Histoires de sexe de voisins Histoires de sexe hétéro Premières histoires de sexe

les cours de gym de ma femme (partie 2)

les cours de gym de ma femme (partie 2)



Les trois gaillards et moi en justaucorps et ballerines dorées

Pour cette séance de fin de journée, que je savais fréquentée uniquement par des mecs assez jeunes et plutôt attirants, je choisis de mettre une sorte de justaucorps – plutôt un body de dentelle jaune- qui laissait bien deviner mes formes et était même assez transparent car un œil scrutateur attentif pouvait déceler la pointe de mes seins et même la chair à travers la dentelle. Aux pieds, je me chaussais de jolies ballerines dorées, que j’agrémentais avec des chaussettes « sportives » -pour donner le change !- descendues à mi mollet et sur mes chevilles.

Ainsi apprêtée, je m’installais sur un des appareils de la salle, sous le regard amusé mais surtout intéressé par ma tenue, des mecs présents dans la salle à cette heure-là… où effectivement je n’avais aucune concurrence féminine. Alors que je m’affairais de manière un peu maladroite sur les montants de l’appareil, un jeune gars vint me donner quelques conseils de positions et sur la manière d’utiliser les leviers et poignées. Evidemment, les contacts -que j’attendais impatiemment, fieffée coquine- ne manquèrent pas et je pus constater que le gars me lorgnait consciencieusement à travers mon body. Après quelques exercices, il m’invita à changer d’appareil non sans omettre de me féliciter :
« Vous ne vous en sortez pas mal du tout…venez sur cet appareil, il est moins fatiguant »
Et m’accompagnant d’un bras, il lança assez fort pour que les autres gars de la salle entendent : « elle s’en sort plutôt bien la nouvelle ! »
Puis à mon oreille « si, si c’est bien, ça mérite même une récompense » et il m’embrassa dans le cou et sur la joue, tout en caressant à peine mes flancs.
Quand je fus installée sur le deuxième appareil dans une pose un peu plus écartée pour mes jambes, un deuxième jeune approcha de nous et vint lui aussi me donner quelques conseils. Les mouvements qu’ils me firent entreprendre, non seulement écartaient mes bras et donc faisaient saillir ma poitrine sous la dentelle du body, mais aussi, nécessitaient que j’écarte mes genoux et mes ballerines calées sous des étriers donc que ma chatte bombée se dessine bien sous le tissu du body de plus en plus tendu et devienne carrément visible par transparence.
Mon premier « dragueur » se tenait tout près de moi, tellement près même que de temps à autre son pantalon venait coller mon flanc ou mon bras et je sentais une présence ferme. Comme je lorgnais en direction de son pantalon, je vis se dessiner une bosse plus que significative et cela commença à m’émoustiller sérieusement. Les deux gars s’étaient bien rendu compte de ça mais, ne voulant sans doute pas trop précipiter les choses peut-être par peur d’une réaction négative, ne s’enhardissaient pas trop, se contentant de quelques paroles anodines, de sourires complices mais, tout de même, me mataient avec de plus en plus d’insistance les yeux rivés sur mes seins à peine dissimulés, sur mes cuisses nues bien positionnées et sur le bombé de mon mont de venus.
Je dus donc déclencher les « hostilités » et de ma main gauche, je me mis à flatter, en souriant mais en silence, le pantalon de mon premier dragueur de ma main qui caressa le renflement et attisa la bandaison du gars qui me tendit son bas-ventre pour mieux se prêter à ma caresse.
Voyant cela, l’autre jeune porta une de ses mains sur ma cuisse et je le laissais faire toujours en souriant et rapidement sa main remonta jusqu’à ma chatte. Puis je dégageais la queue bandée du premier gars et je commençais à la caresser et même à la branler. Aussitôt l’autre se releva, sortit sa queue de son short et me la présenta à branler : j’eus donc rapidement les deux bites en mains, au vu et au su du reste de la salle où les autres types un peu incrédules -mais probablement envieux des deux jeunes- observaient.
Après avoir bien branlé ces deux queues qui avaient pris un beau volume, je me penchais vers la bite de mon premier dragueur et je commençais par embrasser et léchoter son gland, puis je l’embouchais complètement et commençais à le sucer.
Peu à peu un troisième type, moustachu à lunettes, s’était timidement rapproché de nous en se massant la queue par-dessus son survêtement mais sans trop oser se mêler à l’action.
D’ailleurs les deux jeunes ne manifestaient pas tellement l’intention de me partager avec toute la salle : ils me firent me lever, mon premier dragueur s’installa sur le siège et m’invita à venir enfourcher sa bite hyper tendue et rendue très dure par ma fellation appliquée. Il m’empoigna par mes deux fesses et me fit m’empaler sur sa tige dressée. Aussitôt l’autre jeune vint sur le côté et implora une caresse à sa queue tendue à l’extrême. Je ne me fis pas prier car sa queue était très belle et je le branlais très doucement. Il triquait comme un âne en gémissant, alors que la queue de son pote me fouillait bien profond. Sa queue me faisait envie et je le suçais à son tour, oubliant toute retenue.
Du coup, le binoclard avait pu s’approcher, il avait sorti sa bite et se branlait au-dessus de moi, parfois même en venant promener son gland dans mes cheveux, aux côtés de la tête de mon baiseur acharné. Acharné oui car il me fit changer de position et me pénétra légèrement de côté, alors que je continuais de sucer l’autre jeune apparemment aux anges, alors que peu à peu le binoclard tentait de s’immiscer dans le groupe, ayant carrément enlevé son pantalon.

