumière devenait plus beau. Il nous plaisait. Le marchand, qui nous dit s’appeler Ali gardait un sourire large en même temps qu’il nous expliquait l’origine de ce tapis. Je posai des questions sur l’entretien quand je remarquai dans la pénombre plusieurs autres hommes assis, dos contre le mur. Je sentais leur regard sur moi, je rougis un peu sans savoir pourquoi quand je m’aperçu que depuis tout à l’heure, je passais accroupi, plus ou moins devant eux. Presque à quatre pattes pour relever les bords du tapis.
Ce jour là, j’étais vêtue d’une robe longue sans manche, en jeans léger, boutonnée de haut en bas par le devant. C’était début juillet et il faisait déjà très chaud ; aussi je n’avais rien mis d’autre dessous que mon slip et son soutien gorge assorti.
Autant dire que je venais de me rendre compte que ces hommes depuis une bonne dizaine de minutes me regardaient m’agiter, cuisses apparentes… devant eux. Mon mari d’ordinaire si vigilant aux regards que les autres hommes pouvaient poser sur moi ne s’apercevait de rien, tout occupé à avaler un verre de thé à la menthe brûlant qui venait de nous être offert.
Ali nous invita à nous asseoir et nous rejoignîmes le coin où les autres hommes restaient assis. Je m’assis à la droite de mon mari et Ali s’installât à sa gauche. Leur discussion commençait à peine à évoquer le prix que nous allions peut être payer pour acquérir cette merveille du moyen atlas. Mes yeux s’habituaient à la pénombre et je distinguais aisément les cinq hommes assis avec nous. Ils intervenaient régulièrement dans la discussion entre Ali et mon mari et je remarquai que tous ne se gênaient carrément pas pour regarder franchement, mon décolleté ou mes cuisses que j’essayais pourtant de garder serrées. Mais nous étions assis comme sur des grosses marches et la table où mon verre de thé était posé, le cendrier aussi (eh oui, j’arrête bientôt !) m’obligeait à des poses qui donnaient le sourire à mes hôtes.
Je ne parlais pas, je buvais mon thé sagement, évitant de lever les yeux pour éviter de croiser ces regards. Soudain le ton monta d’un cran entre Ali et mon mari qui m’expliquât que nous allons avoir du mal à obtenir le prix que nous avions décidé de payer ce tapis. Mais Ali ne voulait rien savoir. Plus de 2000 dirhams les séparaient encore.
Mon mari prenait son air fâché et m’attirait par la main pour m’inciter à partir… l’un des hommes me retint par le bas de ma robe, qui s’ouvrit jusqu’à ma taille laissant apparaître non seulement la totalité de mes jambes… mais ma culotte qui brillait presque (un espèce de satin blanc mélangé coton). Je restai figée, mon mari me lâchât la main et je retombai lourdement sur le banc de pierre, couvrant mes cuisses des deux pans de ma robe.
C’est alors qu’un des hommes, resté silencieux jusque là parla de manière autoritaire, en arabe à Ali. Les autres acquiésaient de la tête et Ali prit mon mari à part, marcha avec lui, le temps probablement de lui traduire ce qu’il venait d’être dit.
Mon mari eut l’air surpris…puis partit d’un rire franc et se tourna vers moi… puis s’avancat :
– Ali propose de nous faire une réduction de 1000 dirhams si tu acceptes d’enlever ta robe et de te laisser regarder par ces messieurs.
Je fixais mon mari dans les yeux. C’était la première fois que nous nous retrouvions dans une situation pareille. Les quelques fois où nous avions eu des jeux érotiques à plusieurs, c’était toujours après concertation. Là, ce jeu là me prenait de court. Je n’ai pas pris le temps de réfléchir et même encore, je me demande si c’est bien moi qui ait fait ça. J’ai enlevé ma robe comme un automate et me suis mise à marcher vers mon mari. J’étais en culotte et soutien gorge au milieu de 6 marocains que je ne connaissais pas et qui me dévoraient sans complexe de tous leurs yeux.
Mon mari me poussa vers eux et je dus marcher sur les tapis. Mon mari me guidait en me tenant par la main et j’avais un peu l’impression d’être un cheval que l’on présente avant la course. Mon mari avait l’air amusé et un peu excité. Je le voyais dans ses yeux. Ali marchait à coté de lui et je sentais ses yeux dans mon dos, sur mes fesses. Ali parlait à l’oreille de mon mari . Il demandait la permission de me toucher les seins et les fesses et était près à nous faire 1000 dirhams de remise en plus si j’acceptais. J’acceptai après avoir interrogé mon mari du regard. Ali me saisit par la taille et me place au milieu du L que décrivait le banc de pierre. Les autres hommes s’étaient redressés pour mieux me mater. Ali me fit d’abord tourner sur moi, toujours en me tenant par la main. Il m’immobilisa face à l’assistance et devant les visages tendus, me saisit les deux seins de ses deux mains. Fermement, il commença à les pétrir ensemble, puis séparément. Il jetait un œil à mon mari et voyant que celui gardait son sourire, il passa derrière moi et dégrafa mon soutien gorge laissant mes petits seins libres. Mes tétons se durcirent immédiatement, ce qui provoqua un murmure de plaisir dans l’assistance.
