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Carine et son peintre 3/3

Carine et son peintre 3/3



Cette nuit, j’ai la tête emplie d’images et de sensations toutes plus érotiques les unes que les autres. Je fais des rêves absolument délicieux, si bien que lorsque je me réveille, je n’ai qu’une envie : le revoir et m’offrir à lui.
Quand il sonne chez moi, je me précipite pour le faire entrer. Lui aussi est visiblement très heureux de me retrouver, car tout juste la porte ouverte il me tire à lui et défait la ceinture de ma robe de nuit. Il me sourit en lançant un regard vicieux en me découvrant entièrement nu en dessous. Sans hésiter un instant, une de ses mains se pose sur ma poitrine qu’il masse fermement tandis que l’autre va sur mon pubis où, après quelques caresses fermes et appuyées, un doigt s’enfonce en entier dans ma chatte.

— Mais c’est que t’es chaude ma salope ce matin.

Il s’agenouille devant moi, soulève ma jambe gauche qu’il pose sur son épaule. J’ai un frisson quand je sens un crachat s’écraser à l’entrée de ma chatte vite suivie par un soupir quand je sens sa langue écarter mes lèvres et me pénétrer. Cela fait à peine une minute qu’il est là et le voilà déjà en train de me faire un cunnilingus. Et j’adore ça. Ce salaud est décidément très doué avec sa langue. J’ai honte de le reconnaître, mais ce n’est pas mon mari qui serait capable de me donner de tels plaisirs.
Alors qu’il me lèche, ses mains se posent sur mes fesses qu’il masse, palpe et écarte. Bien vite, ses doigts se dirigent vers l’entrée de mon anus. Ils appuient sur mon œillet, cherchent à en forcer l’entrée. Je prends tellement de plaisir à sentir sa langue me fouiller que mon corps est complètement relâché et qu’il ne lui faut pas longtemps avant de parvenir à ses fins. Comme cette intrusion reste nouvelle pour moi, il y va cependant doucement, s’arrêtant à la moindre de mes crispations.
Après plusieurs minutes de délice, je finis par être emporté par un orgasme. Je jouis bruyamment, mes mains enfoncées dans ses cheveux pour qu’il continue. Ma jouissance passée, sa langue abandonne ma chatte pour venir plonger dans ma bouche. J’ai le goût de ma mouille dans ma bouche et au lieu d’être dégoûté, cela m’excite et je l’embrasse avec avidité.
Lorsque nos bouches se séparent enfin, je m’attends à ce qu’il me prenne là debout dans l’entrée, mais comme hier il me conduit dans la salle de bains, sous la douche.

— Cambre-toi, salope, je vais m’occuper de ta chatte, mais t’en fais pas, ton cul y aura aussi droit.
— Je suis tout à toi.

D’une main dans le dos, il me force à me cambrer davantage tandis que de l’autre il guide son sexe à l’entrée de ma chatte.

— Une journée à te faire ramoner le cul et tu as déjà oublié ton cocu de mari. T’es vraiment une belle salope.

Je n’ai pas le temps de lui répondre, il me pénètre d’un coup sec de toutes ses forces pour ensuite me prendre comme un dément. La douceur des préliminaires à laisser la place à un véritable a****l en rut. Je crie de douleur plus que de plaisir, mais il s’en moque, il prend son plaisir sans se soucier de moi. Il n’arrête pas de me lancer des insultes obscènes, ses deux mains serrées sur mes épaules pour me maintenir immobile et pouvoir me la mettre à fond. Après m’avoir longuement pris de dos, il me retourne et je me retrouve en un éclair le dos plaqué contre le mur, ses mains enfoncées dans ma poitrine, les jambes autour de sa taille. Il me pilonne de toutes ses forces en me dévorant du regard, j’en ai du mal à respirer.
Cet homme est fou et moi complètement démente d’éprouver du plaisir à me faire prendre ainsi. Le plaisir se mêle bientôt à la douleur pour bientôt envelopper tout mon être. Il ne lui faut que quelques minutes avant de parvenir à me faire hurler.

Mon orgasme passé, il sort sa queue de ma chatte, me retourne de nouveau, et la présente à l’entrée de mon cul. J’ai peur qu’il me prenne comme il vient de le faire et me déchire, mais il semble rassasier et il y va très tendrement. Le contraste est saisissant, il est à nouveau à mon écoute et celui de mon corps. Il me sodomise avec la même douceur et lenteur que la veille lorsqu’il a pris ma virginité anale. Contrairement à hier, j’éprouve rapidement du plaisir à ce qu’il me fait, d’autant plus que ses mains ne se referment plus sur moi pour me soumettre ou me fesser, mais pour me prodiguer de délicieuses caresses sur tout le corps.
Nous sommes en train de nous embrasser presque amoureusement quand je sens ma jouissance monter. Je gémis bruyamment, nos langues toujours entremêlées. Mon corps est parcouru de tremblements délicieux. Quand je me calme enfin, il me relâche et abandonne mes fesses. Je reste quelques instants immobile pour reprendre mes esprits. Je roule par terre et je le vois retirer sa capote pour la jeter au loin.

