Je l’ai connue à Paris. Elle y était venue de son pays avec des amis parce qu’elles voulaient voir la France. Ils parlaient russe ou quelque chose comme ça. Pendant qu’ils se prenaient en photo, elle se tenait à l’écart et j’ai tenté ma chance en français mais elle m’a répondu qu’elle ne comprend pas et j’ai recommencé en anglais.
– Natasha, m’a dit la fille ! Je suis de Kharkov ! Vous êtes de Paris ?
Je n’y étais pas vraiment mais j’ai menti juste pour le plaisir de faire sa conquête.
– Kharkiv, Ukraine, m’a précisé la fille !
Elle était grande et belle. De longues jambes, des doigts fins, presque pas de poitrine ou enfin. Un tatouage pointaient sur son poignet droit.
Je lui ai demandé si elle aime ça et elle m’a répondu qu’elle en a toute la manche et comme je ne comprenais pas, elle a remonté la manche de son sweater et j’ai pu voir la succession de tatouages jusqu’àprès son coude.
Je lui ai dit que c’est beau et elle m’a remerciée puis je lui ai demandé si elle veut venir dîner avec moi.
J’ai ajouté que je connais un cabaret où il y a des chansons de son pays mais ce n’était pas ce qu’elle voulait et nous sommes allés au Mcdo.
Pendant tout le repas, je l’ai regardée parce que j’étais vraiment fasciné. Après, je lui ai dit que je connais une boîte de nuit et elle m’a répondu qu’elle ne couche pas avec les garçons.
– Tu es lesbienne ?
Elle a commencé à se justifier mais elle m’a vite dit que c’est pour se défendre des hommes qu’elle leur répond ça. Elle s’était appuyée sur une grille et ça faisait ressortir ses fesses.
– Tu as un cul magnifique, lui ai-je lancé !
– Quoi ?
– Tu as un cul magnifique !
Elle m’a remercié.
– Si l’autre côté est à l’avenant, tu dois être superbe, ai-je ajouté !
– Quoi ?
– Je dis que tu dois avoir une belle chatte !
Elle m’a répondu que je devrais avoir honte et j’en ai profité pour lui coller un baiser sur la bouche. Elle s’est défendue.
– Et puis, après tout, a-t-elle ajouté, si je suis venue à Paris, c’est pour perdre mon pucelage ! C’est la ville de l’amour !
Je travaillais dans le coin. Une petite agence. En plus du bureau, il y avait une chambre pour quand je finissais tard.
– Tu es prête à tout, lui ai-je demandé alors qu’on se dirigeait vers l’agence ?
– Quoi ?
– Tu me sacrifiera tes trois trous, ai-je insisté ?
– Quoi ?
Décidément, elle ne semblait rien comprendre quand je parlais de sexe mais un peu plus tard, elle m’a dit que Paris est le meilleur endroit pour faire l’amour.
Je l’ai fa entrer dans l’agence et j’ai posé son manteau sur une chaise puis je l’ai emmenée dans la chambre. C’est là que Natasha m’a demandé si on ne peut pas aller ailleurs. Il ne restait que la terrasse au sommet de l’immeuble. J’ai pris une couverture dans le placard et nous avons pris l’ascenseur. Il faisait beau. J’ai étalé la couverture sur le toit.
– On se déshabille, lui ai-je proposé ?
– Quoi ?
Elle se moquait de moi parce qu’elle a retiré son sweater et en plus de son bras tatoué, j’ai vu ses jolis seins parce qu’elle n’avait pas de soutif. J’ai sorti ma bite et elle a exigé que je me déshabille entièrement puis elle m’a fait un pompier.
Ça, au moins, elle avait l’air de savoir le faire si bien que j’ai joui dans sa bouche. Après, on s’est allongés sur la couverture. Je lui ai demandé ce que signifie ses tatouages.
– Ça, c’et moi, a-t-elle commencé, je suis la lionne dans la jungle et je recherche un mâle ! Ça c’est une licorne et sa corne représente un pénis. Là, c’est une fille à soldat ! Là, a-t-elle commencé avant de se coller contre moi et me dire de la prendre.
Je recommençais à bander mais j’avais envie qu’elle me branle et elle m’a branlé. Je lui ai demandé si c’est ça qu’on apprend aux filles dans son pays et elle m’a répondu que ce n’est que du sexe.
J’ai protesté que faire l’amour… mais elle n’a pas voulu m’écouter.
– Enfonce-toi, m’a-t-elle supplié !
– Chez nous, les filles qui font comme toi, ce sont des putains, ai-je insisté !
– Prends-moi, m’a-t-elle intimé en écrasant mes couilles avec ses doigts !
Il a bien fallu que je m’exécute mais après l’avoir prise de face, elle a voulu que je la prenne en levrette.
– Plus profond dans le trou, m’a-t-elle crié et j’ai fait ce que j’ai pu et j’ai limé pendant un bon moment puis j’ai dérapé et quand je me suis renfoncé, je me suis rendu compte que j’étais dans son anus et j’ai continué.
