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Une soirée sous la tour Eiffel

Une soirée sous la tour Eiffel



Ce texte correspond aux goûts de CQFD. Il s’agit d’une scène discrète dans un lieu public avec un vocabulaire doux.

C. était une jeune femme distinguée. Elle portait ce soir là, un chemisier blanc sous un manteau trois-quarts rouge, une jupe noire qui descendait à mi-cuisse, des collants et une paire de bottines de même couleur. Elle était au bras d’un charmant jeune homme, et tous les deux venaient de sortir d’un restaurant pour se promener dans les rues de Paris. Et quoi de plus romantique que de s’embrasser sous la tour Eiffel ? Ils étaient assis sur un bac, lui la portait sur ses genoux tandis qu’elle passait ses bras autour de son cou. Leur excitation s’éveillait au fur et à mesure qu’ils s’échangeaient de longs baisers, et il ne put s’empêcher de poser une main avide de sensations sur son genou à elle. Il commença par la caresser avec douceur, mais l’embrasement des sens le poussa à être plus audacieux, et lentement il gravit le chemin des cuisses qui mène au plaisir intime. Elle se laissait faire et l’embrassait fougueusement pour alimenter ce brasier naissant, tout en souhaitant secrètement qu’il aille encore plus haut. Et comme il y avait peu de monde, il continua son ascension en glissant sa main sous sa jupe pour le plus grand bonheur de C. Il touchait maintenant son con du bout des doigts et elle ressentait toutes ces magnifiques sensations que lui communiquaient les frottements du nylon sur sa peau épilée. Il la caressait par des gestes doux et circulaires, ce qui ne tarda pas à recouvrir le collant d’une abondante cyprine. Elle redoublait l’intensité de ses baisers pour l’inciter à continuer. Et il osa ! Entre ses ongles, il fila les collants, et agrandit avec ses doigts l’ouverture ainsi faîte. Il passa son majeur entre ses grandes lèvres, effleura à maintes reprises son bouton du plaisir, puis le glissa dans cette ouverture de plaisirs. Il commença quelques mouvements doux, mais très vite il ajouta son auriculaire à ce fondant orifice. Il lui caressait son vagin en frottant ses phalanges contre l’avant tandis qu’elle manifestait le plaisir intense qu’elle ressentait en arrosant abondamment ses doigts bienvenus d’une chaude cyprine.

Le plaisir qui envahissait le bas de son ventre, plongea C. dans un état second qui la rendait audacieuse. Elle se dégagea des doigts et se mit à califourchon sur son homme. Après avoir brièvement regardé s’ils étaient seuls, elle lui défit sa braguette pour en extirper un pénis raidit d’excitation. Elle le glissa rapidement sous sa jupe, et à mesure qu’elle écartait ses cuisses, elle se rapprochait de ce vit allant. Elle l’enfila d’abord dans l’orifice de ses collants avant de le sentir rentrer et monter lentement en elle. Elle se contentait de faire vibrer cette verge à l’intérieur de son vagin en frottant son clitoris contre le pubis de son compagnon, n’osant pas faire de plus amples mouvements. Parfois plus loin des passants marchaient et elle prenait conscience de ce qu’elle était en train de faire, ce qui ne l’excitait que d’avantage. Son homme la tenait contre lui en l’empoignant fermement par ses fesses, tandis qu’elle se collait à son torse en se serrant à son cou. La passion qui animait leur corps ne laissait plus de place au doute quant à l’impudicité de leurs balancements. Aussi décidèrent-ils de trouver un endroit plus discret pour continuer à s’adonner aux plaisirs de la chair. C. fit sortir de son collant humide l’objet de son plaisir, et le remit dans le pantalon de son ami, à l’abri des regards sous sa jupe.

