CHAPITRE 11: Session Skype
Quand Nina s’est réveillée le lendemain matin, nous étions déjà l’après-midi, et j’étais déjà debout depuis un long moment. J’avais eu le temps de prendre plusieurs cafés, préparer un brunch récupérateur pour Nina, et contacter Johanna, la vendeuse du magasin de lingerie. Dans un premier temps, je voulais surtout savoir si elle m’avait donné son vrai numéro. Puis, comme j’ai vu que c’était le cas, j’ai commencé à discuter avec elle par message. J’ai ainsi appris que Johanna avait 25 ans et qu’elle travaillait dans ce magasin depuis moins de six mois, ce qui expliquait peut-être sa réaction face à notre comportement. N’importe quelle vendeuse confirmée aurait crié au scandale, mais Johanna avait surtout l’air de ne pas savoir quoi faire. Ou bien ça lui plaisait. Je comptais bien le découvrir au plus tôt.
C’est à ce moment que Nina m’a rejoint au salon. Elle n’était pas toute fraîche, et au vu de la soirée de la veille, ça pouvait se comprendre. Les cheveux en bataille, les yeux encore mi-clos, elle avait enfilé un grand tee-shirt large qui lui arrivait un peu en-dessous des fesses. Je me suis levé pour l’embrasser et lui apporter son petit déjeuner. Alors qu’elle était blottie contre moi avec son verre de jus d’orange et un croissant, mon portable s’est mis à vibrer, un nouveau message venait d’arriver.
_ C’est ta nouvelle amie, ai-je annoncé à Nina.
Comme elle n’avait pas l’air de comprendre, j’ai précisé:
_ Johanna. C’est la vendeuse d’hier, la blonde. On discute un peu depuis ce matin.
_ Ah…
Nina avait l’air un brin jalouse. C’était mignon. Je l’ai embrassée, une main sur sa cuisse.
_ Ne t’en fais pas, lui ai-je dis avec un sourire, c’est juste pour s’amuser un peu. Et puis, tu l’as trouvée à ton goût aussi, non ?
_ Oui, oui, elle était très jolie…
_ Mais ?
_ Je ne veux pas être remplacée, m’a-t-elle dit avec une petite voix, les yeux baissés.
_ Jamais, tu peux me faire confiance. Si tu ne tires aucun plaisir de tout ça, j’arrête tout.
Nina a serré ma main très fort. C’était motivant. J’avais encore plus envie de la mener vers ces nouveaux plaisirs que je lui avais promis. Car même si je risquais d’en tirer beaucoup de plaisir, c’était pour elle que je faisais tout ça.
_ Bien, alors tu veux qu’on joue un peu avec Johanna ?
_ D’accord, a-t-elle répondu un peu plus enthousiaste.
_ Alors va enfiler une des tenues qu’on lui a achetée hier, pendant que je lui envoie un petit message.
Nina m’a embrassé et est partie dans la chambre. Pendant ce temps, j’ai envoyé un nouveau message à notre amie : « Johanna, j’irai droit au but. Je suis à côte de Nina, que tu as vue dans la cabine hier. J’ai cru deviner que tu avais aimé ce que tu y avais vu. Si ce n’est pas le cas, excuse moi, je ne t’embête plus. Mais si c’est le cas, fais le nous savoir. Nous avons tous les deux envie de passer de bons moments tous ensemble. » Deux petites minutes plus tard, je recevais un message. Une photo de Johanna. Un selfie devant un miroir. Elle portait un mini-short en coton, et un débardeur, assez moulant, qui arrivait au-dessus de son nombril. Ça ressemblait à un pyjama, mais porté de cette manière, c’était terriblement sexy. Et ça donnait envie d’en voir plus.
Nina est revenue dans le salon à ce moment-là. Elle avait enfilé un bustier en dentelle noire, très transparent, je pouvais distinguer ses tétons au travers. Et en bas, une culotte assortie et des bas auto-collants, noirs également. J’ai complimenté Nina, qui était somptueuse, et l’ai invitée à s’assoir avant de l’embrasser langoureusement. Puis je lui ai montré la photo de Johanna.
_ Elle est jolie, mais il y a encore trop de vêtements, m’a-t-elle dit.
J’étais bien d’accord. J’ai renvoyé un message à Johanna, lui demandant de la part de Nina une photo avec moins de tissu, ce à quoi elle a répondu en envoyant son identifiant Skype. Nina avait les yeux qui pétillaient, prête à s’amuser. Cinq minutes plus tard, le temps de me connecter, la vidéoconférence commençait. Johanna était allongée sur le flanc, sur ce qui semblait être son lit. Dans cette position, sa poitrine débordait légèrement de son décolleté. Elle a souri en voyant Nina habillée comme elle l’était, puis s’est mordu la lèvre.
_ Salut, a-t-elle dit timidement à la caméra.
_ Salut, ai-je répondu. Donc… J’en déduis que tu as aimé…
_ Oui… Je dois bien l’avouer, oui.
Ma main, posée sur la cuisse de Nina, remontait doucement jusqu’à l’orée de sa culotte. J’ai écarté ses jambes afin que Johanna puisse bien tout voir.
_ Et tu aimerais en voir encore ? ai-je continué.
Johanna a fait oui de la tête, alors j’ai écarté un peu plus les jambes de Nina. Mon doigt glissait sur sa fente, appuyant sur le tissu, pile sur son clitoris. Nina commençait déjà à frissonner.
_ Alors mets toi à ton aise et profite du spectacle, ai-je continué en regardant droit dans la caméra.
