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Mûres30 Katharina,60ans,mouille beaucoup

Mûres30 Katharina,60ans,mouille beaucoup



Comme je ne baise que des vieilles esseulées, j’ai pu négocier avec Katharina, 60 ans: on va baiser sans capote.
J’adore ce moment où mon gland va goûter la texture de sa chatte.
elle est blonde, assez grande. Très soignée.
Ses yeux gris-bleus quelque peu cernés expriment une certaine lassitude.
Genre Chanel Carreira, pour les connaisseurs.
Son parfum ne me plaît pas, il n’est pas floral, mais un peu artificiel, et trop prononcé.
Sa poitrine, de taille moyenne, tombe un peu.
avec 20 ans de moins, elle devait ressembler à la jolie secrétaire standard qui trompe son mari pour des restaurants chics et l’agrément d’une nouvelle queue, avec si possible une carte de crédit bien garnie au bout.
ça y est, je suis sur elle. Je baisse les yeux.
Je vois ma queue arquée vers sa touffe châtain clair.
Couchée, elle n’a presque plus de seins.
Ses lèvres bien dessinées sont légèrement repulpées au Botox. Cela se remarque pour un oeil expert.
Une bonne salope qui se prend de la bite jeune l’après-midi, ce qui est risqué, car son mari n’est pas un plaisantin. C’est un jaloux. Il a de quoi, le pauvre.
je suis entré dans le con. Bon dessert, bonne salope mûre.
Une peau très douce, la croupe charnue, mais assez molle, comme le reste.
ça y est, Katharina, je t’enfile.
Je savais que je ne tarderais pas à te la mettre.
Dans le groupe où nous nous sommes côtoyés, elle était ravie de parler avec moi. Nous ne pouvions le faire qu’en allemand, mais je sentais que le contenu de la conversation importait peu.
Le premier rendez-vous n’était qu’un prétexte. Le café l’après-midi et la promenade ont rapidement convergé vers ce que nous cherchions.
nous n’avions pas grand-chose à nous dire.
Nous sentions qu’avec une bonne érection pulsant dans sa moule, les mots deviendraient inutiles.
A peine arrivée chez moi, la langue de ma vieille maîtresse se promenait entre mes lèvres.
-Tu veux boire quelque chose? tu vas bien?
après quelques banalités, on passait très vite au sexe. Il n’y avait pas beaucoup de temps. Elle était venue avec sa petite voiture, pendant que son mari travaillait. Même si elle prétendait qu’il y avait beaucoup de sentiments entre nous, et beaucoup de choses à partager, elle venait pour se faire mettre.
Cette femme assez tristement mariée, au quotidien routinier, s’épanouissait en faisant la salope. Elle rajeunissait, se déployait comme une fleur lorsqu’elles se mettait à genoux sur une chaise, et qu’elle se regardait dans le miroir en train de se faire enfiler.
Ma bite pulsait entre ses jolies fesses blanches et molles. Elle se retournait pour me regarder avec un sourire coquin.
Quand elle arrivait, on s’embrassait debout dans l’entrée de mon appartement.
Pour ne pas faire tout le temps la même chose, c’est-à-dire l’enfiler sur le lit, je sortait ma queue, écartait sa culotte et me réchauffait le bout du gland dans sa chatte toute chaude.
si je sortais ma queue pendant nos baisers, il n’était pas rare qu’elle ne me mît à genoux pour me sucer.
Elle avait rencontré un de mes amis libertins. L’idée de se faire un plan et trois lui trottait dans la tête.
-Je vous goûterais tous les deux…
L’élégante ménagère vieillissante voulait se sentir salope, sucer de la bite.
dans le parc de la maison, elle avait adoré se faire bourrer vigoureusement dans l’obscurité, derrière un grand arbre, tandis que les voisins festoyaient à vingt mètres de nous.
elle m’avait sucé également dans un photomaton, en restant assise. Pas longtemps, naturellement, juste quelques tirées, les joues creusées, pour se faire des émotions.
Lorsqu’elle mettait le bustier en cuir que j’avis acheté, elle avait vraiment l’air d’une vieille pute, avec ses seins à l’air, tombant tristement malgré l’armature rigide.
Tout ce que je raconte est réel jusqu’au moindre détail. Par exemple, je ne vais pas dire que j’enculais Katharina pour embellir mon histoire. non, elle refusait catégoriquement de me laisser toucher à son trou du cul.
Par contre, elle s’écartait volontiers la moule en se caressant devant moi, pour m’exciter.
A ma demande, elle passait sa langue sur ses lèvres, ce qui me faisait triquer.
Brigitte ,avec ses airs de grand-mère viennoise chic, devait m’exciter encore bien plus quelques années plus tard, lorsqu’elle planterait ses yeux en amande dans les miens, et ferait vibrer latéralement sa langue toute rose, s’assumant pleinement comme la vieille pute qui allait me faire gicler par tous les moyens possibles.
J’avais acheté un gode tout bleu, qui vibrait grâce à une pile.
Katharina n’appréciait pas cette vibration. Elle aimait mieux se l’enfoncer tout simplement, en me regardant avec sa langue de salope.
Après m’être branlé un moment en la regardant, je m’approchais pour qu’elle me suce, ou que je fasse des mouvements de bassins afin de piner sa bouche bien maquillée. Je lui demandais parfois de bien serrer les lèvres. Ma bite coulissait alors délicieusement dans sa bouche de pute.
Face au canapé, elle s’était un jour placée debout, les jambes tendues, écartées, le dos horizontal, les bras tendus, les mains posées sur les coussins.
Debout derrière elle, les mains sur ses hanches légèrement rembourrées, je l’avais fourrée vigoureusement, heureux de sentir le sperme bouillir dans mes couilles, avant d’aller fuser tout au fond du con de la ménagère vieillissante et trop maquillée.
Détail précis: les lèvres de sa chatte étaient assez longues, et ressemblaient vraiment à une moule.
Je n’aimais pas la lécher. en principe, c’était toujours elle qui me prenait la queue en bouche.
Qu’est-ce qu’elle mouillait! Un vrai marécage!
Cela faisait des gargouillis rythmiques lorsque je la prenais. Elle devait plusieurs fois s’éponger la chatte. Je devais aussi m’essuyer le membre. ça me coulait sur les couilles.
au prochain épisode, je vous raconterai quelques anecdotes qui me reviennent lorsque je me branle en pensant à Katharina, ma bonne vieille salope

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