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Le jeu…

Le jeu…



Beaucoup d’invités à l’anniversaire des jumeaux étaient rentrés chez eux. Nous n’étions plus que huit, les irréductibles. « La bande », fatiguée, mais décidée de profiter jusqu’au bout.

Il restait outre Justin et Justine, les jumeaux, qui célébrait leurs vingt ans :

Thomas le petit ami de Justine
Cloé la copine de Justin
Clotilde, la meilleure amie de Justine, avec son copain Théo
Jenny la lesbienne,

Et bien sûr moi Emma, dix neuf ans, cousine des deux jumeaux.

Sans être saouls, l’alcool ingurgité tout au long de la soirée nous avait désinhiber. Au point que les barrières étaient tombées, tout nous semblait drôle, et nous étions prêts à répondre a n’importe quel défi pour amuser la galerie. Ce qui explique probablement pourquoi, quand Clotilde a suggéré de finir la fête par un jeu, tout le monde s’est enflammé sans même savoir lequel il était.

– Par contre, le jeu est exclusivement réservé aux filles, nous a t’elle seulement dit.

Avant de rajouter :

– Mais je pense que les garçons vont adorer même s’ils ne jouent pas.

Tout le monde s’est mis à rire quand Clotilde, après avoir farfouillé dans les cadeaux des jumeaux rassemblés sur une table, reviens vers nous en brandissant un œuf vibrant et sa télécommande à distance. L’un des nombreux gags qui leur a été offert.

Devant une assemblée hilare, d’abord « chambreuse », puis attentive, car désireuse de savoir ou elle voulait en venir, Clotilde nous a expliqué son jeu :

« Une des filles tirée au sort va s’insérer le sextoy. La télécommande sera tenue par une autre joueuse et elle devra trouver qui la manipule. Il y a huit intensités possibles, le jeu commence au niveau deux. Celle qui a l’œuf « au chaud » aura trente secondes pour désigner celle qui tient le boitier et se fera remplacer par elle. À chaque erreur sur la personne, les vibrations augmentent de deux points. À la troisième mauvaise réponse d’affilée, elle sera perdante et devra résister au vibromasseur en force huit, soit au maximum de son intensité… Jusqu’à ce qu’elle nous gratifie d’un bel orgasme ».

Un gage qui j’en suis sure va nous re-booster !. » Finit-elle en riant

C’est dans l’excitation générale, surtout pour les garçons, une canette de bière à la main, qui avait hâte de voir ce spectacle et le feu d’artifice qui suivra. Mais avec un peu de crainte chez les filles d’avoir à se dévoiler intimement, que Clotilde a préparé « une courte-paille » pour le tirage au sort. Le cœur battant et en croisant les doigts pour ne pas être la « première victime désignée » chaque fille à tirée la sienne… Et bien sûr, c’est moi qui tire la plus courte.

Qu’en je suis revenue parmi eux, après être allée aux toilettes pour glisser le vibromasseur dans ma chatte, j’ai senti les premières vibrations, légères, l’œuf venait d’être mis en fonctionnement.

Tout en m’asseyant sur la chaise à bras qui m’était destiné, j’ai ressenti les premiers picotements dans mon bas-ventre, ma vulve s’humidifier et mes tétons pointer, que tout le monde pouvait deviner car j’étais sans soutien-gorge. J’ai fait comme s’il ne se passait rien en observant le groupe. Dans l’espoir de démasquer celle qui avait le contrôle, par une attitude, en l’amenant à vérifier si le sextoy était bien en position marche. Mais aucune réaction.

Alors que j’étais en pleine réflexion :

 » Ce ne peut être Jenny, se serait trop simple, c’est elle qui leur a offert ce jouet pour « déconner » ni ma cousine, car ils savent que je vais penser a elle en premier, donc il me reste Cloé et Clotilde  »

J’ai entendu Clotilde me dire :

– La partie commence Emma

Au même instant le vibro s’est accéléré, j’ai serré mes cuisses en me pliant légèrement en avant, en écarquillant les yeux et en ouvrant la bouche de surprise.

Trente secondes, c’est court pour réfléchir, mais assez long pour que ma respiration s’accélère et ressentir l’envie de me faire du bien…

Clotilde m’a demandé de donner un premier nom.

