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Mes voisines (3)

Mes voisines (3)



Arrivé chez moi, je remarque que la lumière de la salle de bain est allumée, mais la fenêtre est fermée. Une ombre se déplace derrière, mais elle est trop grande pour que ce soit Virginie. J’allume la lumière du salon pour signaler ma présence. Je me déshabille et, nu, vais dans la cuisine pour me préparer quelque chose à grignoter. Quand je reviens dans le salon avec un plateau, la fenêtre est ouverte, mais il n’y a personne dans la pièce, il faut dire qu’il est vingt-deux heures trente. Je m’installe face à la fenêtre pour manger, on ne sait jamais. Ayant fini de manger, je me lève pour amener le plateau à la cuisine quand le mari entre dans la salle de bain, il est nu et fait couler l’eau de la douche. Il se douche en se caressant un peu mais sans plus.

Au bout d’une petite minute, il sort de la douche et sans s’essuyer, va vers le petit meuble. Il en sort le gros gode qu’a utilisé sa femme pour Virginie. Je commence à être sérieusement intéressé. Le vais vite poser mon plateau à la cuisine et m’installe ostensiblement sur une chaise sur le balcon. L’homme enduit le gode de graisse ainsi que son anus. Il sort une planche de bois carrée d’à peu près soixante à soixante-dix centimètres de côté, la pose sur la moquette et y ventouse le gode au milieu. Il s’agenouille dessus en me tournant le dos, les genoux de chaque côté du gode de manière à avoir ses fesses juste au-dessus.

Il se laisse descendre sur l’engin en se maintenant d’un côté sur le petit meuble et de l’autre à la poignée de la penderie. Sans même qu’il ait besoin de le maintenir, le gros gland du gode se glisse entre ses fesses, les écarte et s’introduit doucement en lui. Je suis aux premières loges, il n’est qu’à une dizaine de mètres de moi, je peux même voir son anus se décolorer légèrement sous l’effet de la dilatation de sa rondelle. Apparemment, cela se passe sans aucun effort, on voit que son sphincter est habitué à ce genre d’exercice, comme le mien. Il descend sur toute sa longueur jusqu’à ce que ses fesses touchent la planche. Il reste un petit moment dans cette position puis remonte jusqu’à ce que le gode sorte pour redescendre une nouvelle fois dessus et se faire défoncer la rondelle à nouveau.

Il agit ainsi pendant un bon moment, je suis étonné de sa résistance, les muscles de ses cuisses doivent commencer à lui faire mal, d’autant que son rythme s’accélère. Il est là, devant moi, en le sachant très bien, à se défoncer le cul les bras en croix quand entre Joëlle. Il se redresse, se dégage de la planche. Je peux constater qu’il bande fort. Joëlle se badigeonne l’anus avec la graisse et prend sa place. Je vois ses fesses descendre sur le phallus et, comme lui, le gland se frayer un passage entre ses fesses et lui ouvrir l’anus sans qu’elle ait besoin de le guider. Je suis scotché qu’elle puisse s’enfoncer un tel engin dans le fion sans broncher.

Ces deux-là ont vraiment le sexe sous toutes ses formes dans la peau. Comme lui, elle fait ressortir le gode de son cul pour s’empaler violemment dessus tout de suite après. La seule différence, c’est qu’en même temps, elle a gobé la bite de son homme. Elle se maintient en lui prenant les fesses avec les mains. L’homme est face à moi, mais il ne me regarde pas, il a les yeux fixés sur sa femme. Très vite il se raidi et, à ses soubresauts, je comprends qu’il se vide dans sa bouche. Il se libère de la bouche de sa femme et quitte la pièce sans un seul geste d’affection pour elle. Joëlle continu ses va et vient sur le gode, une de ses mains est sur son sexe.

Elle finit par s’immobiliser, assise sur le gode, se courber en avant et tressaillir de tout son corps. Elle jouit en silence, je n’entends absolument rien. Elle se lève lentement comme une personne un peu dans les vaps, rince le gode, le range, range la planche et, avec sa démarche chaloupée, vient vers moi en me regardant pour fermer la fenêtre. Pas un geste, pas un sourire. Je vois sa silhouette s’éloigner derrière la vitre dépolie et la lumière de la salle de bain s’éteindre. Je suis sur le point d’aller prendre une douche quand la lumière s’allume de nouveau. C’est Virginie qui entre en peignoir.

