On sonne à la porte d’entrée , nous nous intérogeons du regard , qui cela peut-il bien être ? Alors que nous allions nous coucher , il est vrais que l’on se couche à l’heure des poules (comme on dit dans nos campagne et pour ce qu’il y a à la télé !…)Je dévale les marches de l’escalier quatre à quatre,une serviette autour des reins pour ouvrir sur un visage de notre connaissance depuis peu. Aprés s’être salué , je fais pénétrer notre visiteur et t’annonce depuis le bas -chérie , c’est B.G ,tu descends!En nuisette avec juste ta petite culotte noire en dessous que l’on perçois au travers de la fine trame soyeuse. Vous vous embrassez en toute bonne amitié. Je remarque que ta poitrine sans soutien gorge paraît s’être gonflée,semblant vouloir passer par-dessus la nuisette, les tétins raidis pointent comme pour traverser la dentelle . Toute troublée ou émue de le voir ce soir , avant que tu lui demandes ce pourquoi il est là ,il nous dit – mes amis ,je suis de passage dans les environs ,j’ai fais un détour pour venir vous faire un petit « coucou »!
Ah bien! c’est gentil, nous sommes ravis(au lit).
Nous nous instalons au salon sur le canapé avec un bon verre de whisky .
-Je ne vai pas vous déranger , je vois que vous vous apprêtiez à vous coucher.
-Mais pas du tout ,nous sommes heureux de te recevoir ! tu n’a certainement pas dîner , je vais nous concocter une collation pour t’accompagner,avec une bonne bouteille .Pendant que je m’évertue en cuisine,vous conversez de choses et d’autres et ce qu’il devient depuis notre dernière invitation.
Vous êtes assis cote à cote ;à un moment ,ne vous entendant plus parler,je jette un coup d’oeil hors de la cuisine , je vous surprend vous embrassant sur la bouche,ses mains posées sur tes cuisses ,je fais comme si je n’avais rien vu,je me dis – la soirée va être chaude -.Pour commencer,nous passons à table ; tu es restée en petite tenue et moi en robe de chambre , à poil en dessous . A la fin du repas bien arrosé , j’annonce qu’il ny a pas de dessert, alors sans te démonter -je suis le dessert ! te proposant et ce disant ,ni une ni deux ,tu te glisses sous la table,tu as déboutonné le pantalon de notre ami ,sorti son sexe ,tenant aussi le mien , tu nous branles à tour de rôle ,tu nous fais une pipe ; alors là ,c’est le meilleur des desserts ,tu nous gâtes et tu l’es aussi , car tu aimes sucer et là tu en a deux, dont un qui n’est pas des moindres en quantité .Si bien que tu nous fais mousser le créateur ,je propose à B.G de rester coucher .
UN AMI AMANT (suite de visiteur inattendu).
C’est OK ; enchanté de mon invitation et à cet instant de délice ,jouissant de la magistrale pipe que tu nous fais sous la table ,tu suces merveilleusement bien,à nous faire geindre de plaisir ; je me penche pour t’annoncer que BERNARD couche à la maison ,sa bite dans la bouche tu glousses de satisfaction,tu mets plus d’ardeur ,je te caresse les fesses que tu relèves pour que je te masturbe la chatte ,tu mouilles , les lèvres sont enflées et le clito raide et dur comme un petit gland, tu te régales de cette super bite dont tu as eu le bonheur d’y goûter lors de notre première rencontre et invitation avec lui ; ce soir ,ça va être la fête !.
Tu sorts de dessous de la table,tu me roules une pelle, à B. aussi qui ,le pantalon baissé,lui prenant la bite à pleine main ,tu la décalotte ,tu te penches sur elle ,tu la remet en bouche pour achever la fellation devant moi ;il est debout entre tes jambes,tu es assises ,une main tenant ses couilles comme les soupesant et sa queue entre pouce et indexe de l’autre main , la langue lèche le gland d’un beau rose luisant et brillant ,puis tes lèvres l’englobent,tu l’aspires ,son sexe à demi engouffré dans la bouche,tu le pompes goulument en le masturbant lentement .