Alors j’ai parié sur Cloé.

Aux éclats de rire qui ont suivi ma réponse et aux vibrations qui se sont intensifiées, j’ai compris que j’avais perdu un joker.

Niveau 4 me suis-je dit.

Même si j’étais haletante. C’était encore supportable, mais pour combien de temps ? Je sentais ma culotte s’imprégner de cyprine et se coller à l’enflure de mes lèvres intimes.

j’ai regardé les autres filles, une a une, essayant de voir leurs mains, leur comportement. Mais elles s’étaient donné le mot, toutes avaient les bras derrière le dos, impassibles. Ma délivrance ne viendrait pas de là.

– Les trente secondes sont écoulées me dit Coralie

Alors, faisant confiance à mon intuition du début de jeu, j’ai annoncé :

-Toi Coralie

J’ai senti la vitesse augmenter. J’ai vu les visages hilares des garçons. Niveau six, je venais de perdre le dernier joker.

L’excitation produite par l’engin était forte. Je me suis affalée sur ma chaise en couinant, je me suis senti d’un coup toute trempe. Je me trémoussais sur mon siège la chatte en chaleur qui s’ouvrait toute seule. Tantôt serrant les cuisses, tantôt les relâchant. j’avais mal aux seins à force qu’ils frottent contre mon haut.

Je perdais progressivement pied, la jouissance me gagnait, mon clito pulsait et demandait que l’on s’occupe de lui. En même temps, je perdais ma lucidité, ma faculté à me concentrer et à réfléchir. Trop focalisée sur ce qui se passait en bas, dans ma petite chatte et a cet orgasme qui se construisait entre mes cuisses, à l’intérieur de mon vagin.

Il ne me restait qu’une réponse pour empêcher ma tortionnaire de me faire jouir, là, devant tous mes amis.

J’étais au supplice… Et ce « putain » de vibro n’était pas encore à son maximum. Mais ça n’allait pas tarder, si je ne donnais pas la bonne personne !

– Les trente secondes sont largement dépassées Emma !… Alors ?… Me demanda Coralie

Tout ce qui me restait en tête, et tournait en boucle, c’était ma ligne de conduite qui m’avait fait écarter d’entrée de jeu Jenny et Justine. Et pourtant, c’était fatalement l’une des deux puisque mon raisonnement n’avait pas tenu la distance…

Et maintenant tout allait se jouer sur « un quitte ou double »

Alors comme ma cousine fuyait mon regard…

– Justine ! Articulais-je avec peine…

En face de moi, tout le monde s’est mis à jubiler quand Jenny montrant le boîtier a poussé le curseur…

J’ai saisi les bras de ma chaise à deux mains. Je me suis cabrée, dès que l’œuf s’est emballé dans mes entrailles, au maximum de sa puissance, me clouant sur mon siège en m’arrachant des gémissements incontrôlés. Il me forçait à l’extase. Tout ce que j’ai pu faire, c’est d’ouvrir mes cuisses et de rester là, défaillante, agonisante sous le plaisir et la honte qui me submergeait…

Je suis venue en criant à haute voix, secouée par un violent orgasme, sans me soucier de qui pouvais m’entendre et me regarder.

J’ai joui, longuement, fortement, le corps entier secoué de spasmes…

Tous riaient encore, « chambrais », tandis que pantelante, le souffle court, les yeux hagards, l’œuf continuant à bourdonner dans mon puits à plaisir… Jenny, magnanime, à éteint le contrôle.

Alors que je tentais de reprendre rapidement mes esprits et de me redonner une contenance, le souffle court, les yeux vitreux, la culotte qui n’était plus qu’un chiffon mouillé collé à mes nymphes, les cuisses et ma toison poisseuse ; Jenny est venue à califourchon sur mes genoux, les bras autour du cou, pour me chuchoter à l’oreille :

– Tu me ramènes ?… Si tu dis oui, je te laisserai faire la même chose sur moi pour te venger.

– C’est magique, tu verras !… Lui répondis-je, avant de lui rendre le baiser qu’elle venait de déposer sur mes lèvres…

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