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Ma belle Mélanie et son ami Robin

Ma belle Mélanie et son ami Robin



Auteur : Melc

Ah, ma belle Mélanie. En ce jour d’été, nous n’avons pas pu résister d’aller à la plage, naturiste bien sûr. La plage est bondée, mais peu importe, nous avons notre petit coin que seuls les habitués connaissent. Elle fait tourner les têtes, ma belle, quand elle arrive sur la plage. En effet, ce n’est pas tous les jours qu’une belle plante de vingt-quatre ans vient se mettre nue au soleil. Du haut de son 1,70 m pour 60 kg, elle exhibe une longue chevelure brune. Bon, ne nous voilons pas la face, ce qu’elle aime exhiber le plus c’est surtout son 95B et son minou entièrement épilé.

L’exhibe, Mélanie adore ça, et moi aussi. Du coup ça tombe bien, elle peut s’habiller très sexy sans que cela me gêne, les décolletés sont de rigueur tous les jours et ne parlons pas de la minijupe qui arrive régulièrement juste sous les fesses.

Mélanie et son meilleur ami, Romain se connaissent depuis l’enfance. Ils sont très complices et on très peu de secrets l’un envers l’autre. Habitant à plus de quatre-vingts kilomètres l’un de l’autre, ils essaient de se voir au moins une fois tous les deux mois, une fois chez l’un, une fois chez l’autre. À chaque nouvelle rencontre, bisous et embrassades sont de rigueur, Romain n’hésite pas à lui mettre des mains au cul à la moindre occasion ce qui ne me gêne absolument pas.

L’histoire se déroule donc le week-end dernier, c’est au tour de Romain de venir nous rendre visite, vu qu’il fait le pont du 15 août, il vient pour quatre jours. Elle est impatiente comme à chaque fois. Je m’entends très bien avec Romain, nous sommes devenus potes, je n’ai aucune jalousie pour l’amitié et la complicité très forte qu’ils ont ensemble, même si parfois, je me retrouve mis un peu de côté.

Romain arrive donc le mercredi soir, Mélanie l’accueille avec plein de bisous et de câlins, ma chérie est habillée sexy comme à son habitude. Elle porte un magnifique décolleté qui attire les yeux de Romain comme un aimant. La soirée se passe normalement, les discussions classiques autour de plusieurs verres. Les yeux de Romain n’arrêtent pas d’alterner entre les seins de ma belle et son petit cul moulé dans un short très serré.

Le lendemain, il ne fait pas très beau. On décide donc d’une petite balade dans les boutiques. Bizarrement, je trouve Romain plus entreprenant que d’habitude. En effet, il n’hésite pas à régulièrement mettre une main au cul de Mélanie. Celle-ci ne dit rien, elle a l’habitude, comme elle dit. Ce doit être le petit jean serré qui le met dans tous ses états.

Vendredi matin il fait un soleil radieux, une température qui frôle les 25° à 11 h. Nous décidons d’aller à la plage et d’en profiter. Romain n’est pas naturiste, du coup on va chez les textiles. Nous nous préparons, je prête un short de bain à Romain qui n’avait rien prévu et nous partons. Arrivés là-bas, la plage est pratiquement déserte. Mélanie a mis un de ses maillots sexy. Un de ceux qui ne cachent pas grand-chose en haut ni en bas. Après avoir mangé et passé une bonne heure sur la plage, nous nous mettons à bronzer. Mélanie se met sur le ventre et détache son haut et l’enlève. C’est la première fois qu’elle ose enlever son haut devant une autre personne que moi, d’habitude lorsque nous sommes avec des amis ou même Romain, elle garde toujours son haut. Bref, cela me plaît énormément. Romain a remarqué aussi ce déshabillage, une bosse commence à apparaître dans mon maillot, je me retourne.

