Ce récit est un fantasme, une espérance, une solution à une envie : et qu’elle envie !
Je me promène sans trop savoir où je vais , ni dans qu’elle direction ! Ce que je sais , c’est que après avoir été sur un site de travesti dans le courant de l’après midi, et , m’être branle. Je déambule dans ce parc , et , je pense , je pense .
Ah! Si je pouvais me faire une rencontre , comme sur ces images de sexe d’hommes habillés en femme . Je rêve sans doute .
je sors de ma poché de pantalon un petit mouchoir , juste pour essuyer ma salive qui sort de ma bouche , et , je marche sans avoir prêté attention aux alentours.
S’il vous plaît – s’il vous plaît ! Charmant monsieur , vous avez fait tomber par inavertance votre mouchoir . Le voici .je me retourne .
Oh ! Merci , c’est très gentil de l’avoir ramasser .Vous êtes d’une élégance.
Effectivement cette femme est surtout très bien proportionnée, une petite jupe , des talons aiguilles , un décolleté à vous faire bander direct
Si vous le désirez , nous pouvons nous asseoir pour discuter , ce serait sympa , me dit-elle-!
Tu parles : je n’attends que cela !
Je lui réponds en la devisageant du haut en bas et de bas en haut .
Avec plaisir, tenez le banc la-bas cachés sous les arbres .
Et la voilà qui se passe les mains sans arrêt sur ses jambes qui se croisent et qui s’ouvrent .
On est vraiment bien là ! Me souffle t-elle tout en se rapprochant de moi .
Tu parles : mes yeux sont rivès sur elle : je bande comme un cerf .
soudain n’y tenant plus , ma main touche la sienne , elle réponds à mes caresses . Alors , ma langue va à sa langue , le désir monte en moi .
Je lui touche les seins ( facile avec son chemisier ouvert ) de beaux petits seins avec des tetons bien longs et droits .
Elle me retourne aussi la même chose : je suis un homme et je suis sensible des tetons .
elle ouvre ma chemise en grand pour me sucer mes tetons ( putain ! Qu -est ce que c’est bon ) me dis-je .
une de ses mains touche l’en droit le plus simple de mon anatomie : ma queue .
pour ne pas être en reste , moi aussi , je me dirige vers sa petite culotté : évidemment elle avait déjà écarté ses cuisses en grand .
Quoi , mais c’est quoi çà ! Me dis-je dans ma tête. Oui , mais c’est ça ! C’est une bite , c’est une bite .
Évidemment elle voit un peu mon étonnement ( pas trop )
elle deboutonne, enlevé ma ceinture , fait glisser mon pantalon en bas des genoux et me suce ! Sa langue tourne autour de mon gland .
puis elle prends ma queue entièrement dans sa bouche , me touche mes couilles , me les pétrit comme on pétrit une pâte .
pendant ce temps , je lui deboutonne aussi sa petite jupe -facile , avec des boutons devant , et je lui prends à pleine mains son sexe .
J’ai envie de te sucer aussi , tu veux !
Vas-y mon chéri, fais toi plaisir .
Alors je lui prends sa queue et je me la mets dans ma bouche , je suce une bite je suce une bite super !
je lui glisse un , puis deux doigts dans son cul , déjà super mouillé.
Soudain , elle se retourne, monte sur le banc , écarte ses fesses avec ses mains .
Prenez -moi charmant monsieur, me lance t-elle de sa voix très sensuelle .prenez mon trou , vite , vite .
N’y tenant plus , je me lance à fond dans ce trou , doucement puis plus vite puis doucement , afin d’apprécier ce qui m’est offert .mon autre main là branle en même temps. Je suis dans le cul d’un homme -femme ! J’adore , mon rêve se réalise .
Je ne peux plus tenir , je vais cracher mon sperme , je vais lui mettre tout mon jus .
Un cri sort de ma bouche .
C’est bon , c’est bon , c’est chaud , je veux lui donner jusqu’à la dernière goutte .
je me retire et la regardant dans les yeux , je lui fait sortir aussi son jus . Elle sursaute de plaisir , son liquide est projeté sur mon ventre .
Votre mouchoir , monsieur pour vous essuyer .
Je n’en veux pas , garde le en souvenir et je veux repartir en gardant ton sperme sur moi , comme tu gardes mon sperme dans ton cul .l
tout en se rhabillant , nous nous promettons de se revoir , mais plus intimement, chez elle ou chez moi .
Et , voilà mon fantasmé s’est bien passé , je n’y croyais guère, et , pourtant !
A quand le réel pour de vrai .
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