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MIMI – LA GUERRE

MIMI – LA GUERRE



3 semaines plutôt, à Montréal

Toute nue, une paire de ciseaux a la main, à califourchon sur la cuvette, je me contemplais dans le grand miroir installé derrière la porte de notre minuscule salle de bain. Comme d’habitude je me trouvai des plus ordinaire avec mes seins ballon, mon ventre un peu rond et la touffe épaisse de poil noir à la japonaise recouvrant mon pubis. Un vrai nid de corbeau que je n’avais jamais rasé dans le quelle je passais les doigts pour une dernière fois, me procurant, comme toujours, de douces sensations. J’étais bien décidé à me débarrassé de tout ça, pourtant j’hésitais encore. Je les aimais bien moi mes poils pubiens. Mais je venais de découvrir Vandal Vyxen sur internet, la vedette porno colorer avec sa chevelure arc-en-ciel et ses nombreux tatouages et piercing. Trop cool cette fille-là! Dès que j’ai vu son sexe épilé, j’ai décidé de me raser, comme elle. Grande consommatrice de porno, j’ai déjà vu d’autres filles sans poil évidemment, mais Vandal est devenue mon idole du X et je voulais lui ressembler. Enfin… juste un peu, ne serait-ce que dans cette région-là. Je ne suis pas le genre tatouages et piercing à profusion. Moi, je me contente d’un anneau de narine et d’un tatoo sur un bras. Timide, je déteste trop attirer l’attention, mes seins le font bien assez comme ça. Mais j’aime ça chez les autres.

Je me vis aussi sur mon iPhone poser sur le sol appuyé au bas de la porte, placé sous le bon angle. Je filmais l’opération avec en plus une minuscule caméra de sports HD, tout à fait étanche, fixer à ma tête par une sangle élastique. Un petit bijou qui m’avait coûté la peau des fesses, mais ça valait le coup. Rien ne m’excitait plus que de me regarder sur mon ordi en train de me doucher, de me branler, ici ou dans mon lit, ou d’essayer de beau dessous. Je suis un peu vicieuse, même pas mal je dirais, mais surtout une voyeuse irrécupérable. Par contre je n’avais pas encore osé me filmer en train de baisé, trop timide pour le demandé.

« Et puis merde, ça repousse, », me dis-je pour me donner du courage en ramenant mes cheveux mis long derrière mes oreilles. Une tignasse épaisse, difficile a coiffé et aussi noirs que l’âme de Dracula me faisant paraître encore plus blanche que je ne le suis.

Avant de passer au rasoir, ce fut la paire de ciseaux qui me permit de débroussailler un chemin vers mon pubis. À chaque touffe de poils qui tombait dans l’eau froide de la cuvette, je me donnais l’impression de commettre un sacrilège. Même d’être toujours une enfant en train de faire quelque chose d’interdit, d’immorale, dans le dos de sa mère. Cela me procurait tout de même de délicieux frissons le long de la colonne jusqu’à la pointe des seins, surtout en sachant que je me filmais sous deux angles différents. Plus je rafraîchissais la toison, plus je frissonnais, fascinée par le gonflement de ma vulve. Mes grandes lèvres luisantes d’humidité s’ouvraient et se gonflaient tout doucement. L’odeur sucrée de mon sexe me monta au nez mélangé a celle de la crème a rasé au citron que j’appliquais généreusement pour le grand final. Mais dès que j’approchai le rasoir de mon pubis, on frappa à la porte. Ça me fit sursauter méchamment et échapper le rasoir entre mes pieds. Ma mère que je n’avais pas attendue approcher tellement j’étais concentré. Et me v’là à trembler comme une gamine. Ce faire surprendre a ce raser le pubis c’est déjà gênant, mais en le filmant en plus. Heureusement que j’avais barré la porte. Mais mon beau iPhone glissa un peu sous ses coups répéter.

