Damien continuait de la limer sans modération en lui touchant les seins avec avidité. Il était excité, avoir deux sœurs de vingt-cinq et vingt neuf ans à baiser en même temps et dont la plus jeune était sa prof. Il attrapa Claire par la nuque pour lui rouler une pelle, elle s’accrocha à son cou des deux mains pour ne pas perdre l’équilibre. Damien prit alors une main de Claire et l’emmena vers un des seins de sa sœur.
« -Caresse les nichons de ta frangine, ça m’excite. »
« -Oui maître. » Dit Claire en s’exécutant. Toucher les seins de sa sœur l’électrisa, ils étaient doux et fermes, c’était un pas de plus vers cette frontière, la plus interdite qui soit.
« -Ca te plaît de tripoter les nibards de ta sœur ? »
« -Oui. »
« -Bien, fais lui goûter ta chatte maintenant. Assieds toi sur sa gueule. » Claire baissa les yeux pleine d’embarras, Elle ne voulait surtout pas désobéir à Damien et une part de ce qu’il lui proposait l’excitait fortement. Elle savait depuis le début qu’il l’emmènerait aux portes de cette frontière, qu’il lui demanderait de la franchir et elle n’avait rien fait pour s’en détourner, bien au contraire. Mais là, au pied du mur elle hésitait, c’était sa sœur tout de même, c’était de l’i****te. Pourtant l’i****te la stimulait, ce que Damien et sa mère faisait l’exaltait terriblement. L’idée de le faire elle-même l’avait rendue folle d’excitation, mais le réaliser c’était un sacré pas à franchir.
« -Allez fais-le, une fois que tu y auras goûté tu ne pourras plus t’en passer. » Lui susurra Damien comme si il lisait dans ses pensées. Lentement elle se souleva et s’approcha de Damien. Son sexe était juste au-dessus du visage de sa sœur. Sophie avait les mains libres depuis deux minutes mais elle était trop tétanisée et horrifiée pour empêcher ce qu’elle avait entendu.
« -Vas-y, fais lui goûter ta moule. » Claire baissa ses cuisses, incapable de résister à Damien, à ses pulsions, sa réticence était vaincue, elle s’abandonna au vice. Sa fente était colée au visage de Sophie, l’émotion que cela lui procura fut si intense qu’une vibration lui parcourut le corps et la fit jouir aussitôt. Après quelques secondes où elle se délecta de cette extase soudaine qui lui avait hérissé le derme de la peau, elle mua son bassin. Claire se mit à frotter sa chatte de plus en plus vite sur le visage de sa sœur, lui badigeonnant de mouille et du sperme de Damien qui s’en écoulait.
Sa sœur se frottait avec une telle frénésie, en serrant si fort ses cuisses contre son visage que Sophie étouffait. Cela la fit sortir de sa torpeur, elle ouvrit la bouche pour inspirer de l’air ce qui lui permit de regonfler ses poumons, mais en même temps le mélange des sucs sexuels pénétra dans sa bouche. Claire était la pire des salopes pour lui infliger cette agression, une sœur indigne, démente et perverse. Elle lui faisait subir le pire des outrages, une profanation sans nom, oui mais alors pourquoi ressentait-elle un plaisir si puissant ?
Sans s’en rendre compte elle sortit sa langue pour lécher la craquette de sa sœur et récolter un peu plus des jus qu’elle répandait.
« -Oh, ça y est. Elle me lèche ! » S’étonna Claire.
Damien contemplait la chatte de Claire s’astiquer sur le visage de sa sœur et perçut le bout de chair rosé, il embrassa Claire avec fougue puis fut emporté par un violent orgasme. Il finissait d’éjaculer au fond du vagin de Sophie quand celle-ci fut prise de convulsions, révélatrices de son apogée coïtale. En constatant que sa sœur prenait son pied, Claire jouit à son tour.
