Qui suis-je ? J’ai énormément de mal à le savoir, j’ai par le passé été tellement tiraillée entre les gens, les choses et les faits. Mal dans ma peau depuis le plus loin que je me souvienne, j’ai toujours eu l’impression que je n’étais pas à ma place, que je n’étais pas ce que l’on attendait que je sois. Je décevais tout le monde et surtout je me décevais et je me sentais coupable de cet échec permanent. Je n’ai pas été malheureuse, maltraitée non jamais par mes parents en tout cas. Ignorée, incomprise tout le temps voilà qui est certain. J’avais pas 12 ans que je disais à ma mère que je n’étais pas un garçon. Je le sentais en moi, je ne me voyais aucun point communs avec les autres gamins, je ne les aimais pas et ils me le rendaient bien. J’ai eu le droit à toutes les solutions « médicales », psychologues, psychiatres et médecins divers. Rien n’y faisait naturellement. Mon prénom de l’époque personne même mon daddy chéri ne s’en souvient et je crois que seuls mes parents le connaissent et encore comme ils m’ont effacée de leur vie plus personne ne se souvient. On m’a mise en pension pour mes études, vivre en communauté au milieu de garçons était purement horrible. Tous les profs, les pions, tous sentaient que avec moi çà ne collait pas, je sonnais faux. Je sentais leur gêne face à moi, je pensais que c’était ma faute, que j’étais idiote. J’ai fini par comprendre que j’étais coincée dans un corps qui ne me convenait pas, avec un avenir que je ne voulais pas. Bien sûr il m’a fallut longtemps pour comprendre, ce ne fut pas un éclair de génie soudain. A bout c’est à ce moment que pour la première fois j’ai tenté de corriger la faute en m’effaçant tout simplement. Heureusement (ou pas) coup manqué qui m’a propulsée de nouveau dans les cycles avec les psys. Je déteste ces professions qui tentent de sonder nos esprits et nos cœurs mais qui au fond ne sont là que pour nous faire sentir qu’on est pas comme les autres puisqu’il faut s’occuper de nous.
A cet âge insidieusement, sans prévenir , le désir , la sexualité montre ses exigences et nous bouleverse. Pour moi c’était plus vrai que pour tous les autres. On avait facilement accès à toutes les choses qui nous hantaient avec internet. Regarder films et photos me faisait sentir physiquement le désir. Comme tous les garçons qui m’entouraient, je commentais, mais nous n’avions pas le même centre d’intérêt. Je n’avait d’yeux que pour les beaux hommes, leur sexe que je désirais toucher, embrasser et je m’identifiais plus aux femmes subissant leurs assauts me disant que j’aimerais être à leur place, me disant que si j’étais une fille avec une chatte je pourrais connaître ce plaisir. Bien sûr la mécanique organique fonctionnait parfaitement et j’avais des érections nous seulement très fortes mais qui duraient et qui naissaient à une simple évocation, un souvenir, une regard ou le plus souvent dans un rêve. Mes nuits étaient agitées, gavée d’images, de films et de discussions tournant autour du sexe. Le sommeil avait du mal à arriver et quand il était installé se peuplait de délires érotiques, enfin pornographiques surtout. Je me caressais bien sûr mais pendant longtemps je n’ai pas poussé ces caresses jusqu’à leur conclusion. J’étais si peureuse que je n’osais pas, je me trouvais dans des états si proche de l’orgasme que mon sexe coulait tout ce qu’il pouvait, gouttant sur mes doigts et mon ventre. J’avais goûté cette liqueur et j’avais adoré çà. Je caressais ma poitrine plate, mes petits tétons devenaient de plus en plus sensibles et réclamaient de l’attention. J’adore toujours çà j’ai expérimenté depuis plein de choses. Plus le temps passait plus j’avais envie de concrétiser mes désirs. Je rêvais de pouvoir tenir une queue dans mes doigts, la cajoler la branler, la sucer. Voyez vous rien que d’en parler de l’écrire mon sexe est dur. Cela vas être difficile de vous dire certaines choses en restant détachée et stoïque. Ce n’est pas grave soit je me donnerais du plaisir ou s’il est là mon Daddy éteindra l’incendie de mon ventre, il est si doué pour çà tout comme me mettre le feu également.