— Tu sais ce qu’il te reste à faire maintenant ?
— Oui.

Je me redresse pour me placer à genoux devant lui afin d’engloutir son pénis. Je le suce avec intensité en le prenant aussi loin que je peux. J’ai envie de lui donner du plaisir, de le remercier pour ce qu’il m’a fait, pour ces deux façons si différentes de me baiser, mais si jouissives.
Il pose une main sur ma tête.

— Je veux plus, ma salope. Offre-moi le fond de ta gorge, comme hier.

Après plusieurs tentatives où je manque de m’étouffer, je parviens enfin à prendre sa queue en entier. Il pousse un énorme râle de plaisir.
— Oui ! C’est bon ! Continue comme ça, ma salope. Encore, encore, oui.

Les gorges profondes s’enchaînent les unes aux autres sous ses râles de bien-être. Pour ma part, je suis loin d’apprécier ce que je fais, néanmoins je trouve mon plaisir à l’entendre et à voir son visage déformer par le plaisir que je lui donne.

— Ah ! Salope, tu vas me faire jouir !

Je ressens sa main se refermer dans mes cheveux pour m’empêcher de fuir, mais je n’en ai pas l’intention. Je fais simplement quitter son gland à ma gorge pour se sentir chacune de ses éjaculations venir s’écraser sur mon palet. Ce matin encore, la quantité de foutre qu’il me donne est importante. Il m’ordonne d’avaler alors que sa queue toujours dure est encore dans ma bouche, il veut me sentir aspirer. Je lui obéis et le fais hurler un peu plus de bonheur au moment où j’aspire de toutes mes forces pour être certaine qu’aucune goutte de sperme n’est restée dans sa queue.

Tandis qu’il se rhabille, je vais devant le miroir. Je reste troublée par le reflet qu’il me renvoie. Est-ce bien moi cette femme au visage rouge et perlé de sueur, aux yeux pétillants de plaisir ? Oui, et c’est l’homme qui vient se placer derrière moi qui m’a mis dans cet état. Il me sourit. Je le vois fouiller dans ses poches et juste après je sens un contact froid sur mon anus.

— Qu’est-ce que… Ah !

Mon anus encore ouvert après cette longue sodomie n’a pu empêcher cette pénétration. Ce n’est pas son sexe qu’il a mis en moi pourtant, mais un plug.

— Tu vas le garder toute la journée. Je veux que ton cul reste ouvert. Il faut que je te le prépare pour demain.

Encore sa réflexion sur sa sodomie du vendredi. Après ce qu’il m’a mis dans la chatte, j’ai un peu peur de ce qu’il réserve à mon cul.

— Et tu comptes me sodomiser comme tu as fait avec ma chatte tout à l’heure ?
— J’y compte bien. Raison de plus pour toi d’être bien sage et de faire ce que je t’aie dit et de garder ton plug.

Il me quitte en riant après avoir claqué une dernière fois mes fesses. Pour ma part, mon excitation est considérablement retombée. Je m’imagine déjà demain. Il va me déchirer et m’envoyer à l’hôpital. J’ai d’autant plus de mal à me calmer que je suis dérangé par cette sensation entre mes fesses. Je trouve ça très bizarre et c’est encore plus étrange lorsque je me risque à marcher avec. Ce n’est pas possible, je ne vais pas pouvoir passer ma journée avec. Je commence à me saisir de l’anneau extérieur et tire dessus pour le retirer. Mon anus commence à s’ouvrir, mais le tiraillement que cela produit me fait échapper le plug. Je tente de le retirer une fois de plus, mais échoue avant de parvenir à faire passer la forme la plus large. J’essaie encore et encore, soupirant chaque fois que je force mon cul à s’ouvrir. Je manque de réussir à le retirer, mais je suis emporté par un frisson délicieux juste avant. Je m’affaisse sur mon lavabo. En me redressant, je croise mon reflet dans le miroir, un reflet d’une femme ayant du plaisir. Sans m’en rendre vraiment compte, ou plutôt sans oser me l’avouer, je me suis masturbé l’anus et j’ai aimé ça. Je me saisis une fois de plus de la base du plug et je recommence à le faire bouger en moi en fixant mon reflet. À ce petit jeu pervers, il ne me faut pas longtemps pour avoir un orgasme. Mon premier orgasme anal en solitaire. Je suis vraiment devenue une nymphomane.

Finalement, décidée à conserver le plug en moi, je tente de vaquer à mes tâches quotidiennes, mais j’ai vraiment du mal à rester concentrée. Il me faut plus d’une heure pour oser m’asseoir et quand j’y parviens enfin, je dois me relever. Il m’appelle. Je le vois sourire en me voyant arriver. Il s’amuse de ma démarche tout sauf naturelle. Comme hier, il me demande de monter sur l’escabeau. Il veut me lécher, seulement cette fois-ci avant il doit ôter le plug. Contrairement à moi, il n’y va pas de main morte. Il s’en empare et tire d’un coup sec me faisant pousser un cri étouffer. Il a débouché mon cul comme on déboucherait une bouteille de champagne.

