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Un exposé plein de découvertes…

Un exposé plein de découvertes…



Me revoilà à l’école…à 32 ans !
Après un petit passage à vide au niveau professionnel, me voici en reconversion, pour devenir infirmier. Je me retrouve donc dans une promo d’environ 150 élèves et une grosse majorité de filles. Je ne suis pas le seul « vieux » et je m’intègre plutôt rapidement.
Ce matin, lors du CM de communication, la prof nous annonce les modalités d’évaluations. Il s’agit d’un dossier à faire en binôme pendant le semestre. Je ne suis pas un fanatique du travail de groupe, mais quand il faut…
Elle affiche à l’écran de l’amphi un listing des binômes qui sont formés au hasard. Je me retrouve avec Louise, une petite brune, super timide que je connais de vu.
À la fin du cours, je la retrouve, je me présente, et nous parlons un peu. J’apprends qu’elle vit avec ses parents à près d’une heure de route en pleine cambrouse. Louise n’est pas spécialement jolie, le genre de fille qui ne se met pas trop en valeur et qu’on ne remarque jamais vraiment. Elle vient d’avoir son bac et semble très timide. Je lui propose de se voir samedi pour commencer le dossier rapidement. Et comme j’ai un appartement en ville, ce sera le lieu idéal pour faire nos recherches au calme. Nous échangeons nos numéros et je lui fais la bise pour lui dire au revoir. Un peu surprise par mon geste, je remarque que ces joues virent aux rouges.
Le samedi, elle arrive comme convenu vers 14h. Elle semble nerveuse et un peu gênée. Elle porte une petite robe qui lui va plutôt bien. C’est la première fois que je la vois en robe d’ailleurs. Je l’invite à s’installer sur le canapé et on se met au travail. Elle parle peu et ne lève guère les yeux de son ordinateur.
Après une bonne heure alors que j’ai du mal à me concentrer, je profite d’une petite pause pour faire un peu connaissance.
_Tu a un copain ?
_moi… ? Un copain… ?…non…non
_ ça fait longtemps que tu es seule ?
_euh…oui je… un certain temps oui… On devrait…il reste du…travail
_Tu vas vite trouver, tu es plutôt mignonne…
_je…merci c’est…gentil…
Et elle replonge en silence sur son ordi, le visage rougit par mes questions indiscrètes. Visiblement la communication n’est pas vraiment son fort. Je m’approche alors un peu plus d’elle et je pose ma main sur sa cuisse. Malgré sa robe, je peux sentir tout son corps qui se contracte sous cette caresse. Elle regarde ma main comme paralysée par une situation qu’elle ne comprend pas vraiment.
Amusé par sa timidité extrême et son visible manque d’expérience je suis comme magnétisé par cette jeune fille que je connais à peine. Je me tourne complètement vers elle et je l’embrasse tendrement me plaquant contre elle. Surprise par ce baiser que ses lèvres de surent repousser, elle s’affale en arrière sur le canapé.
Je profite de cette diversion pour remonter doucement ma main restée sur sa cuisse, emportant avec moi le tissu de sa petite robe. Quand elle comprend ce qui se passe, elle se crispe, paniquée en essayant de retenir son vêtement.
Je continue de l’embrasser allant de sa bouche à son cou en passant par le lobe de ses oreilles. Elle est maintenant complètement allongée sa robe retroussée à la taille dévoilant une culotte blanche en coton.
Louise était grisée par la confusion de ses sens que provoque cette main entre ses cuisses. Lorsque j’effleure enfin sa culotte, elle étouffe un gémissement. Malgré l’étoffe de coton, je devine les formes délicates de son sexe et les contours de ses lèvres.
À ce moment, une bouffée de chaleur monta en elle. Elle se doutait bien que je n’en resterais pas là, mais elle ne savait pas trop à quoi s’attendre, jamais on ne lui faisait ce genre de chose, pas à elle. Troublée, ses cuisses se resserrent…elle balbutie :
– C’est… on ne devrait pas… qu’est-ce que tu fais…
-Ce n’est pas agréable ?
