La vie de Simone Nasdacq a repris son cours entre réceptions mondaines et dépenses somptuaires. La débauche et l’humiliation vécues lors de la soirée caritive ne sont pas pour autant oubliées.
Lorsqu’elle est rentrée, ce soir-là, elle était partagée entre honte et plaisir. Honte de s’être laissée aller ; honte d’avoir ressenti tant de plaisir à cette dépravation. Elle avait encore en bouche l’affreuse odeur de la bite du clochard.
Mais en même temps, cette déchéance lui avait procuré 2 orgasmes inouïs, fulgurants. Elle n’avait pas joui comme ça depuis… Jamais en fait ! Avant que son mari ne la délaisse, il ne lui procurait que des plaisirs fugaces, fugitifs. Des mini-orgasmes…
Il lui a fallu attendre la soixantaine pour qu’elle connaisse la véritable jouissance ; dans la déchéance et le sordide certes mais…
Il lui arrive parfois le soir, une fois couchée, de repenser à ce viol…
Mon dieu qu’il était laid… et sale… frissonne t’elle dans ces moment-là.
Elle n’ose s’avouer que ces frissons ne sont pas spécialement de répugnance…
Elle se surprend d’ailleurs, de plus en plus souvent, à tenter de ressentir la caresse anale que cette langue lui avait prodiguée ; à se remémorer les mots crus et vulgaires avec lesquels le clodo l’avait traitée. Et son sexe…
Qu’est ce qu’il puait de la queue…
2 semaines se sont écoulées depuis ce fameux samedi soir.
Il est 15 heures, la journée s’écoule lentement, son mari est à un congrès. Tu parles, un samedi ! Il est chez une pétasse oui !
Elle décide d’aller faire un peu de lèche-vitrine et fait appeler le chauffeur :
– Sortez la voiture, Robert, vous allez m’emmener faire quelques emplettes.
– Bien Madame.
Arrivés à la ville voisine, elle lui dit :
– Vous repasserez me prendre ici, vers 18 heures, Robert.
Plutôt habitué à l’accompagner, voire à l’attendre, le chauffeur eut une moue dubitative :
– Euh… Bien Madame, comme vous voudrez…
Et voilà Simone en route pour les grands magasins et les boutiques de luxe.
En sortant de chez Dior, elle se dit qu’un petit tour chez Hermès s’imposait. Par paresse, elle décide de couper par des petites ruelles qui n’ont rien de commerçantes et sont même franchement sinistres.
Mécaniquement, elle accélère le pas et baisse la tête pour éviter de croiser la misère environnante.
C’est au plus profond d’une ruelle qu’une voix l’apostrophe :
– Z’auriez pas une piécette, ma bonne dame ?
Elle sursaute et porte son regard vers l’endroit d’où provient la voix, un recoin assez large, sombre, séparant 2 immeubles.
Une dizaine de clochards y ont élu domicile entre des bouteilles de vin, des couvertures et des sacs de couchages noirs de crasse.
Un instant de panique la submerge, mais très vite sa contenance naturelle reprend le dessus. Haussant les épaules en signe de mépris, elle reprend sa route.
– Hé, les mecs, elle nous snobe, la bourge ! ?
D’un bond, celui qui a émis cette remarque est sur ses pieds. Il ratt**** Simone, la force à s’arrêter.
– Tu pues le fric, allez file nous 2/3 pièces, quoi !
– Foutez-moi la paix !
– Hé, z’entendez ça ? qu’est-ce qu’y a ? T’as peur de mater la misère ? T’as quoi dans ton sac ??
Il arrache le paquet du bras de Simone et en extirpe un chemisier parme de très belle facture.
– Putain, c’est classe ton truc ! D’ailleurs c’que tu portes c’est pas mal non plus ! éructe t’il en tirant sur le col de sa veste Cardin.
Ses gros doigts boudinés, aux ongles sales, n’ont pas fait dans le détail. Il a, dans le même mouvement, arraché le haut du chemisier de Simone.
La tenue stricte de notre bourgeoise se trouve transformée en décolleté aguichant.
Les autres clodos s’étaient redressés lors de l’altercation. Ils sont debout maintenant, attendant la suite des évènements.
Ils sont laids et répugnants. La cinquantaine peut-être, mais allez donner un âge à un clochard…
– Viens un peu par là toi !
