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C’est encore meilleur en famille – Chapitre

C’est encore meilleur en famille – Chapitre



Alors que je reviens de la fac, mon téléphone se met à sonner. Au bout du fil, ma sœur, Aude, est en larmes, elle sanglote. J’ai de la peine à la comprendre, mais sa détresse me paraît bien réelle.

En fin de compte, j’apprends qu’elle vient de rompre avec son petit ami, un sud-américain, beau comme un cœur, mais que j’ai toujours trouvé un peu con sur les bords. Aude est ma sœur jumelle et même si nous ne sommes pas monozygotes, ce qui l’attriste, m’attriste également et vice versa ! Il en va ainsi des émotions que nous pouvons ressentir mutuellement.

Nous sommes très proches l’un de l’autre, depuis notre plus tendre enfance. Nous dormions dans la même chambre jusqu’à l’âge de 15 ans et je me souviens que nos parents trouvaient que cela suffisait. Bien entendu, avec l’âge, nos jeux perdaient un peu d’innocence et notre père, particulièrement, ne voyait pas cela d’un bon œil. Depuis trois ans, nous disposons chacun d’une chambre, ce qui ne nous empêche pas de passer beaucoup de temps l’un avec l’autre.

A 18 ans maintenant, nous nous racontons nos différentes expériences, bonnes et moins bonnes. Et croyez-moi, Aude a beaucoup d’avance sur moi, quand bien même, je n’ai pas à me plaindre. Et je dois dire que je prends beaucoup de plaisir à l’écouter me raconter ses aventures qui, souvent, m’obligent à me soulager ensuite, seul, dans ma chambre. Bien que ma sœur soit super canon, je n’ai jamais pris d’initiative à son égard, même si l’envie est souvent bien présente. Il faut dire qu’Aude est particulièrement bien faite. Mince, mais avec des formes, là où il faut, une jolie coupe de cheveux châtains, un peu à la garçonne et de splendides yeux noisette. Il m’est arrivé, comme tout frère qui se respecte, d’épier ma sœur lorsqu’elle prenait sa douche ou, furtivement, par le trou de la serrure de sa chambre.

« Aude, arrête de sangloter, calme-toi et je verrai ce que je peux faire pour toi !
‒ Sniff, c’est…, sniff…, trop dur…, sniff… !, me glisse-t-elle, entre deux sanglots.
‒ Où es-tu ?
‒ À la maison…, sniff, dans ma chambre…, il n’y a personne pour me consoler…, sniff… !
‒ Attends, j’arrive dans 5 minutes ! »

Et c’est vrai que je n’étais plus qu’à quelques hectomètres de la maison, que j’avalai en courant, pour être le plus rapidement possible vers ma sœur.

Je pousse la porte d’entrée de notre petit pavillon et je monte, quatre à quatre, les marches de l’escalier qui me conduisent à l’étage supérieur, là où se trouvent ma chambre et celle d’Aude. À l’entendre se moucher, j’en déduis que son chagrin n’est pas encore passé et que je vais devoir me montrer prévenant avec elle pour la consoler et la réconforter.

J’entre dans sa chambre plongée dans une légère pénombre que seule la lumière de son bureau transperce. Aude est couchée sur son lit, la tête dans son coussin. Je ne peux pas, cependant, m’empêcher de poser mon regard sur ses deux jambes, nues jusqu’au liseré de sa mini-jupe blanche. Elle est en tenue de tennis et il est vrai que sa jupe met son fessier bien en valeur. Mais, bon, ce n’est pas le moment et dans un instant de lucidité, je me reprends et viens m’asseoir sur le bord du lit. Je lui caresse instinctivement les cheveux, tout en lui faisant part de ma compassion pour elle. Je sais bien que ce n’est pas ainsi que je vais lui remonter le moral, mais c’est toujours douloureux de voir ma sœur si triste.

Au contact de ma main sur ses cheveux, Aude se redresse et finit par s’asseoir à mes côtés.

« T’es chic, Marc, d’être venu si vite, je suis tellement malheureuse… ! »

Alors qu’elle termine sa phrase, deux grosses larmes se mettent à rouler sur ses joues si douces que je m’empresse de stopper avec mon doigt. Mais à force de pleurer, son maquillage rend l’âme, ce qui ne va pas sans lui donner un air de mort-vivant !

« File vite prendre une douche et te refaire une beauté ! Avec tes airs de zombie, on n’arrivera jamais à te remonter le moral ! »

Mes paroles ont au moins le mérite de lui arracher un sourire et de creuser une jolie petite fossette sur sa joue gauche. Elle est trop craquante, ma sœur, quand elle sourit !

