Chapitre 3
La découverte de papa
Je pense encore et encore à ce moment merveilleux que ma sœur m’a offert. Rien que d’y songer, met mes sens en éveil. Je ne veux pas que cela devienne obsessionnel. Mais, d’ailleurs, comment envisager cette relation ? À brève, moyenne et longue échéance ? Beaucoup de questions et peu de réponses. De nature fataliste, j’ai tendance à me persuader que demain est un autre jour et que nous verrons bien…
Par contre, concernant ma mère, Nicole, je me rappelle très bien de la conversation qu’elle avait eue avec Aude et que cette dernière s’est empressée de me rapporter l’essentiel. Je ne laisse pas maman indifférente puisqu’elle se caresse en pensant à moi. Mon sentiment est partagé… , d’un côté, je suis trop content et fier de savoir que je plais – comme un homme – à maman, mais d’un autre, justement, c’est ma mère… Mais c’est vrai qu’elle est tellement bandante.
Bon, pour l’instant, il n’y a rien à entreprendre. Maman est à sa soirée hebdomadaire qu’elle consacre avec ses amies au profit de la vente paroissiale de notre petite ville.
Je décide donc de me consacrer à mes devoirs ; bien qu’étudiant en sport – je souhaite devenir prof de sport – j’ai néanmoins d’importants travaux à rendre dans les branches dites secondaires. L’anatomie en fait partie et ce n’est pas la plus facile. Donc, cette fin de journée sera studieuse…, ce qui n’est pas le cas de tout le monde.
En effet et Aude me l’a raconté le lendemain matin au réveil, ma sœur encore enivrée du plaisir que nous avions pris l’un avec l’autre, avait encore des envies bien précises, mais elle n’avait pas osé me relancer. C’est quand même troublant, l’acte d’amour entre un frère et une sœur. Ce n’est pas banal. Elle avait donc opté pour un plaisir solitaire. Il faut dire qu’Internet est un pourvoyeur d’images et de vidéos en tous genres, de quoi satisfaire toute personne normalement constituée. Aude, je l’ai su plus tard, avait une préférence pour les parties fines, à trois, voire à quatre. Son côté bisexuel lui permettait de ressentir autant de plaisir et d’envie en regardant un homme et/ou une femme. Elle avait donc opté pour regarder quelques vidéos bien alléchantes dans sa chambre. Vêtue de son seul peignoir de satin, elle pouvait, ainsi, donner libre cours à ses caresses. Elle aime bien se pincer le bout des seins d’une main et se masturber de l’autre…, classique, mais…, diablement efficace.
Alors qu’elle en était déjà à s’introduire un doigt dans la chatte, la jambe droite repliée et posée sur la barre transversale de sa chaise, ce qui facilitait grandement l’opération, Aude n’avait pas senti une présence dans son dos. Seuls, ses gémissements meublaient le silence de sa chambre. Aude est assez tête en l’air et n’avait rien trouvé de mieux que d’oublier de fermer la porte… Et papa est passé par là, par hasard semble-t-il !
Toujours est-il que Daniel, c’est le prénom de mon papa, un bel homme de 51 ans, cheveux noirs parsemés de fils d’argent, encore en très bonne forme, donc Daniel s’était trouvé devant la porte de la chambre d’Aude et, en glissant un regard distrait, comme par habitude, dans cette chambre, fut stoppé dans son élan par cette vision, ô combien excitante de ma sœur en pleine séance de masturbation.
Papa est resté bien quelques minutes à saisir le manège de sa fille chérie, ce qui ne manqua pas de produire un effet – disons – grandissant sur son sexe. Il ne pouvait pas détacher ses yeux, bien que la position d’Aude ne lui offrit aucune visibilité sur la nudité de sa fille. Seul, le mouvement de ses mains et les gémissements d’Aude suffisaient pour rendre cet instant excitant à souhait.
C’est alors que Daniel, n’y tenant plus, se jeta à l’eau. Il entra dans la pièce et vint, sans mot dire, poser ses mains sur les épaules de sa fille. Aude sursauta et, dans une pensée furtive, espéra qu’il s’agisse de mes mains…,et pas celles de son père. Raté…, c’était bien les mains de Daniel qui, constatant la gêne, voire la honte, d’Aude, se montra rassurant :
« Mais ma chérie, ne sois pas gênée, tout le monde se donne du plaisir, maman aussi d’ailleurs et souvent, même !
.. Et moi, je le fais aussi très régulièrement, ne t’inquiète pas !
‒ Oui, papa, merci papa…, mais en général, je suis toute seule pour faire mon petit commerce… !
‒ Et alors ? Je suis ton père, tout de même…, je t’ai déjà vu nue plusieurs fois et, en plus, je sais que tu aimes le sexe…, Maman me l’a raconté… ! »
Qu’avait-elle donc raconté ? Aude, surprise par cette dernière remarque, se surprit à se détendre et de trouver, finalement, que c’était une occasion rêvée pour elle. Du coup, elle se leva de sa chaise, son peignoir ouvert ne cachant rien de son splendide corps de jeune femme.
« Et alors, papa…, qu’en penses-tu, tu es fier de ta fille ?
‒ Si tu veux dire, fier d’avoir réussi, avec l’aide de maman, une superbe jeune fille, alors oui, je suis fier, même très fier… ! », glissa-t-il à Aude en lui déposant un baiser innocent sur le front.
