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J’INCITE MON ÉPOUSE A ME FAIRE COCU (2)

J’INCITE MON ÉPOUSE A ME FAIRE COCU (2)



Une histoire érotique écrite par caruso

La visite terminée, ma chérie me demande d’amener Serge dans la villa ou nous avons élu domicile, un peu réticent au début, je cède sous la pression de la belle.

Elle s’est installée à l’arrière du véhicule, Serge à sa droite. J’ai fait mine de régler le rétroviseur avant de démarrer, mais en fait je l’ai positionné directement sur le couple pour épier ce qu’ils font, car je me doute bien de ce qu’il va se passer sur la banquette arrière.

À peine avais-je commencé à rouler que mon épouse l’attirait déjà à lui.

À mon grand émoi, je les ai vus s’embrasser fiévreusement, les deux corps emboîtes l’un dans l’autre.

J’avais un mal fou à fixer ma route avec attention, tant mon regard se trouvait irrésistiblement attiré par les deux individus qui à l’arrière, s’étreignaient tout en se touchant.

Je le voyais, assez troublé, tripoter les seins de ma blondinette. Il avait, avec adresse, déboutonné les deux boutons du haut du petit haut de ma femme, et il massait sa petite poitrine dont les tétons pointaient.

Je les écoutais geindre et haleter, avec une excitation allant grandissante et ma conduite en devenait dangereuse. Il avait maintenant glissé une main entre ses cuisses et j’avais un grand mal à détourner mes yeux du spectacle de mon épouse se faisant doigter franchement sa petite chatte .les jambes grandes ouvertes, sa petite culotte descendue jusqu’en bas des chevilles.

Heureusement que la distance nous séparant de la résidence ou nous logions n’était que d’une dizaine de kilomètres, car je pense que nous aurions fini hors du chemin !

Serge a demandé de faire une halte à la pharmacie. Il devait se fournir en préservatifs.

Nous nous sommes retrouvés seuls un bref moment. En me retournant vers elle, j’ai constaté avec trouble son débraillé vestimentaire. Heureusement que la rue était vide de monde, car elle était restée telle qu’il l’avait laissée. Totalement impudique, les seins presque sortis, la jupe relevée sur ses cuisses franchement écartées, ses chairs roses exposées de manière obscène.

J’ai glissé ma main entre les deux sièges, le doigt tendu vers l’arrière. Elle a glissé son bassin pour venir au-devant de moi. J’ai fouillé la fourche de ses deux cuisses, il était tout gluant de mouille.

– Tu n’as pas honte, ma chérie, tu as la chatte toute baveuse ! Ça ne t’a pas gênée de te faire caresser ainsi devant ton mari ?

– Nullement, au contraire, ça m’a énormément excitée. D’ailleurs je suis certaine que tu es dans le même état.

– J’ai apporté des munitions, nous a-t-il annoncé en exhibant sa boîte de préservatifs.

Nous avons ri tous les trois de bon cœur. Puis nous avons repris la route, Bernadette déjà lovée entre les bras de son amant lui butinait sa bouche tout en passant ses mains que je sentais impatiente sur son sexe qui formait une belle bosse, il doit être assez bien monté pensais-je en contemplant la protubérance qui tendait son pantalon.

Un ami nous avait prêté pour une semaine une somptueuse demeure. Et nous nous apprêtions à la partager avec un autre homme. Et cela m’enchantait.

Après ma crise de jalousie du départ, mes fantasmes avaient repris le dessus et je rêvais de la voir prise par cet autre, sa queue qui paraissait assez conséquente n’allait pas manquer de faire crier ma compagne qui est assez bruyante au lit…

Quand nous sommes parvenus au salon, j’ai proposé un verre. Ma femme a demandé un whisky bien dosé, la même chose a rajouté Serge. Ils s’étaient déjà assis côte à côte sur le canapé, se tenant toujours par la main.

Volontairement, j’ai mis du temps à servir nos trois verres d’alcool. J’avais généreusement rempli celui de ma femme, car je savais par expérience que l’alcool la rendait toujours plus amoureuse.

Je les avais laissés seuls un long moment, pour faciliter encore plus leur approche.

Surpris, j’ai failli renverser mon plateau quand je suis rentré au salon. Les choses avaient drôlement évolué entre eux !

