CHAPITRE 3 : Lili, la benjamine.
A la quinzième ligne, j’allais m’assoupir, quand un minuscule coup de la sonnette attire mon attention.
– Qui est là ?
Une petite voix, distincte et faible à travers le bois de la porte, répondit :
– Une enfant de putain.
Je n’ai pas envie de rire, mais cette façon de s’annoncer est une de ces courtes phrases inoubliables qui survivent d’elles-mêmes à la monotonie de l’existence. J’ouvre. Une drôle de jeune fille entre, futée, fripouille, fine et le regard franc, les bras ballants, le nez en l’air.
– C’est moi Lili, ta nièce, dit-elle.
– Je m’en doutais, répondis-je en riant. Tu me semble très gentille, Lili.
– Vous aussi vous êtes gentil et très beau. Je n’ai pas envie de m’en aller.
Pourquoi n’ai-je pas le vice des jeunes filles ? Je me le demande. Elles sont odieuses entre elles, mais si tendres avec nous ! Je suis flatté, je ne le cache pas, très flatté du compliment que Lili me flanque à la figure.
Avec une femme, tous les mots d’amour sont voilés par la brume d’incertitude que soulève notre prudence devant nos crédulités. Une adolescente nous désarme et on la croit instinctivement.
J’embrasse Lili, mes lèvres passent des joues à la commissure de ses lèvres.
Les bras autour du cou, elle me dit très vite, sur un ton d’excuse et un peu soucieux :
– J’n’ai encore pas beaucoup de poils. Est-ce que vous aimez ça ?
– Tu ne le diras pas à ta mère ?
– Non. Tenez. Regardez. Je n’ai pas de culotte. C’est maman qui me l’a retirée pour pas la salir avec ton foutre.
– Mais c’est joli comme tout, ce que tu me montres
-J’enlève pas ma robe, dites ? Ou je la soulève au dessus de la taille ?
– Oh ! La retirer serait immoral mais je n’aime les jeunes filles que toutes nues.
– C’est que…, fit-elle avec la franchise de son jeune âge…, ce que j’ai de mieux, c’est mon chaton et mon petit cul. Le reste est d’un moche !
– Je suis sûr que tout le reste est gentil et mignon comme tout.
– Vous allez voir. Et vous qui venez de coucher avec maman, quand vous regarderez mon corps de poulette, faudra que je vous travaille pendant un quart d’heure pour vous faire bander.
– Pas du tout. Je te parie ce que tu veux.
– Et qu’est-ce que je devrais faire si je perds ?
– Une sévère punition de ma part ou un désir vicieux.
– Tope-là ! dit-elle. Je m’en fous. Je sais tout faire. Ne te gêne surtout pas.
Le déshabillage de Lili se fit en quatre temps et quatre mouvements :
La robe, les deux pantoufles, les deux chaussettes, la chemise… Quand elle a enlevé tout cela, il ne reste presque rien de Mlle Lili, tant sa nudité me semble peu de chose.
Des bras et des jambes très fins, des cheveux noirs jusqu’à la taille; un petit corps d’ado avec une grosse motte et un sexe tout en saillie… s’il est vrai qu’un menu bien pensé doit réunir les mets les plus dissemblables, le service de Lili après celui de Marie eût été la trouvaille d’un chef.
Le premier mouvement de Lili me donne tout de suite bonne opinion d’elle. Au lieu de me sauter au cou, elle cherche entre mes jambes. Ai-je besoin de souligner ce que pareil geste comporte d’innocence ?
La belle petite s’est annoncée (Quand d’autres à son âge se nomment Enfants de Marie) sous le titre d’Enfant de Putain, une adolescente qui se présente ainsi n’est pas une jeune fille comme les autres. Elle a du culot, pour le dire tout net. Et cette enfant de putain, sa chemise enlevée, m’aborde comme une ingénue qui baisse les yeux et cherche d’abord ce que les garçons ont de plus que les filles. Les petites prostituées ont des candeurs inaltérables.