– Non… si… mais pas…
Et je la coupe en l’embrassant à nouveau, mais plus passionnément. Elle tente alors de prendre ma main en la remontant vers elle. Je n’insiste pas et j’en profite pour continuer de remonter sa robe qui emmène son soutif au passage, libérant ses petits seins. Sa poitrine est vraiment menue avec de jolis petits tétons qui se dressent déjà fièrement. Après quelques caresses, je les embrasse tendrement. Louise semble apprécier ce traitement et laisse échapper un petit soupir.
J’en profite pour retourner à l’assaut de son entrejambe. Là où le tissu épouse parfaitement la forme de ses lèvres. Je commence à aller et venir le long de cette fente pleine de promesses et déjà humide.
– On dirait que ça te plait ?
Pour toute réponse elle détourna la tête en se pinçant les lèvres. Le rouge lui monta aux joues. Elle avait encore l’espoir naïf que rien n’irait trop loin. Elle ne pouvait pourtant pas me dissimuler les réactions de son intimité…
Je finis par glisser mes doigts sous l’élastique de sa culotte blanche. Mes doigts glissent d’abord le long de ses lèvres lisses et totalement épilées. Doucement mes doigts s’insinuent dans son intimité légèrement humide. Louise est parcourue par un petit sursaut, presque un réflexe.
– Oh seigneur, doucement… doucement… tes doigts, tu risques de… pas dedans… d’accord ?
Louise savait bien que si elle me laissait continuer, je finirais par dériver un peu trop loin. Sa raison lui disait de ne pas se laisser faire…de… trop tard, mon doigt venait de s’introduire en elle.
Elle plongea son regard paniqué dans le mien. Honteuse, elle essaya de serrer les cuisses dans un réflexe prude, mais elle ne fit qu’enserrer un peu plus mes doigts. Sans surprise je rencontre rapidement son hymen que je caresse avec précaution avant de m’attaquer à son clitoris, qui semble très sensible et réactif.
Doucement Louise semble se détendre un peu, et la pression de ses cuisses sur ma main se fait plus faible. Elle ferme les yeux et sa respiration se fait plus rapide. Je continue d’embrasser ses petits seins tandis que mes doigts s’agitent dans sa culotte maintenant bien humide.
À chaque nouvelle caresse, à chaque nouvel élan, une onde bouillonnante se saisit d’elle. Sa poitrine se soulève au rythme d’une respiration erratique. Louise se tortille involontairement alors qu’une vague de plaisir s’emparait de son corps :
– Je me sens… ah… doucement… attends, je vais…
Sa robe lui colle au corps, elle a les joues en feu. Elle se cambre, haletante. Son être entier est parcouru de frissons de volupté. Elle a l’impression que son intimité se contracte et se liquéfie. La surprise de l’extase lui arracha un gémissement indécent, la laissant amorphe…
Alors qu’elle reprend doucement ses esprits, je descends doucement le long de son corps. Mon visage arrive au niveau de sa culotte. Je peux sentir son odeur et sa chaleur. Je commence à jouer doucement avec les élastiques du vêtement.
En ouvrant les yeux, Louise peut sentir mon souffle contre ses cuisses. Et dans un dernier élan de pudeur, elle tente en vain de retenir sa culotte, ce dernier rempart… qui finit par céder…
Je me retrouve devant son sexe totalement épilé et légèrement entrouvert. Sans lui laisser le temps de vraiment comprendre je plonge mon visage entre ses cuisses. Surprise, elle se crispe un peu, serrant ses cuisses sur ma tête. Mais, elle est comme paralysée par cette promesse de plaisir.
Je glisse déjà ma langue entre ses lèvres en m’arrêtant sur son clitoris encore gonflé. Louise mouille abondamment, je peux sentir son gout. Son bassin commence à suivre le rythme de mes coups de langue et après un moment elle relève ses jambes d’elle-même.
Sa respiration se fait plus rapide et plus bruyante aussi. Louise se tortille et dans un dernier mouvement elle se tend. Je sens ses muscles se contracter autour de moi. Et elle retombe en gémissant avec un léger tremblement.
J’abandonne son corps moite et je roule sur le côté contemplant Louise encore engourdie par son plaisir. Après un instant elle se rassoit et reprend un peu ses esprits. Elle a du mal à réaliser ce qui vient de se passer. Toutes ses sensations son nouvelle pour elle qui n’avait jamais était plus loin que de petits bisous avec un garçon.