« T’as raison, Marc…, je vais me doucher…, mais, tu me consoleras encore, après ?
‒ Bien-sûr, ma petite sœur chérie…, mais pour l’instant, je te laisse… !
‒ Et pourquoi ? Tu m’as déjà vue toute nue quand tu me regardes prendre ma douche ! »

Alors là, je ne m’y attends tellement pas que je me mets à bafouiller n’importe quoi et, non content d’éructer une série de borborygmes, mes joues deviennent cramoisies. Elle m’avait donc démasqué, sans jamais m’en avoir parlé auparavant.

« Ne sois pas si timide, je suis ta sœur, jumelle de surcroît, on a vécu ensemble pendant 9 mois, complètement à poil, faut-il te le rappeler ?
‒ Oui, mais c’était dans le ventre de maman !, répondis-je.
‒ Et alors ? », fait-elle, ironiquement.

La voilà déjà dans le plus simple appareil, devant moi, sans que je n’aie eu le temps d’apprécier véritablement son déshabillage. Face à elle, je ne peux m’empêcher de la détailler du regard. En commençant par sa poitrine, surmontée de deux seins petits et mignons, comme pour souligner que sa transformation en femme n’est pas totalement achevée ; mon regard se pose ensuite sur son sexe, complètement épilé qui met encore plus en évidence son côté femme-enfant qui fait une grande partie de son charme.

« Marc, n’as-tu pas fini de me regarder comme si j’étais une proie ?
‒ Brmms, grmml, c’est-à-dire que…, mais…, euh… ! »

Pour tout vous dire, je suis dans un état d’excitation tel que je ne sais même plus comment je m’appelle. Finalement, Aude tourne les talons et, prenant bien soin de balancer ses fesses à la façon d’une fille aguicheuse, se dirige vers la salle de bain pour prendre sa douche.

À peine est-elle sortie de la chambre que je me baisse pour ramasser ses habits. Son T-shirt, sa jupe et, enfin, sa petite culotte blanche, en coton, adaptée pour le sport. Je me surprends, comme mécaniquement, à porter sa culotte à mon nez pour respirer les effluves laissés par ma sœur. Et quelle fragrance. Ce parfum à la fois corsé et doux qui réveille en nous nos désirs les plus charnels. Du coup, je sens ma verge se gonfler, mon sang afflue à une telle vitesse que mon sexe me fait mal. Mais comment est-ce possible ? Je suis entrain de bander pour ma sœur. Qu’est-ce qu’il m’arrive ?

À peine ai-je posé, délicatement, les affaires de ma sœur sur son lit que je l’entends m’appeler, comme si elle me lançait un SOS :

« Marc, pourrais-tu me passer une serviette s’il te plaît ? J’ai oublié d’en sortir une ! »

L’avait-elle fait exprès…, je ne sais pas. Toujours est-il que je me retrouve dans la salle de bain en même temps que ma sœur sortant de la douche. La lumière, réfléchissant sur son superbe corps mouillé, contribue encore à faire monter mon excitation. Et je crois bien que ma sœur s’en est aperçue, à voir son regard mutin.

Je lui tends la serviette qu’elle me réclamait. Elle s’enveloppe et me demande de lui frotter le dos. Je m’exécute, en prenant bien soin de ne pas appuyer mon bas-ventre tendu contre ses fesses, de crainte qu’elle ne me remette sèchement en place. Alors que je frotte délicatement mes mains sur le tissu épais de la serviette, c’est le moment que Aude choisit pour se retourner brusquement, en me disant que j’étais vraiment trop chou et, tout aussi prestement, pour me déposer un bisou sur mes lèvres.

« Mais Aude, qu’as-tu fait, tu as embrassé ton frère ?
‒ Ne sois pas sot, il n’y a pas mort d’homme, que je sache ?
‒ Oui, mais quand même !
‒ Ce n’était pas agréable ?
‒ Euh, ben oui…, mais tout de même !
‒ Ecoute frérot…, tu es la personne avec laquelle je m’entends le mieux, avec laquelle je partouze…, euh…, partage tout, tu ne vas pas en faire un fromage ?, me fait-elle, en riant de son lapsus.
‒ Non, mais tu m’as surpris, c’est tout !
‒ Hé, ce n’est qu’un bisou, rien de plus… !
‒ Dommage… ! »

Cette dernière parole m’a échappé, à ma grande surprise. Je vois que ma sœur est également troublée par ma réponse, mais elle a le bon sens de ne pas renchérir et se dirige vers sa chambre.