Mon premier dragueur -probablement qu’il devait estimer que c’était lui « l’élu »- me fit me relever et m’embrocha de manière encore plus impudique en soulevant ma jambe très haut, m’ayant empoignée sous le genou, montrant bien aux autres types de la salle -qui bavaient et se branlaient en matant la scène- ma chatte nue (je m’étais épilée ce jour-là) transpercée par son dard qui me remplissait bien. Le deuxième jeune, très excité mais devant attendre son heure, me présentait toujours sa queue que je continuais à empoigner fermement : elle était devenue d’une raideur et d’une grosseur impressionnantes qui me donnaient une folle envie de la sentir en moi. Il avait envie de me prendre aussi et, en attendant, il m’embrassa fougueusement, dardant sa langue, sous l’œil envieux du binoclard, qui se branlait toujours et frottait sa queue là où il pouvait.

Enfin l’autre lui laissa la place ! Je tendis mon cul dans la promesse de sa grosse queue qui allait me prendre, je pris appui d’un pied, d’une ballerine sexy plutôt, sur le banc et je sentis le gland s’approcher de mon pertuis bien préparé par les limées du premier gars. Je sentis ses mains me saisir par les hanches et les fesses et il me pénétra doucement mais fermement. Sa queue, dont j’avais eu tellement envie, me combla d’aise et je me pâmais, tête relevée, la jouissance montant en moi. Il me fit jouir oui ce jeunot à la bite vaillante et comme je gémissais de plaisir, le binoclard en profita pour m’embrasser un sein et me lécher un téton, tout en se branlant sous mes yeux.

Me voyant partir vers le septième ciel mon « premier » dragueur reprit possession de moi. Je fus soulevée de terre par les deux autres gars, que j’enserrais par les épaules et il put m’embrocher de face en beuglant son plaisir « quelle bonne chatte ! qu’est-ce que je lui mets ! qu’elle est bonne ! » et il me pilonna en règle.

Le final arriva, « on » me réinstalla sur la queue de mon dragueur et j’empoignais les deux autres queues sur mes côtés : le binoclard pouvait enfin profiter de ma menotte active et il ne tarda pas à décharger, rapidement imité par le jeunot de l’autre côté, pendant que mon « dragueur » hurlait pour tous les autres types de la salle :
« putain, elle nous fait jouir la salope ! je lui remplis la chatte ! qu’elle est bonne ! vas-y fais-les dégorger les autres ».
Je me sentis remplie par son foutre et j’eus les mains pleines du sperme des deux autres gars.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire