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[Lu sur le net] La femme parfaite (2)

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Le passage à l’acte

« Sonia », criai-je entre deux couinements tandis que sa langue me caressait le cou. Sa main continuait de frotter mon pantalon à l’endroit où se reposait ma machine de guerre pendant que son autre main se baladait sur mon torse, à travers mon T-shirt blanc qui, d’après mon intuition, n’allait pas rester très longtemps à sa place. Elle continuait ce massage sensuel tandis que je prononçai son nom en doublant d’intensité. Soudain, elle s’arrêta et me regarda tendrement.

-C’est incroyable, tu cries comme une fille.

-Ah oui, demandai-je, à moitié vexé ?

-Si je te le dis. Je m’entends d’habitude quand je suis seule, mais là, t’es pire que moi.

-Laisse-moi te prouver le contraire, lâchai-je avec un sourire.

Sans réfléchir, je tombai doucement sur elle pour la plaquer sur le lit. Elle se laissa faire tandis que je passai ma main droite derrière sa nuque et mon autre main sur sa hanche. Je l’embrassai alors fougueusement pendant que ma main gauche remonta petit à petit son débardeur rouge jusqu’à atteindre son sein gauche que je malaxai énergiquement. Je n’eus pas à attendre très longtemps l’arrivée de ses petits cris, preuve de son plaisir, si bien que, très vite, je pus lui glisser à l’oreille :

-Alors, qui crie comme une fille ?

-Hum, c’est moi, je crie comme une fille, je hurle comme une fille !

-Je ne suis pas certain d’avoir très bien compris.

-Fais-moi crier, Nathan ! Je veux hurler de plaisir rien que pour toi, fais moi crier !

Satisfait, je décidai de coller ma cuisse à son entre-jambe. Elle poussa aussitôt un cri et commença des va-et-vient avec ses hanches, frottant son intimité protégée par son jean à ma cuisse. Malgré nos vêtements, je pus sentir l’humidité à travers mon pantalon de toile, sensation très agréable que je ressentai pour la première fois, tout comme chaque sensation éprouvée lors de cette soirée. Après quelques minutes, je sentis qu’elle était prête. Je lâchai son cou pour que ma main droite, lentement, puisse agripper le tissu de son débardeur et le relever petit à petit. J’eus alors la joie de découvrir son bas-ventre suivi de son nombril. Je commençai à me sentir vraiment excité lorsque son soutien-gorge rose apparut à mes yeux, cachant des seins généreux que je tâtai sur le champ de mes deux mains après avoir ôté entièrement son débardeur. Elle poussa un petit cri aigu, me faisant comprendre qu’elle voulait que j’aille plus loin. Je commençai alors à pincer ses tétons à travers son sous-vêtement, ne m’ayant pas laissé indifférent. Après quelques secondes, elle s’assit et, rapidement, elle ôta mon T-shirt, révélant mon torse nu. Elle se jeta alors sur moi et, sans que je puisse réagir, elle porta mon téton à sa bouche et commença à le lécher. Le contact ente sa langue et ma peau fut comme une bénédiction à mes yeux. Je couinais en rythme avec les cercles tracés par sa langue, électrisant mon corps bouillant.

-Tu vois, tu recommences à crier, me dit-elle, ahanant.

-C’est parce que tu m’as surpris, je pensais que seules les filles aimaient qu’on leur suce les tétons.

-Tu as tant à apprendre à ce sujet, mon puceau préféré, me répondit-elle.

Là, elle me força à m’allonger sur le dos et, gracieusement, elle ôta son soutien-gorge et se malaxa généreusement la poitrine, m’offrant l’un des meilleurs spectacles de ma vie. Sonia porta ensuite son attention sur son jean qu’elle ôta tout aussi sensuellement, laissant à l’air libre sa petite culotte rose tâchée en son centre par l’humidité de sa propriétaire.

-Tiens, je vais t’apprendre quelque chose. Les filles adorent que les mecs leur fassent ce que tu vas me faire sans attendre.

