Lisa avait flashé sur mes photos sur un site, et suite à cela, elle m’avait contacté par e-mail. De fil en aiguille, et après échange de photos plus ou mois suggestives, on se donne rendez-vous, un midi, sur un parking de supermarché. Je ne la connais guère puisque je n’ai pas vu son visage sur les photos, et je ne l’ai vue qu’en sous-vêtements, contrairement à moi qui suis apparu dans le plus simple appareil. Je sais simplement qu’elle a la quarantaine et un corps aux formes généreuses, notamment, une paire de seins qu’elle m’a annoncés comme étant du 105 D.
Effectivement, après quelques hésitations, on se retrouve et je découvre Lisa, plus sexy encore qu’en photo, vétue d’un blouson de cuir s’ouvrant sur unTee-shirt moulant, sculptant magnifiquement sa grosse poitrine. Ses longues jambes montées sur des escarpins sont gainées par un leggings noir et quand elle se retourne, je peux admirer un joli cul bien rond. Son visage ne parait pas non plus son âge et est encadré par de jolis cheveux châtains foncés bouclés tombant sur ses épaules.
Je pense que notre rencontre nous excite l’un autant que l’autre et Lisa m’enlace aussitôt et m’embrasse voluptueusement sur le parking. Nous décidons d’aller dans ma voiture, et j’engage la conversation :
– Je te trouve encore plus belle et plus excitante qu’en photo
– Je vois… que ça t’excite, dit-elle en matant ma braguette gonflée
– Tu me fais très envie…et j’aimerais bien te connaître davantage
– Humm ! Moi aussi ! Tu connais un coin tranquille, pas loin ?
– Oh, oui, si ça te dit, il y a un petit coin de forêt à 2 minutes d’ici… Il n’y a jamais personne et…
– Allons-y !
Quelques minutes plus tard, nous arrivons sur les lieux. Je lui demande si elle préfère rester dans la voiture ou plutôt aller dans un petit coin tranquille de la forêt. Elle opte pour la seconde solution :
– J’adore être à l’extérieur… si tu as de quoi s’assoir, ce sera mieux…
– Oui, j’ai une couverture dans le coffre…
Nous voilà donc parti pour nous enfoncer dans la forêt. Je la laisse choisir un coin qui lui plait et j’y installe la couverture. Elle me laisse à peine le temps de me relever et se jette sur moi :
– Humm ! Laisse-moi te retirer ces vêtements ! Il faut que je voie de mes yeux ta belle grosse queue !
– OK ! J’enlève le haut et tu t’occupes du bas…Mais toi aussi tu vires ton blouson, ton Tee-shirt et ton pantalon…je gère le reste…
En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, je me retrouve à poil, et elle en sous-vêtements. Ma queue est hyper raide et Lisa ne se fait pas prier :
– Putain c’qu’elle est belle ta bite ! Bien épaisse, bien longue et surtout bien courbée ! J’en ai tellement envie ! Allez allonge-toi !
Je m’allonge donc sur le côté sur la couverture, et la belle, à genoux, s’empare de mon membre, se penche au-dessus, mais il est tellement raide qu’elle ne parvient pas à le redresser. Il faut donc qu’elle s’allonge, à l’envers de moi et c’est ainsi que je sens sa main faire coulisser mon prépuce pour extirper mon gland, puis ses lèvres humides viennent le suçoter pendant quelques instants.
C’est fabuleux ! Mon gland pénètre et ressort de sa bouche, bien caressé par ses lèvres. Puis sa langue vient tournoyer autours avant qu’elle ne m’avale un peu plus profondément. Je suis très excité car elle suce vraiment divinement. Ma queue pénètre dans sa bouche et Lisa se l’enfonce tellement loin… Elle est surexcitée et moi je commence à l’être aussi, d’autant que j’ai son entrejambe sous les yeux et j’aperçois, à travers sa culotte de dentelle blanche, une jolie toison brune dont quelques poils s’échappent sur les côtés. Je ne peux me retenir que d’y avancer mon visage et de le coller contre sa touffe. J’en respire les senteurs exquises d’une chatte qui mouille et cela ne fait qu’amplifier mon excitation. Puis inquiète, elle s’arrête pour me prévenir :
– Désolé, mais je ne me rase pas le minou ! Mon compagnon l’aime bien ainsi et…
– Au contraire ! J’adore ça ! Fais-moi voir ce trésor !