Mais revenons au passé.
Je n’étais pas mauvaise élève, même plutôt bonne élève. On me dit aujourd’hui que ma vie il y a quelques années m’ont fait perdre des opportunités de belles études. Je crois que je finirais par les reprendre maintenant que je suis plus stable et plus sérieuse.
Enfin arriva le jour où un des garçons de mon entourage évoqua une possibilité de céder à un désir qu’il avait même avec un autre garçon. Il roulait les mécaniques disant que du moment que c’était bien fait il accepterait de se faire faire une pipe par un autre garçon. Ce n’était pas vraiment un appel, plus une fanfaronnade qu’autre chose. Il faisait parti de ceux qui ne m’avaient jamais ennuyée car j’étais un peu à part. En plus il était beau, sportif et j’avais remarqué qu’il était gâté par la nature. Autant on se moquait de moi et de mon petit sexe autant il passait pour celui qui avait une que de mec. Je profitais d’un moment ou nous nous retrouvâmes en tête à tête pour lui dire que si il voulait une pipe j’étais prête à le faire. Naturellement j’ai mis un temps infini avant de proposer cela. Il m’a regardé l’air interloqué, ses yeux bleus me scrutaient étrangement. Il finit par me demander si je me moquait de lui. Je répondis que non j’étais sérieuse, un moment j’ai pensé qu’il allait me dire que c’était pour déconner qu’il avait dit çà. Non il ajouta juste que je devais aller jusqu’au bout. J’avais envisagé cela, je ne savais pas si j’oserais mais si proche du but je n’allais pas me dégonfler. Je lui dit alors que j’irais jusqu’au bout ajoutant que j’allais le vider complètement. Avant d’accepter il me dit qu’il n’était pas question qu’il me rende la pareille. Il voulait bien me faire gicler avec sa main mais rien de plus.Mon cœur battait à tout rompre quand j’acceptais le deal. Je me sentais légère et l’impression d’avoir fait un grand pas en avant. Cette promesse de sexe , de perversité me mettait en transe. Tout le temps qu’avait duré notre discussion ma queue était dure comme du bois tendue à l’extrême en devenant douloureuse.
Nous avions programmé nos bêtises pour le samedi suivant. Pensionnaires tous les deux nous restions souvent le week-end entier lui sa famille était souvent à l’étranger, la mienne préférait me savoir loin d’eux pour préserver leur quiétude.
On avait jeté notre dévolu sur l’infirmerie qui durant les WE hormis cas de force majeure, restait inoccupée compte tenu du peu de monde le WE nous aurions la paix et en plus il y avait un lit. Les quelques jours d’attente furent longs et je vivais ce moment dans ma tête. Parfois je me disais que peut être dans l’excitation du moment il allait me faire l’amour, après l’avoir mis en forme il aurait peut être envie de m’enculer. A part les suppositoires, les thermomètre et un doigt ou deux rien n’avait pénétré en moi véritablement, je n’avais pas osé aller jusqu’au bout de mes caresses ni tenté de sentir la sensation d’être comblée.
Enfin le moment arriva, nous nous retrouvions subrepticement dans cette infirmerie, porte close, dans la pièce du fond avec le lit. J’étais propre et récurée comme un sous neuf. J’avais un peu de déodorant et eau de toilette , j’aurais aimé avoir autre chose que mes fringues de garçon mais a cet époque, interne, sans argent ni possibilité d’avoir accès à la lingerie de ma mère je ne pouvais pas faire mieux et de toute façon je n’avais pas encore le besoin de paraître. Inutile de vous dire qu’un long moment sans paroles eut lieu. Ni lui ni moi on n’osait parler de peur de briser le moment, qu’il disparaissent où qu’il ne soit qu’un mirage.
Il sortit de son mutisme, me demandait si j’étais toujours décidée. Je répondais que oui, que je ferais comme il avait demandé jusqu’au bout. Vous pensez bien que j’avais retourné la chose dans ma tête depuis le début. Il y avait tant inconnues, je n’aimerais peut être même pas touche son sexe, ni poser ma bouche dessus, encore moins l’introduire et le faire gicler dans ma bouche, ensuite que faire ? Recracher, avaler ? j’avais en fin de compte décidé de laisser faire et de suivre mon instinct.
