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En vacance chez Mamie (chapitre 1)

En vacance chez Mamie (chapitre 1)



En vacance chez Mamie (chapitre 1)

Cette histoire est une tranche de ma vie d’adolescent, dans les années 85,
j’avais 14 ans. Elle se passe dans un petit village de la Bresse . Ma
Grand-mère y habitait une vieille maison dans un petit village. Mes parents
avaient pris l’habitude de m’y envoyer pour quelques semaines chaque année.
Mais si la nature est belle, combien un adolescent peut s’ennuyer seul dans la
campagne. Heureusement un grand grenier poussiéreux accueillait mes après-midi
oisives. Il contenait plein de veilles choses que je découvrais avec
délectation. Un jour j’ai découvert une petite valise en carton dont les
serrures étaient fermées. Après quelques essais ces serrures peu solides
lâchèrent, et je découvrit à l’intérieur une vingtaine de revues sexy genre
Play-boy des années 70, que je suppose ont du appartenir à mon père.

Fier de ma découverte, je me mis à la recherche d’un endroit tranquille pour
lire (dans la tenue adéquate) ces revues. Il valait mieux ne pas penser au
grenier, Mamie y venait trop souvent. La grange pouvait, à l’occasion être un
lieu de passage, le stockage des revues pouvait y être envisagé, après un
changement de contenant. Un vieux sac de sport qui me servait déjà l’année
dernière pour aller à la maraude aux fruits fera l’affaire.

Et le lendemain j’ai trouvé le lieu idéal : le champ de maïs. En effet, le
maïs est semé en ligne, en pénétrant d’une dizaine de mètres dans le sens des
lignes, sans abîmer les pieds de la lisière, on peu aménager un espace
parfaitement invisible des bords du champ. Il faut faire attention de ne pas
laisser trop de traces à l’entrée, et de ne pas se faire voir en entrant, mais
un adolescent sait jouer aux indiens.

Et me voilà allongé sur une vielle couverture dans les maïs à regarder les
femmes nues de mes revues. Très vite je pris l’habitude de me caresser en
regardant. La braguette du short grande ouverte et ma petite verge dans la
main. Enfin des vacances intéressantes.

Le mois d’Août tirait à sa fin , une nouvelle famille venait d’emménager la
maison voisine. Un couple entre 35 et 40ans avec une fille de 14 ans
(Françoise). Je l’avais aperçu de loin. Joli brin de fille. Mais je suis
timide. Aussi quand les voisins annoncèrent à Mamie qu’il viendrait nous faire
une visite de courtoisie, je ne me sentis pas concerné et je me faufilais dans
ma cachette.

Après les salutations d’usage entre adultes, Mamie a dit à Françoise « Paul
doit être quelques part vers le champ de maïs, il semble qu’il ait trouvé une
cachette part là, si tu peux le trouver, tu lui demanderas de venir saluer tes
parents.

Françoise est une fille délurée, à l’inverse de moi, elle part à ma recherche,
et elle à vite fait de repérer à la lisière du champ de maïs, les traces que
mes passages répétés ont laissé.

Elle s’engage dans une ligne, un peu courbé, presque à quatre pattes, car les
maïs sont haut et les sommets se touchent formant comme une voûte. Elle
n’arrive pas directement sur ma tanière, mais suffisamment proche pour me
trouver.

Le nez dans mes revues je ne l’ai pas entendue arriver. Je suis surpris en
pleine action, la main sur ma bite entrain de la caresser. Trop jeune pour
éjaculer, mais suffisamment avancé pour avoir une érection et prendre beaucoup
de plaisir.

Gêné je cherche à cacher ma verge. Mais Françoise ne me fait aucune remarque
sur ce sujet. Elle dit « Oh c’est bien on dirait une cabane. C’est là que tu
passe tes après-midi ? C’est formidable, on est vraiment tranquille. »

Nous sommes tous les deux face à face, moi à moitié allongé sur ma couverture
essayant de refermer ma braguette, elle accroupie dans le rayon de mais.

« Ta grand mère te recherche, elle demande à ce que tu viennes » puis après
m’avoir fait un grand sourire.

« J’ai envie de faire pipi, où tu fais quand tu es là ? »

« Là bas dans le rayon. » Je fais effectivement dans ce rayon à une dizaine de
mètre de là pour que l’odeur du pipi séché et fermenté ne soit pas une gène.

