Expériences au sauna
Cela faisait longtemps que l’idée me trotter dans la tête, et à l’occasion d’un déplacement professionnel sur Paris j’ai décidé d’aller faire un tour dans un sauna pour hommes. Ce genre d’établissement dans ma province n’existe pas et c’est assez régulièrement que je regardais sur internet les divers saunas parisiens dans l’hypothèse où j’irai un jour sur Paris. Les tarifs, les horaires de fréquentations, les avis des internautes, je regardais tout dans l’espoir un jour de pouvoir mettre les pieds dans l’un d’eux.
Marié, mais bisexuel, ma femme ne connait pas mon penchant, je n’avais que peu d’expérience ou du moins j’avais peu d’occasions dans ma province où les coins de rencontres sont rares et se limitent à des parkings où le risque de rencontrer une connaissance n’est pas à écarter. La quarantaine bien pesée, encore bien conservé, je suis plutôt d’un naturel passif avec les mecs. Le sauna me semblait donc l’endroit idéal pour passer un bon moment entre personnes consentantes et de même profil, sans les contraintes du stress en pleine nature même si ça peut parfois donner un peu de piment à la chose.
Je vous cache pas mon impatience pour ce déplacement, et je vous passe donc le voyage en train tout occupé à mes pensées coquines et la journée de réunion. Je ne devais repartir que le lendemain en fin d’après-midi et j’avais donc toute la soirée à ma disposition.
Heureusement, la réunion se terminait assez tôt, vers 17h ce qui me laissait largement le temps de profiter d’un sauna parisien, d’aller diner par la suite et de me coucher de bonne heure. J’avais d’ailleurs vu sur internet qu’en semaine les heures de plus fortes affluences dans les saunas étaient après 17h et jusqu’à 20h, bien suffisant pour passer du bon temps.
Compte tenu de la situation de mon hôtel, j’opte pour un sauna qui m’évite un long trajet en métro. Il est 17h30, j’ai pris une bonne douche et je me rends dans la rue où se situe l’établissement. Je sors du métro, repère la rue à prendre, à peine 100m à faire, je sonne, une porte s’ouvre sur une cour intérieure particulièrement jolie, quelque marges à gravir et j’entre. L’accueil est sympa, je règle et je m’oriente vers mon vestiaire. Les vestiaires sont répartis de part et d’autre d’une superbe pièce équipée d’escaliers en arc de cercle et des numéros indiquent clairement où se rendre. La température est agréable, et quelques hommes déjà mûrs se changent tranquillement en jetant des regards furtifs au nouvel arrivant que je suis.
Une fois changé, serviette autour du bas ventre je m’aventure à reconnaître les lieux. Un escalier donne accès au sous-sol où se trouvent les douches ainsi qu’un petit domaine en contrebas avec des box équipés de couchettes où parfois un homme attend. Une grande pièce équipée d’un grand lit et disposant d’un écran qui diffuse un film gay semble attendre que des amateurs s’y livrent à la débauche.
A côté des douches, une piscine où il est clairement proscrit de s’adonner à des ébats risquant d’en polluer le contenu…
Je prends ma douche en regardant les autres nus en train de se laver, comportement que tous adoptent sans gêne.
Une fois terminé, je remonte à l’étage des vestiaires et part à la découverte de l’étage supérieur en empruntant ce monumental escalier en arc de cercle. L’étage dévoile alors un grands nombre de petites pièces avec couchette simple ou double où des mecs ont l’air d’attendre de la visite.
Je pense que cette description du lieu devrait permettre à certains lecteurs coutumiers des saunas parisiens de le reconnaître aisément.
Je passe cet étage et monte au niveau supérieur, l’escalier est plus tortueux, et une fois à l’étage qui est plus sombre je suis un couloir sur la gauche qui me mène dans une sorte de petit labyrinthe sombre. Je progresse un peu à tâtons car il faut s’habituer à la pénombre et je me trouve rapidement au bout de ce dédale. Je suis là, un peu perdu, le souffle court, quand je sens une présence et qu’une ombre massive se dessine. Je ne bouge pas et je sens une main me caresser l’entrejambe à la recherche de mon sexe. De mon côté ma main part à l’aventure pour découvrir de quoi dispose le propriétaire de cette main.
Ce que je tiens dans la main est plein de promesse, déjà bien développé, d’une fermeté grandissante, un beau morceau de bite. Nous nous caressons mutuellement sans échanger le moindre mot. Les gestes suffisent pour comprendre ce que nous attendons chacun de l’autre. Nos visages sont proches et nous pouvons nous découvrir dans cette pénombre. Il semble avoir la cinquantaine, un visage viril agrément d’une belle moustache. Je sens ses lèvres se poser sur les miennes, sa moustache me chatouille un peu. Son autre main derrière ma nuque me maintient contre sa bouche et sa langue cherche à se frayer un passage entre mes lèvres. Je me laisse faire docilement, et accueille cette langue ferme et tiède qui part à la découverte de la mienne. Nous échangeons ce baiser pendant un long moment en continuant à nous masturber mutuellement. Une pression de sa main sur mon épaule me fait comprendre que mon partenaire souhaite passer à autre chose et que ma bouche ne doit pas contenter que de sa langue.