— Hum, tu as le cul qui palpite, salope.

Des deux mains, il écarte mes fesses et me lèche l’intérieur du cul avec avidité.
Après cinq minutes particulièrement intenses, tout mon corps frémit. Il me rebouche le cul avec autorité et me renvoie d’une claque sur les fesses.

Le midi, nous mangeons ensemble, chacun à sa place, contrairement à hier. Néanmoins, je n’ai pas de doute sur ce qui m’attend à la fin. Il a placé bien en évidence une capote sur la table.
Lorsque nous avons terminé, il me demande de tout débarrasser, puis il tapote sur la table devant lui.

— Viens t’asseoir ici. J’ai envie de mon dessert.

Je lui obéis. Je me dandine sur la table pour trouver une position qui atténue la sensation du plug.

— Écarte tes cuisses. Encore. Plus que ça. Voilà.

Me voilà qui fais presque le grand écart sur ma table de cuisine, intensifiant les sensations dans mes fesses.

— Cambre-toi en arrière.

Une fois en position, je sens ses mains venir flatter mon pubis, écarter mes lèvres et dévoiler mon clitoris qu’il titille et fait grossir entre ses doigts. Je pousse un petit cri en sentant ses deux pousses s’enfoncer dans ma chatte et l’écarter. Je dois offrir une vue absolument indécente. Je pousse un hoquet de surprise en sentant un crachat épais venir s’écraser à l’intérieur de ma chatte, rapidement suivi par un autre et encore un. Il la transforme en véritable crachoir. Je sens sa salive couler.

— Une vraie chatte de salope !

Il se jette dessus et me lèche goulûment, mordille mes lèvres et mon clito. Je ne suis bientôt plus que gémissement et soupir de plaisir.
Il finit par abandonner ma chatte pour se déshabiller et couvrir son sexe déjà bandé avec une capote.

— Allonge-toi.

Il frotte son sexe dressé à l’entrée du mien. Il cherche à m’exciter en me frustrant. Puis, quand je sens son gland tenter de me pénétrer, la pression sur mon corps me fait paniquer.

— Attends, retire le plug.
— Non.

D’un coup de reins puissant, il force l’entrée de ma chatte. Sous mes cris de douleurs, il force encore et toujours son passage.

— Tu vois, c’est rentré facilement, salope.

Il sort de moi entièrement pour mieux replonger, m’arrachant un cri à chaque fois. Il me donne de puissants coups de boutoir qui vont vibrer toute la table et balancer mes seins. Il pousse des râles de bûcheron à chacun de ses assauts. La sensation dans ma chatte et dans mon cul est absolument terrible, je le sens en moi comme jamais.

— J’adore voir ta grosse poitrine se balancer. Ton mari est vraiment un abruti de cocu. Une femme comme toi, je la défoncerais tellement le week-end qu’elle serait incapable de me tromper durant la semaine.

Il se jette sur ma poitrine qu’il mord ou lèche suivant ses envies tout en accélérant le rythme de ses coups de reins. Il me pilonne comme un fou, ma chatte est brûlante et dégouline autour de sa queue. Ce salaud me fait perdre une fois de plus mes moyens. Je deviens comme folle.

— Oui, oui, baise-moi. Je suis ta salope. Défonce-moi, je ne veux pas pouvoir baiser avec mon mari quand il reviendra.
— Sale chienne.

Il se redresse et fouette mes seins avec de grandes gifles puis il glisse ses mains sous ma poitrine et se lance dans un tringlage en règle. Il ressort entièrement son sexe pour me poignarder avec force. Il me lime comme un fou au rythme d’un marteau-piqueur. La table grince et se déplace dans la cuisine, ma poitrine tourbillonne dans tous les sens. Après un coup de reins magistral, il sort de moi et me retourne sur le ventre pour replonger en moi et me prendre de ce rythme toujours aussi sauvage.
Lorsqu’il m’abandonne une fois de plus, je suis haletante.

— Viens me baiser, salope.

Je me retourne et le vois assis sur la chaise. Je le rejoins, l’enjambe et m’empale sur sa bite dressée dans un soupir de plaisir. J’adore cette sensation que produit le plug dans mon cul au moment où il me pénètre.

— Allez, bouge, salope. Montre-moi à quel point tu l’aimes ma bite.

Je pose mes mains sur ses épaules et je fais des va-et-vient sur sa queue. Pas assez vite à son goût, car il abat lourdement ses mains sur mes fesses.

— Mieux que ça ! Va plus vite !

J’accélère le rythme autant que je peux. J’ai vite mal aux jambes dans cette position, mais il m’ordonne de continuer.
Ses dents refermées sur un téton, je me fige en le sentant se saisir du plug. Sans le lâcher, il me fesse de sa main libre pour que je reprenne le rythme. Il me claque jusqu’à ce que je lui obéisse alors qu’il joue avec le plug qu’il tire sans pour autant le faire sortir de mon anus.

