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Clara au quotidien

Clara au quotidien



Clara et moi, nous étions libres de faire ce qu’on voulait, avec qui on voulait, quand on le voulait. C’était un accord qu’on avait passé dès le début. Ainsi, pendant que j’étais au boulot, je savais qu’elle était peut-être avec quelqu’un, quelque-part.
N’importe où, avec n’importe qui – c’était un peu sa devise.

Sa préférence allait notamment pour les hommes qui l’abordaient dans des lieux publics. Dans la rue, dans une boutique, dans un parc public. Le soir, à mon retour, il arrivait que j’aie envie de savoir ce qu’elle avait fait dans la journée, avec qui et où, et elle me le racontait pendant qu’on baisait.

Parfois, je n’avais pas envie de le savoir. Ça ne nous empêchait pas de baiser, quasiment tous les jours, y compris ceux où Clara s’était envoyée en l’air plusieurs fois.

Elle n’avait pas de boulot et n’en voulait pas. Je gagnais suffisamment bien ma vie pour subvenir à nos besoins et à nos envies. Elle disposait donc de son temps intégral, contrairement à moi. Ça me convenait.

Nous n’étions pas vraiment amoureux. C’était un mode vie, c’est tout. Un type de relation un peu curieux, certes, mais on en jouissait tous les deux. C’était l’essentiel.

Il arrivait qu’elle ne rentre pas le soir, auquel cas elle me prévenait par SMS. Le lendemain, je ne lui posais pas nécessairement de questions.

Il arrivait aussi qu’elle me mente. Qu’elle me dise par exemple qu’elle allait passer le week-end chez ses parents, sur la côte Atlantique. Ils vivaient effectivement là-bas, mais je savais bien qu’elle me mentait souvent en me donnant ce prétexte. Ça m’excitait.

Pendant que j’étais au boulot, j’aimais me dire que Clara était peut-être en train de sucer une bite dans ces instants, dans les toilettes d’un bar ou derrière les bosquets d’un parc. Ou de se mettre à poil chez un inconnu. Ou de se faire lécher la chatte dans une voiture.

A mon retour, j’aimais qu’elle me dise qu’elle ne s’était faite pénétrer que par une seule bite ce jour-là. J’aimais aussi qu’elle précise si le mec s’était protégé ou pas. Si elle avait avalé son sperme ou non.

J’aimais aussi la surprendre dans notre chambre en train de faire des essais de tenues vestimentaires, en vue d’aller se promener et de se laisser aborder par le premier venu. Le matin, avant de partir au boulot, j’aimais savoir qu’elle allait sortir sans sous-vêtements dans les heures qui venaient.

De temps en temps, elle me montrait des photos faites avec son smartphone, qui montraient des bites qu’elle avait sucées, ou bien sa chatte en train de se faire pénétrer. Ou encore des mains qui lui tripotaient les seins. Ou du sperme qui coulait sur son menton.

Clara ne m’appartenait pas, et inversement.

Nous prenions notre pied de cette façon. Mais il nous arrivait aussi de partager des partenaires, chez nous notamment. Des couples rencontrés sur Internet, ou bien dans des clubs échangistes.

Il est aussi arrivé que Clara fasse l’amour avec des amis à moi, dans notre salon et dans notre lit, sous mes yeux, à l’occasion de soirées bien arrosées. Inversement, j’ai fait l’amour à plusieurs reprises avec des amies à elle, en sa présence ou pas. Ça n’avait pas d’importance.

Je me souviens d’une amie à elle qui s’appelait Laurie. Elle était métisse et nous avons fait l’amour dans notre chambre, elle et moi, pendant que Clara était dans le salon, toute seule devant un film.

Je me souviens d’Olivier, un vieux pote, qui a pénétré Clara dans notre canapé, après qu’elle ait fait un strip-tease devant nous sur une musique qu’elle adorait. Je me souviens du moment où il s’est retiré de sa chatte pour éjaculer violemment sur son ventre.

Je me souviens d’une photo qu’elle avait prise, où l’on voyait deux bites raides collées sur son visage, avec du sperme qui coulait sur son menton – les bites de deux adolescents qui l’avaient sifflée dans la rue et qu’elle était allée voir pour leur demander pourquoi ils la sifflaient comme ça.

Je me souviens du jour où elle m’a dit qu’elle avait battu son record d’âge. Un homme de 78 ans, dans un parc. Elle s’était mise toute nue devant lui dans des sanitaires désaffectés. Elle avait 26 ans.

Je me souviens d’un paquet d’autres choses, mais je vais devoir vous laisser, car je dois prendre la route pour aller rendre visite à mes parents, sur la côte méditerranéenne. Je vais y passer le week-end. J’ai prévenu Clara. Je lui raconterai ce que j’ai fait à mon retour.
Et inversement, elle me racontera.

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