Il tétait goulûment un de ses seins et de sa main gauche, avait largement écarté le fond de culotte de ma chérie. Je voyais avec fascination ses doigts habiles s’activer avec douceur entre les lèvres humides de la fente béante. Ma femme, la tête renversée, les yeux clos, gémissait doucement, cependant qu’il titillait avec douceur son petit bouton rose. Ses cuisses étaient largement écartées pour mieux apprécier la caresse et ses chairs luisaient de mouille odorante.

Mon irruption dans la pièce ne l’a semble-t-il pas gêné, car après avoir brièvement relevé la tête, il a continué à glisser de plus en plus vigoureusement ses doigts dans le minou luisant de mon épouse qui l’encourageait à aller encore plus en elle.

Ça me faisait bizarre de regarder l’être le plus cher et le plus intime qui soit, se laisser aller ainsi, entre les bras d’un autre. Ma queue s’était du coup tendue et faisait une bosse obscène sous mon pantalon de toile.

J’ai posé le plateau sur la table basse, ne sachant quoi dire, mais me sentant obliger, je lançais :

– Je vois que vous avez plus ample connaissance, est ce qu’elle te plaît lançais-je à Serge qui ne répondit pas !

Je fixais avec trouble, le doigt allant et venant entre les chairs humides de ma chérie. Ma femme ondulait du bassin de manière obscène, son clitoris visiblement durci avait doublé de volume.

J’avais pensé que mon irruption dans le salon, avec les boissons, allait les interrompre un peu.

Mais au contraire, mon épouse, jusque là passive, a glissé sa main vers l’entrecuisse de son amant et a étreint vigoureusement son sexe entre ses doigts.

C’était la première fois que je voyais Bernadette branler un homme devant moi. Je n’en croyais pas mes yeux. L’émotion me suffoquait. Un instant, elle a entrouvert ses yeux et, comme nos regards se sont croisés, elle m’a souri avec complicité et en me disant.

– Il est bien monté, je pense que ma petite chatte va se régaler…

Maintenant ils se prodiguaient l’un à l’autre du plaisir et leurs deux souffles s’exprimaient bruyamment et à l’unisson. J’étais en transes et mon cœur battait la chamade.

Nous avions tant rêvé de vivre une situation pareille. Tant fantasmé, tous les deux, elle d’un nouvel homme et moi, de la voir entre les bras d’un autre !

Son regard toujours accroché au mien, un léger sourire narquois aux lèvres, elle astiquait avec un plaisir non dissimulé la belle tige vivante. Sa main habile malaxait, triturait, englobait avec adresse et sensualité la splendide queue. Ses doigts manucurés virevoltaient sur la longue tige, englobant par moment, l’énorme gland luisant du liquide pré-séminal.

J’avais souvent imaginé ce genre de situation, j’étais comme hypnotisés, mes yeux ne quittaient pas la main experte de mon épouse.

Serge geignait de plus en plus bruyamment. Il ondulait du bassin, alors, comme au ralenti, j’ai vu mon épouse se pencher vers le sexe durci et la bouche entrouverte, l’engloutir avec douceur !

Gourmande et aimant les belles queues, ma femme s’efforçait d’engloutir l’énorme engin de Serge. Avec délices, visiblement, elle l’avalait du mieux qu’elle pouvait. Je le voyais entrer et sortir de sa bouche, de plus en plus gonflé.

Je n’en pouvais plus, j’ai extrait ma queue et me suis mis à me masturber tout en regardant les deux amants se faire du bien.

Ma chérie était courbée, à quatre pattes et comme sa jupe légère la recouvrait à nouveau, Serge d’un geste ample l’a remontée franchement découvrant son petit cul à peine couvert. Puis, pendant que ma garce de femme le pompait avidement, sa main a parcouru en tous sens son splendide derrière. Avec dextérité il a baissé son mini slip et ses doigts se sont immiscés le long de sa raie, la fouillant vicieusement.

Les yeux clos, le souffle court, tout en appréciant la caresse buccale qui lui était prodiguée, il s’était davantage étendu pour la doigter plus aisément.

Je ne savais plus où donner des yeux. Pendant un moment, je me suis senti hypnotisé par la grosse tige allant et venant dans la gorge affamée de Bernadette, puis je me suis déplacé pour mieux profiter du spectacle des doigts fureteurs qui fouillaient allégrement le minou luisant.