— Ta première double, t’aimes ça ? Réponds, salope !

Il abat une fois de plus sa main sur moi.

— Oui !

J’ai honte de moi, de ce que je viens d’avouer, pourtant c’est la vérité. J’adore ce qu’il me fait, cette double sensation dans ma chatte et dans mon cul.
Après de longues minutes de cette forme de double, je commence vraiment à fatiguer et lui à avoir du mal à retenir son éjaculation. De ses bras puissants, il me porte jusqu’à la table où il m’allonge pour me défoncer dans un grand final d’anthologie. Il se déchaîne, il me prend comme un dément en m’insultant et le pire c’est que je dis oui à tout ce qu’il dit. Je finis par être emportée par un orgasme terrible qui me fait hurler comme une folle. Ma jouissance n’est pas encore passée quand je le sens sortir de moi. Il bondit sur la table, arrache sa capote et se plante dans ma bouche pour se répandre dans des hurlements.

— Avale ! Avale !

La dose de sperme qu’il m’envoie est copieuse et je manque de m’étouffer alors que j’essaie de tout déglutir. Enivré par le moment, il se saisit de ma tête et force ma gorge pour envoyer sa dernière gicler dans un râle énorme.

— AH ! Salope !

Je reste pantelante sur la table de longues minutes. Quand je reprends enfin mes esprits, il est déjà retourné à son travail. Une fois encore, je reste surpris par ma réaction. Je me sens bien. Malgré l’intensité et la rudesse du moment que nous avons partagé, j’ai aimé cela.

Le reste de l’après-midi est calme. Il ne me rappelle pas pour me lécher les fesses. En fin de journée par contre, nous partageons une fois de plus une douche. Après l’avoir savonné de la tête aux pieds, c’est à son tour de s’occuper de moi. Avant, il retire le plug et s’enfonce délicatement en moi. Il me lave fiché en moi, sans jamais sortir, me levant les jambes à tour de rôle pour les savonner, stimulant différemment ainsi mon anus. Puis, il m’abandonne et replace le plug. Il s’amuse à me laisser frustrée en me promettant une fois de plus une sodomie mémorable pour le lendemain. Afin que tout se passe bien, il me dit de garder son jouet en moi, même cette nuit.

Ma nuit fut particulièrement agitée. Constamment dérangée et stimulée par le plug, je n’ai eu de cesse d’avoir des rêves érotiques. J’ai rêvé de cette grande sodomie qu’il m’a promise et c’était chaque fois plus intense et bestial. Je me suis réveillée le matin en nage et follement excitée. Après une douche fraîche qui ne suffit pas à me calmer étant donné ce que j’y aie fait les jours passés, je vais l’attendre. Pour lui faire plaisir, je ne porte rien d’autre que mes talons. Ma surprise lui plaît, car je vois son visage s’illuminer quand il rentre. Ces simples yeux qu’il pose sur moi me font bouillir. Il s’avance vers moi avec autorité et je recule jusqu’à me retrouver dos au mur. Il se saisit de mes poignets qu’il tient au-dessus de ma tête avant de me dévisager de son air a****l et de m’embrasser avec passion. Je sens mon cœur s’emballer. Après ce baiser intense, il me force à me retourner et me plaque contre le mur. Il claque mes fesses avant de glisser dans mon sillon pour se saisir du plug.

— Tu as été obéissante ?
— Oui.
— Parfait.

Il se saisit de la basse du plug qu’il tire avant de le relâcher ouvrant et fermant mon anus d’un rythme frénétique. Je pousse de petits couinements. Je suis vraiment devenue très sensible. Je suis au bord d’avoir un petit orgasme quand soudain il arrête tout. Une fois de plus, il me frustre et part travailler.
Pas une seule de toute la matinée il ne m’a appelé. Le seul moment où nous nous sommes revus est le midi. Il a encore partagé sa table avec moi. Avant de repartir travailler, il m’a stimulé comme le matin et m’a laissé de nouveau sur ma faim.

Il est un peu plus de quinze heures quand il m’appelle.

— C’est bon, j’ai fini.

J’accours comme une vraie gamine, heureuse simplement d’entendre sa voix. Pour la première fois depuis qu’il est là, je fais enfin attention à son travail. Il me fait visiter toutes les pièces et je suis forcé de reconnaître qu’il a vraiment bien travaillé. Le prix qu’il demandait au début me semble justifié. Je reste également surprise de voir qu’il a fini à temps vu le temps que j’ai passé entre ses mains.
Alors que je continue à regarder l’enduit sur un mur de pierre, j’ai un frisson au moment où je sens ses mains s’enrouler autour de ma taille.

— Ton mari revient quand ?
— Pas avant vingt heures.
— Bien, parfait. On a tout le reste de l’après-midi pour s’amuser alors.