Je me sentais à l’étroit dans mon slip car je bandais déjà. Je me demandais si c’était pareil pour lui, j’eus rapidement la réponse quand il fit glisser son pantalon et que je vis la bosse énorme déformant son caleçon. Mue par une envie soudaine, je posais ma main sur la bosse au travers du coton je sentait sa queue palpiter et se tendre plus au contact de ma main. Je fit glisser le caleçon. Découvrant sa belle queue déjà décalottée. Il s’installa confortablement sur le lit. Je m’allongeais sur le ventre comprimant mon sexe contre mon pubis.
Il me regardait dans les yeux, tu le fais demanda t-il . Je hochais la tête et éméttais un petit oui qui resta coincé dans ma gorge. Doucement je posais mes doigt sur sa tige durcie, il frissonna et ferma légèrement les yeux avec un petit soupir. Enfin j’avais une queue dans ma main, c’était doux, elle palpitait comme un petit a****l, mon sexe me faisait mal tellement je bandais. Mes doigts se serrèrent autour de lui, encore une fois la queue se tendit sous le contact. Déjà décalottée je tirais légèrement vers le bas, ce qui fit remonter ses couilles sous la caresse, je ne perdais pas son visage de vue. Il semblait aimer ce que je faisais. J’approchais ma bouche, j’avais le nez presque contre le gland, aucune odeur désagréable, le gland était rose, la peau tendue je voyais des tas de petits picots autour de son gland, tout petits et la juste devant ma bouche de chaque côté du frein, une petite pointe blanche qui j’allais le découvrir était tellement sensible. Jamais je n’avais pu voir un sexe aussi distinctement. Je ne voulais pas aller trop vite ni le faire trop attendre. Je surveillais ses réactions, pour le moment il semblait aimer ce que je faisais. Moi j’adorais être là et je réalisais un rêve, assouvissais un fantasme. Je ne savais pas encore que je vivrais cette situation ad nauseam dans les années à venir. A cet instant je n’aurais cédé ma place pour rien au monde. Mue par l’instinct je déposais un baiser sur le gland, le contact avec mes lèvres tira un petit soupir du garçon qui me regardait faire maintenant. Je dardais ma langue et touchais le gland doucement, puis je léchais le frein comme je l’aurais fait d’un esquimau. Je découvrais le goût de sa queue c’était assez neutre un peu salé sans doute la sueur, un peu poivré aussi . C’était doux et agréable. Je léchais sa tige, la mouillant de salive, puis le gland tournant autour, glissant ma langue dans les plis de chair, puis de la pointe de la langue je taquinais l’orifice de sa pine. Il parut aimer, je recommençais il geint légèrement, je retrouvais la même saveur ou proche de ma liqueur que j’aime tant. Avec mes lèvres je couvrais, son gland. Je le pris entier dans ma bouche tout en continuant de l’agacer avec ma langue. Il avait les yeux mi-clos et je sentais ses hanches qui montant vers moi tentait d’enfoncer sa queue plus loin dans ma bouche. J’adorais la sensation de pouvoir que j’avais sur lui. C’était moi qui conduisais les choses, moi qui décidais de son plaisir, moi qui pouvais le lui refuser c’est la revanche un peu des femmes sur les mâles. Mes angoisses, mes questions s’envolaient, je me sentais à ma place, dans mon rôle. J’étais faite pour donner du plaisir, j’y prenais plaisir véritablement. En le suçant mes hanches roulaient de gauche à droite massant mon sexe, je frissonnais moi aussi quand des vagues de plaisir montaient en moi. Je descendais de plus en plus l’anneau de mes lèvres sur la queue palpitante. J’enfournais la moitié de cette pine dans ma bouche, elle en ressortait luisante de salive, ma bouche glissais de plus en plus loin, je voulais la prendre totalement dans ma bouche. Je me régalais de l’expression de son visage qui disait tout le plaisir que je donnais. Chaque fois que j’allais plus loin il gémissais. Je sentis ses mains se poser sur ma tête et me caresser doucement les cheveux, les joues. C’était une sensation nouvelle, peu de chose en fait mais pour moi c’était le début d’un