Je me branle ,excité de te voir faire , j’en ai les glaouis qui me chancetiquent . Il est sur le point de jouir ,alors il empoigne sa verge sortie de ta bouche ,il se mastuebe,la serre au niveau du gland et explose ,de grands jets de foutre viennent s’étaler sur ton visage ,autour de la bouche , il se branle pour maintenir son érection , tu lui ressaisi son instrument des délices pour le remettre en bouche y recueuillir les quelques guouttes restantes de sperme. Ouais ! foutrement bien cette pipe ,ma chérie,ça ètè un bon dessert pour toi,pour lui aussi et pour moi un super spectacle;le tout au champagne …
Le canapé est déplié en lit ,Bernard fini de se déshabiller et s’installe en t’entraînant et culbutant sur la couche . Toute câline contre lui,c’est d’un attendrissement qui m’émeut de voir que tu es heureuse d’être dan ses bras,je partage ce bonheur avec tous les plaisirs de cette bacchanale ,plaisir des Dieux et des yeux . Contre lui comme une chatte en chaleur ,tu as son pénis à la main,le caressant ,appréciant son volume ainsi que ses couilles que tu balottes ; lui te caresse la chute des reins. Quant à moi , je suis au spectacle permanent , j’admire ton superbe corps , le string souligne le galbe de tes fesses ,tes seins lourds sécrasent contre le torse cuivré de B.qui en un langoureux baiser ,te caresse l’entre-cuisses .Ta poitrine opulente lui donne l’idée de placer sa queue entre les seins et de te faire « la cravate du notaire » ,en vas et viens ,comme pris en étau ,les compriments, le gland va jusqu’ à cogner le menton,tu ouvres la bouche quand il arrive à hauteur afin de l’en saisir et de le lècher; lui ,il te pelote les fesses, c’est une bonne façon de se masturber .Il devait sentir la sève monter,car il cesse la « branlette dite espagnole ».Pendant ce temps je me masturbai ,les yeux rivés sur ce tableau plus-qu’érotique.
Aussi ,à voir son sexe caresser ta poitrine , le gland énorme ,turgescent venant à la rencontre de ta bouche ,me donnais envie de le prendre à mon tour en bouche . J’ai aussi envie qu’il me vrille le cul.Être sodomisé par cette grosse et longue bite de ton amant ,je suis un peu jaloux de toi qui a la chance d’en avoir l’exclusivité .
Notre ami te renverse sur le canapé,il te soulève les jambes,collées sur son torse ,il t’étreint les cuisses écartées,les fesses relevées , sa queue ,d’un seul coup de reins ,te pénètre entière , te faisant couiner et geindre en te limant vivement et puissamment ,i ahane de par ses efforts, ses mains cramponnent tes cuisses, tu appelles tous les saints de la terre et du ciel avec Dieu que c’est bon ! et ta mère -non pas ta mère ,ça lui donnerait des idées – et tu en redemandes de ses coups de butoir. Il en transpire ,le visage crispé,haletant,il en bave our que tu prennes ton « pied « et là, je crois que tu es au paroxysme de la jouissance,tu geins sans retenue,c’est l’orgasme assuré , tu es pâmée,en semi-syncope ,heureusement,il n’y a pas de voisin,oh !et puis mème encore , là où il y a de la gène il n’y a pas de plaisir ! …
D’un seul coup il se retire,suivi d’une sorte de meuglement,vlan ,son foutre vient s’étaler copieusement sur ton ventre . Brandissant son engin tressautant,mousseux de jute mélangé à ta jouissance , tu lui presses les joyeuses comme pour en faire sortir le maximum. Ta bouche vient à la rencontre
du gland , tes lèvres le baguent,tu l’aspires,il grogne de félicité ; il ne débande pas ! alors,c’est l’aubaine pour lui faire une pipe , à commencer par toi,tu as un certain savoir faire que je pense digne d’une experte , ton coté ,j’en profite pour te peloter et te caresser puis je te relaie ; à pleine main ,j’empoigne son gourdin ,le met en bouche ,lui malaxe les couilles,les suce une à une ,elles me remplissent la bouche,tout comme sa bite que je pompe avec ardeur et avec délectation . Je crois que notre ami et amant est gâté et qu’il est satisfait de nos préstations . Avant de le reprendre ,je t’embrasse langoureusement, te faisant sentir que je partage ton plaisir. J’aimerais maintenant qu’il me sodomise , alors c’est toi qui lui en fais la proposition, il est OK , je me met en position , il m’encule devant toi ,sa bite me rempli le cul et de sensations indéscriptibles ,ses vas et viens me font gueuler de plaisir ;il jouis en moi vidant ses couilles au fond du rectum ;oh!que c’est bon,bon,bon. ALORS A LA PROCHAINE …
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