— Mimi!
— Quoi!!! hurlai-je le plus fort possible, plier en deux, les seins écraser contre le rebord froid de la cuvette pour ramasser le maudit rasoir bleu électrique a 4 lames et replacer mon téléphone du bout des doigts.
— Seigneur, il y a une lionne là-dedans.
— Qu’est ce que tu veux? Demandai-je agacer en me redressant pour fixer mon reflet dans le grand miroir, me voyant assise cuisses écartées, le sexe ouvert, près pour une pénétration et le pubis couverts de crème a rasé. Sans parler de la Cam a mon front. Joli spectacle…
— Pizza pour souper?

Ouf! Elle n’avait pas envie d’aller aux toilettes.

— On est pas assez grosses comme ça?
— On n’est pas grosses, juste un peu rondes et les hommes aiment ça.
— Penses-tu à autre chose qu’aux hommes parfois?
— Ça m’est arrivé une fois, tu te rappelles quand je hurlais de douleur en accouchant de toi.

Me v’là à me voir rire avec elle. Ma mère est vachement cool, et je suis son double avec 17 ans de moi, mais là, elle m’énervait, pressée que j’étais de finir mon travail.

— Oui pizza, hurlai-je, maintenant fout moi la paix, fatigante.
— On aime ça nous les mères quand nos filles nous font de doux compliments. Tu vas voir, le nouveau pommeau de douche que j’ai installé est fantastique. Et, n’oublie pas que…
— Ahhhhh, je sais… ça va…
— Oui, mais…
— J’ai dit ça vas!
— Fait attention au…
— Ça va!!! Criai-je à mon reflet me voyant vilaine, dents serrées tenant le rasoir comme si c’était un couteau à lancer. Comme si ma mère pouvait le voir à travers la porte.
— Seigneur, du calme ma fille! J’ai déjà appelé pour la pizza. T’as 30 minutes, sinon tu vas manger froid ou du réchauffé et tu détestes ça ma grande.

Je grogner longuement comme un lion au zoo regardant un bébé au travers d’une vitre blindée, puis l’entendis rire et s’en aller. Je pus enfin commencer prudemment mon rasage, cuisse écarter au max, talons soulevés, ce qui me fit de beaux mollets, penchés vers l’avant à cause de mes gros seins qui me bouchait la vue. Des seins parfaitement ronds, haut et dur avec de tout petits mamelons. Deux demies ballon de basket et c’est d’ailleurs à cause d’eux que mes amies m’avaient surnommé; Mimi la bombe. Il n’y avait pas d’autre fille à l’université avec des seins aussi hauts, gros, ronds et durs. Ma mère m’a dit un jour que j’étais un savant mélange des héroïnes de Frank Frazettta et des filles à grosse poitrine que dessinait Richard Corben. Après vérification dans ses vieilles BD, je dois avouer qu’elle avait raison. Ma mère a toujours raison.

Mon travail de rasage aurait été plus simple dans un bain, mais ici, dans ce petit appartement il n’y avait qu’une douche et minuscule en plus.

Le dernier poil fauché par la lame, je m’essuyais avec du papier de toilette et tirer la chasse d’eau. Je sentis clairement le courant d’air créé par l’eau tourbillonnant sous mon anus et ça me fit sourire. Je contemplai le résultat en me caressant le pubis le trouvant si lisse, si luisant. Wow! Trop cool. Je sentais mieux le moindre attouchement. Je ne pensais plus qu’à filer dans ma chambre pour me branler et jouir tellement j’avais des fourmis dans le ventre. Malheureusement, je devrais attendre après la douche et le souper même si ce rasage m’avait excité au max. Maintenant je voyais chaque détail de mon sexe par le miroir; mes grandes lèvres brunes gonflées et ouvertes, les petits rosés luisants d’humidité et mon petit bouton sortit de sa cachette. Génial…

Je pris mon iPhone pour filmer ça de plus près. Me voir ainsi me donnait un peu l’impression d’être redevenue une petite fille. J’hésitai tout de même un instant avant de me doucher, me disant que si je faisais vite, en frottant mon clitoris… un petit orgasme peut-être? Pour la caméra bien sûr! Mais, non, plus tard, dans mon lit, tranquille, avec mon vibrateur haute technologie. Je soupirer longuement en me levant me forçant a pensé a autre chose me regardant rapidement dans le miroir satisfaite du résultat. Tout de même, je trouvais ça trop bizarre de ne plus voir ma grosse touffe en me filmant sous tous les angles, mais j’allais m’habituer.

