Notre couple était en berne. Nous ne nous étions pas touchés depuis des semaines. J’avais un peu stoppé mes aventures extra conjugales, je traversais une période de grande fatigue et je crois que Jean-Phi aussi.
Nous avons donc décidé de prendre quelques jours de vacances, pour nous reposer et pour faire le point sur notre couple.
Nous avons pris la voiture en fin d’après-midi direction l’Espagne, destination pas très éloignée, environ 500 kilomètres pour rejoindre Bilbao.
Sur la route il y avait beaucoup de camions, c’était un peu stressant, j’ai eu rapidement un mauvais pressentiment concernant ce voyage, comme quand on redoute un accident. La chaleur étouffante de ce mois d’août n’arrangeait rien.
En fait d’accident, c’est une panne qui nous attendait.
Mon mari, toujours aussi peu matérialiste, avait oublié de vérifier le niveau d’eau et la voiture s’est mise à fumer comme un pompier, une fumée blanche épaisse qui ne laissa aucun doute au garagiste que nous avons trouvé d’urgence sur place : joint de culasse.
Ça commençait fort !
À l’époque nous n’avions pas d’assurance dépannage, et comme il était déjà tard, nous avons mangé les sandwiches qu’il nous restait et nous sommes installés dans un petit hôtel de bord de nationale, genre Formule un, dont le parking, encore et toujours, était plein de camions.
Jean-Phi s’est endormi très vite, quand je suis sortie de la douche il était déjà dans les bras de Morphée. Je l’ai regardé dormir un instant. Quel drôle de poète celui-là, j’espère que ça va finir par s’arranger entre nous, pensais-je en lui délivrant un petit baiser tout doux sur le front.
La chaleur moite qui régnait dans la chambre m’a vite avertie que le sommeil n’allait pas être aussi facile à trouver pour moi….impossible de fermer l’œil à coté de mon ronfleur!
1H48, j’enfile une robe et sors de l’hôtel pour fumer une clope, me détendre et prendre l’air.
Sauf qu’il n’y a pas plus d’air que dans la chambre, la nuit est étouffante. Je ne m’éloigne pas trop pour ne pas m’aventurer vers les camions dans l’obscurité du parking. Je me croyais seule.
En fait, deux hommes étaient assis dans le noir sur un petit banc, je n’ai vu que tardivement le bout rougeoyant de leurs cigarettes. Ils ne parlaient pas, avaient dû faire silence en me voyant sortir de la réception et évidemment me regardaient comme une apparition. C’est alors que je me suis rappelée que j’étais très légèrement habillée, aucun dessous, pieds nus avec ma robe d’été.
Un premier se lève et s’approche de moi. Je jette ma clope aussi sec et me dirige vers la porte d’entrée de l’hôtel, pas du tout envie de me faire emmerder.
Quelle conne ! Je n’ai pas le code…
« On peut vous aider, Mademoiselle ? » Les deux sont à un mètre de moi…
« Madame ! » Je garde la tête haute, bien fière, même si je n’en mène pas large.
Je tente :
« Vous connaissez le code ? »
« Oui »
« Vous pouvez me le donner s’il vous plait ? Je suis fatiguée »
« Bien sûr…qu’est-ce que vous nous offrez en échange ? »
« … »
Il a déjà sorti sa queue. Un vrai mastard en demie érection. Son copain se met derrière moi, pose ses grosses mains sur mes hanches en frottant sa braguette contre mes fesses. Je sursaute.
« On n’est pas méchants vous savez » me dit-il avec un fort accent espagnol. Et continue à me peloter avec un petit rire pervers. J’ai envie de crier…mais aucun son ne sort de ma bouche, je suis tétanisée. J’ai tellement de fois failli me faire violer, je m’en suis toujours sortie in extremis, mais là quelque chose me dit que c’est la bonne…
Ce que je n’imaginais pas c’est cette excitation malsaine qui commence à monter en moi. Des images me traversent l’esprit, des images de sexes me fouillant, éjaculant. Le goût du sperme vient à ma bouche, de manière bestiale. L’odeur des mâles en rut.
Voyant que je me laisse faire, celui qui est derrière moi remonte ma robe, découvrant mes fesses nues et passe un doigt le long de ma raie, me forçant à l’écarter.
Il découvre que je mouille déjà, me pénètre sans difficulté. J’ai honte.
J’entends le bruit de sa braguette alors qu’il me fouille toujours avec sa main et bien vite je sens son gland venir se poser à l’entrée de ma chatte. J’aime immédiatement le contact de son gland sur ma vulve rasée, il mélange son humidité à la mienne et m’enfile d’un coup sa bite qui rentre sans problème, me faisant écarter les jambes, me procurant déjà du plaisir.
Il me baise debout comme une chienne et mon dieu que c’est bon….son sexe en moi délivre toutes les tensions accumulées de ces derniers jours, réveille ma féminité endormie depuis trop longtemps. Ses mains puissantes malaxent mes seins, mes hanches, pendant qu’il m’enfile complètement, battant contre mes fesses à un rythme de métronome. Chaque poussée m’arrache un petit gémissement, j’ai fermé les yeux, tout à ma jouissance, ma bouche est grande ouverte, laissant s’échapper mes râles.
Son acolyte en profite pour me choper par la tête et m’embrasser sauvagement, son haleine est forte, alcoolisée, je laisse sa langue prendre possession de ma bouche et étouffer mes couinements. Ils me possèdent.
« T’es une pute, c’est ça ? » Il chuchote dans mon oreille, me fait frémir pendant que l’autre me fourre toujours aussi fort et fait monter ma jouissance irrémédiablement.
