Mes histoires sont vraies, authentiques et réelles.
Vivre à Paris est un plaisir à part, des femmes faciles, des couples généreux et surtout du plaisir à gogo, mais rentrer au pays, et surtout pour les femmes du pays, est un plaisir à part. Déjà dans l’avion partant d’Orly vers Tunis, rien qu’à voir les hôtesses tunisiennes, le plaisir se renouvelle, un plaisir autre qu’avec les femmes françaises.
Assis, j’aime lire comme je le fais toujours, j’étais assis à côté de de la fenêtre, comme je le fais toujours. A ma gauche une femme tunisienne d’âge mur, genre bourgeoise mais très réservée. J’ai pris un livre pour passer le temps. Au moment de la collation, on a discuté un peu sans trop insister ni de sa part ni de mon côté aussi, car j’ai senti la femme trop réservée.
Soudain elle me dit :
– Tu connais bien Tunis ?
Surpris par la question, ma réponse fut évasive :
– Oui, je pense,
Pris de curiosité, je relance :
– Vous voulez quoi au juste ?
Elle paraissait timide et me dit des bouts des lèvres :
– Un hôtel pas cher…. Je cherche ma famille, je n’ai aucun contact. Je reviens en Tunisie, après 30 ans en France.
Je réponds sans trop réfléchir :
– Oui, j’en connais plein, ne vous en faites pas.
Il faut dire que j’ai une amie folle et adorable à Tunis, elle m’attend toujours à l’aéroport. Potelée, elle n’était pas une merveille, mais genre rigolo et surtout folle et ose dire ce qu’elle pense toujours.
A la sortie, avec la femme connue dans l’avion, nous rencontrons ma copine, qui me reçoit avec chaleur, et je fais les présentations :
– Madame est une amie connue dans l’avion, elle cherche un hôtel pas cher
Ma copine parait contrariée et dit :
– On est en période de vacances, il est difficile de trouver une place dans un hôtel.
L’amie de l’avion parait très contrariée, et dit avec tristesse :
– Je ne peux pas vous gêner,
Ma copine dit brusquement en s’adressant à moi :
– Toi, tu ne restes que deux jours, elle peut rester chez moi, tant je serai seule
La femme parait contrariée mais semble n’avoir pas le choix. En marchant vers le parking, la femme dit :
– Je ne veux pas vous gêner. Faites comme si je n’exige pas chez vous.
Ma copine folle de nature, lui réponds avec un sourire malicieux :
– On fait des folies à deux, mais avec toi chez moi….
La femme lui répond avec détermination :
– J’ai vécu 30 ans dans l’hypocrisie. J’aime voir les gens sans masques…
Elle marque un temps d’arrêt et ajoute avec une folle détermination :
– Comportez-vous comme si je n’existe pas. Ne tenez pas compte de ma présence.
Ma copine dit d’un air provocateur :
– Tu es avertie. On ne va pas se priver.
Ma copine adore toujours garer sa voiture dans un coin obscur et isolé. Dans la voiture, elle se tourne vers la femme et lui dit d’un temps provocateur :
– Tu n’existes pas
On s’embrasse follement, et elle ouvre ses cuisses et ma main serpente vers son sexe, car elle me reçoit toujours en robe ou en jupe. Ma main caresse son sexe déjà mouillé, et sa main cherche mon zeb de 21 cm, dont elle est folle.
Je la fais jouir avec mes doigts. Elle se redresse se soigne un peu. Je reste mon zeb hors pantalon avec mon blouson dessus, car elle adore le caresser en conduisant.
Nos amie semble ne pas exister, et même on l’a presque oublié sa présence. Ma copine me caresse le zeb toujours avec un langage provocant.
On arrive, je referme mon pantalon. On descend en silence. Des regards échangés avec malice mais aucune parole. Je tire les deux valises, et les deux femmes se précipitent devant moi pour ouvrir la maison. On entre, et je ferme la porte. Là, un rituel doit être observé, ma copine adore toujours e même exige une fellation avec jouissance dans sa bouche. Je me place devant le divan du hall d’entrée, elle s’est mise à genoux devant, déboutonne mon pantalon, et le baisse, dégage le zeb et entreprenant sa fellation folle.