Vandal Vixen, je t’adore…

Après avoir fermé et verrouillé mon Téléphone, au cas ou, j’entrai dans la cabine en gardant la GoPro. J’utilisais pour la première fois le fameux nouveau pommeau de douche que ma mère venait d’installé relier aux robinets par un long serpent de métal chromé. Un énorme engin, également en métal, a trois vitesses, plus un mode massage et suspendu a un crochet. Le genre de chose avec lequel on pourrait facilement assommer un cheval en pleine course et même défoncer le crâne du cavalier. On a toujours habité cet appartement et jamais je n’avais utilisé ce genre de truc. Dès que je tournai les robinets, le tuyau fin se remplissant d’eau heurta le mur avec force, me faisant sursauter, mais ma mère avait fixé un crochet pointant vers le bas à hauteur de mes genoux pour le maintenir en place et pouvoir le décrocher au besoin. Il bougea encore un peu et se calma comme s’il était vivant. L’eau jaillit sous pression comme jamais auparavant en jets larges. Je me glisser aussitôt en dessous, visage lever, et c’était génial. Enfin, une vraie douche. L’ancienne pomme de douche en plastic ne laissait passer que quelques filets d’eau. Je laisser l’eau tiède me courir sur le corps un bon moment en tournant sur moi avant de me laver. Dès que je passai le savon parfumé entre mes cuisses, en m’assurant de tout filmé, je dus faire de gros effort pour ne pas insister dans cette région. Même de très gros efforts. Eh oui, je suis folle dingue de la masturbation et c’est bien comme ça, pour le moment.

J’enlevai la caméra pour me laver la tête et la remit en place pour prendre le lourd pommeau de douche en main, une vraie enclume. Seigneur, je faillis l’échapper l’imaginant me casser les orteils, tout en me découvrant des biceps. De plus, la pression dans le tuyau le raidissait le rendant difficile a manié. N’empêche, je me rincer la tête en essayant de ne pas me fracasser le crâne, puis le visage, les seins en souriant et mon joli petit cul, ensuite les cuisses avant de passé directement le jet sur la zone sensible. Je compris tout de suite que je venais de commettre une grosse erreur en m’imaginant que l’eau tiède allait apaisé mon envie d’orgasme pour que je tienne jusqu’à après le souper. En fait, ce fut carrément le contraire, ce fut une véritable déclaration de guerre que me fit mon sexe tellement la zone épiler était devenue ultra sensible en plus d’agacer; clito, vagin et même mon anus.

Petit Jésus que c’était le fun…

Et là, la bouche en cul de poule, les yeux mis clos, je revis des scènes de porno ou les filles font la même chose en se léchant les lèvres avant de grimacer méchamment en montrant les dents. Oups! Je venais de comprendre pourquoi, même si je m’en doutais un peu.

Tout en comprenant que j’allais probablement manger tiède, je souris en bénissant ma mère d’avoir acheté cet engin du tonnerre. Pieds écarter au max dans la douche étroite, frissonnant déjà de plaisir, le sourire aux lèvres, je pressai le pommeau de douche directement sur ma vulve en me caressant les seins. Pour moi c’était une première et bon Dieu que c’était bon, surtout les petites vibrations. Le jet agaçait au max mes parties sensibles, toutes en même temps. Mais, sans le vouloir, concentrer sur mon plaisir, en voulant raffermir ma poigne sur l’engin très lourd, je dus appuyé par inadvertance sur le bouton (pleine puissance), car l’enfer se déchaîna, je vous jure.

