Mathilde avait 34 ans quand on s’est séparé. Quelques mois plus tard, en l’apercevant dans un rayon de librairie, j’étais loin d’imaginer qu’en fin de journée, après avoir pris un café et plusieurs verres avec elle dans un bar du quartier, je lui lècherais le cul dans mon canapé.
Nous avions passé six années ensemble et, sur la fin, notre couple battait des deux ailes. J’étais parti sans regrets et elle était restée dans l’appartement où on avait vécu. Pour ma part, je m’étais installé dans un grand studio. J’étais rapidement passé à autre chose, notamment par l’intermédiaire de sites de rencontres, histoire de me divertir, de profiter de la vie et de mon célibat.
Ç’avait été assez efficace.
De son côté, Mathilde m’expliqua ce jour-là qu’elle avait également fait quelques rencontres depuis notre séparation, principalement en se faisant aborder dans la rue. Elle non plus ne s’était pas privée. Mais nous ne sommes pas entrés tout de suite dans les détails. On ne s’était pas revus depuis huit mois exactement, et nous étions dans un lieu public et bruyant. Nous avons attendu un peu et changé de sujet.
Il est très étrange de revoir une exe de cette façon. Je savais tout d’elle. Et tandis que nous discutions dans ce bar, je ne pus m’empêcher de la revoir à poil. Je connaissais sa garde-robes et nombreux de ses sous-vêtements. Je savais comment elle était faite, ce qu’elle aimait et ce qu’elle n’aimait pas.
Ce jour-là, elle portait une élégante robe noire qui ne me disait rien du tout et qui lui arrivait à mi-cuisses. Des bretelles, une fermeture éclair dans le dos, des collants marrons, très sobres, et des petites bottines en daim noir. Elle s’était maquillée, mais discrètement. Elle portait un chignon et il fallut trois verres de vin pour qu’elle revienne d’elle-même vers le sujet, au terme d’une trêve dans la conversation.
Elle m’a dit :
– Alors, combien de femmes as-tu rencontrées ?
Un peu surpris, j’ai souri. Elle me demandait un chiffre…
J’ai répondu :
– Je n’ai pas compté. Je dirais une quinzaine.
– En huit mois, c’est bien, a-t-elle dit en souriant également. Uniquement avec un site Internet ?
– Non. Le milieu du journalisme offre aussi des occasions.
– C’est-à-dire ?
Elle prenait une gorgée de vin toutes les dix secondes, sans me quitter des yeux. Les siens commençaient à briller.
– Eh bien, je n’arrête pas de vadrouiller à droite et à gauche, dans des milieux différents, alors forcément je croise du monde.
– Tu dois t’amuser, dit-elle en souriant.
– Et toi, combien d’hommes ?
Elle a terminé son verre, puis l’a reposé délicatement devant elle avant de me répondre :
– J’ai couché avec cinq mecs, dont un que je vois de temps en temps.
– Vous êtes ensemble ?
– Non, il est marié. C’est juste pour le cul.
Ces simples mots m’ont fait bander aussitôt. J’avais passé six ans avec cette nana, on ne s’était pas vus depuis huit mois, et elle venait d’employer le mot « cul » dans une phrase.
Je ne pus m’empêcher de me remémorer le dessin de ses fesses.
J’ai répondu bêtement :
– C’est chouette.
Elle a souri, puis fait un signe à la serveuse pour qu’elle nous remette la même chose. J’ai terminé mon verre et Mathilde a dit :
– Et toi, tu as une régulière ?
J’ai répondu :
– Non. C’est juste pour le cul aussi.
Elle ne souriait plus. Elle semblait songeuse.
La serveuse devait être châtain foncé, mais l’extrémité de ses cheveux mi-longs était teintée en blond. L’effet était réussi. Elle avait dans les 25 ans et un petit badge sur sa poitrine disait qu’elle s’appelait Chloé. J’aurais volontiers baisé Chloé dans la minute qui suivait, dans les toilettes.
Mathilde a aussitôt pris une gorgé de vin et dit :
– Ça te choque qu’on parle de cul ?
– Non, au contraire. C’est mieux que si on s’en tenait à nos boulots et nos déclarations d’impôts.
Elle s’est remise à sourire. Elle avait toujours bu deux fois plus vite que moi. J’ai fait en sorte de la ratt****r, mais ce fut compliqué.
Elle a continué :
– Le mec dont je t’ai parlé à 59 ans, mais je me suis aussi fait un jeune.
J’ai failli avaler de travers :
– Quel âge ?
– 22.
Je me remis à bander.
– C’était qui ?
– Un étudiant en droit. J’étais sorti devant un café pour fumer et il s’est approché pour me demander du feu.
– Et ?
– Et je lui en ai donné. On a fumé en discutant, puis il est venu à ma table. On a bu des verres et on a passé la soirée chez lui. Et toi, quel âge avait la plus jeune ?
J’ai réfléchi. Je m’étais tapé deux jeunes. Une élève du Conservatoire de théâtre, à la suite d’un reportage, et une étudiante en Lettres, grâce à Internet, mais je ne me souvenais plus de leur âge.
J’ai répondu :
– 19.
– Eh bien, tu ne t’embêtes pas, m’a fait Mathilde.
Elle m’a posé d’autres questions et je lui ai répondu. Une partie de moi cogitait en parallèle de notre dialogue. Je me souvenais d’un soir où, en faisant du rangement chez nous, j’étais retombé sur une pochette de photos papier que j’avais réalisées bien avant de rencontrer Mathilde. Elles étaient restées dans un classeur, alors que j’étais sûr de m’en être débarrassé. Vingt-quatre clichés d’une étudiante qui s’appelait Julie, avec qui j’avais eu une relation dans les années 90. Elle était à poil sur les photos.