Ils se dirigèrent non loin de là, vers des fourrés plongés dans l’obscurité. L’homme saisit C. par la taille et la renversa pour l’embrasser fougueusement au sol alors qu’il retroussait sa jupe pour passer une fois de plus ses doigts à travers ses collants. C. quant à elle, s’empressait de sortir à nouveau son pénis viril qu’elle empoignait de toute sa main et caressait avec avidité. Il la tenait contre lui avec ses bras, et elle l’entourait avec ses jambes ; leur corps étaient entremêlés par l’attraction que réclamaient leurs sexes excités. L’homme se plaça derrière elle, et C. croisa ses bras pour poser sa tête dessus, le regardant de côté en lui souriant. Elle lui offrit alors ses fesses avec générosité. L’homme fit glisser ses mains le long de ses cuisses et rabattit sa jupe sur son dos lorsqu’il en vint à caresser ses fesses. Il agrandit le trou des collants et tout en continuant de lui caresser ses jolies fesses rondes, il approcha sa figure contre son intimité. Dans un premier temps, il glissa son nez par le trou et inspira les yeux fermés, les parfums aphrodisiaques qui s’en dégageaient. Il passa ensuite sa langue pour se délecter des nectars du fruit défendu de C. Malgré ses nombreux coups de langues, il ne parvenait pas à étancher sa soif et son instinct le poussait une fois de plus d’y goutter avec sa verge. Il se redressa en la tenant par la taille, et rapprocha son bassin à ses fesses. Il glissa son sexe par l’orifice des collants et son gland fendit le moelleux de ses lèvres pour pénétrer la chaleur et la moiteur de son corps. Il prenait son temps pour goutter chaque vas-et-viens qu’il faisait en elle, et caressait son clitoris par les frottements de ses testicules. Cette fois-ci, c’était elle qui fermait ses yeux, s’abandonnant à ce corps en elle qui lui procurait tant de plaisir.

L’excitation pourtant, continuait à monter, et l’audace des sens les poussait à explorer d’autres voies. Il élargit le trou de ses collants avec son pouce afin de pouvoir le glisser entre ses fesses tout en continuant à prendre délicieusement son sexe. Lorsqu’il commença à lui caresser le pourtour de son anus, C. ne trouva rien à redire et l’encouragea même par un gémissement sensuel. Il recouvrit alors son pouce de cette cyprine si abondante et retourna faire des mouvements circulaires sur son petit trou en appuyant un peu plus à chaque tour. Il finit par l’enfiler et continua ses mouvements à l’intérieur en les rythmant avec ceux de sa verge qui n’en finissait plus d’aller et venir en elle. C. ronronnait de plaisir et faisait grimper l’excitation de son homme tant et si bien qu’il perdit le contrôle de soi. Il se retira haletant, déchira les collants sur toute la surface des fesses de C., et plongea une langue affamée sur son anus. Il chatouillait du bout de sa langue cette étoile et l’embrassait avec avidité. À nouveau l’envie le poussa à s’y délecter avec son membre et il se mit contre elle. Tout en appuyant son gland sur son anus, il lui caressait tendrement son sexe pour rendre la pénétration plus agréable. Et lorsque son mandrin lui ouvrit son petit trou si généreusement offert, ils se relâchèrent et recommencèrent leurs mouvements qui leur procuraient tant de plaisir. C. releva son dos et tourna sa tête en sortant sa langue pour réclamer des baisers. Il fit de même en se penchant en avant pour se livrer à une valse de langues amoureuses. Le buisson s’agitait régulièrement et les passants dont le regard se seraient tournés vers cet endroit, n’auraient eu aucun mal à comprendre ce qui s’y faisait. À mesure qu’il se massait le pénis dans cet orifice si étroit, il se laissa aller à une douce torpeur, glissa sa main dans les cheveux bouclés de C. et lui caressa la tête. Il recevait par son membre le plaisir qu’elle lui communiquait et qui se rependait dans le reste de son corps comme des ondes. L’orgasme était proche…

Il ne put retenir plus longtemps son plaisir, et se plaçant contre les fesses de C. pour immerger totalement son pénis dans ce puits de plaisir, il laissa son pénis se contracter pour inonder C de son liquide chaud et généreux. C. prit également un énorme plaisir à sentir ce membre vibrer en rythme dans son anus et sentir cet orgasme couler en elle. Il se retira, elle se retourna, s’embrassèrent longtemps avant de s’en aller. Derrière eux, seuls les collants déchirés laissés par C. demeuraient le témoins de cet extase.

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