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Un essayage particulier

Un essayage particulier



Tout a commence peu de temps après le décès de mon père. Ma mère et moi nous nous sommes rapprochés, vivant seuls loin de la famille. Je l’aidais aux taches ménagères, mettre la table, ranger le lave-vaisselle, l’aider a ranger les commissions. Tant bien que mal la vie reprenait. Ma mère le soir corrigeait ses cahiers et moi j’avais récupéré le PC de papa qui était dans son labo photos. En regardant comme ça dans le labo je suis tombe sur des CD. Et là ce fut une grande découverte pour moi, il n’y avait que des photos de cul… dans le quart d heure qui suivit j’en avais mis plein mon caleçon, c’était la première fois que je jutais c’était géant… Je compulsais avec frénésie les 3 autres CD, et à l’avant dernier ce fut le choc. Ce n’était plus des photos du net que je voyais en plein écran, mais maman dans des poses qui n’avaient rien a envier aux photo de cul du Web… Et, surprise… je me suis mis a bander comme un âne, j’ai sorti ma queue et… deuxième bénédiction! A dater de ce jour là je vis ma mère non plus en tant que maman mais en tant que femme qui devait aimer la bite comme toutes les salopes du Web. Elle devint mon obsession je continuai à être gentil avec elle mais plus pour les même raisons.

Un jour elle me demanda si je voulais faire les soldes avec elle, sans hésiter une seconde je lui dis oui. Une femme dans un magasin de vêtements, ça reprend vite goût a la vie, ce fut rapidement :  » Tiens regardes, qu’en penses tu.. Et ça tu ne trouves pas que c’est mieux…  » Arrivés à la maison, j’avais le droit à une nouvelle séance d’essayage. Ce qui ne me déplaisait absolument pas. Cette complicité entre nous ne faisait qu’accentuer les fantasmes que j’avais pour elle. Tous les soirs je faisais des nuages d’amour dans mes draps en pensant à maman. J’avais déjà exploré sa garde robe et ses vêtements sexy ne faisaient qu’accroître l’intérêt que j’avais pour elle. Je ne savais pas comment faire mais je n’avais qu’une envie, je voulais la voir vêtue en femme BCBG avec des sous-vêtements sexy…

Je réfléchis longuement et me vint l’idée de lui acheter pour son anniversaire une parure de sous vêtement ainsi qu’une robe… Le jour fatidique arriva, d’une part je languissais ce jour et d’autre part je l’appréhendais, j’avais peur… Le matin je la réveillai en lui apportant du café au lit, je lui souhaitai un bon anniversaire. Je ne me montrais pas trop insistant car la disparition de papa était, dans un moment comme celui-ci, encore très présente. Je parlais rapidement de choses et d’autres afin de sortir de ce souvenir, ça faisait déjà sept mois…

Peu de temps après nous primes notre petit déjeuner et comme c’était samedi je me lavais rapidement pris mon vélo et filais à l’entraînement de karaté. Trois heures plus tard je revins à la maison. Maman était levée et habillée, évidement elle était loin de porter une tenue telle que je pouvais la rêver dans mes fantasmes. Elle avait un pantalon sympa et un espèce de polo, elle s’était néanmoins maquillée.

Elle:  » c’est toi mon chéri?  »
Ca ne pouvait être que moi!

Elle :  » Tu vas prendre ton bain mais ne traîne pas trop car sinon ce sera trop cuit  »

Maman, comme pour chaque anniversaire, avait fait un petit repas.
Dans mon bain, je réfléchissais :  » je donne, je donne pas.. qu’est ce qu’elle va dire?  » J’avais la frousse!  » oh et puis zut! de tout manière.. je ne risque pas grand-chose.  » Je sortis de la baignoire me sécha rapidement et enfila un jogging de toile légère et un sweet-shirt. J’extirpai de ma cachette les deux cadeaux, et descendis au séjour salon.

Maman était assise dans le fauteuil en train de lire je ne sais quel roman.
Je me plaçais devant elle et dit :  » Tiens bon anniversaire maman..  »

Elle se leva dit merci Elle déchira le papier cadeau, ouvrit la boite, elle sorti la robe, laissa tomber la boite par terre, et suspendit la robe.