Mélanie est placée entre moi et Romain, le poids de son corps écrase ses seins, elle me regarde avec un petit sourire que je traduis par un « ça te plaît ? ». Je lui renvoie le même sourire. Elle se retourne alors très rapidement, ses seins sont maintenant à la vue de tous et surtout de celle de Romain qui ne les lâche pas des yeux. Ses tétons pointent fièrement vers le ciel.

Après quelques minutes sans un bruit, Romain rompt ce silence pesant en proposant à Mélanie d’aller jouer aux raquettes ; elle accepte avec enthousiasme. Je les regarde jouer, elle a les seins qui bougent et rebondissent dans tous les sens dès qu’elle att**** la balle. Ils reviennent après un bon quart d’heure de jeu comme si de rien n’était. Les heures passent ; un vieux couple d’une cinquantaine d’années passe devant nous, la femme lance un regard méprisant à Mélanie, tandis que le mari profite du spectacle avec un grand sourire. Retour à la maison dans la soirée, Mélanie sort de la douche et va dans la chambre.

— Ma petite exhibe t’a plu ?
— Oh oui, énormément, tu peux la refaire autant que tu veux.
— Je la ferai que devant Romain, t’emballe pas.
— Pas de soucis.

Nous nous embrassons, j’ai énormément envie d’elle, mais Romain est juste à côté. Avant de sortir, je lui fais un petit sous-entendu :

— Puisqu’il a vu tes seins, tu peux mettre une tenue transparente pour que l’on puisse profiter de la vue ce soir.
— Je vais voir.

Je sors de la chambre, et rejoins Romain qui boit une bière sur la terrasse, il me dit :

— Ça t’a pas gêné que Mélanie soit topless devant moi ?
— Non, t’inquiète pas, elle ne le fait qu’avec toi, il n’y aucun souci.
— Tu me rassures, ça m’a mis mal à l’aise par rapport à toi.
— Y’a aucun problème.

Mélanie nous rejoint peu de temps après, elle n’a pas mis de haut transparent, mais porte une robe blanche très courte et moulante. Elle a, a priori, oublié de mettre un soutif, du coup la robe suit parfaitement le dessin de ses tétons qui pointent, magnifique spectacle.

L’alcool commence à faire ses effets et j’ai de plus en plus envie d’elle. La connaissant bien, je sens qu’elle est excitée aussi. Assis en face d’elle, je peux entrevoir son string blanc lorsqu’elle bouge, je ne sais pas si Romain l’a remarqué, mais je l’espère.

Il est 21 h, Romain décide d’aller prendre une douche. J’ai bien l’intention de profiter de ce moment pour baiser ma chérie sur la table. Finalement non, Mélanie a une autre idée en tête qui me laissa bouche bée.

— T’as toujours ton envie candauliste-machin, là ?
— Hein ? … euh, oui pourquoi ?
— J’ai envie de me lancer avec Romain.
— Mais c’est ton meilleur ami.
— Justement, je ne veux pas faire ça avec un inconnu et je ne vois que Romain avec qui je puisse être à l’aise à 100%.
— Euh… OK ! C’est un peu précipité non ?
— Moi je suis prête, à voir toi comment tu le sens.
— Au moins je suis prêt depuis un moment. Tu vois ça comment ?
— C’est toi qui vas me mener le truc, propose-moi des défis discrètement et on verra si j’accepte ou pas.
— OK, commence par enlever ton string, et débrouille-toi pour que Romain voie ta petite chatte.
— OK.

Elle s’exécute immédiatement sans aucune hésitation. Moi, j’ai le cœur qui bat à fond et je n’arrive plus à réfléchir malgré toutes les questions que je me pose. Faut-il faire ça avec Romain ? Est-ce que je vais réellement être cocu ce soir ? Comment vais-je réagir, si c’est le cas ?

Romain revient quelque temps après, la soirée suit son cours normalement, il me semble que Romain a remarqué qu’elle est nue sous la robe, mais je ne peux pas l’affirmer à 100%. En tout cas, Mélanie fait tout pour le montrer en évitant soigneusement de ne pas croiser les jambes et même de les écarter un peu. Moi, j’ai la tête complètement ailleurs en cherchant des idées pour la suite. Et j’en trouvai une rapidement.

