Quelques jours après se shooting d’enfer avec Sofia et nos trois mâles en ruts, je décide d’aller me prélasser avec un bon bouquin au jardin public. Je m’assoie sur un banc et me laisse aller dans ma lecture en écoutant les oiseaux chanter autour de moi. Dix minutes plus tard, un inconnu s’assoie à côté de moi et trouble ma tranquillité en engageant la conversation.
« Bonjour Madame, belle journée aujourd’hui ! »
Je suis un peu agacé par cet importun mais courtoisement je lui réponds :
« Oui en effet. Une journée où je souhaite être tranquille. »
« Excusez-moi, mais j’ai l’impression de vous avoir vu quelque part déjà. »
Bon-sang mais il est lourd ce type. Comment vais-je pouvoir m’en débarrasser ?
Plus fermement je lui dis :
« Ca m’étonnerais ! Et vous ? Vous n’avez pas une femme qui vous attend au lieu de draguer dans les bacs à sable ? »
« Houlala… J’adore les tigresse comme vous. En fait si vous voulez savoir, ma femme est à l’hôtel en face entrain de se faire sauter par son amant. Alors je patiente avec vous. »
Surprise par une telle réponse, je bégaie un peu en lui disant :
« Heu…désolée, mais je.. Enfin j’ai envie d’être tranquille. »
Il me regarde plus intensément et reprend :
« Je sais…. Vous êtes une actrice porno. Je vous ai vu dans de clips sur des site XXXXX et BDSM. »
Le rouge me monte aux joues et je ne sais quoi dire, du moins je nie un tel truc.
« Ca va pas ? J’suis pas une actrice porno ! Foutez-moi la paix espèce de cocu vicelard ! »
Gardant son calme face à ma fureur, il continue :
« Vous savez, vous étiez superbement chienne dans ces films. J’adore surtout quand on s’occupe de vos mamelles.Vous me traitez de cocu mais quid de votre mari quand vous jouez avec les autres ? »
J’ai le souffle coupé. Mais ces commentaires sur mes aventures et ma façon d’être soumise provoquent des sensations bien connues aux creux de mon ventre. Je sens une humidité envahir mon coquillage et troublée par le charisme de cet inconnu, une certaine attirance m’empêche de refuser de le suivre lorsqu’il me propose de prendre un café pour continuer cette conversation si curieuse. Assis au troquet, cet individu devient rapidement plus entreprenant. Il pose une main sur le haut de ma cuisse. Je suis comme paralysée. Où va me mener cette rencontre et qui est-il ? Sans vraiment m’en rendre compte j’écarte imperceptiblement le compas de mes cuisses laissant sa main remonter vers mon trésor. En me regardant droit dans les yeux, il observe mes réactions lorsque sous la table il glisse un doigt fureteur sous l’élastique de mon string détrempé de mouille.qui, inexorablement monte sur le haut des cuisses ouvertes. Un doigt écarte le string, lisse la fente. Crispée, je sens le désir monté en moi. Dans un dernier sursaut de pudeur et de bien séance, je murmure :
« Je vous en prie Monsieur, c’est inconvenant. »
Mais en lui disant ça, mes cuisses s’ouvrent un peu plus. Il me sourit alors qu ses doigts maintenant jouent avec mon si sensible bouton d’amour. Je ferme les yeux et serre les dents pour ne pas gémir de plaisir. Il me prend la main et m’entraîne au sous-sol dans les toilettes commune du café. Il ferme la porte et me plaque contre la cloison de lambris qui craque légèrement sous cette contrainte. D’un geste preste, il ôte mon tee-shirt et libère mon opulente poitrine. En me pelotant les seins, il me dévore la bouche. Il me prend par le cou presque en m’asphyxiant et embrasse mes tétons durcit par le désir. J’étouffe et veux prendre de l’air quand d’une main sûre, il baisse mon string et fouille ma chatte dégoulinante de cyprine. L’assaut est rude mais si excitant. Je ne pense même pas au risque d’être surprise par un client ou le patron du bar. Il relâche un peu ma gorge et j’en profite pour prendre une bouffée d’air et descendre la glissière de son jean pour en extirper sa verge qui se libère comme un beau diable. Dire qu’une demie-heure plus tôt, je ne connaissait pas ce type. Je me saisis de cette magnifique verge qui bande pour moi. Elle me parait énorme. En un rien de temps, je glisse au sol pour prendre en bouche ce gros sucre d’orge et le déguster avec une gourmandise non feinte. Il me prend la tête pour bien profiter de ma bouche. Il ne parle plus et les toilettes du café sont remplis de nos gémissements. Il me tire par les cheveux pour me relever et à son tour, il plonge sa tête dans mon entrecuisse pour me lèche la chatte, aspirer mon clitoris et déguster mon abondante cyprine. Comme une chienne en chaleur, je feule de plaisir en poussant sa tête sur mon pubis offert à sa dégustation. Il se reléve, me prend par le cuisse et s’empale d’un coup dans ma chatte brûlante. Je pousse un couinement aigue sans penser au risque que les autres puisse nous entendre. En me bourrant contre la cloison des chiottes, il me lance :
« Ca t’excites, te te faire bourrer par n’importe qui dans les chiotte d’un café salope ! T’es trop bonne grosse pute ! »
C’est mots vulgaires m’électrisent et je l’encourage :
« Oui elle est bonne ta grosse bite ! Défonce moi bien comme une pute.. Oui j’adore ça ! »»
Mon orgasme est sans pareil. Mes cris couvrent largement les râles et les insultes de mon forniqueur occasionnel. Il se retire brusquement de mon vagin et alors que mes jambes ne me soutiennent plus et que je glisse au sol, il fourre sa verge dans ma bouche et en grognant éjacule en longue giclées crémeuses.
« Oh putain, comme tu me fait jouir salope !!! »
J’avale son jus et en se rebraguettant, il me remercie pour ce bon moment passé avec moi en me disant :
« Faut que je rejoingne ma femme. Elle a du en prendre plein le cul maintenant. A plus peut-être…. »
Le voilà repartit. Je reste seule dans les wc avec le goût de son sperme dans la bouche et sans savoir qui il est et comment il s’appelle.
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