D’une main, il me serre un peu plus contre lui et de l’autre il me saisit le menton pour faire basculer ma tête en arrière et m’embrasser comme un fou. Nos langues s’emmêlent dans un ballet incendiaire. Un incendie qu’il alimente en faisant glisser la main sur mon ventre vers mon pubis et enfoncer subitement deux doigts au fond de ma chatte. Sans la moindre préparation, juste grâce à l’excitation du moment, je suis déjà trempé et je l’accepte avec facilité et aussitôt il me pistonne à un rythme soutenu. Je ne tarde pas à jouir dans sa bouche. Ma jouissance passée, il retire ses doigts de ma chatte pour me les donner à lécher.

— Goûte à ta mouille de chienne en chaleur.

Je les lèche consciencieusement en lui lançant un regard le plus vicieux possible, puis je les suce à tour de rôle comme je sucerais sa bite. Lui aussi est particulièrement excité, je sens son sexe se redresser contre mes fesses. Une érection qu’il me montre en prenant l’une de mes mains pour la guidant vers son entrejambe. J’ouvre sa braguette et fouille dans son caleçon pour faire jaillir sa queue dressée. Je la serre entre mes doigts et je la branle énergiquement.

— Emmène-moi dans ta chambre. Je veux te baiser, défoncer ton cul dans ton lit conjugal. Je veux que chaque fois que tu t’y coucheras, chaque fois que tu seras avec ton cocu de mari, tu penses à moi et pas à lui.

Sans aucune hésitation, je le guide jusqu’à notre chambre en le tenant par la queue. Je me jette sur le grand lit et me roule sur le dos. Je lève les jambes au ciel avant de les écarter tout en glissant mes mains vers ma chatte pour écarter mes lèvres.

— Je suis à toi.

Il me dévore du regard. Ses vêtements disparaissent en un clin de l’œil et il se retrouve nu à se branler, les yeux fixés sur mon intimité.

— Je vais te défoncer le cul comme jamais. Tu t’en rappelleras toute ta vie de cette sodomie.
— J’y compte bien ! Mais pourquoi te contenter de mon cul quand je te suis tout offerte ? Utilise aussi ma chatte et ma bouche.
— Salope !

Il s’avance, saisit mes chevilles et écarte un peu plus mes jambes et présente son sexe dressé à l’entrée de ma chatte. Il me fixe du regard avant de me pénétrer. Il s’enfonce lentement en moi, me faisant ressentir sa queue libre. Il n’a pas mis de préservatif ce que je lui fais immédiatement remarquer.

— Je sais, salope, mais je voulais savourer la sensation de ta chatte quelques instants et puis je n’en ai pas besoin pour ce que j’ai en tête au début.

Je le laisse donc coulisser en moi. Il rentre et sort entièrement. Je savoure moi aussi la sensation de son sexe. C’est tellement bon de ne pas être séparé par un préservatif.
Enfin, il me relâche et me fait pivoter pour que je me retrouve la tête pendante hors du lit devant sa bite luisante de mouille. Il se saisit de nouveau de mes chevilles avant de fléchir les jambes et de présenter son sexe devant ma bouche que j’ouvre en grand. Dans cette position, ma gorge lui est grande ouverte et il ne se prive pas de la visiter. J’ai des haut-le-cœur, je manque à plusieurs reprises de m’étouffer, mais je le laisse faire. Rapidement, ses mains glissent le long de mes jambes, s’attardent un moment sur mes cuisses avant de se poser sur ma chatte. Il la fouille avec avidité, libère mon clitoris qui grossit entre ses doigts. Il se penche sur moi et tout en continuant à me baiser la bouche, il aspire et lèche ma chatte. Il la fouille avec intensité. Le rythme de ses coups de reins diminue pour finalement s’arrêter et c’est moi qui prends le relais. Je le suce aussi bien que je le peux, l’avale aussi profondément que possible et le garde jusqu’à étouffer. Ce soixante neuf est absolument délicieux pour tous les deux.
Finalement, nous nous séparons enfin. J’ai chaud, je sens que j’ai le rouge aux joues après l’avoir sucé dans cette position. Lui aussi est rouge. Il se penche vers moi, redresse ma tête d’une main et m’embrasse. Nous mélangeons le goût de nos deux sexes.
Après ce baiser particulièrement agréable, il s’allonge sur le lit et enfile un préservatif.

— Vas-y, achève de cocufier ton mari.