Notre appartement a un salon/cuisine qui donne sur la terrasse. La cuisine est équipée d’un îlot central, une sorte de buffet qui arrive à hauteur de la poitrine. Du salon ou de la terrasse on ne voit pas ce qui ce passe derrière cet îlot, je vais donc proposer à Mélanie de se faire lécher pendant que je fumerai dehors. Bon, ça me semble bien compliqué, mais c’est jouable. J’attends donc un moment seul avec elle pour lui dire clairement mon idée. Les minutes sont longues, voire interminables. Enfin, le moment propice est là. Je saute sur l’occasion pour lui proposer l’idée :

— Quand Romain revient, tu vas dans la cuisine pour préparer le dessert, et tu lui demandes de t’aider. Moi, pendant ce temps je vais à l’extérieur pour fumer. Une fois tranquille, tu lui demandes de te passer un plat, situé en bas dans le placard central. Lorsqu’il se baisse, débrouille-toi pour que ta chatte ne soit qu’à quelques centimètres de son visage. Moi je vous tournerai le dos, donc il ne se posera pas la question si je le vois faire.
— Euh… OK, ça m’a l’air compliqué à mettre en place, mais je vais essayer.
— C’est ce que je me suis dit aussi. Une dernière chose, prends ton portable avec toi, s’il te lèche envoie-moi un SMS. Au moins, je pourrais me retourner et te regarder jouir, s’il ne veut pas, n’envoie rien, je comprendrai. Quant à moi, je t’envoie un SMS quelques secondes avant de rentrer, tu lui diras d’arrêter et de faire semblant de rien.
— Oui, donc en fait, il me lèche juste le temps de ta clope. Je le vois pas, en si peu de temps, sauter sur ma chatte et me lécher, mais on verra.
— Fais pour le mieux.
— Oh, tu sais bien que je sais être persuasive,, mon chéri.

Tout est prêt, Romain est revenu et je n’attends plus qu’une seule chose, le moment où Mélanie va préparer le dessert. Elle n’est pas longue à se décider, dix minutes, je pense, elle se lève et marche doucement jusqu’à la cuisine, lenteur sûrement due au stress.

— Romain, tu peux venir m’aider à préparer le dessert, s’il te plaît ?
— Oui, pas de soucis.

C’est le signal du début de mon cocufiage, je me lève tout tremblant en même temps que Romain et me dirige à l’extérieur, je ferme la baie vitrée et m’assois sur les marches, incapable de dire ce qu’il se passe derrière moi et attendant un SMS avec impatiente.

Première cigarette, rien, pas de texto, je n’ose pas me retourner, a-t-elle renoncé ? A-t-il refusé ?

Un mélange de satisfaction et de déception m’envahit. Cette sensation est très bizarre. Je ne sais pas si je dois rentrer, j’hésite et, à ce moment, un SMS, mon cœur accélère immédiatement, je le sens taper dans ma poitrine j’ai l’impression qu’il va exploser. Je lis : « je suis trempée ».

Je me calme, relis le SMS quarante fois, m’allume une autre cigarette et décide de me retourner.

Ce que je vois m’excite au plus haut point. Elle est là, collée contre l’îlot, ses mains posées dessus, en train de me fixer la bouche ouverte. Elle doit sûrement pousser des petits cris, mais je n’entends rien, seuls sa bouche et ses doigts bougent, elle se mord les lèvres, essaye d’agripper quelque chose avec ses doigts. Elle est en plein plaisir, ma bite est sur le point d’exploser. Ma cigarette est sur le point de se terminer, j’hésite à en allumer une autre, mais j’ai peur que Romain se pose des questions sur le temps de mon absence. Je montre donc ma cigarette à Mélanie pour lui faire comprendre, elle me fait un petit signe de la tête pour approuver et je retourne m’asseoir. Je décide de ne pas rentrer de suite et d’attendre que l’on vienne me chercher, surtout pour laisser le temps à ma queue de débander.