La situation commençait à m’exciter. J’étais un peu honteuse mais j’éprouvais une certaine fierté à susciter ce que je lisais dans les yeux de ces inconnus. Ali me pincat chacun de mes petits bouts durs presque à me faire mal. Je cherchais des yeux mon mari qui avait disparu de ma vue.
Je l’appelai. Il me répondit que j’étais « sacrément bandante »… je souris et sursautai à peine quand la bouche d’Ali remplacat ses mains sur mes seins. J’adore qu’on me suçote les seins et ce monsieur là le faisait très bien. Je me cambrai un peu et sentit alors une main sur ma fesse. Je ne me retournai ni ne réagit. Ce que celui qui m’avait touché dut prendre pour une invite. Une autre main se posait sur le sein que Ali ne suçait pas . C’était le plus jeune de l’assistance qui avait osé. J’étais, c’est le cas de le dire, à portée de sa main. Son regard me fit fondre et je le laissai faire.
Mon mari vint se glisser derrière moi et me fit avancer doucement, plus près des hommes et bientôt ce furent toutes les mains qui me couvrirent le corps. Je ne sais lequel le premier a pris l’initiative de me caresser le sexe mais cela me fit un effet dingue. Je sentis des doigts sur mon sexe à travers ma culotte que j’inondais en quelques secondes. Je m’abandonnais sous les caresses, mon mari me glissait des cochonneries à l’oreille et je finis de me décider à me laisser aller.
Les mains me soulevaient presque. Personne n’avait osé mettre sa main sous ma culotte. Je compris qu’il s’agissait d’une consigne que mon mari avait glissé discrètement à Ali qui avait passé le mot. Les mots arabes fusaient. Les premiers grognements aussi.
Je sentais mon clitoris gonflé. Mes lèvres gonflés et j’avais furieusement envie de jouir à force de tant de doigts sur moi. Je m’arc-boutai, me relâchait , me tendait, me tordait, cherchant à mélanger à l’infini les harmoniques des ces caresses incessantes. J’étais très tendue au bout d’une dizaine de minutes seulement. Mon mari dut le sentir car il s’approcha de moi et sans mot dire me bascula vers l’avant, m’obligeant à m’appuyer de mes mains sur les hommes assis. Il ne baissa pas ma culotte mais glissa son sexe dans mon sexe humide. Je le reçus avec bonheur laissant échapper un « ah » de soulagement qui suscita des commentaires appuyés des autres hommes. Et les rendit encore un peu plus entreprenant. Ali avait entrepris de me titiller l’anus de sa main gauche pendant qu’il se caressait le sexe à travers sa djellaba à hauteur de mes yeux. Je voyais sa main, glissée par l’ouverture et l’imaginai branlant sa queue. Mon mari me ramonait régulièrement et j’accompagnai de mon bassin chacun de ses va et vient. Deux hommes étaient toujours assis face à moi et me malaxaient les seins, les cuisses, un autre avait glissé à mes pieds et léchait ce qu’il pouvait entre deux coups de queue de mon mari. C’était divin. Tout mon bassin vibrait sous les multiples caresses, sensation étonnante et inoubliable.
C’est Ali qui le premier a franchement sorti son sexe après que sans le vouloir j’aie effleuré l’étoffe de sa djellaba J’ai vu son sexe sortir par là où il avait mis la main. Son sexe était gonflé et sombre et je le sentis d’abord battre sur ma joue. Ali frottait son sexe sur mon visage et je cherchais à le happer de ma langue. Ali ne se fit pas prier et fit glisser son gland sur mes lèvres. Je l’enfournai en ouvrant largement la bouche au rythme qu’imposaient toujours les coups de boutoir de mon mari. Je sentis alors un autre sexe se frotter sur mon front. Je lâchai la queue d’Ali pour me saisir de l’autre plus fine que je pompais goulûment. Celui que je suçais ne se retint pas longtemps et se retira juste à temps pour ne pas jouir dans ma bouche mais me lâcha tout sur le visage. Je ne sais pas si vous le savez, mais le sperme pique les yeux…C’est ce qui m’arriva. Une si forte douleur que cela me fit redescendre à la vitesse grand V. Je ne pensais plus qu’à une seule chose : de l’eau fraîche pour me rincer les yeux. Je gardai malgré tout le sourire, si bien que tout le monde se mit à rire franchement.