Bien décidé à ne pas en rester là, je me relève et me place face à elle. Je fais alors tomber mon pantalon et mon boxer libérant mon sexe en érection depuis trop longtemps. Un peu paniquée, elle me jette un regard quelque peu apeuré. Louise n’a jamais vraiment vu de sexe d’homme. Pas de si près et pas comme ça…
J’att**** doucement sa main et je la place sur mon pénis. Sa main reste immobile. Louise fixe mon membre, à la fois curieuse et angoissée.
Sans un mot je pose ma main sur sa tête et j’approche doucement mon gland déjà brillant de son visage. Doucement je le caresse contre sa bouche. Louise me jette un regard interrogateur et désemparé…elle sait que certaines filles font ça avec leurs copains, mais elle ne s’est jamais imaginée le faisant…
N’y tenant plus j’appuie légèrement et ses lèvres s’entrouvrent sur mon gland. Pour la première fois, Louise sent un sexe tendu qui pénètre sa bouche. Cette chaleur sur sa langue, ce gout étrange…et ces picotements dans son bas-ventre qui l’empêche de résister…
Même si c’est sa première fois, elle semble guidée par son instinct. J’accélère alors mes va-et-vient en l’encourageant. Malgré sa maladresse ses lèvres humides font rapidement monter le plaisir. Mais je ne veux pas jouir dans sa bouche, pas tout de suite.
Je quitte alors sa bouche, et Louise se recule presque soulagée, pensant que c’est terminé. Je l’embrasse à nouveau tout en lui caressant les seins. Elle finit par s’allonger à nouveau. Doucement je la fais rouler sur le ventre. Elle ne comprend pas encore l’objectif de cette manœuvre, mais ne résiste pas se croyant plus en sécurité dans cette position. Je me place alors derrière elle juste entre ses jambes et je relève ses hanches la mettant à quatre pattes. J’ai ainsi une vue parfaite sur son intimité. Louise comprend que cette position est tout aussi risquée pour elle. Elle essaye de me suivre du regard alors que je plonge ma langue entre ses jolies fesses que j’écarte.
_oh…qu’est-ce que…pas comme ça…c’est bizarre…
Je profite de sa surprise pour me redresser et présenter mon gland humide et gonfler contre ses lèvres bien brillantes. Je frotte doucement celui-ci de haut en bas. Dans un sursaut, Louise comprend ce qui se passe ou plutôt ce qui peut se passer.
_Oh fais attention, doucement… doucement…, tu risques de… pas dedans… je….je suis encore
_Ne t’inquiètes pas pour le moment de te caresse juste, ce n’est pas agréable…
_C’est…euh…si…mais…
Louise avait chaud, elle savait bien que je finirais par entrer. Une petite voix lui disait encore de ne pas se laisser faire…de…
après un petit moment de ce traitement, j’accentue doucement la pression contre sa vulve encore vierge. Louise ne peut empêcher un mouvement pour tenter de se dérober à l’étreinte toute proche qui va la débarrasser de sa virginité.
-doucement…
Lentement j’avance sentant s’écarter les parois de son vagin. Elle est chaude et je m’enfonce doucement malgré l’étroitesse de son vagin quand tout à coup je sens une résistance ! Son hymen !
Louise comprend à peine que le moment soit arrivé…qu’elle va faire l’amour ici avec moi pour la première fois…que je la pénètre d’un coup jusqu’au plus profond elle crie de surprise…
-Non !!!!…. Ouiiiiii !!!….
Après un instant immobile, j’ai attrapé les hanches de Louise faisant d’abord quelques va-et-vient lents. Puis j’accélère. Louise se penche d’elle-même en avant et ondule du bassin d’avant en arrière.
Louise respirait vite et fort. Elle était en train de jouir. Je devins un peu plus bestial et le fourreau serré de la jeune fille eut raison d’un premier flot de sperme, que je déverse dans son vagin.
Comme nous étions fatigués et qu’il était tard, nous sommes restés dans cette position et nous nous sommes endormis.
Je couche avec Louise régulièrement durant un bon mois. Nous ne sortons pas vraiment ensemble c’était purement sexuel…

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