Elle était comme une chienne dans l’attente d’être saillie. Je m’étais déplacé pour ne rien perdre du spectacle.

Pensez, voir sa femme se faire baiser par un autre homme ! Depuis le temps que je rêvais de ça !

Quand il l’a prise par les hanches, elle a largement écarté ses cuisses, offerte, la croupe cambrée, les lèvres de sa fente entrouvertes et gonflées étaient en position pour accueillir l’énorme pieu.

Je n’en croyais pas mes yeux, quand le gland gorgé de sang s’est pointé contre les chairs toutes rose. J’ai crié malgré moi, quand, lentement il l’a pénétrée, comme si c’était en moi qu’il s’introduisait.

Quelque chose d’irrémédiable s’était produit, un autre mâle que moi la baisait. Et elle semblait apprécier la garce ! Elle se donnait sans retenue aux coups de boutoirs de son amant.

Le gros sexe allait et venait en rythme maintenant, je le voyais sortir et rentrer de plus en plus violemment, luisant de sa mouille abondante.

Ma femme geignait et criait. Elle poussait du bassin pour aller au-devant du plaisir de plus en plus violent qui la submergeait. Elle hurlait même :

– Oui ! C’est bon, vas y, baise-moi, baise-moi plus fort !

Je ne l’avais jamais vue comme ça, fondante de plaisir, tremblante, cassée par moments, au gré de la montée de son orgasme.

Moi, je me masturbais toujours face au spectacle. Parfois, il extrayait totalement sa queue du trou d’amour de la mignonne, comme pour la faire languir. Puis, devant son impatience à le sentir, s’enfonçait à nouveau.

– Je vais jouir, je vais jouir ! a soudain crié Serge.

– Non, attends ! Pas encore ! a renchéri ma femme.

Serge pour reprendre son souffle, s’était retiré.

– Attends un instant, il faut que je me calme.

Ma femme en aurait presque pleuré de dépit !

Elle s’est alors retournée vers moi, en me disant :

– Prends-moi, ne me laisse pas comme ça !

Je ne me le suis pas fait répéter deux fois. J’ai écarté mon rival d’un coup d’épaule et, avec bonheur, je me suis glissé dans l’antre chaud et gluant de ma chérie.

Qu’elle était bonne ! C’était incroyable de plaisir. Je ne la remplissais sans doute pas autant que l’autre, mais je la connaissais si bien !

Je l’ai retournée sur le dos, les cuisses relevées et je me suis enfoncé tout du long.

Je l’ai pilonnée comme un forcené.

Pris un moment au dépourvu, Serge pour ne pas être en manque de plaisir, a, d’un geste vif, ôté son préservatif et s’est faufilé entre les lèvres douces de Bernadette.

Enfin prise des deux côtés ! Combien de fois n’avions nous pas fantasmé sur cette scène ?

Comblée par la bouche, le minou rempli, elle se donnait désormais sans retenue. Nous formions un groupe de sexe en folie.

C’est Serge qui a cédé le premier. Il s’est vidé dans la gorge de ma femme en un long feulement de tigre. Il a rempli sa bouche de son sperme épais et onctueux.

Ma femme avec gourmandise, semblait s’en délecter.

Dans un cri rauque, je me suis alors vidé dans son ventre chaud.

Jamais nous n’avions éprouvé de telles sensations. Nous nous sommes serrés fortement pour mieux partager ce plaisir inouï. La réalité avait dépassé le rêve !

Serge, un instant exclu, nous a vite rejoints. Bernadette, amoureusement, avait tendu sa main pour l’attirer à elle.

Elle nous partageait indifféremment dans ses baisers.

Repus pour un moment, nous avons trinqués enfin.

Insatiable, ma femme adultère, après nous avoir redonné vigueur, s’empalait sur Serge.

Je vous laisse imaginer la nuit que nous avons passée.

Le point culminant a été lorsqu’elle s’est empalée sur la bite de son amant qui était couché, il m’a fait signe de venir la prendre par derrière dans son étroit canal.

Nous l’avons besogné ensemble, elle gesticulait et criait son plaisir sous les assauts des queux de son amant et du mari, la salope !

Une nuit de folie où ma femme c’est comportée comme une vraie pute !

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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