Il agrippe Simone par le pan de sa veste. Elle tente en vain de résister. Il la tire vers leur repère. Les 10 vieux clodos l’entourent. Elle sent que ça va être sa fête. Comme ça… Une certaine expérience remontant à 2 semaines…
Et l’odeur qui la prend à la gorge. Une puanteur innommable. Pire que l’autre fois.
– Matez-moi ça les mecs ! Putain z’ont l’air gros ses nibards à la vieille ! C’est du lourd ça !
Sa main plonge dans le chemisier déjà béant, s’engouffre dans le balconnet et att**** à pleine main son sein gauche. Il presse et malaxe cette grosse mamelle, arrachant des cris à Simone.
Les autres s’enhardissent ; ils glissent leurs mains sous sa jupe pour palper son gros cul.
La jupe ne résiste pas longtemps. Dans un craquement, elle se fend en deux, découvrant une grande culotte rose que dix mains prennent d’assaut.
Simone sent les doigts fiévreux s’insinuer dans sa culotte qui glisse lentement jusqu’à ses genoux. Son gros cul est offert !
Bien évidemment, son chemisier n’a pas offert plus de résistance et il flotte, ultime et inutile vêtement.
Celui qui lui malaxe les mamelles l’oblige à se cambrer.
– Oh putain, regardez-moi ces gros nichons qui pendent ! C’est une vache à lait la bourge ! Ha Ha Ha.
Simone se sent souillée, humiliée. Elle se débat mollement, elle est résignée, elle sait que ses efforts sont vains.
Telles des anguilles les doigts boursouflés et sales s’insinuent dans ses orifices.
– On va s’la faire, la grosse bourge !!
Les autres répondent par des grognements et de vagues onomatopées, tout occupés à fourrager entre ses grosses fesses offertes et dans sa chatte poilue.
Sans ménagement, 4 doigts s’enfoncent dans son trou du cul, arrachant des cris à Simone.
Certains ont baissé leur pantalon et se branlent. L’odeur devient pestilentielle…
Celui qui l’avait abordé en fait de même pendant qu’il lui secoue les nichons. Sa bite est veineuse et trapue. Elle pue le bouc et la pisse. Il est debout devant elle, sa queue à hauteur du visage de Simone.
– Allez ma p’tite dame, c’est l’heure du casse-croûte ! Fais-moi une pipe ! Et t’as intérêt à t’appliquer !
Il retrousse la peau, découvrant un gland tout violacé, immonde et puant ; couvert de traînées blanches. Simone manque de défaillir à la vue de cette horreur. L’odeur lui soulève le cœur et lui donne des nausées. L’autre en profite pour l’att****r par son chignon et lui fourrer sa queue nauséabonde entre les lèvres.
– Ouaaaaiiis ! Allez salope, suce maintenant ! Suce !!
En fait de pipe, c’est plutôt lui qui se masturbe dans sa bouche. Ses yeux sont exorbités. La bouche ouverte, il agite sa langue en bavant.
Les autres la tripotent de partout ; lui dilatent le cul de leurs doigts, secouent vulgairement ses grosses mamelles et se branlent en se frottant contre elle.
Simone ne voit aucune porte de sortie à ce déferlement de sexe. Mais de toute façon y en aurait-il une que…
L’histoire se répète…
Est-ce le côté sordide de la situation ? Les attouchements vulgaires ? L’odeur de la bite qu’elle a en bouche ?
Les mêmes sensations qu’il y a 2 semaines naissent dans son ventre.
Carpe diem se dit elle. Ne sois pas hypocrite. Ça t’excite ? Alors oublie tes préjugés et ta morale. Laisse toi aller …
Et c’est ce qu’elle fait ! Le gros porc qui se masturbe dans sa bouche s’en rend compte le premier.
– Oh la vache ! Mais c’est qu’elle me suce la cochonne ! Du coup t’aimes ça ? Eh les mecs, ça l’excite la bourge, on a décroché le gros lot ! Des mois qu’j’me suis pas lavé la queue et cette grosse pute se régale à la sucer !!
Ce langage plait à Simone. Je suis une pute à clodo !! Ces pensées la font redoubler d’ardeur. Le goût de cette bite l’électrise. Elle s’empale en se trémoussant sur les doigts qui la fouillent. Mon dieu que c’est bon !