 » Oh merci mon chéri, tu as remarqué que je l’autre fois j’avais failli craquer pour elle!  »
Puis je lui tint le second cadeau

Elle :  » Encore! dis donc tu me gâtes!  »

Elle défit de nouveau l’emballage, ouvrit la boite et eut un instant d’hésitation et dit :  » Mon chéri, c’est gentil tu sais, mais… mais.. tu sais c’est pas le genre de chose que l’on paye à sa maman… mais je te remercie car tu as vraiment bon goût  » Elle sortit la parure de sous-vêtement et la regarda. Elle vit que j’étais un peu déçu par sa remarque

Elle:  » Merci, Ne soit pas triste ça me fait vraiment plaisir… tiens je vais aller essayer tout ça…  »

Elle prit les papiers cadeaux, la robe, les sous-vêtements et disparut du séjour. Un quart d’heure plus tard j’entendis le claquement d’un talon sur la première marche de l’escalier suivi d’un cadencement régulier. Sur le sol carrelé ce bruit sec et métallique m’enivrait à moitié. Elle apparut dans l’embrasure de la porte du salon. Je ne savais pas comment demander si tout allait bien puis je me décidai enfin en posant une question suffisamment vague :  » Ca te va?  »

Je n’avais pas a demande si elle avait mis les sous-vêtements car la robe dont le tissu ressemble à du satin, épousait parfaitement les formes du corps et manifestement l’étoffe se plaisait à se loger entre ses fesses. Le tissu lui moulait la raie Elle: parfait, ta femme aura de la chance tu as bon goût

Elle : aller on va prendre l’apéro
Moi: assied toi dans le salon je fais le service
Sa robe était assez courte, cinq centimètres au dessus du genoux Le fauteuil étant profond, ses genoux étaient plus haut que son bassin. la texture de sa robe a fiat que le tissus glissa sur le nylon des bas et fit apparaître la bande sombre des bas. Je me suis assis a cote d’elle Le fait de m’assoir a cote d’elle ça a encore accentuer le glissement de sa robe

Elle a dit : oups! oh là! Et elle a remonte sa robe
J’ai dit : c’est dommage… c’était mignon…
Elle a dit: taratata! petit canaillou! aller on va passer a table
Je l’ai vu partir, je n’ai pu m’empêcher de regarder ses longues jambes gainées dans les bas à couture

Ensuite on a mangé

Apres le repas Elle dit : tu veux que je mette de la musique?

Moi: oui…
Elle: qu’est ce que tu veux…
Elle: tiens..je mette un de rock… ça va te changer de la techno!

Quand elle etait jeune elle faisait de la danse : latine, rock etc

Elle dit : viens que je te fasse ton éducation! un jeune homme doit savoir danser! Elle m’a d’abord appris el rock Ensuite Le tango et le paso-doble Ce qui m a surtout excite aussi le rock Sa robe se soulevait bien! Après on a danse des slow
Pendant le slow elle me dit : dis donc petit canaillou tes mains? elle ne sont pas un peu bas? Je ne me collais car j’avais peu qu’elle sente que je bande
Apres les slows, Elle dit : tu fais un expresso chéri?

Quand je suis arrive avec mes cafe elle était debout de dos en train de remettre ses bas correctement et remettre ses jarretelles Elle rabaissa rapidement sa robe quand elle me vit et dit : c’est joli mais c’est moins pratiques que des collants!
Moi j’ai dit : ç’est plus pratique, ça dépend pourquoi!
Elle: comment ça?
Moi : a ton avis?
Elle ; espèce de p’tit cochon!
Elle: dis donc… tu es vraiment un canaillou toi! n’oublie pas que je suis ta maman…

Je lui ai donne le café et je me suis assis a cote d’elle De nouveau sa robe a encore glisse dévoilant ses jambes

Elle allait se réajuster en disant : décidément…
Moi : attend montre moi comment ça tient…
Elle : pfuit pfuit! pas question jeune homme, c’est pas de ton age… Et comme pour se ratt****r elle dit et tu es mon fils Et de nouveau elle, se levant d’un bond en rigolant et en faisant semblant de s’enfuir en courant en faisant des pas saccades

Moi sentant que l’ambiance était détendue : attends je vais t’att****r! tu vas voire! Puis s’en suit une course poursuite dans la maison J’ai joue le jeu, si j’avais voulu je l’aurais vite rattrapée mais je trouvais amusement de la voir vouloir m’échapper pour s’extraire de je ne sais quel danger! à la voir courir dans la maison avec ses hauts talons en poussant de s cris de vierges effarouche quand elle sentait que j’allais l’attrapée

Elle disait : arrête!arrête!
Et elle est montée au premier étage Elle est allée dans sa chambre A essaye de maintenir sa porte fermée mais en vain Elle a cédé Et je suis rentré