Elle s’éloigne de 2 à 3 mètres puis me fait face se relève un peu pour
remonter sa jupe. Je vois alors sa petite culotte petit bateau, elle glisse
ses mains dans l’élastique de la ceinture et le descend lentement, la jupe
tenue sous le menton reste en haut, et elle me découvre un pubis lisse ombré
d’un fin duvet blond pratiquement invisible. Elle s’accroupit, genoux écartés
pour tenir la culotte, face à moi qui suis presque allongé, j’ai une vue
imprenable sur cette chatte et sur le jet doré qui s’en échappe.

Elle me sourit toujours, sort de sa poche un Kleenex et s’essuie la foufoune.
Je vois sa main appuyer le petit morceau de papier sur sa fente elle le fait
pénétrer un peu dedans. Comme j’aimerais le lui faire, comme j’aimerais être
ce papier. Elle se redresse remonte sa culotte et me rejoint sur ma
couverture. Laissant le Kleenex au milieu du rayon. Elle veut m’aider à ranger
mes revues.

« Ah, elles sont intéressantes tes revues! Tu pourras me les prêter ? »

Mais nous n’en avons pas eu la possibilité cette année là. Dès le lendemain je
devais repartir pour l’appartement de mes parents et préparer ma reprise
scolaire. Mes parents non jamais compris pourquoi j’ai ramené de mes vacances
un mouchoir Kleenex froissé dans une petite boite.

Ah Françoise te reverrais-je l’année prochaine ?

Les revues soigneusement rangées et cachées dans la grange. Un signe de la main
de Françoise au moment ou la voiture de mes parents passait devant sa maison.
Une année de rêve et d’espoir commençait.

Cette année fut longue. Mais enfin les vacances étaient là, mes parents me
déposaient chez Mamie, avant de retourner en ville à leur labeur quotidien.

Dès le soir Mamie me dit que je ne pourrais pas voir Françoise avant plusieurs
jours, elle est en colonie de vacances, elle ne rentre que la semaine
prochaine. Déception.

Le lendemain je retrouve le sac de mes revues, ouf les rats ne les ont pas
attaquées.

Où sont passé les maïs ? Le paysan à changé ses plantations et le champ n’est
plus en maïs. Un coup d’oeil circulaire, pour voir qu’un autre champ est semé
de maïs, ils sont même plus beaux que ceux de l’an dernier. De plus en
s’approchant je m’aperçois que le cultivateur à fait une reprise avec son
semoir, ce qui fait que les lignes se coupent et qu’il n’y a pas de vision
directe dans le champ..

J’ai profité de cette semaine pour aménager une tanière plus vaste et plus
confortable. Comment Françoise allait m’accueillir?

Il est 10 heures du matin, ça y est elle arrive, le car de la colo la dépose
sur la place du village. Mais elle à changé, c’est une jeune fille que je vois
descendre. Une poitrine qui commence à crever l’écran, un galbe de fesse à
faire rêver un saint, avec sa mini jupe elle doit drainer tout le quartier de
tous ses jouvenceaux. Je me sens bébé devant un tel top model, et au lieu de
l’accueillir je retourne pleurer dans mes maïs. Comment une telle jeune fille
pourrait encore s’intéresser à un gamin qui construit des cabanes ?

Mais c’est elle qui est venue me chercher après le repas de midi.

« Tu viens Paul on va faire un tour dans la campagne »

Et dès que l’on est hors de porté de voix de la Grand-mère « Tu as installé une
cabane comme l’année dernière ? »

« Oui, et plus grande pour être à deux. »

« C’est super, montre vite où elle est »

Et nous allons ensemble dans ma nouvelle tanière plus difficile à atteindre
mais mieux cachée.

Arrivés sur place Françoise se retourne vers moi et dit « Formidable, Paul, ici
nous serons tranquilles ». Le nous bien appuyé me fait rosir d’espoir. Puis me
prenant par le cou François pose ses lèvres sur les miennes, je sens ses
lèvres s’entrouvrir, la pointe de sa langue me chatouiller le bord des lèvres,
chercher à entrer, j’entrouvre et c’est le branle-bas de combat, le coeur en
chamade. Une fille m’embrasse. Je lui suce la langue, elle chatouille mon
palais, puis c’est mon tour d’aller chez elle.

Pendant ce premier baiser endiablé, elle a pris ma main et la posa sur sa
poitrine. Enhardis par cette proposition directe, je commençais à la caresser
doucement. Françoise se mis à ronronner, puis quittant mes lèvres me dit

« Oui caresse moi comme ça, malaxe doucement mais tout le nichon, oui là
…comme ça….. Oh c’est bon… »

Et j’ai terminé l’après-midi en la pelotant et en l’embrassant, n’osant pas
aller plus loin.