Elle fait couler la douche, prend quelque chose de sa poche et le pose dans la douche, se déshabille et se glisse dessous. Elle s’agenouille au fond la douche, se saisi de ce qu’elle a posé au fond de la douche, c’est un gode assez gros, mais sans plus, quatre centimètres de diamètre à peu près, mais plus de vingt centimètres de long. Elle le glisse sous elle, le ventouse au fond de la douche et se laisse descendre lentement. Je suis étonné qu’elle ne se soit pas préparé en se masturbant un peu.

Elle monte et descend dessus, de là ou je suis, je ne peux pas trop distinguer ce qui se passe exactement, mais les mouvements me paraissent bizarres. Je la vois juste monter et descendre sur ce phallus artificiel. Elle finit par jouir en poussant un petit grondement à peine audible, se lève en maintenant le gode en place, me tourne le dos, et là, je peux enfin voir. Son gode n’est pas dans son sexe, mais dans son anus. Elle s’est sodomisée devant moi. Sans même l’enlever, elle quitte la pièce et éteint la lumière. Il est temps pour moi d’aller me doucher et me coucher.

Je suis resté quelques années dans cet appartement, et le spectacle a été permanent pendant les beaux jours en général de mi-mai à mi-octobre. J’ai souvent vu s’exhiber Joëlle seule ou avec un gode, Virginie seule ou avec un gode, son mari Laurent avec des godes dont un gonflable qu’il gonflait de plus en plus jusqu’à atteindre un diamètre d’à peu près dix centimètres, Joëlle et Virginie avec ou sans gode, Laurent et Joëlle avec ou sans gode, mais jamais Laurent et Virginie, jamais le père et la fille. Pendant toutes ces années, nous nous sommes de temps en temps croisés dans la rue, mais nos relations se sont arrêtées là, juste un « bonjour bonsoir », rien de plus. Tout s’est passé comme si rien de tous cela n’était arrivé.

Je dois déménager fin mai, deux jours avant mon départ je gare ma voiture devant mon immeuble pour charger des cartons que je dois amener chez mon ex-femme. Au moment où je ferme le coffre, Joëlle sort de chez elle.

–Bonjour Jean.
–Bonjour Joëlle.
–J’ai appris que vous nous quittiez ?
–Oui, je déménage dans un autre quartier, j’ai trouvé un appartement plus grand, celui-ci est trop petit maintenant que ma fille a dix ans, il lui faut sa chambre quand elle vient me voir, elle ne peut plus rester dans mon bureau pour dormir, il lui faut un peu plus d’intimité.
–Je comprends, mais ça fait presque quatre ans que vous êtes là et nous ne nous connaissons pas.
–C’est vrai, nous nous croisons, mais nous ne pouvons pas dire que nous nous connaissons.
–Vous partez quand ?
–Après demain, le déménagement vient à huit heures.
–Vous êtes libre ce soir ?
–Non, je dois me rendre chez mon ex-femme pour lui amener les affaires que ma fille veut ramener chez elle et en prendre d’autre pour le nouvel appartement, je dine chez elles.
–Demain alors, comme ça vous n’aurez pas à vous faire à manger, vous ne salirez rien ?
–Ok pour demain.
–Je vous attends vers dix-neuf heures ok ?
–Ok.

Elle s’éloigne dans sa démarche chaloupée en faisant voler de droite à gauche sa jupe légère. Je présume qu’elle doit être nue dessous, comme d’habitude. Au fil des années, j’ai pu remarquer qu’elle ne porte jamais de sous-vêtements ni de collants, même en hiver, tout comme sa fille. Ce doit être de famille.

Le lendemain, vers dix-huit heure trente, la lumière de la salle de bain s’allume, mais la fenêtre est fermée. Je vois une silhouette féminine se déplacer mais je ne peux être sûr de la personne. La seule chose que je peux affirmer, c’est qu’elle est nue et qu’elle passe très souvent très près de la fenêtre. Je me prépare, je dois m’attendre à tout donc je me fais un super lavement, je veux être prêt à toute éventualité. Vers dix-neuf heure, je descends et sonne chez mes voisins. La porte s’ouvre sur Virginie qui s’efface pour me laisser entrer. Elle ne porte qu’une robe courte qui la moule comme un gant. A première vue, elle est nue dessous, pas la moindre trace de sous-vêtement. Elle ferme la porte.

–Suivez-moi.