Aude choisit ce moment pour lancer ses bras autour du cou de son papa et en se levant sur la pointe des pieds, fit un gros bisou à son papa, bien appuyé et bien bruyant. La manœuvre visait simplement à frotter sa poitrine sur celle de son père, de façon à provoquer une réaction…, naturelle.
Papa, qui n’était pas né de la dernière pluie, avait bien compris le message.
« Aude, tu es si mignonne que je n’ai pas de mot pour le dire…, mais… !, fit-il sans finir sa phrase, laissant planer le mystère.
‒ Mais quoi…, papa ?
‒ Pas de mot pour le dire, mais une queue pour te le prouver… ! »
Et d’un coup, papa a sorti son engin, laissant Aude pantoise !
« Regarde comme tu me fais bander, ce n’est pas du chiqué… ! »
Aude ne demandait qu’à vérifier… Elle prit soigneusement la bite de papa dans sa main qu’elle referma de plus en plus fort, pour bien jauger de la dureté de ce sexe long et large.
« Mais c’est un roc…,, ce pieu, putain qu’il est dur !
‒ Ne sois pas vulgaire, ma fille…, il mérite mieux !
.. Il faut utiliser ta langue à meilleur escient, Aude… ! »
Le message était, on ne peut plus clair. Aude s’est rapidement retrouvée à genoux, devant le sexe de son père. Elle entrouvrit doucement les lèvres, laissa sortir la pointe de sa langue qu’elle promenait sur le bout du gland, à l’orée de l’urètre. Puis, ouvrant sa bouche, elle goba le sexe de mon père qui n’en demandait pas mieux. D’ailleurs, Daniel, avec ses deux mains, appuyait derrière la tête d’Aude pour l’encourager à lui prodiguer une fellation bien rythmée.
Aude, qui je le rappelle, n’en était pas à sa première sucette, ne se fit pas prier. Ne pouvant, dans ces conditions, pas joindre le geste à la parole, elle se contenta du geste…, ce qui suffisait visiblement à papa. À force de se faire engloutir la queue dans la gorge de sa fille, Daniel commençait à ne plus pouvoir contrôler la montée de son plaisir. Ne voulant pas jouer au père indigne…, il se retira prestement de la bouche d’Aude, l’aida à se relever et l’embrassa à pleine bouche, pour lui montrer, aussi, qu’il souhaitait tout partager avec sa fille. Ce baiser, non pas d’un père à sa fille, mais d’un amant attentionné à sa maîtresse excita Aude au plus haut point. Elle se caressait d’ailleurs la chatte et ses petits râles attirèrent immédiatement l’attention de mon père.
Ni une ni deux, il souleva Aude, la porta dans ses bras jusque sur son lit et là, après l’avoir couchée sur le dos, plaça son visage entre les cuisses de sa fille qui se laissât faire, appréciant, à chaque instant, cette présence masculine étrangement familière, mais totalement inédite malgré tout. Daniel se mit à lécher généreusement le minou d’Aude d’où s’échappait son liquide d’amour. Elle n’en pouvait plus ; cette situation l’excitait au plus haut point. Elle n’avait jamais ressenti pareille envie. Elle se laissait totalement aller. Prenant délicatement son clito entre ses lèvres, Daniel jouait une participation aux rythmes variés et aux enchaînements harmonieux. Ses mains venaient en complément de ses attouchements buccaux et il finit par introduire trois doigts dans la chatte de sa fille, puis un autre dans son petit trou. La conjugaison de toutes ces attentions déclencha rapidement un orgasme violent et intense qui fit qu’Aude produisait encore plus de son jus et en inondait le visage de son père.
Une fois remise de ses émotions, Aude se redressa et embrassa son père, avec autant de douceur que de fougue. Daniel aimait sentir cette langue agile et chaude, recherchant à entamer une danse bien savante avec la sienne. Après quelques secondes, Aude s’écria :
« Papa, prends-moi, s’il te plaît ! »
Son papa ne se fit pas prier. Il se coucha sur sa fille et, de manière très classique, pénétra Aude, avec douceur et conviction. Leurs bassins réglèrent leur rythme de manière parfaitement synchronisée et, très rapidement, il faut dire que papa était dans un tel état d’excitation qu’il ne pouvait en être autrement, Daniel éjacula à l’intérieur du vagin de sa fille, qui, à son tour, jouit une nouvelle fois en sentant la liqueur chaude frapper ses parois vaginales.
« Oh merde, tu prends la pilule au moins ?, s’inquiéta Daniel.
‒ Papa, bien sûr…, tu sais très bien que tu n’es pas le premier homme de ma vie… ! »
Il fut soulagé comme jamais et cette crainte ressentie précédemment lui a fait oublier qu’il venait de baiser sa propre fille. Déjà qu’il en faisait un fantasme, il ne se culpabilisait pas au vu du comportement et de l’envie manifestée par sa fille. Une seule chose maintenant l’inquiétait encore…
« Comment va-t-on faire maintenant, ma chérie ? Et maman, tu ne lui diras rien, hein ?
‒ Papa, ne complique pas tout inutilement, aujourd’hui, tu as saisi ta chance, moi aussi !
.. C’était très bien, demain, nous verrons bien… !
.. Et si nous n’arrivons pas à nos fins, tu as toujours maman pour te satisfaire… !
.. Quant à moi, je te jure que j’ai tout ce qu’il me faut… !
‒ Tu as raison, ne nous prenons pas la tête, demain est un autre jour… ! »
A suivre
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