Je m’appliquais du mieux que je pouvais pour arriver à faire jouir mon tortionnaire. Plus vite il aura joui plus vite je serais libérée de ces liens.
Du moins c’est ce que je croyais.
Je m’appliquais à bien faire le tour du gland avec ma langue agile tout en m’attardant sur le méat, zone érogène par excellence de l’homme.
« Lèches moi les couilles pétasse ! » Me lâcha t’il.
Je m’exécutais sans rechigner, je pouvais même dire que bien qu’étant dans la position d’un viol, je commençais à prendre goût à mon travail de suceuse.
Tiens au fonds de moi je m’exprime au féminin, comme c’est étrange !
« Mais dis-moi petite chienne il semblerait que tu aimes de plus en plus me sucer, tu bandes salope ! »
Je sentis mes joues rougir comment cacher mon excitation elle était évidente aux yeux de Paul.
« Ne t’inquiètes pas ma Sarah tu vas voir, on va bien s’occuper de toi. »
Nous mais de quoi parle t’il ?
Je n’eus pas le temps de trop cogiter car je recevais de longs jets de foutre au fonds de ma gorge. Paul m’appuya sur la tête pour m’obliger à tout avaler.
Je n’eus d’autres choix que de déglutir la semence de mon amant dirigiste.
Je fis une petite grimace qui ne manqua pas d’échapper à Paul.
« N’ais crainte, tu verras tu finiras par aimer le sperme à force d’en boire, crois moi c’est comme ta sale pute de mère elle en redemande à chaque fois. Telle mère telle fifille non ? » Paul partit à rire à gorge déployée.
« Paul pourrais-tu me libérer maintenant ? »
« Comment ? »
« Pardon maître, pourriez vous avoir l’obligeance de me libérer s’il vous plait ?
« Pourquoi cela, la soirée ne fait que commencer ma chérie en plus un bon porno dure minimum 1h15 nous n’en sommes qu’aux préliminaires. »
Mal à l’aise sur mes talons hauts je commençais à avoir des crampes dans les jambes.
« Maître s’il vous plait ! »
Sans me répondre Paul, ouvrit la fermeture éclair de mon slip latex et saisis une verge en bois. Sans crier gare, il me fouetta avec force sur les fesses et sur mes petites couilles !
Je criais comme une folle !
« Tu peux toujours gueuler tant que tu voudras ici personne ne t’entendra »
Je subis ces outrages pendant près de 5 minutes, mes fesses devaient avoir virées au rouge violet, quelle horreur !
Tout d’un coup, j’entendis frapper à la porte de la cave. Je ne pouvais rien voir car j’étais dos à la porte. J’entendis des pas se rapprochant.
« Regardes Sarah, j’amène du renfort. »
Je découvris alors Mamadou et Abdel, deux jeunes racailles du HLM.
Mon dieu quelle horreur, Mamadou est le beau-frère de mon autre voisine de pallier. Je sentis mon cœur cogner fort dans ma poitrine. Ma vie s’écroulait tout à coups.
Mamadou fut le premier à réagir :
« Eh! Bien qui l’eu cru ? Ce petit gars bien discret et toujours bien poli est une belle salope on dirait. Hummm j’ai envi de ton boule de lopsa »
« OK les gars elle est à vous, la caméra tourne faites-vous plaisir et n’oubliez pas que le titre du film c’est La tournante de Sarah dans les caves de la cité.
Mon calvaire ne faisait que débuter.
Le premier à se mettre en action fut Abdel qui en bon queutard avait déjà sorti sa bite de son survêtement pour me la placer direct dans la bouche, en n’oubliant pas de me traiter comme la dernière des putes de la « casba » en des termes très orduriers.
« Putain, tu avais raison Paul elle est bonne suceuse cette pétasse, tu nous as dégoté un sacré sac à foutre, on va bien la remplir cette chérie ! »
Pendant ce temps mamadou ne perdais pas le sien et me doigtait le cul, avec v******e, un doigt puis deux, pour finir avec quatre doigts dans l’anus, je me félicitais d’avoir portée mon plug, pendant plusieurs heures, malgré ça la douleur était importante.
Du coin de l’œil je voyais Paul qui utilisait au mieux la caméra pour choisir les angles de prises de vues les plus avilissantes et « pornos » possible.
Je perdais la notion du temps et je n’entendais plus mes assaillants parler, j’étais dans un état second à la merci de ces trois hommes, incapable de réagir, je me laissais violer telle une simple poupée de chiffon, je devrais plutôt dire telle une poupée gonflable. Je n’étais d’ailleurs rien d’autre pour mes voisins de HLM en cet instant !
Mais d’un coup une douleur violente me fit réagir, j’étouffais un cri, du fait que la bite d’Abdel me remplissait la bouche, je faillis tomber dans les pommes.
Je compris que Mamadou venait de me pénétrer l’anus d’un coup jusqu’à la garde, j’avais l’impression que me sphincter se déchirait sous les coups de butoir de mon baiseur, je pouvais sentir ses grosses couilles battre mon cul en cadence !
« Encore meilleur que ta pute de mère ! Il faut dire que toi tu es étroite du cul tu n’as pas déjà été ramonée par tout l’étage, comme la salope qui te sert de maman »
Je n’en revenais pas de cette révélation, bluffait-il ? Ma mère avait-elle vraiment couchée avec tous les mecs de notre étage ? J’étais en état de choc.
C’est ainsi totalement résigné et incapable de réagir que je reçus le sperme d’Abdel au fonds la gorge de longs « jets » de sperme, qui débordait de la bouche tellement il éjaculait abondamment.
Quelques minutes plus tard ce fut le tour de Mamadou qui grogna de bonheur tout en me remplissant le cul de sa semence. Je ne mis pas longtemps à sentir un mélange de sperme mêlé à du sang qui coulait sur mes couilles et le long de mes jambes.
« Regardez les gars, elle a ses règles cette pouffiasse » Fit Paul en rigolant.
« C’est dans la boite mais pour bien faire, il me faudrait une autre séquence pour compléter cette cassette, dis moi Abdel c’est pas ton frère qui élève des pitbull ? »
« Oui c’est vrai, il doit d’ailleurs passer avec le mâle dominant de la meute qu’il ne peut pas garder dans son chenil, il attaque tous les autres. Je dois m’en occuper en attendant le prochain combat de chiens qui aura lieu le mois prochain. »
C’est alors avec une peur viscérale que je vis l’œil de Paul s’éclairer d’une lueur démoniaque et lubrique à la fois.
FIN
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