Je glisse une main dans sa culotte et mes doigts se faufilent directement dans un buisson superbement fourni. Du coup, ma deuxième main y pénètre pour retirer ce dessous gênant :
– Putain ! quelle chatte ! Elle est magnifique ! Ouvre-moi tes jambes que j’admire ça ! humm ! Faut que je te la bouffe ! Tu m’excites !
– Oh oui ! J’adorerais ça ! c’est tellement rare que les hommes me lèchent la moule, les poils les dégoute généralement… même mon compagnon ! Allez ! Vas-y !
Je ne me fais pas prier. Je relève une de ses jambes pour ouvrir sa chatte et je plonge ma langue à travers sa touffe, tandis qu’elle reprend ma bite en bouche. Sa fente s’ouvre au passage de ma langue et son odeur me déchaine. J’atteins rapidement son clitoris et l’aspire dans ma bouche pour le branler… humm ! Elle aime ça et en redemande, ondulant magnifiquement des hanches. Pour être plus à l’aise, Je la fait passer au-dessus de moi et m’enjamber, ce qui me permet de lui dévorer toute la fente ! Je la lèche partout et caresse son beau cul. Sa chatte coule de plaisir et elle se frotte le clito contre ma bouche tellement vivement qu’elle finit par me jouir dessus. Je bois son jus avec délice et je lui fourre ma langue et mes doigts dans son vagin gluant… Je la sens prête à se faire défoncer. Mais je n’ai pas encore découvert sa fabuleuse poitrine et je lui arrache son soutif : Deux énormes masses apparaissent avec de jolis tétons que je m’empresse de sucer. Elle est vraiment superbe avec ses gros nichons et sa chatte touffue… J’ai envie de l’enfiler ! Je me mets à genou et je l’invite à venir s’assoir face à moi :
– Allez, viens t’assoir dessus, j’ai trop envie de te voir t’enfiler sur ma queue !
– Humm ! oui dit-elle, en arrivant debout devant moi et en faisant glisser sa chatte trempée sur mon ventre.
Sa fente touche désormais mon gland et sans modération elle s’empale de tout son poids sur mon dard. Mon gland s’enfonce dans sa caverne chaude et humide et Lisa commence à coulisser le long, très excitée. Elle accélère et devient folle sur mon manche pendant que d’une main et de ma bouche, je lui maltraite les nichons qui me frappent le torse ou le visage à chaque fois qu’elle s’empale, tandis que de l’autre, je titille son clito gonflé. Elle gémit, crie, souffle, puis elle se met à jouir longuement. J’ai l’impression qu’elle ne va pas s’arrêter. Moi aussi j’ai envie de jouir mais je veux encore la limer pour la voir et l’entendre jouir encore !
Je la retourne sur le dos, me mets à genoux entre ses cuisses, et je l’embroche, position du missionnaire quelques minutes, puis je relève ses jambes sur mes épaules pour la pénétrer encore plus loin et je la défonce sauvagement à grands coups de reins. Elle crie comme une folle, son cul claque contre mes cuisses et sa touffe ébouriffée est maculée de sa jouissance alors que par deux fois, dans cette position, elle me déverse sa liqueur sublime sur le dard. Puis, je sens que cela va être à mon tour de me lâcher et je la préviens :
– J’vais jouir ! j’ai envie de te jouir sur les seins !
– Viens entre mes seins ! viens et arrose-moi !
– J’en peux plus ! Lui dis-je, alors qu’à genoux au-dessus d’elle, elle resserre ses gros nibards autours de ma queue. Je me branle encore un peu entre ses deux globes…
– Vas-y ! viens ! crache tout !
Un soubresaut m’envahie et un puissant jet s’échappe de mon gland, puis un second et un troisième, puis de plus petits qui n’en finissent pas. Jai l’impression que c’est interminable, et ses nichons sont souillés de mon sperme chaud et son visage éclaboussé, alors qu’elle avance sa bouche pour laver mon gland et déguster mon nectar. Se relevant, elle s’accroche à ma queue et la reprend en bouche pour l’aspirer et boire les dernières gouttes de mon foutre.
Je suis épuisée mais encore excitée et ma bite reste raide encore un long moment, alors que la belle Lisa se nettoie avec quelques Kleenex…
Puis on s’enlace, et se caresse pendant de longues minutes. Je ne me lasse pas de ce corps décidément parfait. On se rhabille et l’on se donne rendez-vous pour le lendemain, encore ou déjà tout excité.
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