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La cliente

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Cette histoire m’est arrivée la semaine dernière avec une cliente Suisse qui était descendue à Cannes pour travailler sur un nouveau projet.
A la fin de la journée je lui ai proposé d’aller prendre un verre avant d’aller au restaurant. Après manger je la raccompagne à pied à son hôtel. A la réception elle me demande de monter pour avoir mon point de vue sur une autre idée sur laquelle elle travaille. Je lui demande si ça ne peut pas attendre le lendemain matin, je lui dis qu’il est tard et que je préfère rentrer si cela ne la dérange pas. Elle insiste lourdement, me dit qu’elle n’a pas le temps le lendemain, qu’elle a un autre rendez-vous le matin avant de repartir. Je finis par céder. Dans la chambre elle enlève sa veste, me demande d’attendre avant de rentrer dans la salle de bain. Son hôtel est en face du port au bout du Quai St Pierre. Je vais à la fenêtre pour profiter de la vue sur la mer. Elle sort enfin de la salle de bain et je lui dis :
– Alors ce projet ? c’est quoi ?
– Le projet c’est que j’ai envie que tu me baises ce soir.
– Quoi ? Tu ne déconnes pas un peu ? Tu m’as fait monter pour me demander ça ? Tu ne pouvais pas être un peu subtile et voir si j’étais partant ?
On travaille ensemble depuis plus de 2 ans. Je ne veux pas mêler histoire de cul et business.
Elle est plantée devant moi. Je vois son visage fermé et son air déterminé.
Elle ne bouge pas. J’essaye de trouver d’autres arguments.
– On est tous les deux en couple. Tu viens d’avoir un petit garçon.
– Et alors, tu n’as jamais couché avec d’autres femmes ? Et j’ai envie de baiser ce soir !
– Tu ne peux pas te trouver un mec de ton âge ou plus jeune que toi ?
– Non j’aime les hommes matures et marié. Ça m’excite, qu’est-ce que tu veux ?
– Ce que je veux c’est que tu ailles prendre une douche froide pour te calmer et que tu ailles te coucher après. Je pars !
Elle me bloque le passage et me dit :
– Si tu ne fais pas ce que je te demande, je dis à mon associé qu’on arrête notre collaboration. Je trouverai bien un prétexte.
– Putain, tes vraiment une salope de te comporter comme ça.
– Oui je suis une salope et je ne veux pas que tu me baises à la va vite comme tu baiserais une femme au foyer. Je veux du sexe !
– Tu me prends pour un gigolo ?
– Si tu veux, je m’en fous, mais je veux que tu me baises sans ménagement !
J’ai l’impression que notre engueulade l’excite encore plus et que ça fait partie de son petit jeu sexuelle, ses préliminaires. Elle qui est toujours douce et gentille. Une petite brune de trente et un ans au visage fin, très mince, pas beaucoup de poitrine mais un beau petit cul bien rond.
– OK, tu veux du sexe ! Déshabille-toi et tais-toi, je ne veux plus t’entendre !
Elle commence par déboutonner son chemiser et dévoile un soutien-gorge bandeau en tulle fin. Elle le dégrafe et libère de tous petits seins aux tétons pointus. Elle fait glisser sa jupe sur ses chevilles et son string suit. Elle a la chatte rasée et de grandes lèvres qui dépassent. A la voir nue on pourrait la méprendre avec une jeune femme à peine sortie de l’adolescence.
– Mets-toi à genoux.
Elle s’exécute et se mets à genoux devant moi.
Je vais dans la salle de bains me laver la bite et réfléchir à une solution échappatoire. Rien, rien de rien. Elle me tient par les couilles. J’envisage toutes les situations dans ma tête et je ne peux pas me permettre de perdre une cliente à cause d’un coup de bite que je n’ai pas donné. Même si je n’ai jamais eu envie d’elle, après tout elle n’est pas si mal que ça. Je retourne dans la chambre, elle est toujours assise en seiza. Je vide sa valise sur le lit pour voir ce qu’il y a dedans. Je trouve un foulard pour lui bander les yeux et une ceinture qui me serre à lui attacher les mains dans le dos. Je sers fermement et elle pousse un petit cri de douleur.