Damien se retira et Claire s’affala sur le corps de Sophie. Le jeune garçon lui murmura un ordre à l’oreille, elle acquiesça lentement et commença à lécher la chatte baveuse et remplie de sperme de sa sœur. Sophie frissonna en comprenant ce qui se passait. Malgré elle, elle gémit appréciant la langue chaude et suave de Claire. Claire lécha un bon moment procurant un nouvel orgasme à sa sœur. Quand elle eut la bouche pleine de sperme elle se retourna et mit son visage au-dessus de celui de Sophie. Le foutre blanchâtre suintait de ses lèvres, Sophie avait un regard implorant, celui de ne pas aller plus loin mais sa sœur n’avait nullement l’intention de s’arrêter. Elle appuya de son index sur le menton de Sophie l’obligeant à ouvrir sa bouche puis elle laissa échapper le sperme pour l’y déverser. Un filet de semence unissait leurs deux bouches, Claire s’appliqua à le faire durer le plus longtemps possible. Quand la totalité se trouva dans la bouche de sa sœur elle colla ses lèvres aux siennes et l’embrassa avec la langue. D’abord inactive Sophie participa peu à peu à ce baiser souillé et i****tueux. Claire cessa de l’embrasser quand sa sœur eut avalé toute la crème de Damien. Elle se releva et embrassa son amant qui s’était régalé du show. Ils laissèrent enfin Sophie qui se mit à sangloter.
Damien rentra ensuite chez lui et comme à son habitude fit un compte rendu détaillé à sa mère de toutes ses activités sexuelles. Bien que désormais ouverte à un large éventail de pratiques, Elisabeth fut offusquée que son fils viole une femme et en tant que mère le lui fit savoir. Damien argumenta que c’était un viol dans la pratique mais pas dans l’esprit, qu’au fond d’elle-même Sophie désirait cela. Sa mère resta très dubitative et préoccupée par la dérive de son fils.
Le soir même Claire et sa sœur passèrent chez eux. Elisabeth se réjouit de revoir Claire qu’elle appréciait beaucoup. Elle aimait discuter avec la jeune femme qui possédait une grande culture et un esprit ouvert. Elle la trouvait aussi à son goût physiquement et adorait avoir des rapports saphiques et dominateur avec elle. Elle trouva donc Sophie tout aussi charmante mais s’alarma de sa mine triste. A peine arrivée Damien dénuda ses femelles leurs laissant uniquement bas et porte-jarretelle comme il appréciait tant. Il leur passa aussi leurs colliers de chienne. Il accrocha une laisse à celui de Sophie et la promena dans la maison comme un toutou docile. Un peu plus tard il confia la laisse à sa mère pour qu’elle fasse connaissance avec sa nouvelle acquisition et entrepris de baiser Claire dans leur lit. Elisabeth se retrouva à tenir en laisse cette sublime jeune femme qui n’avait pratiquement pas ouvert la bouche depuis son arrivée et avait les yeux toujours baissés. Elle l’entraina vers le salon et dégrafa la laisse.
« -Ecoutez mademoiselle, mon fils m’a raconté ce qu’il vous a fait. Je suis heurtée par son attitude, il y a des limites que même lui ne doit pas franchir. Et celle d’abuser d’une femme en est une des pires. Je suis désolée, je vais vous aider à vous échapper. Attendez-moi ici, je vais récupérer vos vêtements puis je vous conduirais où vous voudrez. »
« -Attendez. »
« -Oui, Quoi ? »
« -Ils m’ont effectivement violée mais ils avaient raison. J’aime la soumission, comme vous, comme ma sœur. En abusant de moi ils m’ont permis de comprendre ma nature de soumise et d’esclave. » Dit elle en se rapprochant d’Elisabeth.
« -Faites comme votre fils a dit. Traitez-moi comme votre chose, votre chienne. » Conclut-elle en rattachant elle-même la laisse à son cou.
« -Vous êtes sûre, vous semblez si affligée. »
« -C’est parce que je vous envie vous et ma sœur d’être si comblées. Vous avez compris et accepté votre nature comme je le fais maintenant. Mais en plus vous êtes amoureuse de Damien et moi il me manque juste ça. Peut être cela viendra t’il avec le temps, mais il est un peu jeune à mon goût. En fait je crois que j’ai un penchant pour les hommes beaucoup plus âgés. »
« -Comme l’était votre beau-père. »
« -Oui, mon bonheur doit se trouver chez un homme de plus de soixante ans avec le charisme, la perversion et la dominance de votre fils et dont je serais amoureuse et en parfaite confiance comme avec ma sœur. »
« -Une perle rare quoi. »
« -Effectivement, mais en attendant je serais ravie de vous servir vous et Damien comme une parfaite soumise. »
« -Dans ce cas suis moi chienne, j’ai en envie pressante. » Ordonna Elisabeth en tirant d’un coup sec sur la laisse.