Sans hésitation, et je dirais même avec beaucoup de plaisir, j’achève les cornes de mon mari en me saisissant de son sexe dressé que je présente à l’entrée de ma chatte. Je le regarde droit dans les yeux avant de me laisser retomber de tout mon poids sur lui. Nous poussons un râle commun. Je me redresse jusqu’à faire presque ressortir sa queue de moi et je me laisse de nouveau retomber. Je répète l’opération une dizaine de fois avec toujours le même effet pour nous deux.
Entièrement fiché en moi, j’ondule sur lui, je dessine des cercles avec mon bassin ce qui le fait gémir de bonheur. J’arrête et recommence comme au début avant cette fois-ci d’enchaîner par des va-et-vient aussi rapides que possible comme il l’aime, comme j’aime moi aussi désormais.
Après plusieurs minutes à me laisser diriger les opérations, il se redresse et nous fait basculer pour se retrouver au-dessus de moi. Il tend mes bras au-dessus de ma tête, me lance un sourire vainqueur et se lance dans un pilonnage intensif qui me fait hurler. Ce pervers en profite pour me cracher dans la bouche avant de m’embrasser goulûment.
Nous changeons de nouveau de position. D’une main autour de la taille, il me fait retourner et je me place à quatre pattes pour recevoir de nouveau ses assauts. L’une de ses mains glisse dans mes cheveux qu’il regroupe pour former une sorte de rêne tandis que de l’autre il appuie sur mon dos pour creuser mes reins. Il me chevauche à grands coups de bite, la pièce est emplie de claquements de mes fesses contre lui. Je ne suis plus que gémissement. Ce salaud m’ouvre en deux et j’aime ça, j’adore ça. Un coup de reins particulièrement puissant fait subitement éclater mes barrières. Je jouis comme une folle, je m’arrache la gorge dans un cri terrible. Mon corps est parcouru de spasmes et je m’effondre sur le lit, la tête maintenue relevée par sa main toujours dans mes cheveux. Le corps encore agité de spasmes, il me retourne et monte au-dessus de moi. Ses jambes appuient sur mes bras et il me maintient toujours par les cheveux pendant qu’il se masturbe comme un fou à quelques centimètres de mon visage.

— Je vais te repeindre le visage à grandes giclées de sperme.

Je comprends mieux sa position, il m’empêche complètement d’échapper à ce déluge de sperme. Incapable de ne rien faire pour l’en empêcher, j’ouvre la bouche au maximum pour en récupérer autant que possible. Il me lance un sourire vicieux. Moi qui au début de la semaine n’avais jamais avalé de sperme je fais tout pour recevoir cette nouvelle giclée. Cependant, il compte bien souiller mon visage. Dans un râle terrible, il explose. J’ai tout juste le temps de fermer les yeux quand la première giclée s’abat sur moi, j’en ai plein les paupières, je ne peux que ressentir les giclées suivantes. Il zèbre mon visage de foutre, seules quelques ridicules gouttes tombent dans ma bouche.

— Ah, voilà ! Maintenant la touche finale.

Je me demande ce qu’il me réserve encore quand je sens soudain son gland se poser sur ma joue. Il se sert de sa queue comme d’un pinceau pour étaler son foutre. Je ne peux m’empêcher de rire en imaginant la scène. Quand il arrête enfin, je sens que tout mon visage est recouvert de sperme.

— Voilà, tu es magnifique comme ça.
— Tu es un vrai pervers.
— Et toi une vraie salope pour ne pas m’avoir demandé une seule fois d’arrêter.
— Peut-être. Bon, tu me libères que je puisse aller me nettoyer.
— Te nettoyer, pour quoi faire ? Je te l’ai dit, tu es magnifique avec mon sperme sur toi. Tiens, regarde.

J’hésite un long moment avant d’oser ouvrir les yeux. Je reste figée lorsque je vois l’image devant moi. Il tient, un portable, mon portable, sur lequel s’affiche le visage d’une femme couverte de sperme et qui sourit. Et cette femme, c’est moi, une femme qui lundi encore était sans histoire et qui aujourd’hui est devenu une nymphomane dépravée., une nymphomane qui ne regrette pourtant rien.
Toujours avec ce même sourire de mâle dominateur, il repose mon portable sur la table de chevet, à côté de ma photo de mariage.
Il me libère enfin et roule sur le lit. Au lieu de me sauver pour aller me débarbouiller, je reste avec lui. Après plusieurs minutes pour reprendre notre souffle et récupérer, je m’assois sur lui et caresse son torse. Pendant que je m’occupe de lui, ses deux mains se posent sur fesses qu’il palpe avec fermeté. Je pousse un léger soupir quand il tire sur le plug élargissant mon anus au maximum avant de le relâcher. Il répète l’opération pendant de longues et délicieuses minutes tandis que de sa main libre il joue avec mes seins.

— Tu es prête à te faire ouvrir le cul comme jamais ma belle ?
— Hum, oui.
— Alors, suce-moi. Fais-moi bander bien dur.

Je me recule et glisse entre ses jambes. Je lui lance un regard vicieux en posant ma langue sur ses bourses avant de remonter le long de sa hampe pour titiller le bout de son gland. Je le lèche sur toute sa longueur, faisant doucement reprendre vie à sa queue. Je le branle alors, alternant entre rythme lent et rapide, jouant avec ma langue sur son gland. Je finis par le garder en bouche avant de le fixer dans les yeux et de l’avaler centimètre par centimètre sans jamais m’arrêter, sentant les larmes monter au passage de ma gorge, pour enfin poser mes lèvres sur son pubis. Il pousse un soupir de bien-être.

— Putain ! Tu t’es vraiment amélioré.