J’avais peur d’être jaloux et de ne pas vouloir aller plus loin, mais je ne ressens aucune jalousie et n’ai qu’une envie, c’est de continuer ce petit jeu.

Mélanie vient me chercher, elle a un grand sourire, nous rentrons. Romain a le regard fuyant. J’évite de le regarder aussi, un silence pesant envahit la pièce pendant que nous mangeons le dessert, Mélanie rompt ce silence en racontant des blagues qui nous font tous rire, l’ambiance se décontracte à nouveau, tout le monde se remet à parler comme si rien ne s’était passé.

Bien, une heure s’est écoulée depuis que Mélanie s’est fait lécher par Romain. Il est plus de minuit, l’alcool commence à nous endormir, l’ambiance s’éteint peu à peu. Mélanie ne se cache pratiquement plus, elle a les jambes grandes ouvertes je suis à côté d’elle et je peux voir Romain en face regarder sans cesse son entrejambe avec des petits coups d’œil. Il va nous chercher les dernières bières, nous sommes tous bien alcoolisés.

Mélanie profite de ce moment pour me demander quelle est la suite du plan. Je hausse les épaules n’ayant pas d’idée précise et ne sachant pas si je veux une suite, de toute façon Romain est déjà revenu, nous changeons de sujet immédiatement.

Il se fait tard, je suis crevé, je propose à tout le monde d’aller se coucher, Romain accepte immédiatement quant à Mélanie, elle semble déçue de cette proposition, elle s’attendait sûrement à autre chose.

Nous sommes désormais chacun dans notre chambre et je peux être enfin seul avec ma chérie pour savoir ses sentiments par rapport à toute l’heure.

— Alors tu as aimé qu’il te lèche et que je regarde ?
— Oui beaucoup, mais il a bien failli ne rien se passer.
— Ah bon, comment ça ?
— Ben, j’ai fait ce qui était prévu, il a attrapé un plat et je lui ai mis littéralement ma chatte sur le visage. Il m’a repoussée assez violemment en disant que j’étais folle de faire ça ici, et avec lui. Je lui ai dit que j’en avais énormément envie, il m’a répondu que lui aussi, mais qu’il ne pouvait pas te faire ça ni prendre le risque que tu nous surprennes. Je lui ai donc dit de se lever et je lui ai montré qu’il n’y avait aucun risque vu que tu ne regardais pas ici. Il m’a dit : « Et s’il se retourne et qu’il rentre ? » J’ai répondu que je me reculerai et qu’il n’aurait plus qu’a se relever avec le plat. Il semblait hésitant et réfléchissait. À ce moment-là, j’ai eu peur qu’il renonce, je me suis dit : « Joue le tout pour le tout » et je lui ai sorti « maintenant fais-moi jouir ». J’ai pris sa tête et l’ai poussée vers le bas. Il a résisté un peu, mais a finalement capitulé. Dès les premières secondes, j’ai senti que je mouillais, c’est à ce moment que je t’ai envoyé ce message, j’étais trempée comme une chienne en chaleur, il me léchait bien, il m’a mis des doigts et sa langue dans mon trou, il m’a même léché furtivement le cul. Mes jambes ne me portaient plus, ma chatte était empalée sur sa bouche et j’adorais ça. Lorsque tu t’es retourné et que tu m’as regardée et que tu as souri, ça a était le coup de grâce, j’ai joui très fort, il a dû boire quelques litres de mouille. Je lui ai fait lécher mon anus en me cambrant bien, le temps que mon clito soit moins sensible. Au moment où il allait reprendre son cunni diabolique, tu m’as montré ta cigarette, je l’ai arrêté et lui ai dit de se relever. Il m’a juste dit « T’as un goût extra » et je suis venue te chercher.

Après ce récit, je bande comme un taureau, nous sommes tous les deux nus, l’un contre l’autre et, après l’excitation qu’elle vient de me donner, je veux aller plus loin dans ce jeu.

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