plaisir qui n’était pas à sens unique, je donnais mais recevait aussi et ses doigts dans mes cheveux me firent frissonner. J’avalais totalement son membre, mes lèvres touchaient son pubis, mon nez était chatouillé par ses poils. Son gland était dans ma gorge me tirant des larmes, mais j’adorais la sensation de cette chair emplissant ma bouche. Il donnait maintenant des coups de reins allant au devant de ma bouche qui l’avalais. Il me baisait la bouche. J’étais non plus inquiète de la conclusion, je la souhaitais même , j’avais hâte de sentir se répandre sa semence, sentir gicler cette bite de mâle dans ma bouche. Si j’avais encore des doutes ils s’envolaient, j’étais faites pour çà, je n’étais à l’évidence qu’une petite femelle et non un garçon comme le voulait mes parents. J’aurais aimé qu’ils puissent me voir, en petite salope en train de pomper un beau garçon. J’aurais aimé qu’ils puissent me voir me faire défoncer comme une chienne. J’étais jeune et idiote je ne savais pas où la vie allait me mener. A cet instant je prenais du plaisir à faire se tortiller ce garçon. Il gémissait de plus en plus fort, et n’arrêtait pas de me dire oui c’est bon, c’est bon. J’espérais qu’il m’arrêterais pour me prendre, autant que je le redoutais car j’avais envie qu’il jouisse dans ma bouche. Ma main massais ses couilles, les pressais, les malaxais. J’adorais sentir ses olives rouler dans ma main, je pressais sans forcer je ne voulais pas faire de mal. J’ai appris depuis qu’une manipulation plus appuyée n’est pas désagréable du tout, autant pour moi que pour mes partenaires.
La queue était ruisselante de salive, luisante et gonflée, qu’elle était belle. Je sentais que la conclusion approchait , il poussait des cris des grognements poussait ma tête contre son ventre, entre mes lèvres la queue se tendait tressautait. Ma main qui massait ses couilles les sentirent se dérober monter à la base de sa queue, tandis que ses mains poussaient ma tête contre son ventre. Ce fut foudroyant il poussa un long cri, me plantant son gland das le fond de ma gorge et là je sentais les giclées brûlantes de son sperme au plus profond de ma gorge. Ma bouche se remplissait, le foutre coulait dans ma gorge, douceâtre, épais, onctueux j’étais surprise d’aimer tant ce goût cette texture. J’avalais déglutissais sans le moindre dégoût ou haut le cœur, je me régalais même. Mais je sentais le feu ronger mon ventre , mon sexe avait besoin d’être libéré. Tandis qu’il reprenait ses esprits je m’étais mise à l’aise , ma queue petite certes mais dure comme une tige de fer, trempée de liqueur, j’avais mouillé tellement qu’un large tâche sombre se dessinait sur mon slip. Je quémandais, s’il te plaît, s’il te plaît. Il hocha l’a tête s’agenouillant à côté de moi , il posa sa main sur ma queue, ce fut comme un court circuit, un éblouissement. A peine avait il refermé ses doigts sur ma tige que dans un cri j’explosais les reins secoués par le plaisir, tremblante mon sperme giclait partout, violemment, loin plusieurs jets s’écrasaient sur mon visage, sur ma chemise et sur mon ventre. Une vague de plaisir m’avait ravagé en une fraction de seconde. Pour une première jouissance elle resterait gravée dans ma mémoire et je dois dire que si bref fut cet instant, je sent encore chaque sensation , chaque détail comme si c’était en cours, je sais ou mon sperme coulait sur ma joue droite coulant sur mes lèvres , je léchais ce qui arrivait de la pointe de ma langue. Le garçon était stupéfait, il semblait déçu, il avait peur de m’avoir déçu en fait. Tout avait été si vite. Je le rassurais j’avais eu un plaisir immense à le faire jouir dans ma bouche, et même si rapide mon plaisir avait été d’une intensité incroyable, malgré les apparences ma première fois était un vrai succès.
Par la suite je connaîtrais tant de choses, des plaisirs forts, insensés parfois. Des moments de doute ou de désespoir. Nous aurons l’occasion d’en reparler.
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