Comme je suis encore sous le charme de ma lecture rafraîchissante, j’attire Lili dans mes bras, et je me mets à bavarder, tout en pratiquant quelques attouchements que nous qualifierons d’outrage à la pudeur commis sans v******e et d’un commun accord.
– Lili, tu es une très jolie môme.
– C’n’est pas vrai. Quand je me branle devant la glace, je ne m’excite même pas.
Cette phrase me fait bien rigoler.
Lili reste sérieuse, et comme il est aisé de séduire les toutes jeunes filles, elle affirme sans préambule, sans raison, mais d’un air convaincu :
– Je t’aime bien. Je crois que je vais beaucoup aimer ce qu’on va faire tous les deux.
– Oh ! Alors, ma petite Lili, tu as deux idées dans la tête.
– Pourquoi deux ?… Oui, c’est vrai, j’en ai deux. Comment sais-tu ça ? Ton petit doigt te la dit ?
– Justement. Les idées que les filles ont dans la tête…
– Ça leur vient du con ? fit Lili.
Il m’est difficile de cacher maintenant où traine mon petit doigt qui me dit tant de choses.
– Tu as deviné charmante enfant ! Répondis-je. Mais tu ne sais pas pourquoi tu as deux idées ? C’est que, quand on aime bien quelqu’un, on veut de tout son cœur lui faire plaisir et…se faire plaisir.
Elle a un instant de réflexion : le temps de comprendre ma maxime. Puis elle sourit et se fourre la figure sous la mienne pour répondre :
– Comment tu la trouve ma petite chatte, tu ne la trouve pas trop petite, tu vas bien vouloir me baiser quand même ?
– Tu es de plus en plus gentille, ma Lili. La première chose dont tu me parles, je suis sûr que c’est pour mon plaisir.
– Oui, fit-elle, un peu rougissante.
– Et pour toi ? Qu’est-ce que tu voudrais ? Qu’elle est ton idée pour te faire plaisir ?
– Te sucer ta belle bite que je tiens dans mes mains.
Le mot est dit. Elle lâche ma queue et met les bras autour de mon cou et répète dix fois, sur le ton rieur et chantant d’une ado qui demande une gâterie :
– J’ai envie de te sucer la queue, la pine, la bite, le zob, l’andouille. Envie que tu bandes encore plus dans ma bouche. Envie de te téter.
– Comment ça, tu tètes encore, à ton âge ?
– Plus beaucoup de lait mais beaucoup de foutre.
– C’est bon ?
– C’est bon quand on s’aime.
– Pour combien en voulez-vous, mademoiselle ? Pour un sou ? Deux sous ? Trois sous ?
– Je veux tout ce qu’il y a dans la boutique!… Et je paie d’avance, monsieur, avec mes deux trous.
– Quoi ?
– C’n’est pas une blague.
– Non. Je te fais crédit, mademoiselle, on te débitera plus tard. Mets-toi à table.
Mais jeune nièce Lili a encore de petites choses à me dire. Toujours les deux bras autour de mon cou, elle soupire :
– Tonton…C’est que… Ecoute. J’ai promis à maman que tu ne jouiras qu’une fois. Il faut que j’en laisse pour Cécile cette nuit… Alors on pourrait faire plusieurs choses en une fois. On pourrait même tout faire.
– Rien que ça ?
– Oui. Je suis la plus petite des trois, mais c’est moi qui en fais le plus. Je fais tout, sauf l’amour entre les tétons, parce qu’ils ne sont pas encore assez gros. Veux-tu me baiser, m’enculer et jouir dans ma bouche ?
Et vivement, retournant la tête, elle pousse un cri :
– Oh ! Le voilà qui bande sans qu’on le touche ! J’ai perdu mon pari.
– Tu auras quand même ce que tu veux.
– C’est vrai ? Et pour ma punition ? Qu’est-ce que tu vas me demander ?
– Quand tu me donnes ta bouche et tes deux trous, qu’est-ce que je peux te demander de plus ?