J’ai alors ordonné à Nina de se déshabiller pour notre invitée, ce qu’elle a fait, ne gardant que ses bas. Puis je lui ai dis de me déshabiller moi, et en moins d’une minute, nous étions tous les deux nus face à Johanna. Elle nous avait peut-être vus, la veille, nous envoyer en l’air dans sa cabine d’essayage, mais cette fois c’était différent. Nous nous mettions à nus pour elle. Je me suis enfoncé dans le canapé, le sexe déjà en érection, et j’ai dit à Nina de montrer à Johanna ses talents. Bien sûr, elle a tout de suite compris, et s’est mise à quatre pattes à côté de moi, sur le canapé, le visage au-dessus de mon sexe. Elle m’a immédiatement avalé, et entièrement. Jusqu’à la garde. Elle a toussé un peu, comme à son habitude, ce qui ne faisait que renforcer le côté érotique de la chose. Puis elle a commencé à aller et venir, fixant l’écran. De l’autre côté, je voyais Johanna qui semblait de plus en plus excitée, sa main se baladant discrètement sur sa peau.
_ Johanna, ai-je dit en tenant fermement les cheveux de Nina, si tu as envie de te toucher, n’hésites pas.
Et elle n’a pas hésité très longtemps. Elle a retiré son débardeur, dévoilant deux jolis petits seins, aux tétons visiblement bien excités, et qu’elle a commencé a triturer en nous regardant. Et pour l’exciter encore plus, je lui offrais plus de spectacle, faisant aller et venir la tête de Nina sur mon sexe, violemment. Nina s’étouffait, toussait, crachant toute sa salive gluante sur mes testicules, mais elle encaissait sans problème. Et cela excitait visiblement Johanna qui retirait maintenant son short, sous lequel elle portait un mini string blanc en coton. Une belle tâche humide était visible sur l’avant, comme si son état d’excitation était encore à prouver. Elle a glissé une main dedans, a commencé à se toucher, mais très vite, le string a été de trop, et a glissé le long de ses jambes. Sa fente, épilée totalement, semblait délicieuse, et pour le coup, juteuse à souhait. Deux doigts y rentraient avec une facilité déconcertante.
Johanna me montrait tout ce qu’elle avait, et je voulais en faire de même. J’ai donc attrapé Nina par les cheveux, et sans qu’elle ne lâche mon sexe de sa bouche, j’ai présenté ses fesses à la caméra. Je les ai malaxées, triturées, et claquées violemment. Puis je les ai écartées, exhibant ses deux orifices. J’ai joué avec pendant un moment, pénétrant mes doigts brutalement dans sa fente aussi bien que dans son anus, puis frappant son clitoris du plat de la main. Nina grognait, mon sexe enfoncé dans sa gorge, mais à l’écran, je pouvais voir que Johanna appréciait. Ses doigts accéléraient en elle, un troisième s’était même joint aux deux premiers. J’ai continué un moment à martyriser Nina, jusqu’à ce que son cul soit rouge. Puis je l’ai à nouveau attrapée par les cheveux et l’ai forcée à faire face à la caméra. Avec ses cheveux en bataille, ses larmes qui coulaient sur ses joues, et de la salive un peu partout autour de sa bouche et sur son menton, Nina avait l’air d’une dépravée. Et je l’exhibais fièrement à Johanna, la maintenant par le cou, fermement, lui envoyant une ou deux claques au passage, l’air de dire: « Regarde mon jouet, j’en fais ce que je veux ». Puis je l’ai allongée sur le canapé, les cuisses ouvertes en grand. Je prenais bien soin de tout montrer à notre nouvelle amie. J’ai ensuite glissé mon sexe bien lubrifié entre les fesses de Nina, et sans plus de précaution, ai pénétré son anus. Il n’y a pas eu plus de protestation de sa part, et j’ai commencé à la sodomiser. Sauvagement. Dans le même temps, je malaxais violemment l’un de ses seins d’une main, et claquais sa fente de l’autre. Nina gémissait de plus en plus, et Johanna faisait de même, ses trois doigts allant et venant à un rythme effréné dans son sexe dégoulinant. Elle n’a d’ailleurs pas tardé à jouir, jetant son bassin en l’air, les yeux fermés et la bouche grande ouverte. Pour autant elle n’a pas arrêté de se branler et à continuer de nous regarder. Et moi j’ai continué à sodomiser sauvagement Nina, qui grognait en encaissant les coups de reins. Je ne l’ai pas autorisée à jouir. Quand j’ai senti mon éjaculation arriver, je me suis simplement retiré de son anus béant, et ai mise Nina à genoux face à la caméra. Puis je me suis vidé sur son visage. Et Johanna, de l’autre côté, regardait attentivement mon sperme couler sur son visage, de haut en bas. Nina restait passive, soumise, même quand j’ai essuyé mon sexe dégoulinant contre sa joue.
_ Johanna, ai-je dit en me baissant face à l’ordinateur, tu as aimé le spectacle ?
_ A ton avis, a-t-elle répondu en léchant ses doigts fraichement sortis de son sexe.
_ Tu es libre mardi soir ?
Nina m’a regardée, surprise par la question, tandis que Johanna me répondait que oui, en souriant.
_ Bien. Je t’enverrai un message mardi dans la journée. Repose toi bien d’ici là.
La vidéoconférence s’est terminée ainsi. Nina m’a regardé et je l’ai embrassée, lui rappelant à quel point elle était parfaite.
_ Par contre, ai-je continué, d’ici mardi soir, aucun orgasme ne sera toléré. Johanna sera la prochaine à te faire jouir.
Nina m’a regardé avec de grands yeux, l’air de se demander comment tenir pendant un peu plus de 48 heures.
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