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Ma soeur Julie

Ma soeur Julie



Tout a commencé un soir de semaine normal. Mes parents étaient encore au travail et nous nous retrouvions seuls, ma sœur et moi, à la maison. Je m’étais donc renfermé dans ma chambre et me livrais à une des occupations principales des garçons adolescents : la masturbation. A genoux sur mon lit, je me polissais le manche en matant mes starlettes de cul préférées : des blondasses à « bubble butt », des brunettes sulfureuses… Je me mettais à la place des acteurs, montés comme des taureaux, à fourailler de la garce et à se soulager sur leurs faces de poupées et sur leurs culs de rêve. Après avoir écumé les nombreux sites pornos auxquels je m’étais abonné discrètement en piquant la carte de mon père, je m’étais arrêté sur une vidéo de Zoey Monroe. La blondinette se faisait marteler sans pitié par un mec monté comme un âne sur un canapé, couinant comme une furieuse et se caressant le clitoris pour amplifier son plaisir. Zoey ne me décevait jamais, certes ses lunettes de soleil en forme de coeur et son « déguisement » (un bikini rose, des «knee-high socks » arc-en-ciel et des talons à plateformes roses) étaient plus que vulgaires, mais à 19 ans on a souvent une image faussée de la sexualité, ses principales sources d’inspiration érotique étant les sites x et les revues de cul.

Persuadé que j’avais fermé la porte de ma chambre à clef, à tort, je me laissais donc complètement aller et me concentrai sur la scène qui déroulait à l’écran de mon mac. C’est alors que ma sœur de 18 ans, Julie, fit irruption dans la pièce. Ma sœur et moi n’avions jamais été particulièrement complices. Au grand damne de ma mère, notre relation était amicale au mieux. Toutefois au cours des derniers mois, Julie se montrait de plus en plus emmerdeuse et faisait tout pour me pousser à bout. Nos parents me disaient que ce n’était que l’âge mais tout de même… Ce qui arriva alors dépassait toutes les bornes.

-« Tu fais quoi ?», demanda-t-elle.

J’étais figé, rouge de honte. Lui mentir aurait été futile : j’étais là, sans froc ni calbut sur mon lit, ma queue dans la main devant mon ordi qui jouait un porno.

-« Euh ben je… je me masturbe » balbutiais-je.

-« C’est ça se masturber ? »

Elle avait l’air étonnée. Julie avait toujours été la fille sage, modèle, innocente, jamais de petits copains ni de bêtises. Son air inquisiteur me confirma qu’elle était totalement novice à tout ce qui touchait au sexe.

-« Bon ça suffit Julie, sort de ma chambre ! », je cherchai désespérément quelque chose pour me couvrir le vit, « Je t’expliquerai une autre fois ! «

-« Non ! Explique moi maintenant ou je dis à Maman que tu m’as montré ta bite ! »

Dans quel pétrin je m’étais fichu ! Je m’imaginais même pas quelles conséquences un tel scandale entrainerait. Le pire c’est qu’elle en était capable… Je prenais alors un air faussement pédagogique sans vraiment réaliser l’incroyable de la situation :

-« En fait là je me caresse le pénis jusqu’à ce que je… enfin que je jouisse quoi. »

-« Que tu spermes ? »

-« Ouais que je « sperme »… Donc tu connais un peu alors ? »

-« Non pas vraiment. Tu te frottes la teub en fait? »

-« Euh… ouais je la masse. »

-« T’as jouis là ? »

-« T’es rentrée avant que je n’ai le temps de finir… »

-« Cool ! Fini alors ! Je veux te voir jouir. »

Son ton n’était pas vraiment lubrique mais plutôt curieux. Je pense surtout qu’elle voyait que j’étais extrêmement embarrassé et elle en profitait. Je protestai violemment :

-« Mais t’es malade ! Je vais pas me branler devant ma sœur ! »

-« J’ai jamais vu un gars jouir. Et puis t’as pas le choix ! Tu te finis ou je raconte tout à Maman… »

-« Putain Julie, si tu veux voir un mec éjaculer tu vas sur internet ! »

-« Ejaquoi ? »

-« C’est pas important, je vais pas le faire. »

-« Max tu la fermes et tu te masturbes maintenant ! Ou alors j’appelle Maman en pleurant et je… »

-« C’est bon ! C’est bon… »

Paniqué, j’empoignai mon manche et commençai à aller et venir. Ma mais panique céda place à une certaine lubricité. Mon érection revint rapidement et je me branlais donc de nouveau à bonne allure toujours en regardant ma fameuse Zoey, mais me surpris à jeter quelques coups d’œil furtifs à ma sœur. C’était peut-être le fait d’être observé mais toute cette situation m’excitait de plus en plus : je me tapais une queue tout en regardant du cul et ma petite sœur en même temps. Celle ci ne ratait rien du spectacle, à genoux, assis sur ses chevilles à l’autre bout de mon lit, elle m’observait attentivement. Julie était une jolie fille mais je ne l’avais jamais encore regardé de cette façon là. Petite brune aux yeux verts d’environ 1m65, elle avait un beau cul bien rebondi et des seins de taille moyenne. La chaleur du début de l’été oblige, elle portait une jupette en jean et un débardeur blanc, visiblement sans soutif, et avait attaché ses cheveux en queue de cheval à l’aide d’un élastique bleu ciel.

-« Ca te fait du bien ? » s’enquit elle.

-« Ou… ouais. C’est bon. » ma voix devenait rauque.

-« Tu le fais souvent ? »

-« Ouais quand même. »

Ses questions se succédaient mais je ne répondis plus, je ne pouvais plus. Je ne regardais même plus la belle Zoey Monroe se faire sodomiser, je fixais ma sœur et ça ne me dérangea plus du tout. Elle se rapprocha pour voir l’action de plus près, son visage à un mètre de mon gland. J’astiquais ma verge de plus en plus vite, de plus en plus fort. Ca allait arriver, le plaisir naissant dans mes bourses se propagea dans tout mon corps, mes abdominaux se contractèrent, mon visage devint rouge. Je ne sais pas pourquoi, je prévint ma tortionnaire :

-« Oh… ça va sortir Julie… »

Et là, je projetai mon jus à une bonne cinquantaine de centimètres de moi, une bonne dizaine de jets chauds, heureusement j’évitai ma sœur. Je n’avais encore jamais éjaculé d’une telle force, je me sentais vidé. Julie devint euphorique à la vue du sperme. Elle applaudit et sautillait sur le matelas.

-« Waaa c’est énorme ! Y en a toujours autant ?»

-« N-non… J-je sais pas ce qui m’arrive ! » Répondis-je essoufflé.

-« Alors c’est à ça que sert les « boules » ? Elles étaient pleines ? »

-« Pas vraiment, c’est plutôt stocké dans la prostate… » je n’avais vraiment plus envie de donner des cours de biologie « Bon, t’es contente ? »

-« Oh mais tellement ! Maintenant je veux te le faire ! »

Je devins livide… Là je paniquais de nouveau ! Je me levai et m’éloignai de la petite.

-« Julie la ça devient très grave ! »

-« T’es lourd ! Tu fais l’offusqué et puis je te menace et tu finis par accepter. Ne fais pas chier et vient là. C’est à mon tour de « branler » hihi »

Ca la faisait rire la petite conne. Mais elle avait raison : je ne pouvais absolument rien faire. Entre elle et moi, c’est sœur que mes parents croiraient…

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