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avec chantal au cinéma

avec chantal au cinéma



Il y a une quinzaine de jours, nous étions au cinéma, ma femme et moi. Le film n’était vraiment pas terrible et je commençais à peine à y prendre un peu d’intérêt, quand elle a penché sa tête vers moi, pour me dire :

— Chéri, j’ai envie de faire pipi.

J’ai dit :

— Tu ne peux pas attendre la fin du film ?
— Non, c’est urgent !

C’est toujours comme ça : elle a toujours un besoin pressant aux moments les plus incongrus ! J’ai répondu alors, quelque peu agacé :

— Bon, vas-y.
— Non, accompagne-moi, j’ai peur d’y aller toute seule !

Nous avons alors dérangé les spectateurs de notre travée, puis nous avons pris le long couloir qui menait aux toilettes. En passant, j’ai pensé que ma femme avait eu raison de me demander de l’accompagner. Vraiment, le chemin qui y menait était réellement long et pas très bien éclairé.

Ma chérie a vite disparu dans la partie réservée aux femmes. J’ai commencé à l’attendre patiemment puis, je ne sais si c’est par mimétisme ou par réel besoin, j’ai soudain eu la même envie de me soulager. À mon tour, j’ai poussé la porte et je me suis dirigé vers les urinoirs. Il y avait déjà quelqu’un. J’ai hésité un bref instant, puis je me suis installé à côté de lui. Je me suis senti tout de suite mal à l’aise, car j’ai vite eu le sentiment qu’il me matait pendant que je me soulageais.

Alors, machinalement, j’ai tourné la tête vers lui et alors là, j’ai eu le plus gros choc de ma vie ! En effet, il regardait effrontément ma bite, tout en se branlant, mais surtout : le morceau qu’il secouait dans sa main était énorme ! Une bite de cheval ! Un cri s’est échappé de ma gorge.
J’ai dit :

— C’est pas possible !
— Elle est belle, hein ! me dit-il.
— Monstrueuse !

Sa main allait et venait sur la tige, tendue maintenant vers moi.

— Branle-moi ! me dit-il.
— Ça va pas ? dis-je. Je suis pas pédé !

Cependant, je restai les yeux fixés sur l’énorme engin, avec une étrange fascination. À ma grande honte, je me rendis compte qu’à son tour, ma bite s’était durcie.

Soudainement, il a avancé sa main, comme pour la saisir, et il a ajouté :

— Tu veux que je te suce ?

J’ai alors fait un pas en arrière, avec pourtant les yeux toujours rivés à l’incroyable colonne de chair. J’ai alors rangé avec difficulté mon engin durci et, tout en reculant, les yeux accrochés à sa queue, je suis sorti des toilettes. J’ai retrouvé ma femme, qui venait juste de sortir dans le couloir. Je devais avoir une drôle de mine car, tout de suite, elle a demandé :

— Qu’est-ce qui t’arrive ?
— Rien !
— Tu as l’air bouleversé.

Alors je lui ai raconté l’histoire. J’ai dit, en montrant de mes mains :

— Une bite comme ça !
— C’est pas possible !
— Si, je te jure ! Enorme !
— J’aurais bien aimé voir ça !

Vous savez, quand on a assisté à un événement incroyable, il arrive un moment où l’on a envie de le partager avec quelqu’un… Et là, tout soudain, j’ai désiré faire profiter ma femme de l’énorme vision.

Je l’ai tirée par la main en lui disant :

— Y a qu’à y aller voir !
— Tu es fou ! C’est dangereux !
— Tu ne risques rien ! D’ailleurs, c’est un pédé.

J’ai poussé la porte des toilettes pour hommes, suivi de mon épouse. Le type était toujours devant les urinoirs et, visiblement, il se tripotait encore. Il nous tournait toujours le dos. Sans doute imaginait-il que quelqu’un, comme moi tout à l’heure, allait se mettre à côté de lui pour uriner.

Nous ne savions quelle attitude adopter : nous restions là, plantés, ne sachant pas quoi faire. J’ai toussoté alors, comme pour l’avertir. Ma manoeuvre réussit car il a jeté un oeil par-dessus son épaule. Il a eu l’air surpris.

— Ah c’est toi !

Puis, remarquant ma femme :

— Tu as ramené du renfort ?
— Elle ne voulait pas me croire, dis-je en indiquant, d’un mouvement de tête, son bas-ventre.
— Approchez-vous, nous dit-il.

Je m’avançai, en tirant presque ma femme, maintenant très réticente, me sembla-t-il.
Il la contempla avec attention et ajouta

— Elle est drôlement mignonne !

Puis il ajouta, de manière triviale :

— Elle aime ça, les grosses bites ?

Je ne sais pas pourquoi, mais sans doute par bravade, j’ai répondu :

— Elle adore ça !