Je la suis dans un large couloir qui mène au salon. Elle marche devant moi en faisant bien onduler ses fesses, je suis sur le point de lui sauter dessus, mais je me retiens, ce n’est peut-être pas le moment. J’entre dans le salon, il est assez grand avec une immense baie vitrée qui donne sur une pelouse. Joëlle n’est pas là.

–Votre mère n’est pas là.
–Elle est dans la salle de bain, elle finit de se préparer, asseyez-vous, elle arrive dans trente secondes.

Je m’assoie sur un grand divan en cuir gris métal vraiment très confortable. J’admire le jardin, et je remarque que seule une autre maison en face peut voir dans le salon. Il y a un mur de deux mètres de haut qui ceinture le jardin, seule une maison en face a un étage qui permet de voir par-dessus. Je pense que les spectacles ne doivent pas être que d’un côté quand apparait Joëlle vêtue d’un corsage léger et transparent à peine boutonné au milieu du ventre, on distingue très bien ses seins dessous, et d’un jupe courte plissée.

–Bonjour Jean.

Je me lève pour la saluer, mais elle vient vers moi et m’embrase sur les deux joues. Je suis envahi par son parfum, je reconnais « Air du temps » que portait ma première femme.

–Asseyez-vous, un apéritif ?
–Volontiers.
–J’ai du pastis, du porto, du whisky, du gin, qu’est-ce qui vous ferez plaisir ?
–Un whisky s’il vous plait.
–Glace, eau plate, Perrier ?
–Perrier et glace s’il vous plait, c’est assez rare qu’on me propose du Perrier, peu de gens le prennent comme ça.
–Mon mari le prend comme ça.
–Il n’est pas là ?
–Non, il est à Paris pour son travail, c’est la réunion de fin de mois. Ils discutent de la stratégie à venir, juste une excuse pour faire la fête à Paris entre copains.
–Je sais ce que c’est, j’ai été commercial pendant plus de vingt ans.
–Virginie, ma chérie, tu peux aller chercher le Perrier, je sers Jean, un porto pour toi ?
–Oui.

Virginie se dirige vers la cuisine pendant que Joëlle me sert mon whisky. Elle se penche sur la table basse, pour verser le liquide, me dévoilant ses seins que je vois pour la première fois complètement dénudés de ci près. Ils sont encore blancs, elle n’est pas encore allée à la plage, mais toujours aussi appétissant. Elle se sert elle aussi un whisky et le porto de sa fille. Virginie revient avec une canette de Perrier, l’ouvre et m’en verse un peu dans mon verre. Les deux femmes s’assoient en face de moi. Nous levons nos verres à la santé de tout le monde. La discussion porte sur un peu tout. Virginie est assise en face de moi avec les jambes serrées, mais sa robe moulante fait un pont entre ses cuisses, ce qui libère la vue jusqu’à son pubis que je distingue parfaitement. De plus, sa robe moule parfaitement ses seins donc les mamelons pointent au travers du tissu. Comme je l’avais constaté en arrivant, elle ne porte pas de sous-vêtement. De même pour sa mère qui, elle, croise et décroise ses jambes me faisant admirer à chaque fois ses lèvres intimes roses et de plus en plus brillantes, je distingue même au bout d’un moment, un liquide blanchâtre sortir de son sexe, elle s’excite de plus en plus. Tout à coup Joëlle pose son verre, se lève et fait un brusque tour sur elle-même faisant monter sa jupe au niveau de sa taille me dévoilant sans pudeur son sexe et ses fesses.

–Qu’en penses-tu ?

Elle me tutoie. Je suis un peu interloqué, je pensais bien que la conversation allait venir à ce qui c’était passé ces dernières années, mais pas comme ça.

–Si tu veux parler de tes fesses et de ton sexe, je suis en admiration depuis un bon bout de temps. Je les connais sous toutes leurs coutures. Je peux même dire la même chose de tes seins.

Virginie se lève, fait remonter sa robe jusqu’à sa taille.

–Et moi ?
–Je ne peux que te donner la même réponse. Vous êtes toutes les deux très belles.
Joëlle déboutonne son corsage et le jette sur un pouf vite imité par Virginie qui fait passer sa robe par-dessus sa tête. Joëlle fait glisser le zip de sa jupe qui rejoint très vite le reste des vêtements des deux femmes. Elles sont là, nues devant moi, j’attends avec impatience la suite.
…/…

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