Alors qu’elle avait fait mettre la tête de Sophie au-dessus de la cuvette de WC et que dans une position acrobatique elle lui urinait sur le visage et dans la bouche. La belle brune ressentait du remord d’avoir eu de la défiance envers son fils. Elle se dit qu’elle devait faire totalement confiance en ses choix et décisions. Il avait de toute évidence un don pour déceler les penchants refoulés des femmes. Il était son maître, plus jamais elle ne le mettrait en doute.
Pour garder une partie de vie stable et une tranquillité avec le voisinage, il fut décidé que les deux sœurs vivraient la semaine dans l’appartement de Claire et qu’elles viendraient à la maison d’Elisabeth à partir du vendredi soir.
Quelques jours plus tard Damien organisa un week-end de baise avec toutes ses femelles. Ce fut une orgie sexuelle sans nom, une débauche digne des bacchanales de Gomorrhe.
Le mercredi suivant, Damien Marlène et Béatrice se remémoraient ce fabuleux week-end. Toutes les femmes s’étaient appréciées ce qui n’était pas si évident. Il y avait eu même de réelles affinités entre Béatrice et Sophie et entre Marlène et Claire. La jeune femme avait beaucoup apprécié de coucher avec une de ses profs préférées et avait adoré exercer son penchant dominateur sur elle. C’est sur ses remémorations enflammées que des infirmiers firent rentrer Francis Zeller dans son domicile pour qu’il y passe quelques jours, jusqu’au week-end.
Il n’avait vu Damien que deux fois et il ne l’appréciait pas, d’ailleurs il n’appréciait personne. Une fois les infirmiers disparus sous ses commentaires acerbes où il les traitait d’incapable et de fainéants il s’attaqua à sa famille. Il les traita de femmes indignes qui ne venaient jamais le voir et ne s’occupaient pas de lui. Il injuria Damien et lui ordonna de foutre le camp de chez lui. Béatrice se tourna vers le jeune homme et lui indiqua qu’il était temps de remettre à sa place son abrutit de mari. Ils positionnèrent son fauteuil devant les canapés du salon, Damien s’installa face à lui et Béatrice dégrafa sa braguette et s’empressa de lui sucer la bite. Francis après un instant de sidération se mit à les insulter mais Damien le coupa aussitôt.
« -Ferme ta gueule pauvre merde à roulette. Je baise ta femme qui est une vraie chienne en chaleur. La pauvre elle était en manque d’une vraie bite pour la satisfaire parce qu’avec toi, même au temps où ta misérable tuyauterie fonctionnait elle n’a jamais pris son pied. »
« -Petit salaud, tu »
« -Je t’ai déjà dit de fermer ton clapet à merde ducon. Bon, comme tu sais je baise aussi ta fille, en fait maintenant je baise les deux en même temps. Pas vrai Marlène, tu kiffes ça que ton mec tronche ta mère. »
« -J’ai même tout fait pour que ça arrive mon bébé. » confirma Marlène en le rejoignant sur le sofa totalement nue.