Que faire ? Allez, je me lance et la suis, naturellement, comme si de rien ! Debout dans sa chambre, Aude laisse tomber sa serviette de bain, bien délicatement, en me faisant découvrir lentement son corps de jeune fille. Le froid, à moins que ce soit un peu d’excitation, fait poindre le bout de ses seins. Je bande à nouveau. Elle s’assied sur son lit, extirpe son shorty et un débardeur de sous son oreiller ; elle enfile, d’abord, son shorty, en levant consciencieusement sa jambe droite, puis sa jambe gauche, ce qui me donne une vue très intéressante sur son sexe légèrement entrouvert par cette manœuvre. Elle termine enfin par enfiler son débardeur et, avec un regard rempli d’affection, m’invite à m’asseoir à ses côtés. Nous voilà, tous les deux, à nouveau assis sur son lit.

Et là, Aude débute son récit sur la rupture avec son petit ami chilien. Je comprends vite que sa culture latine faisait de lui un être beaucoup trop possessif pour vivre une aventure avec ma sœur. C’est que, ma sœur, elle ne se prend pas trop la tête. Quand un garçon lui plaît, elle est capable de se le faire juste pour son plaisir et même, si elle a un petit ami. Elle revendique haut et fort cette liberté, ce qui fait d’elle une fille véritablement épanouie, ce qui ne veut pas dire dénuée de sentiments, sinon elle ne pleurerait pas comme une Madeleine sur cette rupture.

Je la console en lui expliquant qu’elle rencontrera un nouveau prince charmant et que ma foi, un de perdu, dix de retrouvés etc., etc.…, les banalités d’usage sachant qu’il est inutile d’amener qui que ce soit à la raison dans pareils moments

En m’écoutant, elle s’est rapprochée un peu plus de moi et a posé sa tête contre mon épaule. Je lui passe alors mon bras autour d’elle et la serre un peu plus fort, pour bien lui montrer que je suis là, que je serai toujours là pour elle.

« Je suis tellement bien avec toi, avec papa et maman, je vous aime !, me dit-elle, sur un ton un peu mystérieux.
‒ Nous aussi, on t’aime bien… !
‒ Moi, je ne vous aime pas bien, je vous aime…, tout court !
‒ Comment ça ? Tu nous aimes ? Comme une sœur, comme une fille, non ?
‒ Oui, mais, c’est encore plus fort…, et tu vois, le bisou que je t’ai donné tout à l’heure, il est venu comme ça, spontanément, tu me comprends ? »

En me posant cette dernière question, Aude cherche sans aucun doute à recevoir une sorte de consentement moral, car, au fond d’elle-même, elle sait que ses sentiments vont au-delà du simple amour fraternel et filial. Ne voulant pas la mettre mal à l’aise et voulant en savoir plus sur ce qu’elle ressent, j’ai acquiescé :

« Mais oui, je comprends, nous sommes tellement unis, nos discussions sont franches, les parents sont ouverts d’esprit, même qu’ils ne nous ont jamais jugé parce que nous avions des expériences, parfois particulières !
.. Par exemple, je me rappelle la fois où j’avais osé dire que j’avais eu une aventure avec ma prof de philo, dans les toilettes du lycée, j’ai plus senti un peu de jalousie de la part de papa, qu’une quelconque réprimande !
‒ Oui, je me souviens…, même que moi aussi, j’étais jalouse !
.. Je la trouve tellement belle, ta prof de philo !
‒ Ah, parce que maintenant, les filles te branchent aussi ?
‒ Ben, disons que je ne dis pas non, si la fille est vraiment canon et que je peux prendre mon pied !
‒ Pourquoi pas ? Et c’est quoi, ton genre de fille canon ?
‒ Comment te dire ? Je les aime un peu plus grande que moi, élancée, très féminine, les yeux en amandes et avec ce côté protecteur, un peu comme une mère !
‒ Tu veux dire…, un peu comme maman…, tu viens de décrire notre maman avec une précision chirurgicale, étrange, non ?
‒ Ben, c’est vrai…, je n’y avais pas pensé, maintenant que tu le dis, vu sous cet angle, maman me plairait bien !
‒ Rien que çà, te voilà avec des pensées i****tueuses maintenant ! Vraiment Aude, tu me surprends aujourd’hui !
‒ Non, mais c’est toi qui me fait penser à maman. mais, en réalité, t’es d’accord avec moi !
.. Elle est drôlement bien foutue maman ! Tu ne l’as jamais espionné, elle ? »

La voilà qui revient avec ses histoires d’espionnage…, décidément, c’est une idée fixe… Mais, c’est qu’elle a raison. Combien de fois ai-je essayé de reluquer ma mère, sous la douche, à la plage, partout où l’occasion m’était donnée. C’est vrai que maman est une très belle femme de 41 ans. Très active et prenant soin d’elle, maman, Nicole, de son prénom, est toujours très séduisante et bien des femmes, plus jeunes, en prendraient pour leur grade.