Ma femme m’a alors retourné un regard étonné et outré. J’ai eu un peu honte de ma répartie.
Nous étions presque à deux pas de lui quand il se retourna, exhibant son engin.

— Elle en a déjà eu de belles comme ça ?

J’ai senti la main de ma femme tressauter dans la mienne. Ses yeux se sont exorbités ! Elle a eu la même expression que moi tout à l’heure ; elle a dit :

— C’est pas possible !

Il branlait nonchalamment son sexe, maintenant de plus en plus gros et d’une rigidité de plus en plus marquée.

— Tu en as déjà vu une grosse comme ça, ma belle ? dit-il, en l’astiquant de plus belle.

J’ai jeté un coup d’oeil vers ma femme : elle avait le souffle court, le regard fixe et vitreux, rivé sur le bel engin. Inconsciemment peut-être, ses lèvres s’étaient entrouvertes, comme mues par un désir de succion.
Il avançait maintenant son bassin vers elle, se branlant d’une main et caressant de l’autre ses couilles, qu’il avait prestement extirpées de son slip. Deux grosses boules pleines, à la mesure du reste. Moi aussi j’avais maintenant une érection pas possible et surtout, je regardais, fasciné, le visage troublé de mon épouse, tourné vers la verge offerte à sa vue.

Inconsciemment, son corps s’était tendu vers l’objet chéri de ces dames et c’était elle, à ce moment, qui me devançait. Le type semblait s’en être aperçu, car il avait avancé son bassin et sa queue s’était dirigée directement vers elle. Je devinais qu’il allait se passer quelque chose, je l’espérais même. J’avais envie de lui dire : « Prends-la en main, ma chérie. »

Il a du le sentir lui aussi car soudain, il a dit, s’adressant visiblement à ma femme.

— Branle-moi !

Mon épouse a alors tourné son visage vers moi, en un regard interrogatif, qui semblait dire : « Tu crois que je peux le toucher ? »
J’ai dit, en accompagnant mes paroles d’un geste la poussant vers l’avant :

— Prends-la en main, ma chérie !

Bon sang, qu’est-ce qui m’arrivait ? Qu’est-ce qui me poussait ainsi à désirer voir ma femme caresser la bite d’un autre homme ? A cette seule idée, mon sexe avait pris une vigueur incroyable ! Comme au ralenti, j’ai alors vu la main de ma chérie s’avancer vers la tige de chair tendue. Mon coeur s’est mis à battre très fort quand ses doigts se sont repliés dessus.

Elle a étreint la grosse queue, d’abord avec hésitation. Le type a grogné de contentement.

— Oh oui, c’est bien, vas-y ! ai-je dit, dans un état second. Super, ma chérie, branle-la bien !
— Qu’elle est grosse et dure ! a ajouté ma femme, dans un souffle.

Elle s’activait maintenant avec plus de vigueur. Ses deux mains, du coup, couraient sur l’incroyable colonne de chair. J’ai reporté un instant mon attention sur le visage de mon épouse. J’ai remarqué alors le trouble profond qui l’habitait : sa respiration était devenue haletante, son regard trouble était rivé sur le magnifique pieu et surtout, ses lèvres, comme entrouvertes, témoignaient de l’envie qu’elle semblait avoir de la sucer.

— Oui, vas-y ! continuait à grogner le type. Ah ! C’est trop bon ! Vas-y !

Excitée par nos encouragements, car moi aussi j’avais ajouté de la voix, elle faisait courir ses doigts à grande vitesse sur l’énorme bite, allant prestement des couilles velues au gland gorgé de sang. Agenouillée maintenant, le visage à la hauteur du gros chibre, la bouche béante, comme prête à l’avaler, elle se déchaînait comme une hystérique sur l’objet de son excitation.

D’un coup de rein, l’homme a porté son gland à l’approche des lèvres luisantes de ma femme. Pendant même un bref instant, il les a effleurées. Par moments, sans interrompre pour autant ses caresses, elle me regardait, le regard vitreux de plaisir et s’écria :

— Qu’elle est grosse ! Qu’elle est bonne !

Régulièrement à présent, l’énorme gland venait à la rencontre de la bouche béante de ma femme, visiblement tentée de happer la bite tendue. J’ai extirpé à mon tour mon sexe, dur comme l’acier. Le spectacle de ma femme agenouillée, le regard extatique qu’elle portait à l’énorme engin, m’excitaient au plus au point. À un moment, elle a tourné son visage vers moi et, comme si elle avait lu mes pensées, elle me demanda :

— Je peux la sucer ?
— Oh oui ! Vas-y, ma chérie, pompe-le !
— Oui, suce-moi, a renchéri le bonhomme.

D’ailleurs, d’un ample mouvement du bassin en avant, il avait poussé d’un coup l’énorme bite contre les lèvres humides de mon épouse. Le coeur battant, j’ai vu alors le gland congestionné entrer dans la bouche gourmande de ma chérie !