Je recrache sa bite que je masturbe doucement.

— Tu n’as encore rien vu.

Je le reprends en bouche, je le suce avec avidité, enivrée par cette énorme bite qui me remplit et m’étouffe. Moi qui n’aimais pas sucer un homme, je suis désormais devenue accro, accro à sa bite qui m’a donné tant de plaisir, fait découvrir un monde nouveau toute cette semaine. Mon beau peintre est aux anges, il n’arrête pas de râler. Il veut pourtant encore plus et ses mains se posent dans mes cheveux. C’est lui qui prend désormais les commandes de cette fellation qui n’en devient vite plus une. Il me baise la bouche comme un dément. J’ai mal, j’étouffe, mais j’adore pourtant ça. Il finit par aller à un rythme frénétique, il va me tuer. Dans un râle furieux, il finit par me relâcher et me repousse au loin. Je m’effondre sur le lit, haletante et à bout de souffle. Je me laisse manipuler comme un pantin. Il me retourne sur le ventre et positionne mes bras dans le dos. Je suis incapable de réagir quand il les attache ensemble avec la ceinture de ma robe de chambre. Toujours avec cette même autorité, il me soulève pour me placer à quatre pattes au milieu du lit. Je pousse un cri strident au moment où il arrache littéralement le plug de mon cul. Je n’ai pas le temps de me remettre que je sens déjà sa bite venir se présenter pour prendre la place. J’ai peur de ce qu’il va me faire en le sentant excité à ce point. Heureusement, il s’enfonce en moi aussi doucement et délicatement que les autres fois. Pendant plus d’une minute, il coulisse lentement dans mon anus avant de se figer entièrement enfoncé.

— Tu es prête ? Tu es prête pour la sodomie dont tu te souviendras toute ta vie ?
— Oui.

Il change légèrement de position et se redresse afin de poser un pied sur mon visage encore souillé pour me soumettre un peu plus à lui. Une de ses mains me tient par mes liens autour des bras et l’autre est sur ma hanche. Enfin, il retire doucement son sexe de moi, puis, dans un grognement, il replonge en moi de toutes ses forces. Je hurle de douleur. Il se retire et recommence et se plante dans mon cul. Il écartèle mon œillet avec rage, puis quand il estime que le passage est suffisamment fait, il se met à me pilonner comme un dément. Il y va de toutes ses forces à une vitesse impressionnante. Je ne suis plus que cris, j’ai l’anus en feu. Dans cette position soumise, je ne peux rien faire pour me libérer de cette sodomie sauvage.
J’ai un bref moment de répit quand il sort de moi. Il me retourne sur le dos, soulève mes jambes qu’il bascule contre ma poitrine, relevant mes fesses dans lesquels il replonge dans un grognement, me faisant hurler de plus belle. Il me ramone longuement sans baisse de rythme avant de changer encore de position. Je me retrouve les épaules au sol, le dos appuyé contre le lit, les jambes grandes ouvertes qu’il tient pour pouvoir continuer sa sodomie. Ensuite, je me retrouve debout, plaquée contre le mur à me faire clouer à grands coups de bites.

— Je n’en peux plus. Jouis, jouis, je t’en supplie.
— Tu vas encore me supplier longtemps, car je suis loin d’être prêt à te mettre la deuxième couche sur le visage.

Je me retrouve au sol, rampant vainement pour fuir ses assauts toujours furieux.
Après de longues minutes de sodomie, me revoilà à genoux devant le lit, ma poitrine enfoncée dans le matelas, l’un de ses pieds de nouveau sur mon visage. Je suis à bout de souffle, je n’ai plus la force de m’exprimer. Mon anus n’est plus qu’un cratère béant dans lequel il s’enfonce sans plus la moindre résistance.

— Je vais achever de remodeler ton cul à la forme de ma bite.

Il sort entièrement son sexe pour replonger en moi dans un coup de reins titanesque, le plus fort dont il soit capable. Il me pilonne ainsi dans des assauts amples et puissants. Je hurle, non plus de douleur, mais de plaisir, d’un délire sexuel dément.

— Défonce-moi. Éclate-moi le cul !

Les deux mains sur les épaules, il lance ses dernières forces dans la bataille et dans un dernier coup titanesque je pars dans une jouissance terrible qui me fait hurler. Je crie comme une folle, tout mon corps agité de spasmes incontrôlables. Quand je finis enfin par me calmer, je suis KO. Il me retourne comme une poupée et se répand tranquillement sur mon visage comme tout à l’heure avant de s’écrouler à son tour le souffle court.

— C’était magnifique, j’aurais pas cru que tu puisses encaisser comme ça. Je n’ai jamais vu une femme accepter de se faire ouvrir le cul comme toi. T’es pas une vulgaire salope, t’es la reine des salopes. Je vais m’en souvenir longtemps de cette sodomie.