Je repris mes esprits quand Ali m’invita à monter à l’étage pour me rincer. Je gravis les escaliers étroits et me retrouvait devant un petit lavabo d’où, par miracle, je réussis à faire couler un filet d’eau.
Lorsque je redescendis au rez de chaussée, tous les hommes excepté Ali avait disparu, notre tapis était enroulé, aux pieds mon mari qui tapait dans le dos de Ali. Lorsqu’il me vit, Ali me tendit la main et m’attira vers lui, il aggripa ma nuque et me força presque à m’agenouiller. Il souleva sa djellaba et je me retrouvai la tête sous étoffe nez à nez avec son sexe toujours dur. Il était vraiment épais. J’ouvris la bouche au maximum et essayait de le faire pénétrer au fond de ma gorge. Je commençais de lents va et viens sur sa queue, au rythme que m’imposait sa main toujours sur ma nuque. Je sentais les mains de mon mari sur mon cul. J’avais envie qu’il me prenne encore… pendant que je suçais cette grosse queue. Je tortillais des fesses pour le lui faire comprendre et lui se contentait de glisser un, deux , trois doigts dans ma chatte. Qui dégoulinait encore. Sous la djellaba d’Ali , j’étais en nage..la sueur dégoulinait le long de mon cou.
Ali dut le sentir et me délivra en se retirant spontanément de ma bouche. J’étais toujours à genoux et mon mari vint remplacer Ali dans ma bouche. Sa queue était dure comme rarement…Ali s’était placé derrière moi et je sentis presque aussitôt son gland à l’entrée de mon vagin trempé. Je fis un mouvement vers l’arrière comme pour le faire pénétrer moi-même, Ali se recula aussi. Mon mari me demanda si j’avais envie que Ali me « défonce la chatte » et je crois bien que j’ai répondu oui… excitée comme je l’étais. Je sentis alors l’énorme gland d’Ali faire se frayer un passage à travers mes chairs sensibles et déjà meurtries. Mes lèvres l’absorbaient malgré son diamètre impressionnant. Ses mains aggripèrent mes hanches et d’une poussée lente et régulière, il s’enfonça tout entier en moi. J’en eus presque le souffle coupé et je dus abandonner la queue de mon mari quelques secondes. J’étais merveilleusement bien remplie. Je sentais la colonne de chair tout au long de mes parois intérieures. Les allers et les retours provoquaient de longues ondes qui me secouer le corps comme des vagues. Je gémis. Ali accéléra le rythme. S’enfonçant à fond à chaque fois mais sans brutalité excessive.
J’adorais ça. Je me remis à sucer rageusement mon mari qui était proche de l’explosion. Moi aussi d’ailleurs, Ali sûrement aussi puisqu’il se mit à me parler en arabe…il matait ma bouche sur le sexe de mon mari et reprenait son rythme. J’offrais mon sexe au maximum, j’écartai mes cuisses pour mieux sentir son pieu dans mon ventre. Mon mari éjacula dans ma bouche par longues saccades. J’en laissai couler quelques gouttes malgré moi…lorsqu’il se recula pour mieux profiter du spectacle, c’est d’un sourire béat que je le remerciai. Ali me donnait du plaisir… j’en voulais encore et toujours… que ça ne s’arrête jamais. Je jouis à plusieurs reprises… Ali, visiblement fier de son sexe prenait un malin plaisir à m’amener au bord de la jouissance… et se retirait complètement. Il fit ainsi une bonne douzaine de fois.. avant que je ne sente ses mains me saisir plus fermement, son corps se tendre complètement. Je sentis une dernière fois sa queue…qu’il posa le long de ma raie. Je reçus tout son sperme dans mon dos.. il éjaculait tout en se frottant contre ma raie, mon anus et ma chatte… Il tapota mes fesses de sa queue et s’écarta de moi. Je restais, les fesses sur les talons, pantelante… et comblée. Mon mari me regardait en souriant… Ali était redevenu vendeur de tapis et se tenait là où nous avions bu le thé.
Je me relevai enfin… mon mari me tendit ma robe que j’enfilai sans oser lever les yeux. Ali mit le tapis roulé dans les bras de mon mari et nous raccompagna jusqu’à la porte qui donnait sur la rue.
Le clair du ciel nous éblouit…je levai la tête vers la verrière surplombant cette si jolie Rue des Consuls… Déjà, mon mari m’entraînait à sa suite. Je jetai un œil derrière moi, le temps de regarder une dernière fois Ali qui nous souriait en agitant la main. Son sourire toujours aux lèvres.
Ajouter un commentaire