Quelle sensation curieuse et troublante que d’observer ainsi sa femme, l’être le plus cher et le plus intime, agenouillée de la sorte devant un autre homme, pratiquant sur lui ce qu’il est convenu d’appeler une pipe ! Quels sentiments étranges et complexes peuvent pousser un mari à offrir de la sorte sa femme à un autre, pour y puiser un intense plaisir ! Car je me régalais à l’observer ainsi, la bouche pleine de la colonne de chair!

Plus rien n’existait maintenant pour elle ! Sans retenue, elle s’efforçait d’enfoncer le plus possible de la belle queue dans sa gorge. Plus rien ne comptait, semblait-il, pour elle, que ce plaisir qu’elle prenait à s’enfoncer profondément la bite gonflée. Sa bouche, maintenant distendue, s’efforçait d’en avaler le plus possible, dans un bruit de succion de plus en plus sonore.

Tout en me masturbant frénétiquement, je l’encourageai de la voix.

— Oui, ma chérie ! Régale-toi bien ! Mange-la toute ! Suce-la profond ! Lèche- lui les couilles !
— Quelle pompeuse, renchérit le bonhomme.

Il avait empoigné ses seins, maintenant, et les tripotait doucement.

Je m’apprêtai à lui caresser les fesses, quand un bruit sourd de porte a claqué.

— Quelqu’un arrive ! a dit ma femme, en se relevant tout d’un coup, affolée.
— Venez ! a dit l’homme, la prenant par la main.

Tenant son pantalon de l’autre, il nous a poussés vers les WC et a fermé la porte derrière nous. C’était de vastes toilettes, comme on les conçoit actuellement, prévues pour handicapés. Il y avait une barre d’appui le long du mur. Notre homme y a calé ses fesses et, comme naturellement, ma femme s’est accroupie à hauteur de sa grosse queue.

Pendant que les bruits de pas se rapprochaient dans le couloir, nous avons tous retenu notre souffle. Quelqu’un est entré aux toilettes pour hommes et nous l’avons entendu uriner longuement. Ça a été comme une courte parenthèse car, dès que nous l’entendîmes sortir, ma femme, comme une affamée, s’attaqua à la tige de chair.

Il avait maintenant relevé son pull de soie et avait mis à l’air ses seins gonflés. Il caressait ses tétons dressés. À mon tour, j’ai éprouvé le besoin de la toucher. J’ai glissé ma main sous sa jupe retroussée, jusqu’à sa chatte brûlante. J’ai passé mes doigts sous le léger tissu de sa culotte. Sa fente était gluante de mouille. Ma caresse a dû multiplier ses sensations, car visiblement elle se déchaînait à présent comme une folle sur le gros truc tendu.

Moi aussi, je m’enflammai, du coup. Je criai presque :

— Suce-le bien, ma salope, tu aimes, hein, les grosses queues !

Et je la branlai frénétiquement.

— Bouffe-lui ses couilles !

Elle m’écouta, elle suça, elle pompa, elle avala les grosses boules velues.
Elle s’interrompait par moment pour me souffler :

— Qu’elle est bonne ! Qu’elle est grosse !

J’ai eu tout d’un coup envie de la baiser. Je me suis placé derrière elle et je l’ai prise par les hanches.
J’ai retroussé sa jupe, j’ai fait glisser sa culotte, puis me suis enfoncé sans résistance dans son petit con baveux. Bon sang comme c’était bon ! Elle était trempée ! Je me déchaînai, je la pilonnai sans ménagement. Ça m’excitait de la voir prise par ses deux bouches.

— Remonte-bien sa jupe, que je puisse mater son cul, a dit notre complice.

Curieuse requête que de solliciter d’un mari l’exhibition du derrière de sa femme ! Pourtant, sans hésiter, je la remontai très haut, pour bien découvrir le somptueux postérieur. Complaisamment, ma femme, d’ailleurs, se cambrait un peu plus.

— Quel beau cul ! s’est exclamé notre ami.

Il s’est penché en avant et a caressé les fesses rebondies. Ses mains malaxaient les globes avec une grande douceur. Moi, de mon coté, de plus en plus enflammé, je m’enfonçai de plus en plus profondément dans la chatte douce et chaude de ma garce de femme.

Elle avait maintenant cessé de sucer, tant je la secouais, accrochée simplement à l’énorme pieu de ses deux mains, le visage plaqué contre son bas-ventre. Elle geignait de plus en plus fortement. À un moment, il s’est penché plus avant et, d’une ample caresse, il a écarté les deux globes de ses fesses pour glisser un doigt fureteur sur la petite rosette brune de ma femme. Bon sang ! Nous ne nous contrôlions plus. Nous haletions tous les trois comme des forcenés.