« Dis-le ! »
« …. »
Il me serre fort la tête, tire mes cheveux en arrière, m’att**** par le cou.
« Dis-le !!! »
« Oui ! »
« Oui quoi ?! »
« Je suis une pute ! »
« Une grosse pute ? »
« Oui, une grosse pute !! »
Le dire me fait presque jouir. Mon ventre est en feu, labouré à grand coups de reins par un homme brutal que j’ai à peine vu, qui défoule sa rage dans ma chatte, pendant que l’autre me fourre ses gros doigts sales dans la bouche, mimant une fellation qui me déclenche aussitôt un orgasme vaginal, par spasmes. Je m’accroche à ses épaules, suçant ses doigts, pendant que ma jouissance se prolonge et que l’autre s’active toujours aussi fort dans mon sexe détrempé.
« Branle moi ! »
J’att**** sa queue, pendant qu’il enfonce encore ses doigts dans ma gorge, elle est grosse, tendue à bloc, je la serre fort dans ma main et commence à la masturber, son gland est poisseux, couvert de mouille, j’utilise son jus pour l’étaler le long de la tige et le branler sur toute la longueur. Il crache alors sur sa queue pour l’humidifier encore, qu’elle glisse parfaitement dans ma main. Je sens son gros chibre qui palpite sous ma branlette, ses couilles poilues qui valsent alors qu’il m’embrasse à nouveau, crache dans ma bouche et sur mon visage de tout son souffle, étale sa salive avec ses doigts, sur mes joues, dans mon cou. Le pilonnage continue, je me cambre autant que je peux pour profiter des coups de bite du taureau espagnol qui me défonce sans relâche.
Je sens qu’ils vont jouir. Tous les deux.
« Tu veux du foutre, hein, grosse pute ?! »
« Oui… »
« Comment ? J’ai pas entendu ?! »
« Je veux du foutre !! »
« A genoux ! «
Je me mets immédiatement à genoux devant lui, forçant mon baiseur à sortir de ma chatte. J’ai soif. Je veux ma dose, ma récompense, je grimace de désir, la bouche grande ouverte, la langue sortie au maximum.
Son sexe est à 10 centimètre de ma bouche, il se branle comme un fou.
« Réclame ! »
« Je veux ton foutre, tout ton foutre !!
« Réclame encore !! »
« Donne le moi, branle toi dans ma bouche !! »
L’autre arrache ma robe, la déchire par la boutonnière, je me retrouve à poil, devant l’entrée de l’hôtel, agenouillée la gueule grande ouverte attendant qu’un inconnu se soulage dans ma bouche. Il se branle encore un moment. Il peine à éjaculer.
« Suce moi ! »
Je n’attendais que ça…ces deux mots me rendent folle, je me jette les deux mains et la bouche sur sa queue qui pue, qui sent le routier mal lavé, je me régale, j’ai envie que ça dure encore. Des images de partouze m’envahissent, je me revois attachée, suçant des hommes à la chaine, pendant que d’autres me baisent à tour de rôle.
J’ai envie de défonce totale maintenant. Je me retourne.
« Encule moi ! » Ma voix est rauque, bestiale.
Le taureau espagnol présente déjà son gland à mon anus, je me cambre vers l’arrière pour qu’il ne traine pas à m’enfiler, j’ai besoin qu’il me déchire comme j’aime, je retrouve toutes mes sensations perdues, mes pulsions enfouies. Je deviens hystérique.
« ENCULE MOI, GROS PORC !!! »
Il rentre enfin, sans ménagement comme je l’espérais, la pénétration est délicieuse, me délivre les entrailles, son gros gland me laboure, sa queue est dure comme du bois, ses couilles battent contre ma chatte.
Je sens monter ma jouissance. Je reprends le sexe de son pote en bouche, bien décidée à le faire dégorger enfin, je l’astique comme une malade, il ne peut plus m’échapper, je sens monter sa sève, son gland est au bord de l’explosion, je l’enfonce dans ma gorge quand les premiers jets de sperme fusent et la sensation est divine, son foutre coule par intermittence, tendant sa queue à l’extrême. Mes lèvres sont contre ses couilles maintenant, mon nez collé à son pubis, c’est la première fois qu’une queue va aussi loin dans ma gorge sans me faire suffoquer, son gland a passé mon palais et vide son jus dans mon estomac. La position est parfaite.
Mon enculator se déchaine toujours, il me fait monter au paradis méthodiquement et un dernier coup de reins phénoménal fait exploser mon ventre, dans un orgasme qui me secoue comme un ouragan. Il jouit lui aussi dans mon cul en pouffant, me remplit les entrailles de sa semence.
Il pleut. Un orage soudain vient libérer le ciel de sa tension.
Les deux routiers remontent leurs pantalons et se cassent.
Je ramasse ma robe en lambeaux et tire sur la poignée de la porte de l’hôtel, qui cède. Je n’y comprends plus rien, j’aurais juré qu’elle était fermée à clé.
2H37
Je remonte dans la chambre où Jean-Phi dort toujours, ignorant la détonation des éclairs.
Je prends une douche froide pour me remettre de mes émotions. Des larmes montent soudain, mes glandes lacrymales explosent et je pleure comme une petite fille après tant d’émotion et d’orgasmes. C’est à peine si je me souviens de leurs visages.
Je sors de la salle de bains et vient me coller à mon mari, le caressant tendrement, comme je ne l’ai plus fait depuis longtemps, admirant son torse, humant son parfum délicat. Il se réveille un peu sous mes caresse, m’embrasse, me serre dans ses bras.
« Je t’aime, ma femme »
« Moi aussi mon chéri, je t’aime » lui répondis-je en prenant son sexe dans ma main.
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