Par la suite, j’étais venu à en parler à Mathilde qui avait insisté pour les voir. Je me souvenais parfaitement de ce qui s’était passé ensuite. Elle les avait passées en revue, de la première à la dernière, calmement, puis elle s’était tournée vers moi pour me demander si je voyais un inconvénient à ce qu’elle se masturbe en revoyant la série. Evidemment, je l’avais laissée faire. Non seulement je savais qu’elle avait toujours eu une attirance pour les filles, mais en plus de ça je bandais comme ce n’était pas permis. Pour couronner le tout, Mathilde s’est mise complètement à poil pour se masturber, à côté de moi, debout devant la table où les photos étaient alignées.
J’avais fait exactement la même chose, en son absence, quelques jours avant, après les avoir découvertes. J’avais éjaculé sur un Kleenex posé près des photos. Pour finir, on a baisé en parlant à voix haute.
Au cinquième verre, Mathilde m’a dit :
– Ça te fait quoi de savoir que je couche avec un mec de 59 ans ?
– A ton avis, ça me fait quoi ?
Elle m’a fait un grand sourire :
– A mon avis, ça te plait.
– Exact.
– Pourquoi ça te plait ?
– Parce que je me souviens du jour où tu m’as dit que tu avais couché avec le père d’une copine de fac. L’état dans lequel ça m’a mis de t’imaginer avec un mec qui avait l’âge de ton père…
– J’adore me mettre toute nue devant lui.
– Tu le vois souvent ?
– Il vient chez moi demain soir.
– Salope.
Elle a éclaté de rire, puis fini son verre avant de répondre :
– Tu as du vin chez toi ?
En arrivant, elle a voulu prendre une douche, mais je lui ai dit que je préférais qu’elle n’en prenne pas. On n’a pas perdu de temps. Elle a enlevé sa culotte et s’est mise à quatre pattes sur mon canapé après avoir retroussé sa robe jusqu’au milieu du dos. Ce n’étaient pas des collants qu’elle portait, c’étaient des bas. Je lui ai léché le cul et j’ai cru que j’allais tomber dans les pommes. J’avais parfaitement en mémoire le goût exquis de son anus, proche du café au lait sans sucre. Celui de sa chatte, aussi, que j’ai léchée juste après, en lui cramponnant les fesses.
Ensuite, j’ai fait glisser mon pantalon et mon caleçon à mes chevilles et je l’ai pénétrée dans la même position. Ma queue est entrée en elle comme dans un pot de confiture. Elle se branlait, je le sentais. Le bout de ses doigts et ses ongles effleuraient mon gland au fil de mes va-et-vient. Je bandais à l’idée que des bites l’avaient pénétrée depuis qu’on était plus ensemble.
Je lui ai dit :
– Alors comme ça, demain soir, tu vas te mettre à poil devant un mec qui pourrait être ton père…
– Oui. Ça le rend fou à chaque fois. Il éjacule très vite.
– Où est-ce qu’il éjacule ?
– Ça dépend, a-t-elle répondu dans les secousses, entre deux souffles. Soit sur ma chatte, soit dans ma bouche.
– Tu laisses éjaculer les hommes dans ta bouche, maintenant ?
– Oui, j’ai appris à aimer ça. C’est l’étudiant qui l’a fait pour la première fois. Une longue décharge liquide.
J’ai répété :
– Salope.
Elle a ri tout en gémissant, puis elle a dit :
– Il y a beaucoup de mecs qui cherchent des nanas sur le site Internet où tu vas ?
– Une écrasante majorité, pourquoi ?
– Parce que j’ai bien envie d’essayer. Plus le temps passe et plus je me sens salope. Tu sais ce que j’aimerais, là ?
– Non, dis-moi.
– Sucer une bite pendant que tu me bourres la chatte.
Sur ces paroles, je me suis retiré en lui disant :
– Tourne-toi.
Elle a obéi, puis approché sa bouche de ma queue. Elle l’a ouverte en tirant la langue et je me suis branlé au-dessus en disant :
– Tu veux vraiment une deuxième bite ?
– Oui. Je n’ai jamais fait ça.
J’ai posé mon gland au bord de sa langue.
– Je peux te présenter un pote. Je pense qu’il te plaira.
Elle a pris le temps de me répondre en me regardant dans les yeux :
– Je me fiche qu’il me plaise ou non. Je veux juste deux bites pour moi toute seule.
Puis elle a rouvert la bouche, juste à temps pour accueillir ma première giclée de sperme. Elle se caressait toujours la chatte, à genoux au bord de mon canapé.
La deuxième giclée a atteint son menton et s’est mise à couler. J’adorais sa chatte. Elle s’épilait au maillot, mais il lui était arrivé de ne pas le faire, dans le courant d’un été, et quelques hommes avaient eu le plaisir de voir ses poils dépasser, sur une plage.
La troisième giclée revint à sa langue. J’avais envie de voir une autre bite que la mienne s’enfoncer dans la chatte de mon exe, et décharger comme ça dans sa bouche.
La dernière giclée est restée suspendue à mon gland, jusqu’à ce que la langue de Mathilde ne la happe pour l’avaler en me souriant.
Le lendemain, j’ai passé ma soirée à me branler, tantôt en me disant qu’à cet instant elle était à poil dans un lit avec un mec de l’âge de son père, tantôt en imaginant qu’elle se faisait tripoter les seins par mon pote, sous mes yeux. Puis qu’elle lui montrait sa culotte.
J’ai éjaculé deux fois ce soir-là.
Puis mon téléphone a sonné.
C’était Mathilde.
Elle m’a dit comme ça :
– Il vient juste de repartir. Je suis sur mon lit avec du sperme sur le ventre. Tu veux venir ?
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