Moi : alors qui est ce qui a gagné? Elle essoufflée… c’est toi…
Moi: si..
Elle: ok… quoi?
Moi: tu me montres ton porte-jarretelles!
Elle:..ok… mais c’est tout après… En disant cela, elle devinait que j’aurais pu en vouloir plus… puis elle a soulevé un peu sa robe et j’ai vu les jarretelles qui tenaient ses bas Et elle a rabaissé sa robe
Moi: eh j’ai rien vu!! c’est trop rapide!
Elle: pfuit! tant pis c’est fini!
Moi : non attends et de nouveau j’ai tente de l’attrapée

De nouveau elle poussa des cris de sioux! Je l’ai attrapée et l’ai fait tomber sur le lit Je me suis mis a califourchon sur elle Elle était allongée sur le lit les 2 pieds touchant encore le sol Je lui tenais les 2 poignets

Moi: alors? tu es prise hein? J’étais hésitant concernant ce que j’allais faire après Mais le fait de sentir ce corps chaud entre mes jambes qui gesticulait pour m’échapper ça me faisait bander et je me disais :  » c’est maintenant ou jamais  » Implicitement, elle avait accepte le risque de se faire prendre puisqu’elle avait joué Et les conséquences elle les avait certainement imaginées…

Moi :alors tu a perdu… tu me dois le gage… Je t’ai dis de me montrer le porte-jarretelles, ça voulait dire le porte-jarretelles complet…

Elle: ok… mais..tu ne le dis a personne..même pas à tes meilleurs copains..

En disant cela il s’instaurer une complicité tacite entre nous… Je me suis dégagé d’elle Elle resta quelques instant encore allongée, elle soupirait reprenant sa respiration…
Elle: espèce de sale garnement… t’as pas honte de demander ça… tu es… tu es encore jeune, jeune- homme

Et elle rajouta de nouveau que j’étais son fils ça faisait la deuxième fois qu’elle prétextait que j’étais trop jeune
Moi : aller chose promise…

Et elle se leva Elle alla devant son miroir de sa commode pour remettre sa coiffure en place, je me suis levé et pris la chaise qui était devant la commode et m’assis dessus J’étais à 50cm d’elle Puis elle leva sa robe Mais elle ne la leva pas rapidement Elle la leva tout doucement Et s’arrêta juste avant que je puisse entrevoir sa culotte

Elle dit : voila jeune homme… ça te…
Elle s’interrompit elle allait dire ça te plait? elle continua par tu es satisfait? Elle s’interdisait de demander si son fils prenait du plaisir a mater sa mère
Moi: oui… mais tu n’as pas satisfait le gage…
Moi : c’était quoi le gage?
Elle: que je te montre le porte-jarretelles
Moi: et la qu’est ce que tu me montres?
Elle:…
Moi : les jarretelles… uniquement! tu dois monter plus haut… beaucoup plus…
Elle: espèce de p’tit..salaud…
Moi: alors…
Elle:… tu me promets de ne le dire a personne… tu le jures?
Moi : promis juré
Et elle a continué a lever sa robe Je regarde sa robe se hisser et je regardais son visage Elle me regardait droit dans les yeux sans honte aucune J’en revenais pas! La je me suis dit:… il faut continuer..il faut battre le fer quand il es t chaud…
Elle; voila…
Moi: pouah… tu es drôlement… bandante… maman…
Elle était devant moi

Je voyais toute sa touffe a travers le string blanc transparent. le contraste était élevé ses poils noirs tranchaient avec le blanc du fin tissu diaphane, je pouvais sentie son odeur, sa peau semblait d’une douceur, ses bas épousait parfaitement ses cuisses. Elle tourna lentement sur elle-même, les petit triangle du string donnait l’impression de s’enfoncer entre ses deux lobes charnus et ferme

Elle: alors… espèce de p’tit cochon… ça te plait?
Moi: oui… OUI… tu es plus belle que les femmes sur le net…
Elle: je peux baisser ma robe?
Moi : oui… je me suis levé me suis mis devant elle J’ai commence à retirer les boutons du devant de sa robe
Elle dit : mais… mais..qu’est que tu fais?
Je ne répondis rien Je lui pris la main pour retirer les boutons de ses poignets Puis elle me donna l’autre poignet Et elle se laissa faire et se prêta a ce que je lui retire sa robe

Elle: mon chéri..tu crois pas… que tu exagères un petit peu…

Je sentais qu’elle était d’accord pour se donner cette cochonne! J’ai jeté sa robe sur un fauteuil
Moi : quand tu es a la piscine c’est pareil…
Elle: non… c’est pas pareil… regardes ton pantalon de jogging… Je sentais que les tabous étaient tombés
Moi : tu es bandante… cochonne…
Elle, avec un air offusqué: oh! tu n’as pas honte de dire ça a ta maman?