L’eau jaillit avec la force d’un ouragan contre mon sexe, mes fesses, mon ventre, mes seins et mon visage, m’aveuglant complètement. Ma Cam en fut presque arrachée de mon front. Seigneur!!! Le recul fut si fort en plus que j’en échapper le pommeau en criant, sautant sur place comme une dingue pour ne pas me faire écraser les orteils. Il tomba avec fracas tout en giclant vers le haut, avec le tuyau, dégager de son crochet du bas s’agitant comme un vil serpent pris au piège. Ce fut comme être surprit par un gros orage, mais a l’envers.

En essayant de le ratt****r, ma bouche se remplit d’eau que je dus recracher pour ne pas me noyer. Plier en deux, aveugler par les jets, mon pied glissa et je tombai à genoux, criant de plus belle, en essayant de me retenir au rideau de douche. Mauvaise idée, il s’arracha presque complète et ma belle caméra faillit heurter le mur, mais, heureusement, ce fut mon front. J’en vis 36 chandelles. Toujours aveugler, je réussis à ratt****r le maudit pommeau pour qu’il gicle directement sur mon sexe et je calai le serpent sous un genou bien décider à jouir quoiqu’il arrive, en brave petite soldate débrouillarde. Tant pis pour le dégât d’eau que j’aurais à nettoyer. J’étais déjà accro à cette sensation incroyable surtout avec cette pression. Je replacer la caméra avec ma main libre tandis que l’eau giclait autant sur moi qu’au plafond pour me retomber dessus.

Mais ou est-ce que ma mère avait bien pu acheter un truc pareil? Ça me semblait plutôt conçu pour nettoyer des tanks après une rude bataille. Me v’là à rire comme une idiote tout en gémissant de peine et de misère à cause de l’eau me giclant au vissage. Je glisser ma main droite sur mon pubis si doux dans le jet d’eau pour me branler tout de même un peut presser de jouir. Mais encore une fois j’appuyai sans le vouloir sur un bouton et pas celui de mon sexe. À présent, l’eau sortait comme cracher par une mitraillette prise de folie projetant des balles d’eau tiède a hautes vitesses par a coup en faisant un bruit de marteau piqueur entre mes cuisses, sur ma fente et ma craque de fesses.

Me v’là à gémir comme une pute de motel prise par deux blacks sur un lit d’eau tremblant.

L’eau giclant avec force me faisait un effet du diable. Même mes seins étaient mitraillés. Je prenais presque une douche vaginale et anale en même temps, ça me coupait le souffle. Je n’avais jamais rien connu de telle. Je gémissais de plus en plus fort avec les yeux qui me piquaient atrocement et mes cheveux collés au visage. J’en tremblais de plaisir tout en me disant que j’allais sans doute éclater de rire en visionnant les images. Et soudain, en frottant du bout des doigts mon clitoris, ce fut l’explosion. Le grand feu d’artifice. Ce maudit pommeau de douche venait de gagner la guerre et pas à peu près.

Je jouis même plus qu’avec mon vibro et je ne puis m’empêcher de serrer les cuisses, ce qui libéra le tuyau fou. Il se mit a sursauté par a coup heurtant mes seins mollement et le mur. Seigneur Dieu! Je sentis une grosse décharge électrique partir de mon sexe pour me traverser le corps me faisant crier mon plaisir. Heureusement, le son de la mitraillette couvrait tout ça. Au paroxysme de l’orgasme, le souffle couper, j’échappai encore le satané pommeau qui ne me laissait aucun répit. Il projeta son jet dans toutes les directions comme un arrosoir à gazon, mitraillant l’évier, mon linge propre, les serviettes, mon iPhone. Merde! Je réussis à me lever tout en finissant de jouir pour fermer les robinets rapidement. Je rester affaler contre le mur, essoufflé a me frotter les yeux d’une main, le sexe de l’autre, le coeur battant à toute allure, me sentant vaincu, vider, dévaster. Si j’avais eu ma petite culotte blanche à porter de main je l’aurais agité en signe de reddition. J’avais mal au front, aux genoux, au dos et mon sexe pulsait. Je fis une grimace au maudit engin avant de rire de soulagement. Je nettoyer ensuite le bordel comme un zombie. Heureusement mon téléphone était étanche. Je remis tant bien que mal le rideau de douche en place, aller m’habiller dans ma chambre avec des vêtements secs et rejoints ma mère a table, toujours comme un zombie.