– Ma langue ! fit-elle gaiement.
Et elle fut si prompte à payer sa dette… et comment dire de quelle façon Lili m’offrit sa petite langue? Je l’arrête trop tard.
– Lili, qu’est-ce que tu m’as fait ?
– Une langue dans le trou du cul ! dit-elle, toute joyeuse. Ça mérite une queue par-devant.
Elle se jette sur le dos, les pattes en l’air, le sexe entrouvert.
Elle crache dans ses mains et elle y fourre autant de salive qu’il en faut pour violer une jeune chatte et je vis bientôt que j’étais naïf de ne savoir comment la prendre, car les petites l****as sont plus faciles à baiser que certaines femmes.
J’entre dans son sexe sans trop de peine…ces lèvres englobe mon gland et je sens rapidement une barrière arrêter ma progression. Je me retire et branle sa chatte sur toute sa longueur avec mon gland légèrement en pression.
Je replonge dans son sexe vraiment très étroit mais je ne franchis pas l’irréparable pour une jeune fille. Je pense que je ferais mieux d’attendre l’accord de sa maman.
– C’est tout, fit-elle en souriant. On met le petit bout et on est au fond. Et puis plus rien… Ça ne vaut pas la peine.
– Oh ! Mais si !
– Non. Je ne suis bonne que d’un côté et ce n’est pas celui-là.
– Pour ce que tu viens de me dire, tu mériterais que je te fasse un enfant.
Elle rit, mais ajoute bien vite :
– Tu me le feras dans la bouche, mon bébé ?
Comme je suis également éloigné de l’esprit sadique et du moralisme presbytérien que se partagent la société, ce que je vais dire n’est que l’expression d’un sentiment personnel et risque de déplaire à beaucoup de personnes.
Autant il me serait impossible de posséder une très jeune fille contre son gré (je n’ai d’ailleurs aucune expérience du viol), autant je prends du plaisir à baiser Lili qui s’y prête vraiment de tout son cœur et qui est plus que consentante.
Elle joue à baiser comme d’autres filles joueraient encore à la poupée.
Ma nièce Lili, adolescente précoce a d’instinct anticipé le jeu de l’amour et l’on voit qu’elle a depuis longtemps l’habitude de ce jeu-là, elle est fière de plaire et de tenter un homme, fière de faire à son âge tout ce que fait sa mère… Mais après une minute elle me dit doucement :
– Change de trou. Tu iras plus loin.
Vite, elle saute du lit, coure à la salle de bain, prend un peu d’eau savonneuse pour m’ouvrir la voie, et, revenant vers moi, elle m’enjambe, s’accroupit en me regardant et s’approchant de ma queue en pleine érection, elle la prend en main et descend son cul vers elle.
Un tâtonnement de quelques secondes lui suffit pour réussir. Avec autant d’adresse que de douceur, elle pointe mon gland contre sa rosace et, poussant ses petites fesses, elle avale par-derrière tout ce qu’elle n’avait pu s’introduire par-devant. Je dis bien…tout ! Jusqu’à la racine ! Et ça, sans une seule hésitation et sans un cri !
Je n’en reviens pas ! Comment un si petit trou du cul peut accueillir ma grosse bite avec autant de facilité. Je sens bien que c’est très étroit et que ma bite est compressée mais les chairs s’écartent au passage de mon gland. J’ai l’impression que ma queue est une baguette magique et que j’ai prononcé le mot de circonstance « Sésame ouvre-toi ! »
Lili pose ses petites fesses dodues sur mes testicules, dressée sur les genoux, les cuisses ouvertes et accroupie comme une diablotine sur un Saint-Antoine, elle écarte les grosses lèvres de son sexe glabre et rouge et le branle sous mes yeux, comme font les adolescentes, avec le doigt dedans.
Je la prends dans mes bras, et sans bouger je l’embrasse dans le cou et je caresse ses petits seins.