Mon épouse, s’abandonnait sans retenue maintenant à ce doigt qui fouillait sa rondelle, et à mon chibre en feu qui s’enfonçait au plus loin qu’il pouvait. Plus rien ne comptait plus que cette frénésie de plaisir qui nous submergeait !

Qu’elle était bonne à baiser, ma petite femme chérie, tant sa chatte douce et baveuse m’enflammait de sensations merveilleuses ! Je m’insérais avec tant de plaisir dans sa chatte coulante de mouille !
Soudain, le gars s’est redressé, puis a porté la main à sa poche. Il en a extrait un préservatif de taille visiblement XXL, puis l’a enfilé sur sa bite de cheval. Avec autorité, il a ajouté :

— Passe-la moi, maintenant.

Et il s’est porté à ma hauteur, la bite dressée, avec l’intention visible de prendre ma place. Docilement alors, je me suis retiré, un peu à contre-coeur, de l’endroit tout chaud. Il a pris ma femme par les hanches. J’ai eu peur, du coup : n’allait-il pas la déchirer ? Comment un engin pareil allait-il pouvoir entrer dans sa petite chatte juteuse ? Ca ne semblait pourtant pas être une inquiétude pour ma chérie. Au contraire, même : il me sembla qu’elle s’était cambrée davantage, pour accueillir plus aisément l’énorme biroute ! J’ai alors vu avec trouble l’engin écarter les lèvres gonflées du minou de ma cochonne d’épouse. J’ai failli crier !

— C’est pas possible ! Tu vas la déchirer !

Mais en même temps, je regardais avec fascination la lente mais certaine progression de la grosse queue dans l’étroit fourreau de ma chérie. Sa chatte gourmande s’offrait sans remord à la pénétration monstrueuse ! Elle hurlait sans retenue maintenant.

— Oh oui, c’est bon, trop bon !
— Tu aimes, mon amour ?
— Oui !!!!!!!!!!!!!!!!

Je n’aurais jamais cru la chose possible : il la fourrait avec une facilité surprenante !
Son vagin élastique acceptait sans difficulté l’étonnante pénétration. Ses mains crispées sur les hanches voluptueuses de mon épouse, il s’enfonçait pratiquement tout entier. De mon côté, à voir ma femme ainsi baisée, à l’entendre ainsi hurler son plaisir, je prenais un pied fou. Je me branlais comme un forcené.
J’encourageai notre homme de la voix.

— Vas-y, baise-la bien ! Défonce-la!

Je stimulai ma femme aussi, la traitant de salope, de chienne.

— Tu aimes, hein, ma cochonne ! Elle est bonne, sa queue ! Tu te régales !

Je me délectais à observer ainsi l’étonnante colonne de chair coulisser lentement, s’enfonçant d’abord, puis ressurgissant d’entre les lèvres enflées de sa chatte !

Le pubis du gars, maintenant, claquait régulièrement contre les fesses de mon épouse adorée.
Les cris allaient crescendo. De multiples orgasmes semblaient secouer ma femme. Soudain, l’un d’eux, sans doute terrible, l’a secouée toute entière.

Elle sembla trembler de tout son corps. Elle poussa un cri d’extase, comme une déchirure de tout son être. J’ai essayé de glisser ma bite dans sa bouche, mais au contact seul de ses lèvres, j’éjaculai ! Lui aussi semblait s’être laissé aller à jouir. Agrippé aux hanches charnues, il s’épanchait maintenant à longs jets dans l’intimité de ma femme, heureusement protégée par le préservatif.

Pendant un moment, ils sont restés comme soudés l’un à l’autre, comme pour prolonger le fort plaisir qui les avait unis. Puis, comme au ralenti, j’ai vu le sexe encore gonflé s’extraire doucement, comme avec regret, du ventre de mon épouse.
Les choses ont été très rapides, alors. Qu’est-ce qui nous avait pris ? songeai-je, pendant que ma femme remontait sa culotte et remettait de l’ordre dans sa tenue. Je la sentais maintenant honteuse, de son côté.

Le gars a essayé de nous retenir encore, nous invitant à passer boire un verre chez lui.

Visiblement, il aurait bien voulu prolonger la rencontre. D’ailleurs, pendant que ma femme se rhabillait, ses mains ne cessaient de la peloter, comme pour un dernier contact. Nous avons refusé.

Aussi, après l’avoir salué, nous nous sommes enfuis, un peu comme des voleurs.

Je n’en ai pas voulu à ma femme. Au contraire, même : cette expérience a ravivé notre sexualité. Il me suffit de songer à ces moments pour qu’un désir profond s’empare de moi.
De son coté, elle aime, depuis, s’entendre traiter de chatte à grosses bites. Je lui ai offert un gode énorme, copie conforme d’une bite de Black. J’adore le lui enfoncer!
Je ne vous dis pas nos jeux !

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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