Je voulais lui demander de quoi il pouvait bien s’agit, mais je n’eus pas le temps. Aussitôt après, elle s’assit presque sur mon visage, sa culotte juste en face de ma bouche.

-Allez, au travail, sors-moi cette langue.

J’obéis et commençai à sucer ce petit bout de tissu humide. Ma langue faisait des aller-retour dessus, répandant dans ma bouche le goût plus qu’agréable de la mouille de ma partenaire. De son côté, elle ne pouvait s’empêcher de hurler. J’eus soudainement peur de réveiller les voisins, mais peu importait, ce soir, c’était ma soirée, personne ne viendrait gâcher ça. Après plusieurs minutes, Sonia releva un peu les fesses et écarta le bout de tissu, laissant son vagin bien ouvert juste devant mes yeux. Elle se rassit et je pus continuer de la lécher, sans aucune barrière cette fois-ci. Ma langue caressa chaque parcelle de son intimité, des lèvres jusqu’au clitoris.

-Arrête-là, j’en peux plus, je sens que je vais exploser !

Je l’écoutai et m’arrêtai. Elle se releva péniblement et s’allongea juste devant moi. Là, elle porta les mains à mon pantalon gris, défit la braguette, le baissa et tâta mon pénis à travers mon boxer noir.

-Mais c’est un beau morceau que nous avons là, j’en aurai presque envie de croquer dedans.

-Évite s’il te plaît, je n’ai pas envie que la soirée se finisse aussi vite, lui répondis-je en rigolant.

Elle rit à son tour. Sans perdre plus de temps, elle baissa mon sous-vêtement et empoigna mon dix-huit centimètres à pleines mains avant de le fourrer dans sa bouche. Je gémis alors de plaisir comme jamais. Elle venait de m’ouvrir les portes d’une sensation que je n’aurais jamais imaginée. Je revins à la réalité et la regardai en train de me sucer, sentant sa langue rouler autour de mon gland en harmonie avec le bruit de succion qui m’excitait de plus en plus. Après plusieurs minutes, elle s’arrêta et s’allongea sur le dos, écartant bien les jambes, m’offrant une vue splendide sur son jardin secret.

-Allez, c’est maintenant que le vrai jeu commence ! Me dit-elle toute excitée. Viens avec moi et pénètre-moi !

Je ne me fis pas prier et m’avançai vers elle. Je portai le bout de mon gland devant l’entrée de sa forteresse et forçai un peu. Puis, quand je me sentis prêt, je lui envoyai un violent coup de rein, enfonçant mon pénis en entier dans son intimité entièrement trempée. Elle hurla de plaisir en me jetant un regard coquin.

-Alors, qu’est-ce que ça fait de devenir un homme ?

-Laisse-moi te le montrer, lui répondis-je en donnant un nouveau coup de rein.

J’attrapai ses hanches de mes deux mains et, sans m’arrêter, je fis de grands mouvements en elle. Je regardai sa poitrine se balancer, suivant la cadence de mes mouvement. Ne résistant pas à la tentation, ma main droite lâcha sa hanche pour agripper l’un de ses seins et le malaxait généreusement. Elle gloussait de plus en plus bruyamment, me donnant de plus en plus envie d’accélérer. Je profitais pleinement de ses cris de bonheur et de plaisir qui me chatouillaient les tympans. Mais tout avait une fin, j’allais jouir. Elle le comprit et aussitôt enroula ses jambes autour de ma taille.

-A l’intérieur! Envoie tout à l’intérieur, il n’y a rien à craindre !

Je sentais les parois de son vagin se compresser, me donnant encore plus de plaisir. Ne pouvant plus me retenir, je jouis en elle. Des torrents de sperme sortirent de mon gland à la vitesse de la lumière et se répandirent dans son utérus. Une fois m’être vidé, je me retirai et m’aperçus que mon bas-ventre était trempé. Elle-aussi avait joui, et pas qu’un peu. Je pus alors la regarder une dernière fois, nue, essoufflée, ma semence coulant de son intimité, se répandant sur ses draps, avant que Morphée ne me tende la main et m’entraîne, avec Sonia, dans le monde onirique.

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