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Mon histoire – partie 29 -Thaïlande (1/2)

Mon histoire – partie 29 -Thaïlande (1/2)



Octobre 2015

Pierre et Corinne refilent le parfait amour.
De notre côté nous avons besoin de repos et de dépaysement.
Nous avons choisi d’aller visiter la Thaïlande. Beaucoup pour découvrir le pays, sa culture, un peu aussi pour la liberté de ses moeurs.
Je soupçonne Véro de me réserver quelques surprises.
Nous voici donc à Roissy prêts à embarquer. Mon amour aime voyager légèrement vêtue. Une simple robe , quelques sous vêtements , point.
Nous voici installés, bien confortablement , en première.
De jolies et accortes hôtesses s’occupent de notre bien être. Champagne, petits fours et autres attentions sont au programme. Le vol est long, autant prendre ses aises. Nous plaisantons et finissons par sympathiser avec l’un d’elles.
Trois heures plus tard, la nuit est tombée, le repas est passé, le vol est calme.
Véro se penche vers moi:
— Je m’ennuie..!!
Sa remarque me fait sourire, c’est vrai que la patience n’est pas son fort.
Elle reprend :
— Tu as déjà fait l’amour en avion ?
— Non et toi ?
— Non plus..
— je vais faire un tour aux toilettes, tu m’accompagnes ?
— T’es une grande coquine… Ça me tente , mais on va pas se faire pincer ?
— On verra bien…
Et je la vois qui fait descendre, le plus discrètement possible, son string pour finir par l’enlever …
Mon sexe se tend , excité à l’idée de faire l’amour dans un endroit si insolite.
Personne ne nous a vu rentrer ensemble.
Elle se colle à moi et m’embrasse tendrement. Ses mains s’empressent de défaire ma ceinture, de déboutonner mon pantalon pour le baisser en même temps que mon caleçon.
Les miennes s’occupent de sa poitrine, relèvent sa robe, caressent son sexe mouillant d’envie.
Elle s’assied sur le siège , sa bouche ouverte à portée de mon sexe érigé.
Sa tête se penche, mon bassin vient à sa rencontre.
Ses doigts s’occupent activement de son clitoris.
Son degré d’excitation est tel qu’elle pourrait se faire jouir, là, comme ça , en quelques secondes mais j’ai trop envie d’elle.
Je la fais se relever, je prend une de ses cuisses que je soulève, et, en un coup de rein , j’ai investi sa grotte inondée.
Jamais peut être n’avons nous ressenti une telle poussée d’adrénaline.
Je dois mettre ma main libre devant sa bouche pour l’empêcher d’ameuter tout l’avion par ses cris.
En quelques instants nous sommes submergés , à la même seconde, par un orgasme qui nous laisse hagards.
Les cheveux ébouriffés, le souffle court, les yeux dans le vague , nous reprenons peu à peu nos esprits .
— Ouaouhhh!!! S’écrie t elle. Vivement le vol retour…!!!

Quand nous sortons des toilettes, heureux mais un peu honteux tout de même, nous croisons notre hôtesse qui ne peut s’empêcher de nous sourire et de nous adresser un clin d’oeil complice.
— Je vous apporte une coupe. Bienvenue au  » Mile High Club  » !!

Nous voici arrivés à Bangkok au petit matin. Apaisés, repus , nous avons dormi comme des bébés.
En trois jours nous visitons cette capitale grouillante, à l’air humide et pollué.
Un guide nous fait découvrir les endroits les plus courus mais aussi quelques pépites qui sortent des sentiers battus du tourisme de masse.

Nous quittons la ville pour visiter le nord du pays pendant quelques jours.
Nous avons vite marre des visites de temples , des bouddhas assis, couchés , debout. Il nous tarde de rejoindre notre hôtel au bord de la plage.
Mais avant , nous avons voulu découvrir Pattaya, sa vie nocturne et … le reste!
Nous voici déambulant, main dans la main, sur Beach Road avant, la nuit venue, de nous enfoncer dans les rues plus animées..
Un ami nous a indiqué un célèbre salon de massage et nous décidons de nous accorder quelques moments de plaisir local.
L’endroit est assez sélect, pas sordide comme les endroits miteux que nous avons pu apercevoir ailleurs.
Une dame élégante qui doit être la patronne nous demande en un anglais parfait ce que nous désirons.
Nous voulons un massage, disons sensuel, dans la même pièce avec deux jeunes filles , jolies dont nous exigerons de vérifier l’âge.