Je me laisse faire et me mets à genoux, le visage à hauteur de sa queue que ma main tiens encore fermement. J’approche alors mes lèvres de son gland et doucement le bout de ma langue s’amuse à jouer avec. Je le couvre de salive et l’aspire délicatement avant de faire glisser le reste de son sexe dans ma bouche. Je ne peux le prendre entièrement en bouche sauf à prendre le risque de vomir. Je m’applique donc à donner le maximum de plaisir à ce membre, je m’applique à bien le faire coulisser entre mes lèvres, à jouer de ma langue. Les soupirs de son propriétaire me prouvent que je me débrouille pas mal. Il me caresse la tête en même temps que je pratique ma pipe, je suis bien content de ce début de séance au sauna.
Le sexe dans ma bouche semble gonfler encore plus et je sens son propriétaire vouloir quitter ma bouche en chuchotant « je vais jouir ». C’est l’occasion pour moi, d’ajouter une nouvelle expérience à ma bisexualité en recevant le sperme dans ma bouche. Je maintiens fermement le corps de mon partenaire pour garder son sexe en bouche, et comprenant mes intentions, il s’abandonne en plusieurs éjaculations puissantes qu’il accompagne de grognements de plaisir. Son sexe perd alors un peu de sa vigueur dans ma bouche et je le laisse quitter ma bouche pleine de son sperme. Puis il disparaît après m’avoir dit « Merci, et à plus tard, peut-être ». Je cherche un distributeur de papier, prends une feuille et y vide le contenu de ma bouche qui reste légèrement gluante et dégage une odeur caractéristique.
La soirée commence bien, et je continue ma découverte des lieux. Je repasse devant l’escalier et prends le couloir à droite. C’est sombre mais je suis maintenant bien habitué à la pénombre. Je découvre une première pièce équipée d’un sling, personne ne l’occupe et je m’amuse alors à m’y installer pour connaître la sensation d’être suspendu, jambes ouvertes, anus offert à qui souhaite jouer avec.
Je vois passer plusieurs silhouettes que ma position ne semble pas intéresser, puis une autre s’arrête et s’approche. Je stresse un peu en attendant de voir la suite. Une main aventurière me caresse alors les fesses qui lui sont totalement offertes. Je ne peux que montrer mon approbation par une petite contraction, et un doigt s’attarde sur mon petit trou. Après l’avoir doucement caresser, il en teste l’élasticité. La sécheresse de mon cul ne facilite pas la progression du doigt et le distributeur de crème lubrifiante est alors le bienvenu. L’homme prend une dose de crème et me la glisse entre les fesses pour bien l’étaler sur mon trou. Le doigt n’a alors aucune difficulté pour partir à l’exploration de mon rectum. C’est agréable, je me laisse doucement aller à cette pénétration. Le doigt est alors rejoint par un deuxième, et leur possesseur s’amuse à les faire aller et venir dans mon fondement, et à les écarter lorsqu’ils sont au plus profond pour tester la souplesse de mon intérieur. Je suis comblé par ces doigts et mon érection est à son paroxysme. L’homme se saisit d’ailleurs de mon sexe avec son autre main et la fait coulisser pour bien dégager mon gland.
Je suis là jambes grandes ouvertes, le cul offert, mes bras tiennent les chaînes du sling, les yeux fermés, la tête légèrement abandonnée en arrière, je profite pleinement de ce moment de soumission voulue.
Les doigts fureteurs quittent mon trou du cul, un bruit d’enveloppe qu’on déchire, et quelques instants après je sens quelque chose de dur se poser sur ma rondelle humide. La sensation est exquise, le membre force alors l’entrée de mes sphincters, une légère douleur mais je reste détendu et naturellement le membre glisse totalement dans mon trou du cul, les couilles en butée contre mes fesses. Me voilà enculé au plus profond, je n’ai pas vraiment mal, la sensation que me procure ce sexe en moi est indéfinissable et je savoure ce moment.
Puis l’homme commence à me limer doucement faisant aller et venir sa bite en moi sur presque toute sa longueur. Mes gémissements de plaisir accompagnent sa besogne et l’encouragent. Il sort parfois totalement sa bite, laissant mon anus se refermer, et m’embroche alors à nouveau me faisant alors lâcher un petit cri. Sa main sur ma bite continue son activité et sous les mouvements répétés de sa queue au plus profond de moi, je me sens soudain partir dans une jouissance qui arrose mon ventre et sa main de ma semence. Satisfait de son ouvrage, je sens sa bite quitter mon trou qui reste ouvert et un air plus vrai m’envahi alors le boyau. Je me retrouve seul, épuisé par cet orgasme et ravi de ce que je viens de vivre.
Je quitte le sling pour descendre les deux étages qui vont me permettre de prendre une douche réparatrice.
(à suivre, si vous le souhaitez..)
Ajouter un commentaire