Pour toute réponse, je suis seulement capable de lui sourire. Un sourire béat. Moi aussi je m’en souviendrais longtemps de ce moment, et pas pour la douleur du début, mais bien pour le plaisir terrible que j’y ai pris.
Il me détache enfin et m’aide à m’installer dans le lit me serrant contre lui. Nous nous reposons ainsi une petite heure avant que le désir de me prendre ne lui revienne et qu’il glisse entre mes jambes pour me lécher la chatte et mon cul. Je fonds sous ses coups de langue divins. Ce salaud sait vraiment s’en servir et je ne tarde pas à avoir envie de plus. Quand il abandonne enfin mes cuisses, je le regarde avec des yeux pétillants et je lui parle d’une voix aguicheuse en lui tendant les bras.

— Attache-moi.

Je suis vraiment devenue folle pour pouvoir dire une telle chose.
Je me retrouve à nouveau ligotée, soumise à ses assauts. Il a trouvé la force et l’envie de me prendre encore deux fois. La première fois en mêlant vaginal et anal, la seconde, en ne s’occupant que de mon cul, me donnant des orgasmes toujours aussi délicieux malgré mes orifices complètement ouverts. Il s’est à chaque fois répandu sur mon visage.
Quand il en a fini avec moi, je reste seule sur le lit, incapable du moindre mouvement, repu de sexe, repu de plaisir. Il part se doucher et revient une dizaine de minutes plus tard dans la chambre pour déposer le devis que j’aie payé avec mon corps durant la semaine.

— Si jamais tu as besoin de nouveau d’un peintre, n’hésite pas.

Il me quitte non sans m’avoir donné un dernier baiser passionné, un doigt enfoncé dans ma chatte et dans mon cul.
Une fois parti, il me reste plus qu’à faire disparaître les traces de cette après-midi de débauche. Je reste encore quelques minutes allongée à me reposer quand je réalise avec effroi que je suis toujours ligotée. Je commence à paniquer, mon mari va me retrouver attachée au milieu de notre lit souillé. Je ne sais pas si Léo a oublié intentionnellement et s’il a juste oublié comme moi, mais je n’ai pas le temps d’y penser, il faut que je me libère. Il me faut plus d’une demi-heure avant de parvenir à me défaire de mes liens. Je m’empresse de lancer une machine avec mes draps. En remontant, je suis saisie par l’odeur a****le qui règne dans la chambre. J’ouvre toutes les fenêtres de la maison en grand pour aérer tout en faisant brûler de l’encens dans l’espoir de masquer ce parfum lubrique.

Je suis encore sous la douche quand j’ai entendu mon mari arrivé. Je le retrouve assis sur notre lit que je n’ai pas eu le temps de refaire.

— Qu’est-ce que c’est ?

Mon cœur s’arrête. Ai-je encore du sperme sur le visage ? En a-t-il découvert une trace que je n’avais pas vue dans la chambre ? Je retiens un soupir de soulagement quand je le vois pointer du doigt le devis.

— La facture du peintre.

Il s’en saisit et commence à l’étudier. Moi, je suis à nouveau terrorisée et je n’ai plus d’yeux que pour mon portable sur la table de nuit qu’il a légèrement déplacé en prenant la facture ce qui l’a rallumée, affichant dessus mon visage souillé de sperme.

— Eh bien, voilà, j’aime mieux ça. Tu vois quand tu donnes un peu du tien, on arrive à quelque chose.

« Un peu du mien ». S’il savait comment je suis parvenue à cette facture ! Mais il risque de le savoir, car il va pour la reposer. Par miracle, mon portable se remet en veille au même moment et il ne voit rien. Il se lève et me rejoint pour m’embrasser. J’ai un nouveau moment de doute en me disant qu’il va sentir le goût de mon amant dans ma bouche, que je n’ai pas retiré toutes les traces de spermes sur mon visage, mais non, tout va bien et il va à son tour prendre une douche. J’en profite pour récupérer en toute hâte mon portable et le ranger. Je le range sans pour autant effacer la photo qu’elle contient. Alors que c’est la seule chose raisonnable à faire, je ne parviens pas à m’y résoudre. Une part de moi aime ce que je vois. Cette semaine, cette journée, a vraiment été extraordinaire. Il m’a fait ressentir des choses que je n’aurais jamais imaginées. Quand nous nous sommes embrassés avec mon mari, j’ai trouvé notre échange froid. Une semaine sans se voir et voilà tout ce dont il est capable pour me montrer qu’il m’aime ?
Les autres baisers que nous échangeons durant le week-end ne me font pas plus d’effet et le dimanche matin quand il consent à me faire l’amour, il me laisse terriblement frustrée. Je n’ai pour ainsi dire rien ressenti, tant au niveau physique qu’émotionnel, pourtant lui a l’air satisfait de sa performance.

Quand nous nous séparons le lundi matin, sur le quai de la gare, je le regarde partir sans regret avant de me saisir de mon portable et de rechercher LA photo. Je sens mon corps bouillir en la voyant.
Je crois que je vais de nouveau devoir faire appel à ses talents de peintre.

Pour ne pas tomber dans l’oubli, histoire publiée par tirkhard

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