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Soumise Charlotte

Soumise Charlotte



Chapitre 1

Je tirais sur les cordes qui m’entouraient les poignets.
« C’est ça, essais de te libérer ça m’excite. »
Le bâillon que j’avais dans la bouche m’empêchait de parler et les cordes étaient tellement serrées qu’elles m’entaillaient les poignets et les chevilles.
« Regarde-moi ça comme tu mouille salope. »
Je me tortillais quand Julian inséra deux doigts en moi.
« Maintenant on va passer aux choses sérieuses. » Dit-il en enlevant son jeans.
Il monta sur le lit et me pénétra d’un coup de rein. Je gémis à travers le bâillon tandis qu’il commençait à me pilonner. Il me baisait sans ménagement, pour son seul plaisir et sans chercher le mien. Mais ça m’excitait tellement. Je sentais le plaisir monter à chaque coup de rein, jusqu’à ce que son sperme se répande finalement en moi et je criai alors que l’orgasme me traversait.
« Bon, maintenant j’ai quelque chose à aller chercher. Je reviens. »
Il renfila son pantalon et sorti de la chambre, me laissant ligoter sur le lit. J’entendis la porte de l’appartement claquer, et la clé tourner dans la serrure. Son sperme commença à couler, mouillant les draps sous moi.
Quelques minutes plus tard, je fus soulager d’entendre la porte s’ouvrir à nouveau. Il alla dans la cuisine avant de s’engager dans le couloir menant aux chambres.
« Julian t’es là ? »
J’écarquillais les yeux. Ce n’était pas Julian mais son père, qui visiblement était rentré plus tôt que prévu.
« Je sais que tu es là Julian ton sac traine encore dans l’entrée. Le lit était face à la porte, si bien que je vis la poignée s’abaisser lentement. Julian, je t’ai déjà dit de ne pas laisser trainer tes aff- »
Il se figea quand il me vit. Ses yeux passèrent de ma chatte dégoulinante de sperme à mes seins nus, puis remontèrent jusqu’à mes poignets attachés et au bâillon dans ma bouche.
« Qu’est-ce que… »
« Oups. »
Julian venait d’apparaitre derrière son père. Ce dernier de tourna vers son fils.
« Mais qu’est-ce que c’est que ça ? » Lui demanda-t-il.
« Comme si tu ne connaissais pas Charlotte. » Répondit Julian en le poussant pour rentrer dans la chambre.
« Je connais Charlotte, mais qu’est-ce qu’elle fait… »
Il avait visiblement du mal à croire à ce qu’il voyait. »
« Et bien elle est attachée. Parce que je prends mon pied à lui faire ce genre de chose et qu’elle aime ça elle aussi. Il se tourna vers moi. Pas vrai Charlotte ? Dis à mon père à quel point tu aimes que je te traite comme une chienne. »
Je secouais la tête.
« Charlotte, ne m’oblige pas à me mettre en colère. »
Je dû me résoudre à hocher la tête, honteuse. Je détournais le regard, pour ne pas continuer à croiser celui de monsieur Cooper.
« C’est ce qu’on appelle une soumise. Continua Julian. Tu devrais voir comment elle est excitée quand je l’attache et que je lui ordonne de faire toutes sortes de choses. Il ferma la porte derrière son père. Essai. »
Je tournais la tête vers lui, paniquée. Mais ses yeux étaient rivés sur son père, dont il attendait la réponse.
« Je suis certain qu’aucunes des femmes que tu fréquentes ne te fera aussi plaisir qu’elle. »
Monsieur Cooper reporta son attention sur son fils.
«Ça ne se fait pas.»
« Pourquoi ? »
« Parce qu’elle a dix-huit ans et que c’est ta petite copine ! »
« Depuis quand tu te soucis de l’âge ? Elle est majeure. Et si je te propose c’est que ça ne me dérange pas. »
« Mais enfin Julian… »
« Je t’assure que tu ne le regrettera pas. »
« Elle n’a pas son mot à dire ? »
« Elle en meurt d’envie. Je suis certain qu’elle est déjà trempée. »
Il s’approcha du lit et me toucha le clitoris avant de mettre un doigt puis deux dans mon vagin.
« Déjà prête. Je secouais la tête. Oh je t’en prie Charlotte. Ne me dis pas que ça ne t’excite pas. Tu mentirais. Et tu sais ce que je pense des mensonges. »
Toujours devant la porte fermée, son père semblait indécis. Cette situation m’effrayais et m’excitais en même temps. D’autant plus que son père était loin d’être repoussant. Il devait avoir la quarantaine mais ne les faisait pas du tout. Il avait les mêmes cheveux noirs et les mêmes yeux verts que Julian. Grands et large d’épaules, il s’entretenait et ça se voyait.
« Je t’assure que tu en redemandera. Et il entreprit de me détacher. En levrette. » M’ordonna-t-il.
Je m’exécutais, montrant mon cul à son père, et il me rattacha en s’assurant de bien tirer les cordes pour que je ne puisse pas bouger. J’entendis des pas, puis le lit s’abaisser.
« Tu peux lui faire ce que tu veux. La baiser sans ménagement et sans préservatif, et elle mouille quand on la fesse… Elle peut certainement réaliser la plupart de tes fantasmes. »
Je sentis une main se poser sur l’une de mes fesses. Elle était trop grande pour que ce soit celle de Julian. Je fermais les yeux. Est-ce qu’il allait réellement écouter son fils ? Quand la main s’abattit violement sur ma fesse, mon cri fut étouffé par le bâillon. Aussitôt, deux doigts furent introduits dans ma chatte.
« Bon sang mais c’est la vérité. Cette salope est mouillée. »
J’entendis une braguette se baisser et il frotta son gland contre ma chatte trempée, avant de s’introduire d’une poussée. Il eut un râle de plaisir et s’arrêta.
« Elle est tellement serrée. » Gémit-il.
Puis il commença ses va viens, allant de plus en plus vite. Je ne pouvais retenir mes hurlements. Sa vite était tellement large… C’était incroyable.
« Putain, je vais venir. »
« Jouit dans sa chatte. » Répondit Julian.
Et comme si c’était tout ce qui lui manquait, monsieur Cooper s’enfonça une dernière fois et je sentis son sperme chaud se répandre dans ma chatte en de longues giclées.

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Voilà pour ce premier chapitre !
N’hésitez pas à me dire si ça vous a plus et si vous voyez certaines choses à changer/améliorer.

La suite bientôt 😉
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