— N’oublie pas de commencer à emballer tes affaires, on part dans 3 semaines. Dit-elle aussitôt?
— Je sais, répondis-je agacer.

Ma mère avait dégoté du boulot, mais en région, a 12 h d’ici en voiture. La bonne nouvelle c’est qu’elle avait loué une maison, mais au milieu de nulle part en pleine forêt. Une ancienne maison canadienne sur deux étage avec cave et grenier et de vieux bâtiments tout autour. Je ne savais toujours pas si ça m’excitait ou pas…

— Alors, la douche ma fille? Génial hein!
— WAIS… génial.
— As-tu essayé la fonction massage?
— Oh oui, répondis-je mollement, la bouche pleine de pizza réchauffée au micro-ondes, les cheveux mouillés devant mon visage pour cacher ma bosse au front.
— Relaxant, hein!
— Tu parles… ou t’as acheté ce truc?
— Au surplus d’armées.

Je la fixai comme si je ne l’avais jamais vue de ma vie.

— Tu me niaises?
— Non! Ils doivent bien se laver aussi les soldats, surtout depuis qu’il y a des filles dans l’armée, j’imagine. Pourquoi?
— Pourquoi! Parce que ce truc pourrait t’arracher la peau à hautes vitesses, même décaper la peinture d’une voiture.
— C’est pour ça qu’il ne faut pas l’utiliser à hautes vitesses, nounounes. Je t’ai averti hier. Mais à ce que je vois, tu as toujours ta belle peau lisse.
— Un coup de chance.

Elle me regarda mystérieusement arborant son fameux petit sourire en coin, les yeux tout petits et dits…

— Moi, j’ai eu trois orgasmes de suite hier en l’essayant au mode massage, et toi? Je t’ai entendu gémir d’ici et plein de bruits bizarres. Et j’ai vue les petits poils par terre, tu tes épiler complètement ou juste fait la coupe bikini?

Je fixai encore ma mère, mais les yeux tout ronds cette fois, bouche ouverte, les joues en feux. Elle, elle riait comme une folle de me voir si surprise, la main sur la bouche, essayant de ne pas recracher son Coca-Cola, mais peine perdue. Ça gicla sur son t-shirt soulever par les mêmes gros seins que les miens, un t-shirt de l’armée canadienne évidemment. Ma mère est folle des trucs militaires et je me serais bien passé de cette pâle imitation de l’exorciste. Mais ça m’a fait rire comme une folle finalement.

WAIS, ma mère est vachement cool, mais trop parfois.

Maintenant

Ahurie, les mains agripper au volant, je regardais notre nouvelle maison sans me décider à descendre de voiture, même après une journée harassante de route panoramique le long du fleuve. Rien à voir avec la photo que ma mère m’avait montrée sur le Net. La photo devait dater des années 60. Une vraie maison de film d’horreur perdu en forêt. Plus une goûte de peinture sur les murs, fenêtre placardée, elle semblait même prête à s’écrouler. Une maison pour psychopathe qui semblait nous dire; fuyez pauvre folle… fuyez!!!

— Bon, j’admets qu’elle a un peu besoin d’amour Mimi. Fait ma mère sur le siège passager tenant un gros pied-de-biche sur ses genoux.
— Un peu! Et si on y mettait le feu?
— Avec toutes nos broîtes déjà à l’intérieur et nos meubles?
— Bof! Une belle occasion de repartir en neuf.
— On ne fait que la louer avec option d’achat je te rappelle. Dans une semaine, après un bon ménage et un peu de rénovation et de peinture, tu ne voudras plus rien savoir de Montréal.
— Ça, ça n’arriveras jamais, oh que non!
— On parie?
— Ce que tu veux.
— Un bon massage.
— Mwais…
— Viens m’aider à dé-placarder les fenêtres du bas pour ce soir.

Je soupirer longuement, complètement décourager trop certaine de gagné ce pari.

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