Je me suis approche d’elle je l’ai regarde dans les yeux elle a soutenu mon regard j’ai pris sa main, j’ai baisse mon jogging et j’ai pose sa main sur ma queue

Elle: dis donc petit effronté qu’est ce que tu me fais faire… Et tout en disant cela elle me caressait la bite
Moi: ce que tu meures d’envie de faire espèce de p’tite salope…
Elle : c’est pas beau de parler comme ça a sa maman… sale gamin… Je me suis assis sur la chaise Elle me suivit tout en tenant ma bite a la main Elle compris qu’elle devait s’asseoir sur mes cuisses Elle s’assit à califourchon sur mes cuisse Mes mains parcouraient ses jambes le contact du nylon me faisait bander a mort Mes mains passa sous ses cuisses j’avais ses fesses dans chaque main J’ai passe une bien en dessous j’écarte la ficelle de son string Mon doigt descendait le long de son cul Quand mon doigt effleura son trou du cul je l’ai sentie frémir J’ai continue a avance et j’ai senti ses poils ils étaient mouillés A peine ai je entre un doigt dans sa chatte j’ai senti une onde de chaleur envahir mon ventre et j’ai juter comme jamais!
Avec un petit air narquois elle me dit : alors mon chéri on a des petit problèmes?
J’ai repose ma tête contre sa poitrine Elle me caressa les cheveux
Quelques instant après elle dit : Attends
Elle se leva et alla au cabinet de toilette Elle revient avec une serviette éponge et un gant de toilette humide Et elle me déshabilla comme quand j’étais petit elle reprenait ses gestes de mère C’était surréaliste, maman était devant moi en string porte jarretelle, bas gris perle a couture, perchée sur hauts talons Elle baissait mon pantalon mon slip je levai un pied puis l’autre J’étais redevenu son fils Je me suis retrouve nu comme un verre

Elle dit : je vais essuyer tout ça… Elle m’amena vers le cabinet de toilette et me lava En disant et en plaisantant ; tu vois que tu étais encore jeune… mon p »tit chéri… Je me disais que j’allais avoir le droit de la baiser cette cochonne! de la façon dont c’était parti.

Elle : voila! tu es tout propre! Elle dit viens… mon petit cochon… tu vas voir comment ta maman… elle t’aime fort

Elle me prit la main… et me guida vers le lit Je me suis allonge sur le dos Elle baissa son string le fit glisser le long des ses jambes leva un pied puis l’autre elle se mit a califourchon sur moi de dos Elle avait garde ses chaussures, son porte jarretelle et ses bas Elle se mit a 4 patte et commença a me lécher le gland J’avais devant moi son cul J’ai pose mes mains sur ses fesses et j’ai commence a les caresser J’écartais ses fesses je voyais son trou du cul Elle emboucha ma queue

Elle sorti ma queue et dit: branle moi la chatte mon chéri…

Il n’a pas fallut me le répéter 2 fois J’ai mis un doigt puis 2 ça faisait : flop flop Puis elle arrêta de me sucer Elle se mit face a moi
Elle me prit les poignets et dit alors : Qui est la plus forte? hein mon p’tit chéri? ça te plait ça… hein espèce de p’tit salaud? Tu l’aimes ta salope de maman? Il te plait mon cul? ça fait depuis longtemps que tu en avais envie… hein… Maman..tu veux que je t’aides a faire le courses… maman tu veux que je t’aide a ranger les affaires… Et des que tu avais l’occasion t’essayais de me mater… hein.. avoue…
Elle me susurrait dans l’oreille Elle avait vu que je fouillais dans ses affaires
Elle : je vais te vider les couilles mon p’tit cochon tu vas voire…
Elle me parlait comme une salope Et elle s’est empale sur ma queue Elle ma limé pendant au moins 5 mn Je sentais son con serrer ma bitte Son con s’est serre j’ai eu l’impression que ma bite était dans un étau

Elle s’est couche sur moi avec toujours ma bitte en elle et a dit : alors ça t’a plu?

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