– Tu m’encules, m’a dit Natasha en éclatant de rire ! Quand je dirais à mes copines que j’ai fait l’amour comme une putain !
Après m’avoir fait jouir, on s’est remis sur la couverture. Il y avait du sperme partout mais ça ne semblait pas la gêner.
– N’aie pas peur, a-t-elle ajouté ! Toutes les femmes sont des putes ! J’ai une tante en Suisse et c’est le métier qu’elle fait ! Elle m’envoie de l’argent quand elle peut. Elle m’envoie aussi des photos ! Les hommes sont assez bêtes pour se faire photographier avec elle dans l’amour !
– Tu as des photos de ta tante, lui ai-je demandé ?
Elle m’a répondu qu’elle en a dans son sac à main. Il était resté en bas. Nous nous sommes enroulés dans la couverture et nous sommes redescendus pour nous laver et nous rhabiller puis elle m’a montré les photos qu’elle avait.
– C’est ta tante, lui ai-je demandé ?
– Oui, parce qu’à côté d’elle, c’est moi, a-t-elle ajouté !
Elles étaient toutes les deux en string et de face et comme elles étaient entièrement épilées, ça mettait tout en valeur. Il y avait plusieurs photos de cet acabit et je lui ai demandé si sa mère les avait vues.
– Oui !
– Et qu’est-ce qu’elle en pense, lui ai-je demandé ?
– Elle dit qu’on est belles !
– Elle sait que sa sœur fait la putain ?
– Oui ! C’est toujours mieux que de travailler pour gagner pas grand chose, a-t-elle ajouté !
Elle m’avait raconté qu’elle était étudiante.
– Et tu vas la rejoindre en Suisse ?
– Pourquoi pas ?
– Et si tu rencontre un homme assez riche ?
– Toi, m’a-t-elle demandé en éclatant de rire ? Personne ne pourra jamais m’enchaîner et si mon cul peut me libérer, pourquoi pas ? Dieu nous a données plusieurs trous, alors qu’ils servent à quelque chose ! On a fini ? Combien tu me donnes ?
– Quoi ?
C’était à mon tour de m’étonner.
– Cinq cents euros, ça serait pas mal, a ajouté Natasha ! Je pourrais m’acheter des cadeaux !
J’ai regardé dans le tiroir du bureau. J’y laissais toujours de l’argent au cas où. J’ai pris cinq billets de cent mais la fille m’a dit qu’elle prend aussi le reste puis elle a ajouté que demain soir, je n’aurai qu’à venir à son hôtel et qu’on y fera plusieurs passes.
Je l’ai raccompagnée à son hôtel. En ressortant, j’ai demandé au concierge en lui glissant un billet si les petites ukrainiennes sont là pour longtemps. Il a regardé puis il m’a dit qu’elles y sont jusqu’à dimanche après-midi. J’ai calculé que mercredi, jeudi, vendredi, samedi, ça me laissait quatre nuit. Je n’avais qu’à tirer de l’argent au distributeur.
Le lendemain soir j’ai guetté la troupe et j’ai suivi Natasha. Elle était avec une de ses copines. Je les ai laissées prendre un peu d’avance puis je suis allé sonner à la porte de leur chambre mais elles se sont arrêtées dans le couloir pour se rouler une pelle puis Natasha s’est aperçue de ma présence et elle m’a fait signe d’approcher et elle m’a dit que je peux en avoir deux pour le prix d’une.
Une fois dans la chambre, j’ai payé. Nous nous sommes déshabillées. L’autre fille était plus musclée et aussi plus mamelue. Je lui ai demandé si Natasha est sa copine.
– Tu sais, elle, m’a-t-elle expliqué, c’est une obsédée. Elle peut avoir les deux trous du bas occupée, elle léche une chatte ! J’étais jalouse au début mais j’aime bien cette salope ! Elle ne refuse jamais rien !
– Elle m’a dit qu’elle va faire la pute en Suisse, ai-je hasardé ?
– Tu crois peut-être qu’on va faire des passes en Ukraine pour deux euros ? L’an prochain, je vais travailler dans un bordel en Allemagne !
– C’était pas la peine de faire des études !
– Oui, mais c’est comme ça, m’a fait la fille !
– On y va, nous a demandé Natasha ?
Elles se sont mises en soixante-neuf et je suis passé de l’une à l’autre puis je les ai regardées se léchées. Qu’elles étaient belles !
Puis elles se sont fait un fist, l’une et l’autre, face à face.
– Tu vois, m’a dit Natasha ! Pas besoin d’aller à l’école pour ça ! On s’est formées toutes seules !
Les bras entraient et sortaient dans les chattes et les mains n’en ressortaient pas.
– Encule ! Encule ! Encule ! Encule, me suppliais Natasha.
Je l’ai enculée et j’ai aussi enculé sa copine et je suis rentré chez moi mais le lendemain soir, les oiselles avaient disparu.
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