– Baisez-moi ! grogne t’elle.
Les autres ne se le font pas dire 2 fois. Le plus vieux présente sa bite à l’entrée de la moule poilue de Simone.
Il ne l’a pas pénétrée, qu’il s’agite déjà en donnant des grands coups de reins. La chatte de Simone l’avale d’un coup, l’absorbant telle une ventouse. Elle feule et râle. L’autre s’agite 10 secondes et lâche son foutre dans sa moule.
– Encore…. Encore.. gémit elle.
Le chef est décidé à lui faire subir les pires outrages. Il se retourne, écarte ses fesses et dit :
– Allez grosse vache, lèche moi le cul !!! ?
– Oh non, pas ça… baisez moi plutôt ?
– Ta gueule la bourge ! Bouffe moi le cul ! Allez !!
Elle sent 2 mains appuyer sur sa nuque et l’obliger à coller sa figure entre les fesses du gros clodo. Elle a juste le temps de distinguer la raie noire et poilue, qu’une odeur la prend à la gorge ; amère, sale…
Maintenue comme elle est, ses lèvres sont collées sur le trou du cul nauséabond.
Mon dieu ! Lécher le cul à un clodo… Qu’est-ce que ça pue !!! ?
L’autre gigote comme un malpropre, frottant son anus sur le visage de notre bourgeoise.
Pendant ce temps, un deuxième clodo a pris place derrière elle.
Han ! fit-il en fourrant sa bite d’un coup dans la chatte de Simone.
– Tiens prends ça ma belle, ça va te donner du courage, Ha, Ha, Ha…
Plus endurant que le premier, il laboure son gros cul en poussant des cris de bûcheron. Simone est aux anges. Ce coup-ci elle en profite.
Oh qu’est ce qu’il me remplit bien !
Machinalement, par réflexe d’excitation, sa langue commence à agacer le trou du cul du chef.
La forte odeur de son anus l’excite maintenant…
– Oh putain j’sens sa langue ! Elle me lèche le cul la bourge !!! Ouaaaiiis c’est bien la morue ! Fouille-moi le cul avec ta langue !
Le tableau est saisissant : la bourgeoise, à quatre pattes est en train de se faire puissamment fourrer par un clodo suant à grosses gouttes pendant que son visage est enfoui entre les fesses du chef. Ses grosses mamelles ballottent lourdement, tels des outres, au rythme des coups de boutoir.
Les autres se masturbent énergiquement, les yeux exorbités. De temps en temps, l’un d’entre eux agrippe une des mamelles et la malaxe sauvagement.
Le gros vicieux qui lui pine le cul se contracte et dans un grognement, lâche son foutre dans la chatte de Simone. Un dernier soubresaut, et il se retire, vite remplacé par un autre. Ces bites qui la ramonent et la lubricité de la situation déclenchent des orgasmes à répétition chez notre bourgeoise. Sa langue fouille toujours le cul du chef lorsqu’il se retourne et l’att**** par les cheveux, lui arrachant un rictus. Il se branle sur son visage et envoie la purée, lui souillant les lèvres et le nez.
– Tiens vieille cochonne, comme ça t’es baptisée Ha Ha Ha !
La suite n’est qu’une succession de débauches humiliantes.
Bien entendu, ils veulent tous se faire lécher l’oignon par cette bourgeoise. Elle ne rechigne pas, bien au contraire… Sa langue lèche et fouille consciencieusement ces trous du cul puant, arrachant à chacun des couinements.
Simone n’est plus qu’un objet entre les mains de ces vieux clodos. L’excitation va crescendo.
Rien ne lui est épargné. Les bites sales se succèdent entre ses lèvres et dans sa chatte. Certains lui crachent dans la figure en l’insultant :
– T’es qu’une grosse truie ! Une vieille pute à clodo !
– Mais quelle salope ! Elle prend son pied à se faire humilier ! T’es qu’un trou !
Oui…je ne suis qu’un trou… Mais dieu que c’est bon… songe t’elle.
La déchéance est totale lorsque, une fois leurs couilles vidées, ils viennent, l’un après l’autre, lui pisser dessus. Sur le visage, dans les cheveux, sur ses grosses mamelles et sur son cul… C’est souillée d’urine et de foutre qu’ils l’abandonnent.
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