Elle nous dirige vers un endroit joliment décorée. Des diffuseurs distillent dans l’air un agréable parfum. Une douce musique et une pénombre recherchée donnent à l’ensemble une ambiance reposante.
Nous nous déshabillons et prenons une rapide douche avant de nous installer sur les tables placées cote à cote.
Nos masseuses arrivent, jeunes, jolies souriantes.
Une blouse blanche masque leur corps et dans un Thaianglais , elles nous proposent de nous allonger sur le ventre.
Le massage commence par les pieds et les jambes avant de remonter vers le dos, les épaules , la nuque.
Il fait bon, leurs mains sont douces , une torpeur nous envahit, nos yeux se ferment, nos corps se détendent.
Les caressent se font plus langoureuses et nous sentons bientôt tout leurs corps, nus cette fois, se frotter aux nôtres .
L’huile facilite les frottements et je sens ses petits seins aux pointe dures aller et venir sur mon dos et mes fesses.
Véro a droit au même traitement que moi et nous nous regardons mutuellement nous faire câliner .
Il est temps de nous retourner pour que le massage continue.
Bien évidemment l’effet conjugué de ce traitement et de la vision de Véro nue, massée sensuellement par une jolie demoiselle , a fait durcir mon membre . C’est un peu gêné que je me retourne donc accompagné d’un sourire mi attendri , mi narquois de mon amie.

Et les mains douces recommencent leur ouvrage, de bas en haut en évitant les parties sexuées.
Nous nous retrouvons à flotter entre deux mondes quand ma masseuse se fait plus entreprenante en prenant soin de mon pénis , allant et venant sur mon sexe qui prouve vite son contentement.
Véro a , elle aussi, droit à un traitement de faveur qu’elle apprécie manifestement en laissant échapper des petits soupirs évocateurs.
Expertes, les demoiselles nous prouvent leurs talents buccaux auxquels nous ne pouvons résister bien longtemps.
Véro jouit tout à coup sous l’effet d’une langue habile et de doigts agiles. Son corps se tend, sa poitrine se soulève et , les yeux fermés, elle ne peut s’empêcher de crier son bonheur.
Quant à moi, je résiste un peu plus aux assauts de la jeune Thaï mais je ne peux que me laisser aller dans sa bouche chaude et accueillant.
Sans un mot de plus , elle se retirent nous laissant revenir sur terre après ces instants d’un érotisme brulant.

Nous voici installés à kho Phi Phi Don.
L’hôtel est magnifique, l’endroit paradisiaque.
Entre les plages de sable blanc sur une eau turquoise et les fonds marins d’une grande beauté nous savourons ces instants paisibles, loin de la foule .
Nous devons y séjourner une dizaine de jours avant de retrouver la métropole.
Mon amour a eu vite fait de prendre une jolie couleur pain d’épice qui ne fait que mettre en valeur ses yeux clairs.

Un matin, à côté de nous, s’est installée sur un transat une très jolie jeune fille, seule, apparemment.
Pas très grande, un mètre soixante cinq environs, brune, fine, elle est visiblement Thaïlandaise.
Elle nous sourit et nous demande dans un Anglais plus que correct mais avec une voix un peu grave si elle peut occuper la place proche de la notre.
Véro lui répond qu’il n’y a aucun problème et entame la conversation.
Nous apprenons qu’elle s’appelle Areeya, qu’elle est effectivement originaire de Bangkok, qu’elle est venue seule passer quelques jours de vacances dans cet hôtel.
Elle nous demande si nous avons apprécié son pays et si nous avons pu gouter quelques spécialités locales.
Véro lui répond en riant qu’effectivement la réputation de son pays n’est pas usurpée en matière de qualité d’accueil,
Devant ce clin d’oeil à double sens, la demoiselle qui a de l’humour éclate de rire. La glace est définitivement rompue et je les laisse poursuivre la discussion.
Areeya est un beau brin de fille, ses cheveux noirs, longs tombent sur ses épaules dont la droite arbore un joli tatoo. Un percing discret orne son nombril, elle doit faire tourner bien des têtes d’ailleurs beaucoup de regards sont tournés vers nous et je sais bien que ce n’est pas moi qu’ils matent.
A la fin de la mâtinée elle sait tout, ou presque, de nous et l’heure du repas approchant elle se lève pour rejoindre sa chambre nous disant qu’elle a passé un tres bon moment et nous invitant à rejoindre sa table pour déjeuner si nous en sommes d’accord.
Nous acceptons avec joie et quand elle est partie, Véro me demande comment je la trouve
— Jeune, jolie, sympa
— Tu n’as rien remarqué ?
— Non, pourquoi ?
— Je pense que c’est un trans..

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