Le lendemain nous avions rendez vous directement dans la tanière pour ne pas
donner trop de soupçons au adultes. Françoise arriva en T-shirt et mini jupe.
Après un baiser passionné je commençais à lui peloter la poitrine, je sentis
qu’elle n’avait pas mis de soutien gorge. Elle me demanda « Passe les mains
sous le T-shirt, caresse moi sur la peau, c’est encore meilleur ». Alors je
soulevais le T-shirt pour voir ses tétons. Magnifiques, en forme de petit
melons, avec une large aréole rosée, et une petite fraise des bois dessus,
instinctivement j’y portais la bouche. Je fis rouler ce téton entre mes
lèvres.

« Ouiii, comme ça…. C’est bon… hummmm!!!!! Un peu pour l’autre il est
jaloux…….. »

Pendant que je lui suçais les tétons Françoise caressait le haut de mes
cuisses pour rapidement s’arrêter sur la braguette de mon short. Elle l’ouvrit
et fis sortir ma bite, qui ne demandait que cela. Elle aussi avait changé. Un
an de plus, cela compte et elle était plus épaisse, plus nerveuse, mon
érection avait gagné en maturité. Je n’avais encore jamais éjaculé, mais cela
ne devrais pas tarder.

Elle me repoussa un peu pour voir cette partie charnue de mon individu. Elle
se baissa et tout en la décalottant avec beaucoup de douceur elle lui donna
quelques coups de langue. Oh que sa langue était douce. Oh que c’était bon.

Nous nous allongeâmes sur la couverture que j’avais amenée. Après encore un long
baiser profond et mouillé, Françoise voulant voir en détail ma bite me demanda
d’enlever short et slip, et se mis tête bêche. Elle se mise à me lécher le
gland tout en jouant avec mes testicules. Et moi j’avais une vue directe sur
sa culotte que la mini jupe ne cachait pas. Ce n’était plus une petit bateau,
mais une Dim avec des dentelles. J’approchais les mains et je caressais le
haut des cuisses le bas du ventre, me rapprochant progressivement de son mont
de vénus que les dentelles cachaient avec peine.

Lorsque mes doigts effleurèrent sa fente elle sursauta, et me dit : « oui,
enlève moi cette culotte, caresse moi la foufoune ».

Je n’avais jamais vu de Foufoune de près, cette après midi elle m’apprit tout
sur l’anatomie d’une foufoune, ainsi que tout ce qui donne du plaisir dans une
foufoune , le clito, les lèvres, les parois de la vulve, le début du vagin,
mais attention pas trop loin car il y a l’hymen, et cela peut faire mal. Et
puis les à coté qui ne sont pas négligeable : le haut des cuisses, les fesses,
la raie, et même le trou du cul.

Elle m’apprit comment lui lécher la vulve, titiller le clito avec les lèvres,
surtout pas les dents. Et durant cet apprentissage j’ai même passé au delà de
ce quelle demandait en allant passer ma langue sur son trou du cul. Elle à
découvert des sensations nouvelles, et moi un monde nouveau.

Elle me fit une fellation en bonne et due forme, et pour la première fois un
peu de liquide sorti de ma verge c’était ma première éjaculation.

Je lui ais raconté que j’avais gardé le Kleenex de l’année dernière. Alors
elle à voulu de nouveau pisser devant moi. Sans culotte cela fut plus facile,
et j’étais plus près, si près même que je fut éclaboussé. Quel plaisir de voir
le jet doré sortir de sa chatte. Lorsqu’elle me demanda de lui passer un
Kleenex, je lui répondit : « Non, viens je vais te le faire avec ma langue.
Elle s’accroupit au dessus de moi et je lui nettoyais sa chatte en quelques
coup de langue. C’était un peu salé, mais cochon, cela m’a fait bander, et
Françoise s’est basculé pour me sucer de nouveau.

Nous avons passé toutes nos vacances à nous caresser, sucer, frotter nos sexes
ensemble. Jamais nous n’avons tenté cette année là de pénétration. Françoise
n’était pas mure pour cela et moi je n’étais pas encore sorti de la torpeur du
gamin qui découvre le monde du sexe.

Ce fut le début de quelques années d’intenses jouissances, et l’année suivante
fut la découverte de la pénétration.

Je vous le raconterais peut-être une prochaine fois

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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