Je repasse devant elle et retire mon pantalon et mon caleçon. Je me branle pour avoir une érection et lui tape le visage avec ma bite.
– C’est ça que tu veux ?
– Oui !
– Ouvre la bouche et sors ta langue.
Docilement elle prend ma queue dans sa bouche et commence à me sucer.
Je m’enfonce au fond de sa bouche.
– Suce-moi !
Je la laisse me pomper gentiment et me lécher habilement avec la langue.
Je ramasse son string et lui enfonce dans la bouche. Je descends ma main sur son épaule, le long de son bras, lui caresse le sein et lui att**** le téton entre le pouce et l’index. Je joue avec mes deux doigts dessus, le pince, le frotte. Je fais des mouvements circulaires de gauche à droite. Je la serre fermement pour la faire se tenir debout et l’emmener vers le lit. Elle gémit mais ne bouge pas. J’att**** son deuxième téton et lui dit de se relever. Elle gémit encore plus fort et pousse un cri de douleur étouffé par le string dans sa bouche.
– Maintenant met toi sur le lit, la tête posée en avant et les cuisses bien écartées.
Je la regarde les fesses en l’air, les cuisses ouvertes, sa chatte est béante et des goutes perlent le long de ses lèvres. Ce n’est pas possible autrement, elle devait se branler dans la salle de bains. Elle ne bouge pas et attend de se faire prendre. Ma main lui caresse les fesses, passe dans sa raie, au-dessus de son anus et descend vers son sexe. Je glisse mes doigts dans sa fente humide. Elle mouille tellement que je pourrais y enfoncer toute ma main. J’att**** son bassin fermement pour faire pénétrer mes doigts plus profondément dans sa chatte. Je la masturbe sans retenue. Mes doigts sont au fond de son vagin. Elle gémit mes doigts continuent de s’activer dans sa fente et elle jouit. Je sors mes doigts trempés par sa mouille. Je sors son string de sa bouche pour lui faire lécher mes doigts.
Je passe derrière elle, elle se cambre, écarte encore plus ses jambes pour s’offrir à moi. Ma verge est raide comme un bâton. Elle ne bouge pas, elle attend d’être prise comme une chienne. Je pénètre son vagin pour m’y engouffrer violement. Je fais quelques allés et retours pour lubrifier ma queue. Je regarde son cul magnifique et lui demande :
– Tu veux que je t’encule ?
– Oh oui s’il te plait !
Avec le pouce, je fais le tour de son petit trou et je lui enfonce dans l’anus pour la dilater. Je sors ma verge de sa chatte couverte de sa mouille et lui enfonce lentement au plus profond dans le cul, elle étouffe un cri dans les draps mais elle se laisse faire trop contente de sentir ma bite au fond d’elle.
– Tu aimes te faire enculer, te faire défoncer le cul ?
Elle fait oui avec la tête.
Je n’ai aucun mal à limer son anus dilaté avec ma bite couverte de sa mouille. Sa réaction est immédiate, elle se tord dans tous les sens et hurle de plaisir.
Je m’active dans son cul de plus en plus fort. Je la ramone encouragé par ses gémissements.
J’att**** ses fesses pour la maintenir fermement et j’enfonce ma queue d’un coup puissant au fond de son anus pour éjaculer en poussant un cri de plaisir.
Son corps se crispe, elle est prise de spasmes et elle jouit en hurlant, elle a un orgasme intense.
Elle s’effondre sur le lit, épuisée, l’anus rouge et ravagé.
Je lui retire le foulard des yeux, lui détache les mains et la caresse.
Elle a la bouche sèche et se passe la langue sur les lèvres.
Elle se retourne sur le dos et se passe la main entre les jambes.
– J’en ai assez, merci. Je n’ai plus de jambes. Personne ne m’a jamais baisé comme ça et j’ai adoré ne plus rien maitriser. Je m’attendais à plus de douceur mais tu as bien assuré, je peux te promettre que nous allons continuer à travailler ensemble.
Elle est redevenue la petite blonde douce et gentille. Docteur jekyll et Misses Hyde !

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