Notre amie s’est assise sur l’autre divan, et observe en silence, comme si elle n’existe pas. Ma copine adore faire durer la fellation. On était les deux pris dans notre plaisir, l’invitée est venue s’assoir dans le fauteuil proche. Ma copine lève la tête et la voit à côté d’elle. Lui propose avec un geste mon zeb, elle ne s’est faite pas priée. Elle s’est mise à genoux à coté de ma copine et entreprend une fellation non moins folle.
Il faut dire que ma copine est folle à entreprendre une fellation dans un parking, ou une pénétration vite faite sous un arbre dans un jardin, mais jamais on n’a abordé ce genre de fantasme ou de plaisir. Elle s’est assise à côté de moi, et s’est mise à m’embrasser avec engouement.
– Elle te plait ?
– Oui
Nous avons échangé ces parole doucement et d’une manière presque mécanique. Ma copine s’est mise derrière l’invitée et commence à lui caresser les fesses. La femme comme excitée augmente la cadence de sa fellation. Ma copine avance encore, lève la jupe aux hanches pour m’offrir la vue d’un derrière beau et excitant. Elle continue ses caresses et passe sa main entre ses cuisses tout en me regardant avec désir et envie. Je lui fais de la langue le geste de lécher, comme pour l’inciter à lécher notre partenaire. Elle lui ouvre les cuisses encore dégage un peu les deux valises, et s’est mise sur le dos, sa tête entre les cuisses de cette belle et adorable découverte.
Le plaisir était tellement qu’on ne sentait plus le temps passer. Surtout cette belle et adorable surprise. Une invitée qui paraissait classique et même coincée et surtout ma copine qui découvre sa bisexualité.
L’orgasme était simultané, sauf que j’ai annoncé à la suceuse que j’allais jouir de peur qu’elle ne soit du genre à refuser le jus blanc dans sa bouche. Mon sperme part fort dans sa bouche, tout en vibrant comme une jument sous la langue de ma copine.
Le relâchement fut un peu long, les deux femmes n’ont pas changé de position. L’invitée avant la tête sur ma cuisse, et ma copine n’a pas changé de position.
– Qui a envie de prendre une douche ?
Les deux femmes répondent affirmatif ensemble. On se lève à trois, on se met à poil et ma copine nous tient par les mains et dit :
– On s’embrasse à trois avant.
Nos lèvres se touchent et on entre dans un baiser fou. Pris d’envie de les voir s’embrasser je me tire, et les deux femmes continuent un baiser charnel et fou.
J’ouvre le robinet, et je règle la température de l’eau tout en regardant les deux femmes qui s’embrassent tout caressant l’une l’autre. Je les pousse ensuite doucement vers le bain. Elle y entre sans séparer. Sous l’eau, elles me regardent avec malice. Ma copine s’est mise à genoux et j’ai eu droit à une très excitante double fellation.
Soudain, ma copine se met debout et met notre amie debout l’incline un peu et m’offre son cul. D’une main elle me tient le zeb et de l’autre cherche le sexe de la femme. Elle assure la pénétration, ou plutôt le premier contact. Notre complice laisse partir un gémissement fort, et je commence une douce et lente pénétration. Elle avait le sexe humide sous l’eau tiède mais paraissait étroite et même fermée. Patient, je prends mon temps et au même temps je caresse ses seins, tandis que ma copine était à genoux devant elle, à lui sucer le clito. Je sentais réellement cette langue que je connais bien, passer du clito à mon zeb. La jouissance fut forte, j’ai senti un resserrement très fort sur mon zeb, et la femme vibrer comme une jument.
Notre amie semble plus qu’heureuse et épanouie et dit tendrement en regardant ma copine :
– Ton tour maintenant
– On va continuer au lit.
A suivre
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