– Je suis contente ! Quand je pense que tu viens de coucher avec maman et que tu bandes encore pour moi toute seule ! Maman qui est si belle et moi si moche ! Moi, je ne fais que les vieux, c’est maman qui fait les jeunes. Et tu bandes dans mon cul, je la sens vachement ! Elle est grosse ta bite et sacrément longue, elle va loin, si loin ! Jusqu’à mon cœur !
Ce mot est un des plus tendres et des plus gentils que j’aie entendus. Aussi, encore une fois il ne sera compris, ni des moralistes qui me blâmeront d’avoir sodomisé une adolescente à peine sortie de la puberté, ni des fous qui ne sauraient se livrer à ce genre de distraction que si la fille est giflée, fouettée, battue, et si elle pleure en poussant des cris comme un petit cochon qu’on égorge.
Je commence à pistonner doucement cette petite merveille en prenant ses fesses à pleine main et elle accompagne mes mouvements par des rotations de son postérieur en poussant des gémissements que j’aime bien entendre.
– Huummm, aaaagghrr…ouii elle est bonne ta queue et elle me donne du plaisir. Qu’est ce que je la sens bien ! C’est la première qui me fait autant d’effets.
-Petite coquine, tu dis ça pour m’exciter !
– Non, tonton ! Celle des vieux qui m’ont enculée n’étaient pas aussi raide et surtout aussi longue ! La tienne est vraiment bonne !
Ma jeune nièce reste un moment immobile et je la sens qui profite pleinement de ce morceau de choix qui sodomise son petit cul. Puis elle tourne doucement sur le pivot qui la pénètre et se couche sur moi, le dos à la renverse. Et, comme je lui mets la main entre les jambes, elle prend une telle expression de prière, sans dire un mot, que je lui dis moi-même :
– Ta bouche, maintenant.
– Ah ! crie-t-elle.
Et je la vois aussitôt… Le dirai-je aussi ? Me voici bien embarrassé… Enfin je me suis juré de tout dire et de conter cette histoire telle que je l’ai vécue…
Ma petite salope fait sortir de son petit cul la pine qui si agitait depuis un quart d’heure et elle le fourre dans sa bouche tel qu’il est.
– Oh ! Petite saleté ! Fis-je en le lui retirant.
– C’est fait. C’est trop tard.
– Comment peux-tu…
– J’aime ça comme ça.
La phrase « J’aime ça comme ça ! Ne souffre pas de réplique.
Lili reprend ce que je lui ai enlevé, elle fait même semblant de le mordre pour ne pas le lâcher puis elle se met à le sucer comme un sucre d’orge, d’une bouche étroite et goulue.
Connaissant bien les reproches et les compliments qu’on lui adresse au lit, elle m’a prévenu que ce dernier exercice « n’était pas ce qu’elle faisait de mieux. »
Mais je commence à être las de la longue excitation où elle m’a tenu et, tout en maniant de la main droite le petit cul grand ouvert qu’elle remue à ma portée, je l’avertis de se tenir prête…
Si cette comparaison n’était pas irrévérencieuse, je dirais bien :
Si une jeune fille qui aime sucer les hommes a l’air d’une première communiante à genoux devant la sainte table on peut dire qu’elle attend une nourriture sacrée, au sein d’un mystère incompréhensible où le dieu de l’Amour va se donner à elle.
Lili prit une expression si touchante que je serais cruel d’en rire.
Elle lève les yeux au ciel, serre comme elle peut sa petite bouche hors de proportion avec ma grosse bite et, quand elle me sent soudainement éjaculer, elle se met à pousser, je ne sais pourquoi, certains petits gloussements par le nez, mais d’un comique irrésistible.
Je me cache les yeux d’une main.
Cela ne dure qu’un instant. Lili n’est pas de ces petites filles gâcheuses qui bavent et crachent ce qu’elles sucent et laissent plus de regrets que de remords aux messieurs qui les pervertissent.
Elle suce mal, mais elle avale bien !
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