« Bien-sûr que je l’ai déjà observée, maman, c’est vrai qu’elle est top, mais c’est maman !
‒ Ben alors, pourquoi que tu la regardes en cachette alors ?
‒ Pour satisfaire ma curiosité et arrête, maintenant, avec tes questions !
‒ Mais, c’est qu’il deviendrait susceptible, le petit chouchou à sa maman ! »

En me disant cela, elle me taquine en me chatouillant partout autour de la taille. Pour me défendre, je prends Aude par les épaules et la bascule sur son lit. Je me retrouve face à son merveilleux visage et, sans m’en rendre compte véritablement, je lui dépose, à mon tour, un bisou sur ses lèvres accueillantes. Surprise, Aude ne dit rien, mais relève la tête et colle ses lèvres sur les miennes et force le passage avec sa langue qui finit par rencontrer la mienne.

Je bande aussitôt et là, pas moyen de masquer mon état à Aude. Visiblement, l’émoi qu’elle suscite ne la trouble pas plus que ça…, elle continue de m’embrasser, avec passion et Dieu que c’est bon ! Après quelques secondes, qui me parurent une éternité, Aude repose sa tête sur son lit, nos langues et nos lèvres se séparent. Par contre, nos bas-ventres restent au contact.

« Ben, dis donc, mon cochon…, tu bandes comme un taureau !
‒ Excuse-moi, je ne voulais pas… !
‒ Arrête avec tes jérémiades, j’ai beaucoup aimé notre baiser !
.. Et merde pour la morale, tu aimes, j’aime, alors, où est le problème ?
‒ Et les parents, s’ils apprennent ce que l’on a fait ?
‒ On verra bien, mais je crois pouvoir dire qu’ils ne sont pas si innocents qu’ils en ont l’air ! »

Intrigué par cette dernière phrase, je demande à Aude de préciser sa pensée. Et là, elle me raconte qu’il lui était arrivé, il y a trois ans déjà, de trouver, dans l’armoire de nos parents, quelques revues spécialisées consacrées à l’i****te. Maman, qui s’en était rendu compte, nous avait questionné, ma sœur et moi. De mon côté, ignorant tout de ce qui s’était passé, j’avais été rapidement mis hors de cause. Par contre, pour Aude, il en était allé autrement.

« Tu vois, lorsque maman a su que c’était moi, elle s’était tout d’abord fâchée et m’avait giflé, ce qu’elle a regretté immédiatement… !
.. Comme je pleurais, elle m’a consolée et elle m’a embrassée, comme je l’ai fait tout à l’heure avec toi, sur les lèvres… !
.. J’ai cru que c’était un bisou comme une mère en fait à ses petits enfants, mais je sentais aussi sa main qui me caressait les cheveux, les épaules, le dos, les cuisses… !
.. Et papa est arrivé et nous en sommes restées là… !
.. Mais bien-sûr, et tu peux t’en douter, j’étais toute perturbée, ne comprenant pas ce qui m’était arrivé… !
.. Puis, j’ai oublié cette histoire, mais pas totalement… !
‒ Pourquoi tu ne me l’as jamais racontée ?
‒ Je ne sais pas, peut-être que j’étais trop jeune pour comprendre, voire pour apprécier ce qu’il s’était passé !*

Le fait de savoir ou, du moins, de suspecter que papa et maman ont des fantasmes d’i****tes me laisse sans réaction. Partagé entre une curiosité bien réelle – que je ne prenais pas encore pour du désir – et une certaine révulsion due à notre morale telle qu’elle nous est enseignée, je m’assieds à nouveau, quittant de face à face que j’appréciais pourtant beaucoup avec ma sœur.

« Que va-t-on faire, petite sœur ?
‒ Ecoute, c’est simple…, si tu veux en avoir le cœur net…, provoque maman…, tu verras bien sa réaction… !
‒ Mais…, je ne sais pas si j’ai envie… ? Admettons qu’elle cède à la tentation, que va-t-il nous arriver ?
‒ Rien de désagréable je présume… !, me répond-elle, sourire en coin.
.. Et tu me raconteras ?
‒ OK, bon pour moi…, à condition que tu fasses de même avec papa. !
.. Et nous ferons le bilan ensemble, tous les deux !
‒ Parfait…, reste maintenant à trouver la bonne occasion et la manière d’y arriver sans que l’on nous prenne pour des demi-fous ! »

Et nous rions tous les deux aux éclats, imaginant la tête de nos pauvres parents s’ils devaient réaliser ce qui est en passe de leur arriver… au prochain épisode…

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