« -Vous êtes que des dégénérés et toi Béatrice tu es la pire d’entre eux. Une adulte qui s’est laissée pervertir par ce morveux. »
« -Il ne m’a pas pervertie, il m’a montré ma vraie nature, celle d’une chienne soumise. C’est un maître merveilleux et très puissant. Il révèle aux femmes soumises qui l’ignorent ce qu’elles sont. Et c’est un amant extraordinaire qui procure des plaisirs hors normes. Regarde l’engin dont il est doté rien à voir avec ta petite nouille. »
« -Salope, toi et ta fille vous n’estes que des morues. Je vous renie, je ne veux plus jamais vous voir. »
« -Nous non plus on ne veut plus de toi ici papa. Alors ne reviens plus jamais. »
« -Tes femmes sont à moi maintenant, ce sont mes femelles que je vais baiser où et quand j’en aurais envie. Je vais les baiser devant toi aujourd’hui pour que tu gardes bien ça en tête. Quand on aura fini on rappellera l’hôpital pour qu’ils viennent te chercher puis on leur demandera de te placer dans une institution où tu resteras en permanence. » Et ce qui fut dit fut fait. Damien baisa mère et fille devant le père de famille atterré. Il vit sa femme et sa fille se gouiner et se faire royalement baiser par ce blanc-bec. Il fulminait mais ne pouvait rien faire, il savait que même si il racontait ce qu’il avait vu personne ne le croirait. Déjà il fallait trouver quelqu’un qui l’écoute parce qu’il avait tellement insulté et méprisé ceux qui le côtoyait que plus personne ne lui adressait la parole, sauf si il n’était pas obligé de le faire. De toute façon il ne préférait plus rien avoir à faire avec sa désormais ex-famille.
Quand Francis fut définitivement parti les trois amants baisèrent encore pour fêter ça. Ils étaient épuisés et en sueur, Damien était au milieu du lit avec une femme à chacun de ses côtés, les bras sous leurs nuques. C’est dans un état oscillant entre l’euphorie et l’extase qu’il lâcha :
« -Béatrice j’ai envie de te voir te faire baiser par un chien. »
« -Quoi ? »
« -J’ai envie que tu te fasses niquer par un clébard. Cette idée me fout la gaule depuis un moment, alors tu vas le faire. » Béatrice resta muette, sidérée par cette idée. Puis au bout d’un moment elle demanda :
« -Mais c’est contre nature. Ce n’est pas… permis. »
« -Pas plus que l’i****te ou de coucher avec des mineurs ma belle. »
« -Marlène tu ne dis rien ? Ne me dis pas que tu es d’accord. »
« -Ca m’as surpris quand il te l’a proposé mais plus j’y pense… »
« -Marlène ! »
« -Ben ouai, ça m’excite d’imaginer ma mère se faire tringler par un clebs. »
« -Oh mon dieu, je… Je ne sais pas, je n’avais jamais imaginé une chose pareille. »
« -Je te montrerais quelques films zoo, tu verras c’est super. » Conclut Damien.
« -Bon, je… je verrais. »
Quand Damien annonça qu’il cherchait un chien pour saillir Brigitte, Elisabeth fut stupéfaite, elle faillit discuter cette décision mais se rappela vite sa dernière erreur. Elle se proposa aussitôt de l’aider dans sa recherche. Elisabeth était émerveillée par la perversion de son fils et de la débauche d’idées dépravées dont il faisait preuve. Au bout de quelques heures ils trouvèrent sur un site très spécialisé une personne qui vendait un Beauceron éduqué depuis le plus jeune âge pour les pratiques qu’ils désiraient. Trois jours plus tard c’était le week-end, Damien en profita pour autoriser ses deux blondes à rendre visite à leur père veuf qui s’inquiétait de la situation de son ainée. Le samedi ils partirent de très bonne heure firent plus de deux cents kilomètres pour aller voir la bête. Bram leurs plut aussitôt, c’était un beaux mâle dans la puissance de l’âge, très calme et affectueux. Un luisant pelage noir et feu, intelligent, un trait caractéristique de sa race annonça Géraldine sa propriétaire, une femme d’une cinquantaine d’années très BCBG. Elle semblait vraiment affectée de s’en séparer mais son mari prenant la retraite le mois suivant elle ne pouvait le garder aux vus de leurs fréquentes activités. Elle leur indiqua qu’il serait parfait pour une novice car extrêmement bien dressé et docile. Elle leurs expliqua comment s’y prendre et les pourvut de précieux conseils. A dix heures l’affaire était conclue et ils payèrent le prix demandé, au moment de partir elle s’agenouilla devant lui et l’embrassa sur la bouche, leurs langues se mêlèrent. Elle dit à Elisabeth qu’elle avait de la chance avant de les quitter les larmes aux yeux, la mère de Damien n’osa pas lui dire que ce n’était pas pour elle.
Ajouter un commentaire